L'efficacité des barrages de gendarmerie à l'est d'Alger de nouveau en cause

[Guest Nimos]

Mis de part l´article en dessous, les Check points en centre de ville sont ils la meilleure option sécuritaire?

 

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L'efficacité des barrages de gendarmerie à l'est d'Alger de nouveau en cause - Divers - Tout sur l'Algérie - page 1

 

L’est d’Alger renoue depuis la mi‑avril avec les attaques terroristes, et plus inquiétant, avec les attentats kamikaze. Ce 16 juillet, c’est un double attentat qui a visé le commissariat et la mairie de Bordj Menaïel dans la wilaya de Boumerdès. Il y a deux jours, plusieurs militaires ont été tués à Baghlia dans la même région.

 

Les terroristes ont donc réussi à transporter des explosifs sans être stoppés malgré le nombre important de barrages de police et de gendarmerie installés dans cette région et l’équipement de détection sophistiqué dont ils disposent – les petits appareils mobiles qu’ils exhibent fièrement devant les automobilistes. De nouveau, la question se pose donc de l’efficacité de ces barrages filtrants.

 

Au quotidien, ces barrages empoisonnent la vie des automobilistes qui empruntent les axes Alger‑Tizi Ouzou et Alger‑Bouira. Dans cette région, ils sont très nombreux, entraînant des embouteillages monstrueux, bloquant les automobilistes pendant plusieurs heures à certains moments de la journée. C’est le cas à Beni Amrane, entre Bouria et Boumerdès, à Lakhdaria, à Reghaïa, Thenia, etc.

 

Si leur existence est acceptée bon gré mal gré, c’est parce que l’État affirme qu’ils sont indispensables à la sécurité des habitants. Sauf qu’il n’a jamais communiqué d’éléments concrets permettant d’évaluer réellement leur efficacité. Combien de personnes suspectes ont été interpellées à la faveur de ces barrages fixes ? Des explosifs ont‑ils été interceptés et en quelle quantité ? Aucun bilan n’a été rendu public. Une chose est sûre : aucun terroriste n’a été abattu ces dernières années dans un barrage fixe de gendarmerie.

 

Ces derniers mois, il semble en revanche que ces barrages ont plus été utilisés à des fins politiques que sécuritaires. Lors des manifestations du début de l’année, les habitants de l’est, de Kabylie notamment, qui souhaitaient se rendre sur Alger pour rejoindre les appels à marcher de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie ou des étudiants, ont été empêchés de rejoindre la capitale. Plusieurs dizaines d’entre eux ont été interpellés dans ces barrages.

 

Au final, ces barrages sont devenus impopulaires. Et s’ils sont inefficaces ou insuffisants, ne faut‑il pas revoir le dispositif ? Même si le risque zéro est une utopie, les terroristes ont indéniablement réussi à mettre au point des circuits leur permettant d’échapper aux contrôles.

[pmat 276]

on toujour dit

 

on a pas asser d'etat et de structure d'etat

on des start

mais pas de polices ni d'armee

 

on a des joueurs

 

tout comme ceux que tu as ouver pour le travail

 

il faut de l'entrainement et du savoir faire

 

ils sont tous a mettre en prison depuis le general

 

qui n'est meme pas sanctionner sur ses manques