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Affaire Bois-des-Pins: La LADDH se déclare scandalisée par la brutalité policière


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Alors que la LADDH se déclare scandalisée par la brutalité policière

La wilaya d’Alger explique le projet du Bois-des-Pins

Par : Nabila Afroun

 

 

La wilaya d’Alger est sortie de son mutisme pour expliquer à l’opinion publique la nature du projet devant être implanté au Bois-des-Pins. C’est l’entreprise Batigec qui est chargée de sa réalisation. Dès son achèvement, il sera exploité par l’EGCTU.

 

“Ce projet entre dans le cadre du plan stratégique de développement et d’embellissement de la capitale. La wilaya d’Alger a initié une série de projets structurants dont la réalisation en première phase de 7 parkings à étages afin de désengorger la capitale et offrir aux automobilistes des places dans des parkings qui seront réalisés suivant les normes internationales”, a indiqué la cellule de communication de la wilaya d’Alger dans sa correspondance adressée jeudi dernier à notre rédaction.

Selon la wilaya, le projet de parking du Bois-des-Pins est un projet d’intérêt public dont le terrain (la forêt de Bois-des-Pins) appartient aux domaines. Elle souligne que ce projet est passé par les procédures réglementaires et qu’il n’y a aucune “affaire de famille” derrière. “L’appel d’offres a été lancé en date du 10 avril 2010 par voie de presse. Après l’examen des soumissions reçues, le choix de la commission ad-hoc s’est porté sur une entreprise...

 

La suite

LIBERTE, QUOTIDIEN NATIONAL D'INFORMATION -

 

 

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Les habitants des Boix-des-Pins devraient ester la wilaya en justice!

 

 

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Alors que la LADDH se déclare scandalisée par la brutalité policière

La wilaya d’Alger explique le projet du Bois-des-Pins

Par : Nabila Afroun

 

 

La wilaya d’Alger est sortie de son mutisme pour expliquer à l’opinion publique la nature du projet devant être implanté au Bois-des-Pins. C’est l’entreprise Batigec qui est chargée de sa réalisation. Dès son achèvement, il sera exploité par l’EGCTU.

 

“Ce projet entre dans le cadre du plan stratégique de développement et d’embellissement de la capitale. La wilaya d’Alger a initié une série de projets structurants dont la réalisation en première phase de 7 parkings à étages afin de désengorger la capitale et offrir aux automobilistes des places dans des parkings qui seront réalisés suivant les normes internationales”, a indiqué la cellule de communication de la wilaya d’Alger dans sa correspondance adressée jeudi dernier à notre rédaction.

Selon la wilaya, le projet de parking du Bois-des-Pins est un projet d’intérêt public dont le terrain (la forêt de Bois-des-Pins) appartient aux domaines. Elle souligne que ce projet est passé par les procédures réglementaires et qu’il n’y a aucune “affaire de famille” derrière. “L’appel d’offres a été lancé en date du 10 avril 2010 par voie de presse. Après l’examen des soumissions reçues, le choix de la commission ad-hoc s’est porté sur une entreprise...

 

La suite

LIBERTE, QUOTIDIEN NATIONAL D'INFORMATION -

 

 

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Les habitants des Boix-des-Pins devraient ester la wilaya en justice!

 

 

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tout est bien qui finit bien,la wilaya d’Alger que dieu la protège veille jour et nuit et ne lésine pas sur les moyens (humains et matériels) à employer pour embellir la capitale quitte à détruire toute une foret ou à massacrer ceux qui la protège.

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connaissant la mentalité algérienne ,je suis plus que sur que qq chose ou qq se cache derrière ,en algerie il y'a jamais d'emeutes sans un interet personnel et je suis presque certain que qq a voulu squatter ce terrain et le projet de la wilaya d'alger a en qq sorte genè cela,c un cas qui se presente souvent en algerie

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Le sacandale se porsuit!

 

Cité Bois des Pins à Alger : Les habitants vivent encore le cauchemar

 

 

 

Le traumatisme des habitants est à la mesure de la brutalité de l’assaut donné par les forces de l’ordre dans la nuit de mercredi à jeudi.

 

La cité Bois des Pins est en émoi. Ses 5000 locataires ne sont pas prêts à se remettre de leur cauchemar de jeudi matin. Depuis des semaines que dure le conflit ayant trait à la construction d’un parking au cœur de la cité, c’est la première fois que les affrontements connaissent cette violence.Le bilan est de 27 blessés dans «les rangs» des citoyens. En sus, il a été enregistré deux arrestations : celles du journaliste Abdelghani Henni, 62 ans, auquel il a été prodigué 32 points de suture, ainsi que celle de Tewfik, la vingtaine. «Ils sont en grève de la faim», affirme Mohamed, un riverain.

 

Il est plus de 14h, en ce vendredi, aux abords des immeubles de la cité. Une dizaine d’hommes s’activent, occupés à déblayer les gravats et les tessons qui jonchent le sol. «Nous sommes encore sous le choc», lance Saïd, la soixantaine.

Leur traumatisme est à la mesure de la brutalité de l’assaut donné par les forces de l’ordre dans la nuit de mercredi à jeudi. Et tout peut témoigner de cette violence : vitres brisées, portes défoncées, balles en caoutchouc, douilles de balles réelles, briques et autres projectiles traînant çà et là… «Même les boîtes aux lettres n’ont pas été épargnées», commente Mohamed. «Mais qu’attendre d’autre puisque même les femmes ont été prises pour cibles ?» s’indigne un père de famille. «Ils ont déshabillé une voisine sous prétexte de la fouiller, ici même, devant la cage», poursuit-il en montrant le préau donnant sur Bois des Pins, aujourd’hui chantier poussiéreux.

 

«Ils voulaient s’en prendre aux femmes de la cité»

 

De nombreuses femmes et jeunes filles frissonnent encore à l’évocation de ces quelques heures. «Nous étions seules à la maison. Trois femmes et notre grand-mère, âgée de 92 ans», relate, au bord des larmes, Feriel. Sur la porte d’entrée de son logement, de larges traces noires, des empreintes de semelles. «Porte blindée. Ils n’ont pas pu la défoncer facilement», explique-t-elle. «Très tôt le matin, nous avons entendu du boucan sur le seuil. Puis le bruit de rangers qui s’acharnaient sur notre porte. D’un coup, une vingtaine de policiers ont envahi le salon, puis les chambres», poursuit la jeune fille, blême.

 

«Ma grand-mère a tenté de s’interposer, mais ils l’ont violemment empoignée et ils l’ont poussée dans la salle de bains. Regardez, la machine à laver garde encore les traces de l’impact», s’emporte-t-elle en montrant la crevasse qui parcourt l’appareil. Puis les insultes et les menaces ont fusé. «En vitupérant, ils ont fouillé de fond en comble les chambres à la recherche de garçons. Puis quelques-uns ont menacé de nous frapper», raconte Feriel. Elle s’interrompt, s’éclaircit la gorge et ajoute : «Ils ont juré de violer toutes les femmes de la cité.» Et les récits similaires, rapportant de telles intimidations, sont légion.

 

«Des dons Quichottes qui n’ont rien à perdre»

 

L’indignation et la colère sont à leur paroxysme. Réunis dans l’appartement de Saïd, une dizaine de riverains discutent avec animation. D’autant plus qu’une invitée de marque siège à leurs côtés : la moudjahida Fettouma Ouzegane. En compagnie d’autres moudjahidate, elle apporte un soutien appuyé à la cause des habitants de Bois des Pins. «Ils ont déjà bradé toute l’Algérie. Et nous ne les laisserons pas spolier ces 10 000 m². Nous sommes tous là et nous sommes décidés à aller au pire. Nous leur donnons 10 jours pour se rétracter et laisser ces honnêtes citoyens en paix», martèle la moudjahida.

Et les habitants se disent près à aller jusqu’au bout pour défendre leur parcelle de richesse. «Nous mourrons pour cette forêt !», s’époumone l’un d’eux. «Nous vivons en situation de guerre. Et même si nous sommes des dons Quichottes, nous ne lâcherons rien», conclut son voisin.

 

Source:Cité Bois des Pins à alger : Les habitants vivent encore le cauchemar - Actualité - El Watan

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Faut que l'officier qui commandait ces brutes soit démis de ses fonctions.

Envoyez des mails à la Présidence à El Mouradia.

 

 

 

 

je suis sûr à 200 cents pour cents que cet officier n'a pas pu prendre de décisions sans consulter ses supérieurs,ça le dépasse,il peut pas agir tout seul,ça doit venir du wali et du ministre de l’intérieur.

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Cité Bois des Pins à Alger : Les habitants vivent encore le cauchemar

 

 

 

Le traumatisme des habitants est à la mesure de la brutalité de l’assaut donné par les forces de l’ordre dans la nuit de mercredi à jeudi.

 

La cité Bois des Pins est en émoi. Ses 5000 locataires ne sont pas prêts à se remettre de leur cauchemar de jeudi matin. Depuis des semaines que dure le conflit ayant trait à la construction d’un parking au cœur de la cité, c’est la première fois que les affrontements connaissent cette violence.Le bilan est de 27 blessés dans «les rangs» des citoyens. En sus, il a été enregistré deux arrestations : celles du journaliste Abdelghani Henni, 62 ans, auquel il a été prodigué 32 points de suture, ainsi que celle de Tewfik, la vingtaine. «Ils sont en grève de la faim», affirme Mohamed, un riverain.

 

Il est plus de 14h, en ce vendredi, aux abords des immeubles de la cité. Une dizaine d’hommes s’activent, occupés à déblayer les gravats et les tessons qui jonchent le sol. «Nous sommes encore sous le choc», lance Saïd, la soixantaine.

Leur traumatisme est à la mesure de la brutalité de l’assaut donné par les forces de l’ordre dans la nuit de mercredi à jeudi. Et tout peut témoigner de cette violence : vitres brisées, portes défoncées, balles en caoutchouc, douilles de balles réelles, briques et autres projectiles traînant çà et là… «Même les boîtes aux lettres n’ont pas été épargnées», commente Mohamed. «Mais qu’attendre d’autre puisque même les femmes ont été prises pour cibles ?» s’indigne un père de famille. «Ils ont déshabillé une voisine sous prétexte de la fouiller, ici même, devant la cage», poursuit-il en montrant le préau donnant sur Bois des Pins, aujourd’hui chantier poussiéreux.

 

«Ils voulaient s’en prendre aux femmes de la cité»

 

De nombreuses femmes et jeunes filles frissonnent encore à l’évocation de ces quelques heures. «Nous étions seules à la maison. Trois femmes et notre grand-mère, âgée de 92 ans», relate, au bord des larmes, Feriel. Sur la porte d’entrée de son logement, de larges traces noires, des empreintes de semelles. «Porte blindée. Ils n’ont pas pu la défoncer facilement», explique-t-elle. «Très tôt le matin, nous avons entendu du boucan sur le seuil. Puis le bruit de rangers qui s’acharnaient sur notre porte. D’un coup, une vingtaine de policiers ont envahi le salon, puis les chambres», poursuit la jeune fille, blême.

 

«Ma grand-mère a tenté de s’interposer, mais ils l’ont violemment empoignée et ils l’ont poussée dans la salle de bains. Regardez, la machine à laver garde encore les traces de l’impact», s’emporte-t-elle en montrant la crevasse qui parcourt l’appareil. Puis les insultes et les menaces ont fusé. «En vitupérant, ils ont fouillé de fond en comble les chambres à la recherche de garçons. Puis quelques-uns ont menacé de nous frapper», raconte Feriel. Elle s’interrompt, s’éclaircit la gorge et ajoute : «Ils ont juré de violer toutes les femmes de la cité.» Et les récits similaires, rapportant de telles intimidations, sont légion.

 

«Des dons Quichottes qui n’ont rien à perdre»

 

L’indignation et la colère sont à leur paroxysme. Réunis dans l’appartement de Saïd, une dizaine de riverains discutent avec animation. D’autant plus qu’une invitée de marque siège à leurs côtés : la moudjahida Fettouma Ouzegane. En compagnie d’autres moudjahidate, elle apporte un soutien appuyé à la cause des habitants de Bois des Pins. «Ils ont déjà bradé toute l’Algérie. Et nous ne les laisserons pas spolier ces 10 000 m². Nous sommes tous là et nous sommes décidés à aller au pire. Nous leur donnons 10 jours pour se rétracter et laisser ces honnêtes citoyens en paix», martèle la moudjahida.

Et les habitants se disent près à aller jusqu’au bout pour défendre leur parcelle de richesse. «Nous mourrons pour cette forêt !», s’époumone l’un d’eux. «Nous vivons en situation de guerre. Et même si nous sommes des dons Quichottes, nous ne lâcherons rien», conclut son voisin.

 

Source:Cité Bois des Pins à alger : Les habitants vivent encore le cauchemar - Actualité - El Watan

 

Ça ne vous rappelle pas un certain mode opératoire?

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je suis sûr à 200 cents pour cents que cet officier n'a pas pu prendre de décisions sans consulter ses supérieurs,ça le dépasse,il peut pas agir tout seul,ça doit venir du wali et du ministre de l’intérieur.

 

Je ne parle pas d'agir ou de ne pas agir, je parle de la façon.

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