Water White 10 Posted August 20, 2011 Partager Posted August 20, 2011 Je te dis que j'ai un rêve et tu me dis, que tu en auras plus qu'assez dès qu'on commença à se moquer de toi, en me l'ordonnant tout en disant que tu ne pourras plus continue et je ne pourrais que t'écouter avec un air de soumission. or que je suis désobéissant, apparaissant d'une autre dimension, réelle que subjective, en un des temps où je suis plus tortueux que tout humain….. j'ai un rêve oui j'en ai un (sache-le). dit moi; est ce un péché d'en avoir un!!!??? Rêve mon ami (e), en ton rêve résidera la bannière de nos vies. Douce brise, inspiratrice de tout état d'éveil. Fait en sorte que nos rêves, puissent être une douce réalité. Rêve ami (e), car il me manque tout autant. Ce beau don des saints cieux, d'où nos âmes subissent leurs propres inventions, leurs magies en tout vent et notre échappée de la réalité, en delà déchéances de nos coquilles, de notre frustration face à la dure réalité, face aux faux besoins d'être casé à leur aise et commun, tout en oubliant le propre de chacun. Alors rêve et incitant ceux qui ne peuvent que faire de leur bonté, de leur chasteté, en étant rabougri, recroquevillé, pleurant fidèlement un sort aligné. Alors qu'attends-tu ? Casse, prise et déploie ton regard loin de ces murailles, pierre honteuse du jour de quand tu es née, ainsi une enfant assortie par le temps et des gens. Une enfant, un tabou au service, d'un désire, de plaisir, amoncelé infamie, harcelé par le voisin, le rejeton du coin et plus tard le patron de son gain pain. Survole les plaines de notre fatuité, où nos corps te serviront d'égide et ton souffle sera notre guide. Goûte à la vie, à l'infini de ce bonheur … de quant on est uni et tu me diras qu'à chaque moment passait ensemble est une tranche gagnée sur l'autre partie de nous même. Rêve mon ami (e) avec le mien, ça ne te coûtera rien, où ton corps et mon âme fleurissent et vécussent en delà des maux humains. Cependant ne me laisse pas. Car, le rêve grandissait et tu te grandiras indéfiniment en lui à en évoluant le tout et je deviendrais totalement néant. C'est ainsi que mon silence à la folie, à la noué, se noua en moi et je serais outre que le besoin où ton infime ombre de sourire manquait à la raison d'y être en plus que ça. Surtout l'éclat de ta douce voix en s'amusant auprès du sien loin de mien. Si ce sera …! Je subsisterai le défaillant de ton ignorance, de ton inconstance, la ténuité de mon cœur qui est tuméfié. La rougeur qui se dessinait sur tes pommettes. L'effroi de l'inconnu que tu ne domines le caché. Une timidité que l'on ne peut expliquer que tout en épluchant dedans de tes rêves. Tu me dis tout en étant consciente que cela ne t'ira plus et cela ne fera que me rappeler que je ne domine que t'écouter. Et en ce moment tu me demande de patienter, en condensant la noblesse de la patience en triste fresque. Esquisse d'une résonnée sans raison valable, d'où le mystère maraudait sans compétiteur. Et en cet instant, impuissante tout comme tu es y! Tu ne feras que le prouver, avec un regard désarmé dans un visage sciemment mal maquillé. Où je me perds et je ne me repère plus, excepté qu'en te disant ceci. Tu m'envahisses, tu m'éblouisses à en ayant à on devient l'ultime profondeur, où la surface de ton corps fera le surplus qu'il ne manquait et en plus il m'informera de ta fonte en lui. Donc, ton poids s'ajoutera au mien et je ne pourrai que te trainer loin jusqu'à en supportant les sévices de ceux qui ne sont que propre aux surhumains. Alors, il parut qu'il en avait fait aussi de loin son fameux effet en elle, elle qui n'était d'autre que la peur d'un infâme commérage. Fais-je petit devant le tien, pour que tu pourras te réaliser dans le mien et nous expirerons ainsi martyr de notre propre abandon…. Donc, martyrise-le avec ton savoureux sourire, jusqu'où les gémissements de ses plaintes redeviendront les slogans de notre foi dans l'être qui nous y cher à soi. Jusqu'au loin, où il ne pourra s'en souvenir de son soi qui est aussi enfanté tout autant que toi. Toi, qui ne domines que bafouer, la foi, la joie, le doux, le beau, ainsi d'où …et au surtout qu'il en aura encaissé tout tes doux maux d'aimer tout autant. Oh! Toi dune de ma dignité, notre ultime tabou qui est censé l'unique radeau de notre sauve qui peut. Celle qui sera notre fine et divine clémence, de ceux qui sauront où résida l'innocence. La clémence; n'était d'autre que un infime mot à dire de notre part. Sachant que nous y sommes et étions ainsi nés les pardonnés en soi. Toi, qui génère tout dedans, le mirage, le sillage d'un nuage qui va nous livrer la pluie dans un moment donné, où nos corps deviendront l'embryon de notre renoncement, de notre enfantillage de part temps. Quant à elle! L'autre toi-même, celle qui aime jouer la permutation avec nos divergents. Ceux, qui ne sont d'autre que des demis ligués de nos entités. Ils pourront y être, sauf qu'en fond, ils ne sont que le raisonnement des êtres perdants. là aussi c'est temporairement, je te l'assure. Alors de ce fait, pardonnes-en à nous, lorsqu'en se donnant parfois à l'oublier et tous ces airs-ci. C'était d'où le mal nous saisit et nos larmes cessèrent de se cristalliser et coulèrent à flouer notre sérénité en modifiant le ton de toute sincérité, où notre pâte feindra la ruse de beau pétri, jusqu'au intrinsèquement on se fige en une seule et unique nué. Rêve mo, ami (e), le rêve te donne de l'espoir à continuer la vie ;) Citer Link to post Share on other sites
Water White 10 Posted August 23, 2011 Author Partager Posted August 23, 2011 Rêve ami (e) Ce que tes rêves, Il les ferait exaucer auprès de cette fanatique libelle, fatalité de ces longs heurs passés au préjudice d'une seule et unique vie. Au profit d'une incantation, rêve de cette grosse tentation, où l'homme est le débouché de ses propres circonstances. Où l'homme ne sera qu'une simple mise, remise toujours à un autre moment et comment ? Puisqu'il ne sera que conduit par le besoin d'un demain, qu'il ne fera que lui bousiller le présent. Rêve mon ami (e) Lui, qui faisait le brumeux en de tel moment, cela lui était égale, pourvu qu'il en sera en dehors de ces points déférents. Il n'enjoint, qu'être heureux. Alors, le confus ne sera plus de son avenant et cela même s'il mâcherait l'amer de ses mots. Relâche-le! On se portera garant de lui. De ce faite qu'attends-tu de le débarrasser de cette incrédule comète. Afin qu'il aille au bout de nous tous, où il ira mieux et même en delà de ceux de notre apparat, que l'on ne redouta pas autant. Rêve et ne t'occupe pas de lui. Lui, est l'un de ceux, qui font semblant au-dedans de ceci. Il lui arriva de se donner aussi à l'artifice jusqu'au à faillir suffoquer de rire. Sauras-tu? Ce qui est implémenté dans ceci, ce qu'il vivait l'asservissement de tout dessein inintelligible. Sachant que la compréhension est le conduit de tout réel, tout comme nos foulées, ne feront que marcher vers ce que les saisir, ainsi le cœur batte la rigueur de nos menus en dehors de tout innommable instinct. Certes, tu vas dire qu'il est devenu indomptable. Mais sache-ceci! Là où on est, on se torde les méninges pour discerner le vrai du faux. Car, au-dedans du tien, le sien à filer entre les failles de cette lacune en chaine. ;););) Citer Link to post Share on other sites
Water White 10 Posted August 24, 2011 Author Partager Posted August 24, 2011 slt;) J'aurais aimé être! Si tu aurais fait de l'être … Enfin! Si nous aurions pu et savoir qu'il nous ne fera point de ceux que l'on craint! Bref! Illusion de bienvouloir la continuité d'un rêve, qui ne sera qu'une fraction de ce conceptuel, d'où notre échappée sera limitée par une rude réalité. Et où le besoin n'étant que le souhait d'un fait concordant tout au bout avec un refoulement de concret pour se refugier dans le semblant de l'abstrait. Dès lors, il n'avait guère songé quand il n'était qu'un enfant, trouvé les sources de tes longues mèches qui ne demandent qu'à être tressées, qu'à être refaites à nouveau!. Et au faites, tout petit comme tu l'avas réduit! En aurais-tu oubliée? de ce qu'il en est de lui et de ce qu'il en est redevenu, cherchant en vain un moyen pour t'échapper, t'oublier t'ignorer et continuera son chemin loin de toi. Hélas, tu n'as fait que croître en lui, lui qui n'était autre que le maculé de ton cynique abus. Dis-nous! De ce fait que va-t- en faire de lui??? Lui, qui n'était qu'un et lors de ton intrusion est devenu mutant et selon la guise de tes deux revers. Ceux qui n'était et ne seront qu'une manière tout à fait non prévisible dans ses gènes. Alors, il dénoua le tout pour tout recommencer à nouveau. Mais, à chaque fois tu reviens en galop, tu le surpris, saisis comme un brin, un rien de tout, ainsi tu le traines loin, aussi tout loin, que l'écume de ses vagues, vague qu'il en est devenu, d'aussi même le tout près ou ceux de ses lointains rivages, ne seront que le tout sommaire de ses mots. dsl;) Citer Link to post Share on other sites
Water White 10 Posted September 2, 2011 Author Partager Posted September 2, 2011 J'ai un rêve Rêve d'enfant Cet enfant qui est en vous rêvant Enfermant de l'espoir à tout vent Une vie d'enfant, tout en vous aimant C'est de semer le bonheur sur les fronts C'est de vivre vos vies tout simplement J'ai un rêve Ce rêve est tout à vous C'est beau, chaud et doux C'est de t'en aimé, de t'en bénis C'est de vivre ainsi entrenouer Jusqu'à la fin du souffle et vie Un rêve de vie Une vie de rêve Peut tout s'y faire Allons les efférents Une vie aux preneurs Ne la gâché pas aux enfers J'ai un rêve D'y être ivre de bonheur C'est être à tes honneurs Une goute de brume sur une rose C'est des airs aux palmes roses Où chaque regard est un beau songe Où chaque mot, rimeur aux franges Aimé les songes, c'est de faire rallonge Avec l'aimé unir la vie, en est une offrande Ou le tout pardonné comme font les anges J'ai eu un rêve Un rêve de vie Un rêve de cesser faire de ma vie, un tas de mélange Où de dire en chaque mot ou par regard des mensonges J'ai un rêve Un rêve qui se dépêche D'un cœur leurré qui se fâche Derrière une vie qui se cache Puisqu'ici chez nous même Même les rêves on les empêche Mais t'en faits pas Il y aura toujours des rêves Au-dedans de nos fonds Par notre foi dans nos sentiments Petits et grands Des rêves qui se dépêchent Des vies qui font la pêche Petits et grands Grands et petits Une seule douleur aux cœurs Un seul sens aux bonheurs Petits et grands Grands et petits Dans notre joie de vivre la vie Il y aura toujours des rêves Rêves et vies qui se forgent Des couleurs, pis et bonheurs Qui se mélangent** ;) Citer Link to post Share on other sites
chamssou15 10 Posted September 2, 2011 Partager Posted September 2, 2011 good ,man est ce tu tes essayé en litterature? Citer Link to post Share on other sites
Water White 10 Posted September 4, 2011 Author Partager Posted September 4, 2011 Moi, j'ai un rêve D'un cœur qui se fâche D'une vie qui se gâche Puisque chez nous Même les rêves on les empêche J'ai un rêve Mon rêve C'est de vivre ailleurs Loin de chez nous Auprès de vous Pour vivre heureux Puisqu'ici même les rêves On les empêche Mais ne t'inquiète pas Y aura toujours des rêves De la vie qui se forge Par déception et foi Des couleurs qui se mélangent Des ailleurs qui font rêver Puisque là, même les rêves On les empêche Mais ne t'en fais pas Il me reste encore De l'espoir De pouvoir te voir un jour Pour te dire à nouveau bonjour Te regarder, te tenir entre mes bras Enlacer à me faire fondre en toi Ivre de notre joie, notre foi Notre vie, c'est ce qui est à soi Oublier la peur et la douleur Nous aillerons ensemble ailleurs Ailleurs c'est le bonheur C'est de n'y être qu'à deux Loin, que chez eux C'est de vivre heureux J'ai un rêve qui se dépêche D'une vie qui se cache Puisqu'ici même Même les rêves on les empêche J'ai eu un rêve La vie de rêve C'est de vivre tout simplement notre vie Notre bonheur dans nos rêves à l'infini Des cœurs qui se font aimer Par des vies qui se font rêver Citer Link to post Share on other sites
Water White 10 Posted September 4, 2011 Author Partager Posted September 4, 2011 J'ai un rêve Ce rêve de pouvoir t'écrire A partager ce que je peux t'offrir Même, ce je serais pas sure Que tu pourrais les lire Que tu saurais les sentir Ces mots réverbère Aux airs éphémères Mais t'en fais pas Ceux que tu ignores De ton jour le jour Résonneront en toi Pour toujours Souviens-toi de moi En ton hiver de demain là, je t'ai mis des mots Te convieront ma foi en toi Mais t'en fais pas Je continuerais à t'écrire Ne sera ce que pour te le redire Pour te décrire Chagrin et plaisir Désespoir et espoir Bouffé d'air et soupir Enfin, ce dont on peut avoir Selon le rythme de falloir Des mots couleur Rose ou noir Douleur ou douceur Venant du fin fond Tout ce qui est bon Tout ce dont t'aimes à.../... Citer Link to post Share on other sites
Water White 10 Posted September 5, 2011 Author Partager Posted September 5, 2011 T'en fais pas pour le sien Même si le tien Semble à la pierre Et te rend désert Ne t'en fais pas Te reste encore un Tu prends le sien Celui qui t'aime Et fais-en deux Même s'il arrive Et que ça ne va pas Et qu'il en reste un Prends le que même Et ne t'en fais pas Il lui suffit De te voir en vie Même ce sera Pas de mektoub (chance) Prévoir matloub (souhaitable) Qu'Allah ghaleb (volonté divine) Mais ne t'en fais pas il en serait content À te sentir vivante Ce que quand il te voit heureuse il en serait à l'aise Tout comme qu'il Ne sera pas là Sache tout de même Que tout de haut il continuerait À veiller sur vous deux Mais ne t'en fais pas :p ;) Citer Link to post Share on other sites
Water White 10 Posted September 6, 2011 Author Partager Posted September 6, 2011 A la nature même (.. ) Non, il ne va pas cesser D'ailleurs ni se taire Ce qu'il n'en veut Que raviver ton cœur A sentir ce mélange Pour te dire que Dans tes maux Il y a le doux D'aussi le beau Tout comme Ceux de bas et haut Relève ton regard Regarde là haut Y a des nuages Nuages dans le ciel Ces nuages que tu vois là haut Sont à l'infini des gouttes d'eau C'est de la vie que tu vois ainsi C'est de la vie qui va s'ensuit Tout comme nos fentes Mots et gestes La vie de nos chers ancêtres Ces nuages que tu vois là haut Ce n'est que de l'âme Des mers, lacs et océans Le sol de la terre Ce n'est que de notre chair Bouge tes pas et tu verras De l'herbe à perte de vue C'est de la vie à l'infini De là et ici On fera partie Ce n'est que de notre chair De la poussière à ceux de jadis Qui va nous donner vie Va nous donner envie A réfléchir A s'attendrir A s'aimer Pour que demain Nous donnerons la vie A ceux qui vont nous suivre Comme ceux qu'on a suivi Et c'est ainsi Quand l'eau coule du ciel Fertilise la terre Ce n'est que de la vie La vie qui va se faire Un cycle qui s'affère De l'am__r qui s'offre Relève ton regard Regarde là haut Y a des nuages Nuages dans le ciel Bouge tes pas Tes pas et tu verras De l'herbe sur terre De la vie qui va se faire Un cycle qui s'affère De l'am__r qui s'offre . Citer Link to post Share on other sites
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