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Un joueur refuse de se présenter au stage des verts


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L’épisode Boudebouz relance le débat sur l’engagement des joueurs vis-à-vis de l’équipe nationale.

 

Le petit lutin de Sochaux vient d’ajouter une ligne à ce mauvais chapitre censé appartenir à un passé révolu. En faisant l’impasse sur le stage de Marcoussis au motif qu’il souffrait des adducteurs, il s’est mis en difficulté par rapport au sélectionneur, ses coéquipiers et l’opinion, d’autant plus que 4 jours plus tard le «lionceau» a ponctué sa belle prestation contre Caen par un somptueux but à montrer dans les écoles de football.Ainsi, miraculeusement, le «blessé» s’est rapidement et parfaitement rétabli, en l’espace de quelques heures pour tenir sa place dans l’équipe de Sochaux après avoir décliné une invitation à un stage de l’équipe nationale.

 

La nouvelle génération de pros devrait s’inspirer de ses aînés qui ont montré le chemin en matière de disponibilité et d’engagement (indéfectibles) lorsque l’équipe nationale avait besoin d’eux, à l’instar de Mustapha Dahleb et Abdelghani Djadaoui, qui ont souvent mis en péril leur carrière pour rejoindre les Verts. Ces deux exemples sont édifiants pour illustrer le propos sur le sujet.

Dans les années 1980, Abdelghani Djadaoui était le capitaine et la figure emblématique de Sochaux. A cette époque, il faisait partie des joueurs que les sélectionneurs convoquaient souvent. Pas une seule fois il n’a décliné une sélection. Et Dieu seul sait combien il était difficile à l’époque de rejoindre la sélection lorsque le club employait tous les moyens d’intimidation et de pression pour empêcher le joueur d’honorer une sélection.

 

Les règlements de la FIFA n’étaient pas ce qu’ils sont aujourd’hui. C’est dans ce contexte que la Fédération algérienne de football a adressé une convocation à Djadaoui via le club du Doubs. A l’époque, René Hauss était le manager du FCSM. Il s’est opposé à ce que le capitaine de l’équipe rejoigne sa sélection. Abdel a enfreint cet interdit et s’est présenté au regroupement des Verts avec tous les risques encourus.

 

Mustapha Dahleb, lui aussi, a été au centre d’un marchandage entre son président de l’époque au Paris Saint Germain, Daniel Hechter, et des dirigeants tunisiens qui ne souhaitaient pas sa présence pour le match Algérie-Tunisie (décembre 1977 en éliminatoires de la Coupe du monde 1978). L’histoire nous a été racontée par Abdelmadjid Chetali (sélectionneur de la Tunisie) lors d’un vol Milan-Accra en janvier 2008 : «Nous avons mis tout en œuvre pour que Dahleb ne joue pas ce match. On a demandé à Daniel Hechter de faire pression sur son virtuose pour qu’il n’aille pas à Alger pour ce match. La veille, le PSG a joué Lens et quelques heures plus tard, Dahleb était au milieu de ses camarades de la sélection algérienne. Hechter n’est pas arrivé à le convaincre de faire l’impasse sur le derby maghrébin parce que Dahleb était très attaché à son pays et à sa sélection.» L’objet ici n’est ni de faire le procès de Boudebouz ni de lui scier les jambes, mais tout simplement de le placer devant ses responsabilités vis-à-vis de l’équipe nationale.

 

 

Yazid Ouahib

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L’épisode Boudebouz relance le débat sur l’engagement des joueurs vis-à-vis de l’équipe nationale.

 

Le petit lutin de Sochaux vient d’ajouter une ligne à ce mauvais chapitre censé appartenir à un passé révolu. En faisant l’impasse sur le stage de Marcoussis au motif qu’il souffrait des adducteurs, il s’est mis en difficulté par rapport au sélectionneur, ses coéquipiers et l’opinion, d’autant plus que 4 jours plus tard le «lionceau» a ponctué sa belle prestation contre Caen par un somptueux but à montrer dans les écoles de football.Ainsi, miraculeusement, le «blessé» s’est rapidement et parfaitement rétabli, en l’espace de quelques heures pour tenir sa place dans l’équipe de Sochaux après avoir décliné une invitation à un stage de l’équipe nationale.

 

La nouvelle génération de pros devrait s’inspirer de ses aînés qui ont montré le chemin en matière de disponibilité et d’engagement (indéfectibles) lorsque l’équipe nationale avait besoin d’eux, à l’instar de Mustapha Dahleb et Abdelghani Djadaoui, qui ont souvent mis en péril leur carrière pour rejoindre les Verts. Ces deux exemples sont édifiants pour illustrer le propos sur le sujet.

Dans les années 1980, Abdelghani Djadaoui était le capitaine et la figure emblématique de Sochaux. A cette époque, il faisait partie des joueurs que les sélectionneurs convoquaient souvent. Pas une seule fois il n’a décliné une sélection. Et Dieu seul sait combien il était difficile à l’époque de rejoindre la sélection lorsque le club employait tous les moyens d’intimidation et de pression pour empêcher le joueur d’honorer une sélection.

 

Les règlements de la FIFA n’étaient pas ce qu’ils sont aujourd’hui. C’est dans ce contexte que la Fédération algérienne de football a adressé une convocation à Djadaoui via le club du Doubs. A l’époque, René Hauss était le manager du FCSM. Il s’est opposé à ce que le capitaine de l’équipe rejoigne sa sélection. Abdel a enfreint cet interdit et s’est présenté au regroupement des Verts avec tous les risques encourus.

 

Mustapha Dahleb, lui aussi, a été au centre d’un marchandage entre son président de l’époque au Paris Saint Germain, Daniel Hechter, et des dirigeants tunisiens qui ne souhaitaient pas sa présence pour le match Algérie-Tunisie (décembre 1977 en éliminatoires de la Coupe du monde 1978). L’histoire nous a été racontée par Abdelmadjid Chetali (sélectionneur de la Tunisie) lors d’un vol Milan-Accra en janvier 2008 : «Nous avons mis tout en œuvre pour que Dahleb ne joue pas ce match. On a demandé à Daniel Hechter de faire pression sur son virtuose pour qu’il n’aille pas à Alger pour ce match. La veille, le PSG a joué Lens et quelques heures plus tard, Dahleb était au milieu de ses camarades de la sélection algérienne. Hechter n’est pas arrivé à le convaincre de faire l’impasse sur le derby maghrébin parce que Dahleb était très attaché à son pays et à sa sélection.» L’objet ici n’est ni de faire le procès de Boudebouz ni de lui scier les jambes, mais tout simplement de le placer devant ses responsabilités vis-à-vis de l’équipe nationale.

 

 

Yazid Ouahib

 

 

 

 

 

pour moi,Saadane et Benchkha ont aussi leurs part de responsabilité dans cette affaire parce qu’ils n'ont pas su instaurer un règlement d’intérieur stricte et veillé à leurs application sinon comment expliquer le va et vient et les visites des membres de la famille des joueurs lors des stages,du jamais vu,c'est typiquement algérien,pour en revenir à Boudebouz,le fait d'être priver pour au moins deux matches,va lui donner à réfléchir,il faut qu'il soit rappelé à l'ordre pour que son cas servira de leçon aux autres joueurs

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Moi j en veux a sassant d' avoir virer hameur Bouazza alors qu il a joue pour nous qualifier et Apres on lui a dit: barra. Ca c est dégueulasse et franchement c est un très bon joueur, il a été des plus efficace en nous mettant un but pendant la phase de qualif et tout Ca pour quoi? Merci la reconnaissance. Mais je vais encore aller plus loin, je pense qu il a été victime de délit de sale gueule. Tout Ca parce qu il était pas aussi beau que les autres ou une autre raison bidon. On a mît a la place un mec donc je ne me rappelle plus le nom qui a été inexistant pendant la coupe du monde mais qui savait rouler des mécaniques. C est triste de voir Ca!!!!

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Moi j en veux a sassant d' avoir virer hameur Bouazza alors qu il a joue pour nous qualifier et Apres on lui a dit: barra. Ca c est dégueulasse et franchement c est un très bon joueur, il a été des plus efficace en nous mettant un but pendant la phase de qualif et tout Ca pour quoi? Merci la reconnaissance. Mais je vais encore aller plus loin, je pense qu il a été victime de délit de sale gueule. Tout Ca parce qu il était pas aussi beau que les autres ou une autre raison bidon. On a mît a la place un mec donc je ne me rappelle plus le nom qui a été inexistant pendant la coupe du monde mais qui savait rouler des mécaniques. C est triste de voir Ca!!!!

 

Ah et j ajoute quelque chose de très important car je veux que tous les algériens le sachent. Le but de sassant a la coupe du monde n était pas de gagner mais juste de participer car une participation au mondial engrange de l argent pour notre fédération de foot pour moderniser les équipements etc... Et Ca je le tiens d' un athlète de haut niveau ex athlète qui le connait très bien depuis tout petit , bien entendu il a défendu son oncle spirituel. Mais moi je pense qu a ce stade ce n est pas une bonne mentalité. On a les capacité de gagner mais je sais pas y a comme un syndrome de l algérien qui frappe.

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