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Le cri de détresse d’un enfant handicapé


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Un enfant de six ans, handicapé à 100%, et sont père ont été contraints de rentrer de France en découvrant que la prise en charge délivrée par la CNAS pour des soins médicaux n’est pas effective.

 

«La Caisse nationale des assurances sociales s’est engagée à prendre en charge les soins de mon enfant durant quinze jours dans un hôpital parisien. Une fois sur place, je découvre que la CNAS n’a payé que deux jours. Le professeur américain qui a suivi mon fils a rajouté cinq jours de sa propre initiative pour finir les analyses», témoigne Mouloud Belache.

Et d’ajouter : «J’ai bataillé des années pour avoir cette prise en charge. J’ai contacté toutes les autorités publiques. Après cinq ans de calvaire, ma femme a obtenu audience avec le ministre de la Santé, M. Ould Abbès, qui a accepté de nous aider. Il a joint le ministre du Travail, Tayeb Louh, qui a, à son tour, instruit la CNAS de Ben Aknoun de prendre en charge mon fils.»

La prise en charge a été, en effet, accordée par la commission médicale nationale du 20 février 2011.M. Belache est parti en France, le 31 juillet 2011, sans le chèque de la prise en charge.

 

Le 7 août, il rentre au pays avec son fils qui n’a pas fini ses soins. Pourtant, l’engagement de la prise en charge, dont une copie est parvenue à notre rédaction, mentionne une durée de quinze jours.

«La direction de l’hôpital de Bicêtre a envoyé un fax à la CNAS qui a refusé d’honorer la facture des soins. Nous sommes donc rentrés au bled», précise encore M. Belache.De son côté, Mme Belache dénonce la «hogra de la CNAS». «Mon fils Abdelkader est né en bonne santé. A l’âge de 9 mois, on lui a injecté une overdose de Valium, ce qui a causé l’arrêt de son développement naturel. Maintenant, il a six ans et ne pèse que 6 kg», s’indigne-t-elle, les larmes aux yeux, son fils dans les bras.

 

«Contrairement aux médecins algériens, le professeur Tardieu pense que mon fils a une forte chance de guérir, à condition qu’il poursuive ses soins en France. Je demande à ce que la CNAS honore ses engagements», conclut M. Belache.

 

el watan

 

 

Le cri de détresse d?un enfant handicapé - Epoque - El Watan

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Wallay ya had le responsable de la CNAS

merite la pendaison.

En direct sur canal Algerie pour donner exemple à tous les voyous qui dirigent le pays

 

 

 

 

y'a de quoi devenir fou dans ce bled,ces maudits responsables font tout pour faire dégouter les simples citoyens pourtant c'est pas l'argent qui manque,les caisses sont pleines a craquer et le pauvre citoyen est entrain de mourir à petit feu,imoute beguelbou

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c est triste!!!l Algerie a de l argent pour faires detruire des jardins et construire un centre commercial mais pas d argent pour former des medecins en Algerie et donner des soins necessaires aux gens et encore moins de les envoyer a l Etranger pr se soigner!!!!

Allah yehdihom nchalah

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Le cri de détresse n’est pas celui de l’enfant qui est handicapé mais celui des parents mal renseignés. Si DOA a donné l’autorisation de soins pour 15 jours, il a enfreint la loi et s’est montré stupide. Ce qu’il n’est pas. En ce laps de temps il n’y a que Jésus qui aurait pu guérir le jeune malade.

Le professeur américain qui a octroyé quelques jours de plus, gratuitement n’a pu le faire que dans un cadre précis : intérêt de la science, donc pour affiner le diagnostic par des examens complémentaires.

 

Encore une affaire malheureuse maniée par des débiles qui tiennent à discréditer une médecine qui est à l’image du Bled.

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tu connais le cas ou tu émets des hypothèses?

 

je ne connais pas ce cas, mais celui de centaines d'autres similaires

 

dans le post indépendance et jusqu'aux années 80 l'Algérie envoyait en France presque tous ses handicapés qui séjournaient dans des centres spécialisés qui offraient un confort de vie sans améliorer le diagnostic ni assurer la guérison, au prix fort, celui d'hôtels de luxe avec personnel d'accomagnement

 

dans ce cas, il est bien précisé que l'enfant est handicapé à 100 pour cent

qu'espérer ? QUINZE JOURS pour le guérir ? Une bronchite sérieuse demanderait le même laps de temps...

 

on est depuis longtemps colonisable

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admettons que ce soit vrai, je n'en préjuge pas, ils ont quand même une lettre certifiant la prise en charge de 15 jours, à moins que ce soit un faux, la moindre des corrections serait de garder parole et ne pas passer pour des cas soc en ne payant pas ce qui est dû...s'ils avaient des doutes, il ne fallait pas autoriser les 15 jours au départ...

 

 

 

Les 15 jours ne sont pas justifiés, surtout si DOA a voulu témoigner de compassion avec les parents et les aider à consulter des médecins français. Ou, ce que ne peuvent ces derniers Dieu ne le peut ! Pour un ancien du FLN le ministre serait devenu gâteau.

 

Les Algériens pris à parti par le journaliste et les parents, les voisins ne sont pas épargnés. Qui peut croire qu’un enfant malade et guérissable en 15 jours s’est vu chassé de l’hôpital qui l’a reçu parce que ses parents ne pouvaient pas payer une semaine d’hospitalisation de plus ? La vérité est que le diagnostic de lésions irrésistibles a du être confirmé par les médecins d’outre mer qui ont expliquer aux parents qu’ils n’avaient rien de plus à apporter , sauf en matière de suivi, qui est à l’image de chaque société et de sa solidarité nationale. En France, les handicapés sont pris en charge par des structures très lourdes et très coûteuses, dont le prix contribue à l’énorme dette du pays.

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salam

 

je partage en partie l'analyse de notre ami otto Khor , je dirais egalement qu'il s'agirait de lesions irreversibles

cependant il faudrait avoir en tete qu'a l'epoque de feu Boumedienne , il y a une personne de l'entourage de la nomeclatura militaro mafieuse de l'epoque , elle avait envoyé son petit caniche se faire soigner en France par une prise en charge de l'etat des caisses maladies algerienne , alors que des peres et des meres de famille se voyaient refuser la prise en charge ceci est une vérité

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