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Et si Sarkozy s'était fait "promener" par Bouteflika?

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Algérie : les relations entre Paris et Alger au point mort

 

Les relations algéro-françaises traversent-elles une nouvelle période de froid ? A l’Elysée, la question suscite une gêne. « Ce n’est pas parce que les relations entre nos deux pays ne font pas la une des journaux en ce moment qu’il ne se passe rien. Nos relations avec l’Algérie sont très bonnes et nous continuons à travailler ensemble pour avancer sur de nombreux dossiers», explique un porte-parole de la présidence française.

 

Pourtant, près de 40 jours après la difficile visite d’Etat de Nicolas Sarkozy en Algérie, les relations entre Paris et Alger semblent se limiter au minimum diplomatique. « Plusieurs réunions de suivi ont déjà eu lieu au niveau des Ambassadeurs, et l'Ambassadeur Sbih a été reçu cette semaine même au ministère des Affaires étrangères à Paris », affirme le porte-parole de l’ambassade de France à Alger à « toutsurlalgerie.com ». Selon cette même source, plusieurs visites ministérielles sont prévues entre les deux pays « prochainement ». Mais aucune date n’est cependant avancée pour ces déplacements. Insuffisant pour deux pays qui prétendent vouloir aller vers un partenariat stratégique.

 

En réalité, selon des sources diplomatiques françaises et algériennes interrogées par « toutsurlalgerie.com », les relations entre Paris et Alger traversent depuis décembre dernier une période de froid. « Il ne se passe rien entre les deux pays. La diplomatie gère les affaires courantes. Seul le business se porte bien. Les entreprises françaises s’intéressent toujours de près au marché algérien », explique un diplomate français qui a requis l’anonymat. Des propos confirmés par une source algérienne, proche de la présidence de la République.

 

Signé à l’occasion de la visite d’Etat de Nicolas Sarkozy à Alger, l’accord sur le nucléaire civil n’a été suivi d’aucune réunion de travail. En octobre dernier, une semaine après la visite d’Etat de Nicolas Sarkozy au Maroc, une commission franco-marocaine s’est réunie à Paris pour mettre en œuvre l’accord entre les deux pays sur le nucléaire civil. Depuis, le dossier avance dans la bonne la direction pour une concrétisation.

 

Autre signe de ce froid : les propos tenus par Nicolas Sarkozy lors de sa conférence de presse du 8 janvier ont été très mal reçu. «Il faut soutenir le gouvernement Bouteflika parce que personne ne veut des talibans au pouvoir à Alger », avait déclaré le président français pour justifier son déplacement à Alger. « On ne parle pas de cette façon du président d’un pays ami. M. Sarkozy aurait pu saisir l’occasion pour expliquer que l’Algérie est un pays ami et un partenaire stratégique de la France », souligne un diplomate algérien, agacé par les propos du chef de l’Etat français.

 

Mais si les signes d’un froid entre Paris et Alger sont de plus en plus nombreux, il reste difficile de connaître les vraies raisons de ces nouvelles tensions entre les deux pays. Certes, la mémoire demeure un sujet majeur de discorde entre Alger et Paris et la visite de Nicolas Sarkozy en Algérie n’aura pas réussi à dissiper les malentendus sur le sujet. Mais il y a aussi l’élection présidentielle en Algérie : dans l’entourage de Nicolas Sarkozy, beaucoup pensent qu’un changement de génération en Algérie serait nécessaire pour aller vers des relations apaisées entre les deux pays. Dans ce contexte, les Français préfèreraient attendre des signes de ce changement longtemps espéré…

 

Source: TSA

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Algérie: un Marocain lauréat du festival du film Amazigh

 

Le Marocain Yassine Fennane a obtenu l'"Olivier d'or", la plus haute distinction du festival du film Amazigh, qui s'est terminé lundi à Sétif.

 

Fennane a obtenu ce trophée dans la catégorie long-métrage pour son film "Squelette", qui raconte le retour dans son village après un séjour en ville de Hocine clamant son intention de céder son corps à la science.

 

Ce retour va transformer la vie du village sur fond de conflits d'intérêt et de manipulations.

 

Le jury était présidé par le cinéaste algérien Belkacem Hadjadj, qui avait à ses côtés le Français Jean-Jacques Bernard, producteur et chroniqueur, et l'acteur suisse Jean-Luc Bideau.

 

Le prix d'interprétation féminine n'a pas été attribué "faute d'une performance à la hauteur de la récompense", selon le jury.

 

Le prix d'interprétation masculine a été remporté par Salem Aït Ali Belkacem qui a campé le rôle de "Arezki l'indigène" dans le film de Djamel Bendeddouche, retraçant l'épopée de ce bandit d'honneur qui, à la fin du 19e siècle, conduisit des actions contre des caïds et des agents à la solde de l'administration coloniale française.

 

Trente cinq films d'expression amazighe produits en 2007 avaient été sélectionnés parmi 65 productions nationales et étrangères pour ce 8e festival qui a duré cinq jours.

 

Source:TSA

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Algérie: un Marocain lauréat du festival du film Amazigh

 

Le Marocain Yassine Fennane a obtenu l'"Olivier d'or", la plus haute distinction du festival du film Amazigh, qui s'est terminé lundi à Sétif.

 

Fennane a obtenu ce trophée dans la catégorie long-métrage pour son film "Squelette", qui raconte le retour dans son village après un séjour en ville de Hocine clamant son intention de céder son corps à la science.

 

Ce retour va transformer la vie du village sur fond de conflits d'intérêt et de manipulations.

 

Le jury était présidé par le cinéaste algérien Belkacem Hadjadj, qui avait à ses côtés le Français Jean-Jacques Bernard, producteur et chroniqueur, et l'acteur suisse Jean-Luc Bideau.

 

Le prix d'interprétation féminine n'a pas été attribué "faute d'une performance à la hauteur de la récompense", selon le jury.

 

Le prix d'interprétation masculine a été remporté par Salem Aït Ali Belkacem qui a campé le rôle de "Arezki l'indigène" dans le film de Djamel Bendeddouche, retraçant l'épopée de ce bandit d'honneur qui, à la fin du 19e siècle, conduisit des actions contre des caïds et des agents à la solde de l'administration coloniale française.

 

Trente cinq films d'expression amazighe produits en 2007 avaient été sélectionnés parmi 65 productions nationales et étrangères pour ce 8e festival qui a duré cinq jours.

 

Source:TSA

 

Icosiominus

.... doit se retourner

.... dans son tread

.... s'il a appris qu'un Mokhazni

.... a ete prime et de surcroit

.... au pays des braves nifeurs

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Vers un nouveau procès d'un leader autochtone pour des propos antisémites

OTTAWA - Une cour d'appel canadienne a confirmé lundi l'annulation de la condamnation pour incitation à la haine d'un ancien chef autochtone, qui avait tenu des propos antisémites, et a ordonné un nouveau procès.

 

David Ahenakew, un ancien chef de l'Assemblée des Premières nations, la principale organisation autochtone canadienne, avait été condamné en 2005 à 1.000 dollars d'amende pour incitation à la haine et déchu de l'Ordre du Canada, la plus haute distinction canadienne.

 

Dans une interview en 2002, M. Ahenakew, aujourd'hui âgé de 74 ans, avait déclaré que les Juifs sont une "plaie" et les avaient rendus responsables de la seconde guerre mondiale.

 

"Les juifs étaient sur le point de posséder toute l'Allemagne (...) Hitler voulait s'assurer à tout prix qu'ils ne s'emparent pas de l'Allemagne ou de l'Europe. Voila pourquoi il a fait frire six millions", avait-il dit.

 

Après un appel de M. Ahenakew, un tribunal avait cassé la condamnation et ordonné un nouveau procès. Le ministère public a à son tour fait appel pour rétablir la condamnation, mais la Cour d'appel de la Saskatchewan, province du centre du Canada, ne lui a pas donné satisfaction.

 

"Les propos de M. Ahenakew sont indubitablement choquants et brutaux", reconnaissent les trois juges de la Cour dans leurs attendus.

 

Mais ils ont jugé que l'instance inférieure avait eu raison de faire valoir que le procès n'avait pas suffisamment examiné la question de savoir si M. Ahenakew avait eu "l'intention d'inciter à la haine raciale", un élément nécéssaire pour prononcer une condamnation.

 

Dans sa défense, M. Ahenakew avait argué que ses propos avaient été tenus lors d'une conversation privée et n'étaient pas destinés à la publication.

 

Le ministère public a maintenant trois possibilités: organiser un nouveau procès, faire appel devant la Cour suprême du Canada ou abandonner l'affaire.

 

L'organisation juive B'Nai Brith a réagi en estimant que la décision de la Cour d'appel de la Saskatchewan pouvait constituer "un précédent dangereux" et a demandé que l'affaire soit portée devant la Cour suprême.

 

(©AFP / 14 janvier 2008 23h01)

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  • 2 weeks later...

C'est bien Messali Hadj qui, en prison je crois, avait inventé le drapeau algérien. Le choix des couleurs et le croissant démentent l'opinion de certains prétendant qu'au départ, l'Algérie devait être laïque.

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Le drapeau algérien

 

Les positions de l’étoile et du croissant

Hocine Asselah reçut pour mission de la « Direction » de trouver un exemplaire du drapeau avec lequel Messali Hadj avait défilé en 1937 du Champ de manœuvres à la Grande Poste ; drapeau, écrira plus tard ce dernier dans ses Mémoires, qui avait été conçu et cousu par Mme Messali elle-même.

 

Source:[ El Watan :: Evènements du 08 mai 1945 ]

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