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Notre conclusion

A laquelle nous faisons allusion

Est née de ces moments de fusion

Qui nous ont fait croire à cette union

Qui en fait, n'était qu'illusion

La voici, tâchez d'en tirer vos conclusions :

 

 

Un jour d'été, dans les locos de votre mairie

Vous nous avez arrêtés

Vos intentions, étaient déjà fondées...

Vous nous avez invités,de revenir,

Non sans hésiter nous sommes revenus

Dans ces couloirs qui puent

Nous nous sommes forcés,

nous vous avons attendus

 

 

Vous nous avez dérangés

Par vos gestes et cette manière de bouger

Ça aurait du déjà nous alerter

Sur votre caractère hésitant, battant en retrait

Clignant des yeux comme si, vous nous fuyez

Notre requête était légitime, vous le savez

La votre était malsaine et masquée

 

 

Bref..

Vous nous avez allaités

Au lait de l'espoir

Abreuvés

De la fontaine des rêves dérisoires

Sacrifiés

Nous qui étions déjà sur l'aiguisoir

 

 

Nous avions cru votre discours

Attesté, approuvé par le cœur

Auprès de sa cour

Nous avons plaidé en votre faveur

 

 

Mais,

Mais voila, qu'il s'est avéré enfin

Que vos sentiments sont fins

Vos engagement sont vains

Si vous savez comme je vous plains!

 

 

Ce que nous retenons

De votre connaissance

C'est votre ignorance

Votre insouciance

De ce pouvoir d’influence

Énorme intense

Que détiennent les faiseurs de votre enfance

Mais aussi votre rang dans leur confiance

Votre poids sur leur balance

Sachez que vous êtes Loin

D'être un homme libre entre les tiens !

Et tant que votre âme, votre avenir ils détiennent

Vous serez toujours un moins que rien

Un épouvantail, un pantin

 

 

Pauvres administrés

Qui voient en vous

L'espoir du renouveau

Vous cet être foutu

Poupée vaudou

Serviteurs des Dieux

Traitre de nos aïeux

...

 

 

Ce matin, nous en faisons le serment

De regarder devant

D'aller vers cet inconnu qui nous attends

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Guest Shadow
Notre conclusion

A laquelle nous faisons allusion

Est née de ces moments de fusion

Qui nous ont fait croire à cette union

Qui en fait, n'était qu'illusion

La voici, tâchez d'en tirer vos conclusions :

 

 

Un jour d'été, dans les locos de votre mairie

Vous nous avez arrêtés

Vos intentions, étaient déjà fondées...

Vous nous avez invités,de revenir,

Non sans hésiter nous sommes revenus

Dans ces couloirs qui puent

Nous nous sommes forcés,

nous vous avons attendus

 

 

Vous nous avez dérangés

Par vos gestes et cette manière de bouger

Ça aurait du déjà nous alerter

Sur votre caractère hésitant, battant en retrait

Clignant des yeux comme si, vous nous fuyez

Notre requête était légitime, vous le savez

La votre était malsaine et masquée

 

 

Bref..

Vous nous avez allaités

Au lait de l'espoir

Abreuvés

De la fontaine des rêves dérisoires

Sacrifiés

Nous qui étions déjà sur l'aiguisoir

 

 

Nous avions cru votre discours

Attesté, approuvé par le cœur

Auprès de sa cour

Nous avons plaidé en votre faveur

 

 

Mais,

Mais voila, qu'il s'est avéré enfin

Que vos sentiments sont fins

Vos engagement sont vains

Si vous savez comme je vous plains!

 

 

Ce que nous retenons

De votre connaissance

C'est votre ignorance

Votre insouciance

De ce pouvoir d’influence

Énorme intense

Que détiennent les faiseurs de votre enfance

Mais aussi votre rang dans leur confiance

Votre poids sur leur balance

Sachez que vous êtes Loin

D'être un homme libre entre les tiens !

Et tant que votre âme, votre avenir ils détiennent

Vous serez toujours un moins que rien

Un épouvantail, un pantin

 

 

Pauvres administrés

Qui voient en vous

L'espoir du renouveau

Vous cet être foutu

Poupée vaudou

Serviteurs des Dieux

Traitre de nos aïeux

...

 

 

Ce matin, nous en faisons le serment

De regarder devant

D'aller vers cet inconnu qui nous attends

 

Je ne sais pas si ce que j'ai compris est vraiment ce que tu veux dire....Quoi qu'il en soit, c'est beau et expressif comme toujours.;)

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Guest Shadow
souviens toi de mon poeme ;)

 

Assma adevdhough lehdhour

Awal adhitva3 agmass

Assma aradinigh levghi bwoul

Athidinigh selharma tsissass

Adh dawigh ledjrouh

widh idjehden amwouzal negh amwoufal

Adhekfoun lehmoum

Wenen3al amchoum

Aderssen ar thqa3ets wa dh'chedh'hen lessrar

Athenssinigh yiwen yiwen amou3eqouch dhegouzrar

 

C'est très beau miissy, tu es une véritable poétesse. Bravo.:)

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Notre conclusion

A laquelle nous faisons allusion

Est née de ces moments de fusion

Qui nous ont fait croire à cette union

Qui en fait, n'était qu'illusion

La voici, tâchez d'en tirer vos conclusions :

 

 

Un jour d'été, dans les locos de votre mairie

Vous nous avez arrêtés

Vos intentions, étaient déjà fondées...

Vous nous avez invités,de revenir,

Non sans hésiter nous sommes revenus

Dans ces couloirs qui puent

Nous nous sommes forcés,

nous vous avons attendus

 

 

Vous nous avez dérangés

Par vos gestes et cette manière de bouger

Ça aurait du déjà nous alerter

Sur votre caractère hésitant, battant en retrait

Clignant des yeux comme si, vous nous fuyez

Notre requête était légitime, vous le savez

La votre était malsaine et masquée

 

 

Bref..

Vous nous avez allaités

Au lait de l'espoir

Abreuvés

De la fontaine des rêves dérisoires

Sacrifiés

Nous qui étions déjà sur l'aiguisoir

 

 

Nous avions cru votre discours

Attesté, approuvé par le cœur

Auprès de sa cour

Nous avons plaidé en votre faveur

 

 

Mais,

Mais voila, qu'il s'est avéré enfin

Que vos sentiments sont fins

Vos engagement sont vains

Si vous savez comme je vous plains!

 

 

Ce que nous retenons

De votre connaissance

C'est votre ignorance

Votre insouciance

De ce pouvoir d’influence

Énorme intense

Que détiennent les faiseurs de votre enfance

Mais aussi votre rang dans leur confiance

Votre poids sur leur balance

Sachez que vous êtes Loin

D'être un homme libre entre les tiens !

Et tant que votre âme, votre avenir ils détiennent

Vous serez toujours un moins que rien

Un épouvantail, un pantin

 

 

Pauvres administrés

Qui voient en vous

L'espoir du renouveau

Vous cet être foutu

Poupée vaudou

Serviteurs des Dieux

Traitre de nos aïeux

...

 

 

Ce matin, nous en faisons le serment

De regarder devant

D'aller vers cet inconnu qui nous attends

 

j'en ai eu les larmes aux yeux.. très correcte comme conclusion, chapeau

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souviens toi de mon poeme ;)

 

Assma adevdhough lehdhour

Awal adhitva3 agmass

Assma aradinigh levghi bwoul

Athidinigh selharma tsissass

Adh dawigh ledjrouh

widh idjehden amwouzal negh amwoufal

Adhekfoun lehmoum

Wenen3al amchoum

Aderssen ar thqa3ets wa dh'chedh'hen lessrar

Athenssinigh yiwen yiwen amou3eqouch dhegouzrar

 

 

 

Tu appelles-ça un poème:mdr:

C un 3aqqouch, de chez les atr..... ch:eek::chut:

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Guest samirovsky
Notre conclusion

A laquelle nous faisons allusion

Est née de ces moments de fusion

Qui nous ont fait croire à cette union

Qui en fait, n'était qu'illusion

La voici, tâchez d'en tirer vos conclusions :

 

 

Un jour d'été, dans les locos de votre mairie

Vous nous avez arrêtés

Vos intentions, étaient déjà fondées...

Vous nous avez invités,de revenir,

Non sans hésiter nous sommes revenus

Dans ces couloirs qui puent

Nous nous sommes forcés,

nous vous avons attendus

 

 

Vous nous avez dérangés

Par vos gestes et cette manière de bouger

Ça aurait du déjà nous alerter

Sur votre caractère hésitant, battant en retrait

Clignant des yeux comme si, vous nous fuyez

Notre requête était légitime, vous le savez

La votre était malsaine et masquée

 

 

Bref..

Vous nous avez allaités

Au lait de l'espoir

Abreuvés

De la fontaine des rêves dérisoires

Sacrifiés

Nous qui étions déjà sur l'aiguisoir

 

 

Nous avions cru votre discours

Attesté, approuvé par le cœur

Auprès de sa cour

Nous avons plaidé en votre faveur

 

 

Mais,

Mais voila, qu'il s'est avéré enfin

Que vos sentiments sont fins

Vos engagement sont vains

Si vous savez comme je vous plains!

 

 

Ce que nous retenons

De votre connaissance

C'est votre ignorance

Votre insouciance

De ce pouvoir d’influence

Énorme intense

Que détiennent les faiseurs de votre enfance

Mais aussi votre rang dans leur confiance

Votre poids sur leur balance

Sachez que vous êtes Loin

D'être un homme libre entre les tiens !

Et tant que votre âme, votre avenir ils détiennent

Vous serez toujours un moins que rien

Un épouvantail, un pantin

 

 

Pauvres administrés

Qui voient en vous

L'espoir du renouveau

Vous cet être foutu

Poupée vaudou

Serviteurs des Dieux

Traitre de nos aïeux

...

 

 

Ce matin, nous en faisons le serment

De regarder devant

D'aller vers cet inconnu qui nous attends

 

Il est trop tôt pour conclure Rihame :mdr::mdr:

Anyway, tes poèmes sont un régal:p

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mon coeur est plus chaoui que ma tête, va le convaincre :confused:

Laisse-le prendre le temps de le faire

Tiens plus têtue que moi, ils meurent:)

Mais je m'aime tellement que je ne veux me voir souffrir

A cause d'une personne qui n'a rien à offrir

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