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Violence contre les femmes et enfants


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Généralisés mondialement, les sévices contre les femmes qui restent un problème extrêment complexe mais toutefois indigne qu'une personne puisse violenter son semblable qu'il soit majeur ou mineur.

 

A votre avis?

_______________________

 

Quoi de plus dissemblable que la situation des femmes en Arabie Saoudite, Bolivie, France, Suède, au Liban, Burundi, Luxembourg et Maroc? C’est pourtant sur les rapports de tous ces Etats que porte le programme de la session du Comité de l’ONU pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes, qui s’est ouverte lundi dernier et s’achèvera le 1er février. «Nous parlons des progrès qui ont été faits en matière d’égalité dans chacun de ces pays sans aucune hiérarchie entre eux, explique Jane Connors, Senior human right officer. Chacun pays est prioritaire.»

 

Dans certains cas, il est question de la participation des femmes dans la vie politique, alors que dans d’autres, le droit de vote n’est pas encore acquis. «Mais de manière globale, c’est la violence envers les femmes qui nous occupe le plus», constate-t-elle. Les moyens d’action du comité sont avant tout la médiatisation des cas de discrimination et l’intervention auprès des gouvernements.

 

Depuis janvier, c’est désormais depuis le Palais des Nations à Genève et non plus New York qu’agit le Comité. Ce afin de réunir en un même lieu toutes les activités liées aux droits de l’homme, selon le souhait de la Haut commissaire Louise Arbour. La mission des 23 membres du Comité est de surveiller l’application de la convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes, paraphée par 185 Etats, ainsi que d'examiner les éventuelles plaintes de personnes déclarant être victimes de violations de leurs droits. 89 des 185 pays soumis à la convention ont accepté la procédure des plaintes.

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ABSO

 

tu n'a pas oublier une personne?

l'homme est aussi violenté par la femme

de mille et une façon

 

car en realité c'est elle la plus forte et c'est aussi elle qui tire les ficelle , elle le met dans de droloe de sitiation

 

pas toujour vrais je te l'accorde mais dison que...

 

 

maintenat ton sujet trop lourd mais vrais et important

 

et fait beaucoup de victimes

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ABSO

 

tu n'a pas oublier une personne?

l'homme est aussi violenté par la femme

de mille et une façon

 

car en realité c'est elle la plus forte et c'est aussi elle qui tire les ficelle , elle le met dans de droloe de sitiation

 

pas toujour vrais je te l'accorde mais dison que...

 

 

maintenat ton sujet trop lourd mais vrais et important

 

et fait beaucoup de victimes

 

Le sujet concerne les victimes en général de la violence et toutes statistiques montre que ce sont les enfants et les enfants qui sont les lésés.

 

On a pu constater que la violence est souvent perpétrée par des gens qui ont été eux-mêmes violentés lors de leur enfance ou ont assisté à des sévices portés contre autrui. Les violences concernent souvent les peuples du Sud, mais ne sont pour autant étrangères aux ethnies des pays du Nord.

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ABSO

 

tu n'a pas oublier une personne?

l'homme est aussi violenté par la femme

de mille et une façon

 

car en realité c'est elle la plus forte et c'est aussi elle qui tire les ficelle , elle le met dans de droloe de sitiation

 

pas toujour vrais je te l'accorde mais dison que...

 

 

maintenat ton sujet trop lourd mais vrais et important

 

et fait beaucoup de victimes

 

:mdr: :mdr: :mdr: :mdr:

Ce sont pourtant les hommes qui font des lois qui les déclarent mineures à vie.

Ce sont eux qui les voilent...etc. etc

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Je sais bien que c'est universel partout la violence contre les femmes, l'Espagne, la France, les USA, la Russie il y a des femmes qui meurent sous les coups mais reconnais qu'en Occident ils font plus d'efforts pour faire cesser ces violences que dans des pays de tradition islamique.

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Le sujet concerne les victimes en général de la violence et toutes statistiques montre que ce sont les enfants et les enfants qui sont les lésés.

 

On a pu constater que la violence est souvent perpétrée par des gens qui ont été eux-mêmes violentés lors de leur enfance ou ont assisté à des sévices portés contre autrui. Les violences concernent souvent les peuples du Sud, mais ne sont pour autant étrangères aux ethnies des pays du Nord.

 

tout a fait ceux qui souffre le plus

oui ne seron que les enfant et eux meme le deviendron a leur tour en grandissant

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Un amendement sera ajouté au code pénal

Les peines seront durcies contre les maris violents

 

Des circonstances aggravantes seront retenues contre les conjoints auteurs de maltraitances sur leurs épouses.

 

Les violences conjugales ayant atteint un seuil intolérable, la chancellerie a décidé de les criminaliser davantage en les hissant au rang de “délit spécifique” dans le code pénal. L’information a été dévoilée hier par Mmes Bachiri et Keddache, respectivement juge au tribunal de Bir-Mourad-Raïs et sous-directrice au ministère de la Justice et de la Réforme pénitentiaire au cours du forum hebdomadaire de notre confrère El Moudjahid, consacré hier à l’évolution du statut et du rôle de la femme dans le cadre de la mise à niveau des textes législatifs. Des circonstances aggravantes seront retenues contre les conjoints coupables de sévices sur leurs épouses.

 

Actuellement, la loi ne fait guère de distinction entre les auteurs. Les maris violents sont logés à la même enseigne que les autres catégories d’agresseurs.

 

Or, la violence au sein du couple ne mérite aucune indulgence tant elle représente une trahison et abus de confiance. “9 000 femmes sont violentées chaque année”, déplore la magistrate de Bir-Mourad-Raïs. Les chiffres livrés par les services de sécurité et les structures hospitalières annuellement, ainsi que les conclusions des différentes enquêtes élaborées dont deux expertises, l’une de l’Institut national de la santé publique (INSP) en 2003 et l’autre du ministère délégué à la Famille et à la Condition féminine en 2007, donnent froid dans le dos. Toutes les études montrent que la famille, le domicile conjugal en priorité sont le théâtre privilégié de la violence.

 

Depuis de nombreuses années, les associations féminines, dont SOS femmes en détresse qui dispose d’un centre d’écoute et d’aide psychologique, et les médecins légistes tentent de donner l’alerte.

 

Les praticiens avouent surtout leur impuissance face à des victimes qui même munies de certificats d’incapacité hésitent très souvent à pousser la porte des commissariats. “Quand les femmes arrivent devant le juge, elles se font les meilleurs avocats de leurs maris”, témoigne Mme Bachiri. Par peur de briser leur foyer, des épouses deviennent ainsi les complices de leurs bourreaux. Elles se résignent à leur sort alors que la loi est de leur côté. Il faut dire qu’au plan législatif, d’autres lois consacrent encore la discrimination. Même amendé, le code de la famille suscite encore une vive polémique.

 

Deux autres magistrates, la présidente de la cour de Bouira et un procureur adjoint, ont participé à l’animation du forum d’El Moudjahid où elles se sont efforcées tant bien que mal de répondre aux préoccupations de l’assistance, des membres du barreau et des journalistes. De leur propre aveu, des zones d’ombre persistent dans l’application de certaines modifications comme celles ayant été apportées à la pratique de la polygamie.

 

Des maris désireux de prendre une seconde épouse tentent de contourner l’obligation d’avoir le consentement de la première femme en contractant le second mariage par la Fatiha uniquement.

 

De cette manière, tout le monde est mis devant le fait accompli, y compris les magistrats. Selon les représentantes de la chancellerie, il est impératif de faire précéder la levée de la Fatiha par la signature de l’acte civil.

Une instruction dans ce sens a été donnée aux imams par le ministère des Affaires religieuses et des Waqfs. En outre, le refus de certains agents de l’administration de se conformer aux nouveaux textes et l’interprétation tendancieuse qu’ils en font ont été relevés par les magistrates. Le choix arrêté sur le père en qualité de tuteur lors de la signature de l’acte de mariage (alors que les nouveaux amendements ne le désignent pas exclusivement) et la transformation du certificat médical en certificat de virginité sont les exemples avérés de cette duplicité.

 

La difficulté des nouveaux textes à s’enraciner dans les mœurs évoque une évolution très lente des mentalités. Présente au débat, Mme Nadia Aït Zaï a mis le doigt sur ce qu’elle appelle “une dichotomie”. À la fois avocate et présidente du Centre d’information et de documentation sur les droits des femmes et des enfants, elle a voulu extraire la discussion du cercle confiné du code de la famille. Selon elle, les droits des femmes représentent une palette très large. Se défendant d’être nostalgique, elle constate néanmoins une régression depuis les années 80. En guise d’illustration, la juriste a rappelé que la loi sanitaire de 1985 a abrogé les droits des mères célibataires.

 

Source:Liberté Algérie, 21 mars 2007

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