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Les derniers petits tabous féminin du quotidien


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Dîner seule au restaurant

Invariablement, le serveur demande : « Vous attendez quelqu’un ? », avant de vous coller à la table avec vue… sur la cuisine. Une expérience cuisante des normes sociales qui nous gouvernent. Tant pis : nous, on préfère dîner seule que mal accompagnée.

 

Dire qu’on n’a pas joui

Et laisser entendre à l’autre, si besoin est, qu’il n’est pas un si bon coup que ça. C’est la règle n° 1, pourtant, pour faire progresser un homme. Et s’éclater enfin au lit !

 

Laisser les enfants à l’école jusqu’à 18 heures…

… Ou au centre de loisirs. Pas grave, on sait bien qu’ils s’éclatent sans nous. Et on en profite pour s’occuper de soi ou, pire, travailler ! Sans une once de culpabilité.

 

Se payer un homme

 

La femme mûre qui s’offre un homme, c’est un sujet de films. Dans la vraie vie, ça reste un vrai tabou. Pourtant, « les relations sexuelles tarifées se développent chez les femmes », affirme la sociologue Janine Mossuz-Lavau. L’égalité c’est pour le meilleur… et pour le pire.

 

Faire l’amour pendant ses règles

Ça choque les hommes. Et beaucoup de femmes, c’est bien là le problème. Mais non, tout cela n’est pas « sale ». Juste le fruit d’un interdit vieux comme le monde et les religions… A nous de faire passer le message. A nos filles, et aussi à nos fils !

 

Nourrir son bébé de petits pots et son aîné de surgelés

« Vous ne lui préparez pas de purées maison ? » « Vous n’aimez pas faire la cuisine ? »… Non, la dictature de la mère parfaite n’aura pas le dernier mot. A condition qu’on ose entrer en résistance au quotidien. Eh bien, non, il n’aura pas de purée maison et il s’en portera tout aussi bien !

 

Avoir des poils

La tyrannie de l’épilation avait conduit, en réaction, Julia Roberts à s’afficher avec du poil sous les bras. Sans aller jusque-là, marre de la dictature du lisse ! Une campagne Web d’une marque de produits dépilatoires, « Mon minou tout doux », clamait, en mai dernier : « Grrr… Pas assez douce ! » Pour l’ethnologue Juliette Sakoyan, « la trichophobie (phobie du poil) est le signe de l’époque. On entretient l’illusion d’un idéal féminin d’innocence et de jeunesse. » Douce, d’accord, mais si on veut, quand on veut.

 

Dire des blagues salaces

Le féminin se doit d’être doux, élégant, policé. Les « vilains mots dans de si jolies bouches » sont taxés de vulgarité. « Seuls les hommes ont le droit d’évoquer leurs rots, leurs pets », dénonce la sexologue Catherine Blanc. On ne va pas tout revendiquer, mais les vilains mots et les blagues trash, si. L’humour et la colère sont unisexes !

 

Ne pas être en couple

Après une séparation, c’est flagrant : au début, on vous invite, on cherche à vous caser, puis très vite on vous laisse à vos soirées solo. La femme seule constitue un danger pour les couples. Elle est divertissante mais angoissante, on lui laisse le canapé dans les maisons de vacances… Ce n’est pas pour autant que, célibataire, on va finir par ne plus sortir qu’entre filles ou rester à la maison !

 

Regarder des films pornos

 

C’est juste inavouable. Et pourtant… La libido dépasse souvent les différences femmes-hommes. Une vérité à faire passer d’urgence en tombant les masques.

 

Faire chambre à part

 

Faire dormir les gens ensemble est une invention récente. Mais pourquoi est-il si mal vu de fuir les ronflements de son conjoint, lire en paix ou regarder la série « Shameless » jusqu’à 4 heures du mat’ ? Voilà un combat à lancer.

 

Pour en savoir plus : Les derniers petits tabous féminin du quotidien - Marie Claire

 

Les derniers petits tabous fminin du quotidien - Marie Claire

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la question est .. qsq tas pas encore dit sur les femmes ...:confused:

 

Ce n'est pas moi qui a dit , ces des études qui étaient faite , j'ai juste recopier le lien , au lieu de focalisé sur ma personne , il serait mieux de donner ton avis si on est pas d'accord avec le continue on change le topic:phone2:

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J'ai aimé ce passage :mdr:

Se payer un homme

 

La femme mûre qui s’offre un homme, c’est un sujet de films. Dans la vraie vie, ça reste un vrai tabou. Pourtant, « les relations sexuelles tarifées se développent chez les femmes », affirme la sociologue Janine Mossuz-Lavau. L’égalité c’est pour le meilleur… et pour le pire.

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Ce n'est pas moi qui a dit , ces des études qui étaient faite , j'ai juste recopier le lien , au lieu de focalisé sur ma personne , il serait mieux de donner ton avis si on est pas d'accord avec le continue on change le topic:phone2:

 

je parle pas de tabou moi :cool:

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Guest kastor
J'ai aimé ce passage :mdr:

Se payer un homme

 

La femme mûre qui s’offre un homme, c’est un sujet de films. Dans la vraie vie, ça reste un vrai tabou. Pourtant, « les relations sexuelles tarifées se développent chez les femmes », affirme la sociologue Janine Mossuz-Lavau. L’égalité c’est pour le meilleur… et pour le pire.

 

ch'hal rak tehsseb l' llila ? :D

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