Guest Halwa Posted March 26, 2006 Partager Posted March 26, 2006 Toi, qui m'attires Toi, qui m'attires. Toi, qui par un sourire, M'as plu dès la première fois, Et m'as fait espèrer, qu'il y aurait d'autres fois. J'aimerais te dire que tu me plais. Te faire savoir que je suis moi, Dès que je suis près de toi. Et que j'aimerais que tu restes là. À quoi ça sert de me battre, ceci est un vrai tour d'acrobate. Je suis sur une corde raide, et, je voudrais que tu m'aides. Mon coeur est en balance. Ton regard est comme une lance. Tu l'as projeté jusqu'au dedans, dans mon corps, tu as atteint mon coeur. Toi, qui m'émerveilles. Qui m'éleves jusqu'au ciel. Comme un oiseau, je me poserai dans tes lieux. Citer Link to post Share on other sites
Guest Halwa Posted March 27, 2006 Partager Posted March 27, 2006 J'aime, j'aimais, et j'aimerai l'Amour Toute ma vie entière, chaque jour. J'aime ce sentiment, ses plaisirs, Que je peux écrire avec sourires... C'est un appui-tête, repos du coeur, De l'esprit en fête, pour toujours, Les yeux illuminés avec son bon sens, Ses larmes de rosés qui ensencent... J'aime ce sentiment et sa chaleur, Sa lumière qui en moi demeurent, Les jours tristes de pluie, d'hiver, Où la nuit prompte envahit dehors. Il me reste que le Livre, son feu, L'ardeur qui est fièvre, bienheureux, De redécouvrir les rides du passé, De l'avenir qui s'écrit, caressé. J'aime cette douceur qui m'enlace, Qui me saisit et dont je me lasse Qu'au premier baiser de la Lune, Qui se dépose sur vue, alors pleine... De pensées, de rêves et d'étoiles, Qui rappellent la Flamme, sa danse, Sous la douce brise qui me berce. J'aime aimer sans rien compter, las, A la monotonie de ce monde plat. L'Amour a ses formes, je suis là, Je goûtte, favori, comme un plat. Je pars doucement vous laissant... Les yeux lourds, bien à l'instant. C'est l'appel de l'Amour, doux, C'est l'appel de l'Amour, beau, Je me laisse séduire, conscient.. Qu'il rend aveugle pour longtemps... Mais tant pis, je serai heureux au moins, Sans nulle peine ici, sans nul chagrin... Que cache l'Amour à tous les amoureux, Pour qu'ils croient en la vie, en Dieu. Citer Link to post Share on other sites
Guest Halwa Posted March 28, 2006 Partager Posted March 28, 2006 Toi et moi Comment raconter notre histoire Comme une destinée Comme un conte de fées Je ne sais pas mais je l’ai en mémoire Toi et moi c’est le choc deux cœurs qui tremblent Qui veulent finir de battre ensemble Toi et moi c’est simplement une belle histoire Toi et moi c’est l’harmonie des éléments L’eau douce qui nourrit la terre Le feu passionnel des volcans Toi et moi s'est pareil C’est un sentiment qui émerveille Si ce n'est pas de l'amour ça lui ressemble Enfin il me semble Toi et moi c’est une envie de construire Une histoire qui grandit avec l’avenir En suivant nos sentiments Un chemin des plus plaisant Et qu’on aille au paradis ou en enfer C’est ensemble qu’on quittera cette terre Toi et moi c’est éternel Toi et moi c’est je t’aime Ou quelque chose qui viendrait de ce thème Citer Link to post Share on other sites
Guest Halwa Posted March 29, 2006 Partager Posted March 29, 2006 Amour perdu Nôtre Amour perdu Que reste-t-il,crois tu de ces matins bonheur, D’instants insupportables, de ces promesses, De ces fous rires, nappés d’ivresse. Quand tu me murmurais, tant de mots douceur. Que reste-t-il, dis, de ces neuf mois d’attente , De ce ventre désir, source de cette vie, J’apprenais à peindre et lire tes envies. Quand nous nous promettions d’encore nous surprendre. Que reste-t-il, donc de ces nuits caresses, Mes lèvres, posées sur ta croupe offerte, De mes mains douceur, nos gestes ravageurs. Quand, nous nous découvrions, des matins fraîcheur. Que reste –t-il de toutes ces années grandeur, De nos humeurs,nos disputes , de nos erreurs Histoire faite d’un mélange de couleurs. Aujourd’hui, nous n’avons plus d’ardeur Citer Link to post Share on other sites
Guest Halwa Posted March 30, 2006 Partager Posted March 30, 2006 Le Baiser De La Belle Hier soir, mon chemin croisa celui d’une demoiselle, Dont les yeux brillaient comme ceux d’une jeune gazelle; C’était au clair de lune, sur la plus jolies des plaines, Et la brise était caresse sur mes deux joues d’ébène; Nos âmes furent rapprochés par la chaleur de minuit, Mielleuse attraction divine a l’aube de nos deux vies, Et il a suffit d’un seul @#$%& de la belle, Pour que la douceur de sa présence me paraisse irréelle; Etrange sensation que j’éprouve pour une inconnue, Le Destin sait parfois nous jouer bien des tours, J’ai découvert sur ses lèvres un arome que je croyais perdu, Est-ce cela que les poètes appellent "Amour"? J’ai demandais a mon coeur ce qu’il en pensait, Il m’a dit: "Jeune homme, laisse-moi avec cette reine, Si Amour est folie, alors je suis fou d’elle!" Pouvais-je contester pareille vérité? La belle était femme si belle... C'est ce que mes yeux ont découvert; Et cette belle est la dame que j'aime... C'est ce que mon coeur m'a dit hier; Désormais, lorsque je marche seul sous la pluie, Et qu’une étoile filante traverse le Ciel Etoile, Plus aucun voeu ne se formule dans mon esprit, Car mon rêve d’une princesse est devenu réalité. - Good Gee - Citer Link to post Share on other sites
Guest Halwa Posted March 31, 2006 Partager Posted March 31, 2006 Laisse mes mains se poser sur toi Laisse mes mains se poser sur toi, Ne vois-tu pas l’éternité, Te souviens-tu d’un autre toi De nos âmes enlacées ? Laisse mes mains se poser sur toi, Et viens encore me respirer Laisse moi t’offrir cet autre moi Ne peut –on pas encore vibrer ? Tous les silences que tu cultives, Les mots passion que tu retiens, Toi si profonde et intuitive Tu le sais bien… Cette colère de croire encore Que tu n’es pas pour moi cet autre ! Ne veux-tu pas qu’on soit plus fort Que de l’amour on soit apôtres. Combien faut-il de coup de grâce, Pour que ton cœur me cède enfin, Faut-il que la vie te terrasse, Et qu’un début soit déjà fin Combien de maux nous faudra-t-il ? Pour chavirer au même rebord, Est-ce que l’amour n’est pas le fil, Qui nous retient contre la mort. Laisse mes mains se poser sur toi, Ne vois-tu pas l’éternité, Te souviens-tu d’un autre toi De nos âmes enlacées ? Laisse mes mains se poser sur toi, Et viens enfin me respirer Laisse moi t’offrir cet autre toi Auquel tu voudrais renoncer. A toi petit ange Citer Link to post Share on other sites
Guest Halwa Posted April 4, 2006 Partager Posted April 4, 2006 En bouquet Quelques pas en arrière, cueillir les souvenirs, De ce bouquet fané décorer l’avenir, D’un regard nostalgie, pétales caresser, Le pardon dans les yeux, en raphias les nouer. Aux pétales asséchés tombant sur le parquet, Leur raconter l’histoire de ce qui fut parfait, A ces âmes froissées offrir un bel écrin, Les coucher sur la soie d’un sourire sans fin. Dans un coin de sa vie les déposer heureux, De tous ces rires anciens entendre encor’ l’éclat, A nos haines si futiles dépeçant les adieux, Fredonner les rythmes qui balançaient nos pas. Les larmes tant versées en sucrer l’amertume, Pour que les roses pâles de nos mémoires subtiles, Anoblissent nos âmes sans haine pour enclume, Et que les vains regrets soient fantômes graciles. Arranger son bouquet sans épines et remords, Dans cet immense vase aux années révolues, Y noyer ses colères, chapitres sans trésors, D’une nature morte dessiner l’aube nue. Quand le cœur se voudrait être cimetière, Le fleurir des amours tant de fois dénigrés, Et laisser s’épanouir les boutons chagrinés, En une magnifique floraison buissonnière. Quelques pas en avant, déjà un souvenir, Vient au monde innocent, vierge de tout passé, Il rejoindra pourtant un jour sans défaillir , Le bouquet des pardons aux pétales asséchés. Citer Link to post Share on other sites
Guest Halwa Posted May 7, 2006 Partager Posted May 7, 2006 Un souffle vers toi Je dépose ici ces quelques mots Sauras tu qu'ils te sont destinés Comprendras tu mes sentiments Entendras tu mon coeur t'appeler Je voudrais te toucher de mon désir T'émouvoir et t'apprivoiser Te raconter l'amour Et peut être souhaiteras tu m'aimer Alors je vais doucement M'asseoir sur le bord de ton coeur Tu n'entendras aucun bruit Mais si tu es attentif Peut être sentiras tu Le souffle de ma tendresse Citer Link to post Share on other sites
Guest zinho Posted June 11, 2006 Partager Posted June 11, 2006 de l'amour tu as peur! La goutte de cristal, dans le creux de sa poitrine, offre des arcs-en-ciel à chaque battement de cœur, Et vous savez bien que ce qu’en vous elle devine, Restera secret car de l’amour elle a encore peur ................... amicalement a t:) oi Citer Link to post Share on other sites
Guest Jouljoul Posted October 24, 2006 Partager Posted October 24, 2006 Ibn al-Ahnaf Hors du temps Tu m'as parlé d'elle, ô Sa'd, et ainsi tu as augmenté ma folie. Ne t'arrête point, ô Sa'd, et ainsi tu augmenteras ton conseil... J'éprouve pour elle toutes les affres du désir ardent et mon coeur n'en connaît point d'autre : un désir ardent qui n'a pas d'avant ni d'après. Ibn al-Ahnaf Citer Link to post Share on other sites
Guest Halwa Posted October 24, 2006 Partager Posted October 24, 2006 Hors du temps Tu m'as parlé d'elle, ô Sa'd, et ainsi tu as augmenté ma folie. Ne t'arrête point, ô Sa'd, et ainsi tu augmenteras ton conseil... J'éprouve pour elle toutes les affres du désir ardent et mon coeur n'en connaît point d'autre : un désir ardent qui n'a pas d'avant ni d'après. Ibn al-Ahnaf Tres jolie Citer Link to post Share on other sites
Guest Jouljoul Posted November 7, 2006 Partager Posted November 7, 2006 Il est vrai qu'Ibn Ahnaf excellait en poésie amoureuse ... Quelques graines ... Voici ma main droite, Elle tient ma lettre à Toi, Voici ma main gauche, Elle tient mon coeur pour Toi. Et sur le chapelet de mes jours, J'écris ton nom Car sur le chapelet de mon âme J'écris celui de Dieu : l'Etre et le Non Etre ... (ce n'est pas d'Ibn Ahnaf !) Citer Link to post Share on other sites
Guest Jouljoul Posted November 20, 2006 Partager Posted November 20, 2006 Oui, par Dieu, je souhaite d'être ensorcelé par la magie de tes yeux, et pourtant, je crains de descendre dans l'arène des amoureux prêts à la lutte". - Bachar ibn Bourd - ;) Citer Link to post Share on other sites
orandxb 10 Posted January 3, 2007 Partager Posted January 3, 2007 a ninon le plus beau poeme de tout les temps. Si je vous le disais pourtant, que je vous aime, Qui sait, brune aux yeux bleus, ce que vous en diriez ? L'amour, vous le savez, cause une peine extrême ; C'est un mal sans pitié que vous plaignez vous-même ; Peut-être cependant que vous m'en puniriez. Si je vous le disais, que six mois de silence Cachent de longs tourments et des voeux insensés : Ninon, vous êtes fine, et votre insouciance Se plaît, comme une fée, à deviner d'avance ; Vous me répondriez peut-être : Je le sais. Si je vous le disais, qu'une douce folie A fait de moi votre ombre, et m'attache à vos pas : Un petit air de doute et de mélancolie, Vous le savez, Ninon, vous rend bien plus jolie; Peut-être diriez-vous que vous n'y croyez pas. Si je vous le disais, que j'emporte dans l'âme Jusques aux moindres mots de nos propos du soir : Un regard offensé, vous le savez, madame, Change deux yeux d'azur en deux éclairs de flamme ; Vous me défendriez peut-être de vous voir. Si je vous le disais, que chaque nuit je veille, Que chaque jour je pleure et je prie à genoux ; Ninon, quand vous riez, vous savez qu'une abeille Prendrait pour une fleur votre bouche vermeille ; Si je vous le disais, peut-être en ririez-vous. Mais vous n'en saurez rien. Je viens, sans rien en dire, M'asseoir sous votre lampe et causer avec vous ; Votre voix, je l'entends ; votre air, je le respire ; Et vous pouvez douter, deviner et sourire, Vos yeux ne verront pas de quoi m'être moins doux. Je récolte en secret des fleurs mystérieuses : Le soir, derrière vous, j'écoute au piano Chanter sur le clavier vos mains harmonieuses, Et, dans les tourbillons de nos valses joyeuses, Je vous sens, dans mes bras, plier comme un roseau. La nuit, quand de si loin le monde nous sépare, Quand je rentre chez moi pour tirer mes verrous, De mille souvenirs en jaloux je m'empare ; Et là, seul devant Dieu, plein d'une joie avare, J'ouvre, comme un trésor, mon coeur tout plein de vous. J'aime, et je sais répondre avec indifférence ; J'aime, et rien ne le dit ; j'aime, et seul je le sais ; Et mon secret m'est cher, et chère ma souffrance ; Et j'ai fait le serment d'aimer sans espérance, Mais non pas sans bonheur ; je vous vois, c'est assez. Non, je n'étais pas né pour ce bonheur suprême, De mourir dans vos bras et de vivre à vos pieds. Tout me le prouve, hélas ! jusqu'à ma douleur même... Si je vous le disais pourtant, que je vous aime, Qui sait, brune aux yeux bleus, ce que vous en diriez ? A Ninon II Avec tout votre esprit, la belle indifférente, Avec tous vos grands airs de rigueur nonchalante, Qui nous font tant de mal et qui vous vont si bien, Il n'en est pas moins vrai que vous n'y pouvez rien. Il n'en est pas moins vrai que, sans qu'il y paraisse, Vous êtes mon idole et ma seule maîtresse ; Qu'on n'en aime pas moins pour devoir se cacher, Et que vous ne pouvez, Ninon, m'en empêcher. Il n'en est pas moins vrai qu'en dépit de vous-même, Quand vous dites un mot vous sentez qu'on vous aime, Que, malgré vos mépris, on n'en veut pas guérir, Et que d'amour de vous, il est doux de souffrir. Il n'en est pas moins vrai que, sitôt qu'on vous touche, Vous avez beau nous fuir, sensitive farouche, On emporte de vous des éclairs de beauté, Et que le tourment même est une volupté. Soyez bonne ou maligne, orgueilleuse ou coquette, Vous avez beau railler et mépriser l'amour, Et, comme un diamant qui change de facette, Sous mille aspects divers vous montrer tour à tour ; Il n'en est pas moins vrai que je vous remercie, Que je me trouve heureux, que je vous appartiens, Et que, si vous voulez du reste de ma vie, Le mal qui vient de vous vaut mieux que tous les biens. Je vous dirai quelqu'un qui sait que je vous aime : C'est ma Muse, Ninon ; nous avons nos secrets. Ma Muse vous ressemble, ou plutôt, c'est vous-même ; Pour que je l'aime encor elle vient sous vos traits. La nuit, je vois dans l'ombre une pâle auréole, Où flottent doucement les contours d'un beau front ; Un rêve m'apparaît qui passe et qui s'envole ; Les heureux sont les fous : les poètes le sont. J'entoure de mes bras une forme légère ; J'écoute à mon chevet murmurer une voix ; Un bel ange aux yeux noirs sourit à ma misère ; Je regarde le ciel, Ninon, et je vous vois ; Ô mon unique amour, cette douleur chérie, Ne me l'arrachez pas quand j'en devrais mourir ! Je me tais devant vous ; - quel mal fait ma folie ? Ne me plaignez jamais et laissez-moi souffrir. Alfred de Musset (1810-1857) Citer Link to post Share on other sites
Guest Halwa Posted January 11, 2007 Partager Posted January 11, 2007 Mes amours avec toi prennent l’eau. L île de l’amour que tu refuses. Je regrette rien j’ai essayé. Je suis tombé fou d’amour pour toi. Je préfère rester dans mes étoiles que dériver. Pas envie de perdre pied. Je me penche sur l’avenir à présent. Un jour l’amour vaincra car je suis fait pour. Il tombera du ciel comme toi. Citer Link to post Share on other sites
Inspecteur Mergou 10 Posted January 11, 2007 Partager Posted January 11, 2007 Mes amours avec toi prennent l’eau. L île de l’amour que tu refuses. Je regrette rien j’ai essayé. Je suis tombé fou d’amour pour toi. Je préfère rester dans mes étoiles que dériver. Pas envie de perdre pied. Je me penche sur l’avenir à présent. Un jour l’amour vaincra car je suis fait pour. Il tombera du ciel comme toi. tu as de la chance .. tu est amoureuse :rolleyes: Citer Link to post Share on other sites
Guest Halwa Posted January 11, 2007 Partager Posted January 11, 2007 tu as de la chance .. t'es amoureuse :rolleyes: Non pas du tout ;) Citer Link to post Share on other sites
Inspecteur Mergou 10 Posted January 11, 2007 Partager Posted January 11, 2007 Non pas du tout ;) alors tu aime les poémes d'amour :rolleyes: Citer Link to post Share on other sites
Nikkita 10 Posted February 3, 2007 Partager Posted February 3, 2007 Je t’aimerai Mon étoile au loin dans les cieux Même si, sur toi, ne se posent mes yeux Filante réalise mon souhait le plus cher D’avoir à goûter aux divines brises frontières Je t’aimerai Ma lune, quand le temps t’habillera De ce croissant à la finesse m’embrasant dans tes bras Et lorsque plaine tu te feras, je craindrais cette louve A qui tu brûles le sang que le désire approuve Je t’aimerai Mon soleil rien qu’une fois Cette fois qui ne s’épuise pas Eternel jour, cercueil de l’obscure Infinie douceur chantant l’amour en murmures Et puis je t’aimerai TOI Avec ce que j’ai de plus cher, bien caché en moi Je saurais t’offrir ce que nul ne recevra De ce corps ductile tombant sous tes lois Mon cœur battant à jamais traversant l’au-delà Car je t’aime mon trésor de lumière Je t’aime aujourd’hui bien plus qu’hier Je t’aime est le seul cri de ma chair Je t’aime et je t’aime. Le vois-tu, tendre mystère ? Connais pas l'auteur Citer Link to post Share on other sites
Nadaa93 10 Posted February 4, 2007 Partager Posted February 4, 2007 ça sent l'amour Guimi !!!! :o c'est très joli Citer Link to post Share on other sites
goutdemiel 10 Posted February 23, 2007 Partager Posted February 23, 2007 Régal ! Merci à tous et à toutes ! Merci Halwa, c'est un plaisir... Un vrai régal ! A+ Citer Link to post Share on other sites
Rihame 10 Posted February 23, 2007 Partager Posted February 23, 2007 trés beau halwa Citer Link to post Share on other sites
orandxb 10 Posted March 31, 2007 Partager Posted March 31, 2007 a ninon j'aime tellement ce poeme que j'estime utile de le remonter. le plus beau poeme de tout les temps. Si je vous le disais pourtant, que je vous aime, Qui sait, brune aux yeux bleus, ce que vous en diriez ? L'amour, vous le savez, cause une peine extrême ; C'est un mal sans pitié que vous plaignez vous-même ; Peut-être cependant que vous m'en puniriez. Si je vous le disais, que six mois de silence Cachent de longs tourments et des voeux insensés : Ninon, vous êtes fine, et votre insouciance Se plaît, comme une fée, à deviner d'avance ; Vous me répondriez peut-être : Je le sais. Si je vous le disais, qu'une douce folie A fait de moi votre ombre, et m'attache à vos pas : Un petit air de doute et de mélancolie, Vous le savez, Ninon, vous rend bien plus jolie; Peut-être diriez-vous que vous n'y croyez pas. Si je vous le disais, que j'emporte dans l'âme Jusques aux moindres mots de nos propos du soir : Un regard offensé, vous le savez, madame, Change deux yeux d'azur en deux éclairs de flamme ; Vous me défendriez peut-être de vous voir. Si je vous le disais, que chaque nuit je veille, Que chaque jour je pleure et je prie à genoux ; Ninon, quand vous riez, vous savez qu'une abeille Prendrait pour une fleur votre bouche vermeille ; Si je vous le disais, peut-être en ririez-vous. Mais vous n'en saurez rien. Je viens, sans rien en dire, M'asseoir sous votre lampe et causer avec vous ; Votre voix, je l'entends ; votre air, je le respire ; Et vous pouvez douter, deviner et sourire, Vos yeux ne verront pas de quoi m'être moins doux. Je récolte en secret des fleurs mystérieuses : Le soir, derrière vous, j'écoute au piano Chanter sur le clavier vos mains harmonieuses, Et, dans les tourbillons de nos valses joyeuses, Je vous sens, dans mes bras, plier comme un roseau. La nuit, quand de si loin le monde nous sépare, Quand je rentre chez moi pour tirer mes verrous, De mille souvenirs en jaloux je m'empare ; Et là, seul devant Dieu, plein d'une joie avare, J'ouvre, comme un trésor, mon coeur tout plein de vous. J'aime, et je sais répondre avec indifférence ; J'aime, et rien ne le dit ; j'aime, et seul je le sais ; Et mon secret m'est cher, et chère ma souffrance ; Et j'ai fait le serment d'aimer sans espérance, Mais non pas sans bonheur ; je vous vois, c'est assez. Non, je n'étais pas né pour ce bonheur suprême, De mourir dans vos bras et de vivre à vos pieds. Tout me le prouve, hélas ! jusqu'à ma douleur même... Si je vous le disais pourtant, que je vous aime, Qui sait, brune aux yeux bleus, ce que vous en diriez ? A Ninon II Avec tout votre esprit, la belle indifférente, Avec tous vos grands airs de rigueur nonchalante, Qui nous font tant de mal et qui vous vont si bien, Il n'en est pas moins vrai que vous n'y pouvez rien. Il n'en est pas moins vrai que, sans qu'il y paraisse, Vous êtes mon idole et ma seule maîtresse ; Qu'on n'en aime pas moins pour devoir se cacher, Et que vous ne pouvez, Ninon, m'en empêcher. Il n'en est pas moins vrai qu'en dépit de vous-même, Quand vous dites un mot vous sentez qu'on vous aime, Que, malgré vos mépris, on n'en veut pas guérir, Et que d'amour de vous, il est doux de souffrir. Il n'en est pas moins vrai que, sitôt qu'on vous touche, Vous avez beau nous fuir, sensitive farouche, On emporte de vous des éclairs de beauté, Et que le tourment même est une volupté. Soyez bonne ou maligne, orgueilleuse ou coquette, Vous avez beau railler et mépriser l'amour, Et, comme un diamant qui change de facette, Sous mille aspects divers vous montrer tour à tour ; Il n'en est pas moins vrai que je vous remercie, Que je me trouve heureux, que je vous appartiens, Et que, si vous voulez du reste de ma vie, Le mal qui vient de vous vaut mieux que tous les biens. Je vous dirai quelqu'un qui sait que je vous aime : C'est ma Muse, Ninon ; nous avons nos secrets. Ma Muse vous ressemble, ou plutôt, c'est vous-même ; Pour que je l'aime encor elle vient sous vos traits. La nuit, je vois dans l'ombre une pâle auréole, Où flottent doucement les contours d'un beau front ; Un rêve m'apparaît qui passe et qui s'envole ; Les heureux sont les fous : les poètes le sont. J'entoure de mes bras une forme légère ; J'écoute à mon chevet murmurer une voix ; Un bel ange aux yeux noirs sourit à ma misère ; Je regarde le ciel, Ninon, et je vous vois ; Ô mon unique amour, cette douleur chérie, Ne me l'arrachez pas quand j'en devrais mourir ! Je me tais devant vous ; - quel mal fait ma folie ? Ne me plaignez jamais et laissez-moi souffrir. Alfred de Musset (1810-1857) Citer Link to post Share on other sites
orandxb 10 Posted March 31, 2007 Partager Posted March 31, 2007 moi romantique????tu dis ca parce que je savoure la poesie et la bonne musique?? les amis vous avez une image tres ironee de ce que est un macho.ce gros tatoue qui ragarde un match de foot,boit beaucoup de biere et pete.est une image tres caricaturale et absolument fausse. Citer Link to post Share on other sites
Guest Tiziri Bleue Posted July 25, 2011 Partager Posted July 25, 2011 L'amour et la destinée Appelle cela hasard ou destinée, Pour moi il s'agit avant tout d'aimer. Quel souverain t'a placé sur mon chemin? Quelle force me pousse à te prendre par la main? Ton sourire de lumière me fait bondir, Ta voix angélique m'a fait frémir, Tes caresses amoureuses me font gémir, Tes grands yeux améthyste me font sourire, Tes baisers langoureux me font rougir. Quel souverain t'a placé sur mon chemin? Quelle force me pousse à te prendre par la main? Si ce n'est l'amour et la destinée, Qui me donne envie de tout te prendre et tout te donner... :40: Citer Link to post Share on other sites
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