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Que faites vous du telwa de café?


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saha aidkoum,

 

 

a propos de légumes bouillis, ma mère utilise l'eau dans laquelle elle fait bouillir ses légumes pour arroser ses plantes, parait qu'il y a des minéraux dedans :)

 

 

Bonne idée.

Et ben, vous êtes une famille écolo.

Oui, il faut demander à NetCom de mettre en place des conteneurs pour le tri.

ps: bravo à vos parents.

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Oui, j'ai 5 poubelles.

- verre,

- plastique, carton,

- papier,

- piles,

- déchets organiques,

- le reste.

 

6 poubelles!

 

Et une éolienne sur le toit ? :o

 

PS: Tu devrais mettre tes boites de conserve à part. Et mettre le carton avec le papier et non avec le plastique.

 

Aussi, ton compost doit être aéré et humidifié souvent. N'oublie pas d'y mettre les coquilles d'œufs. :o

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Et une éolienne sur le toit ? :o

 

PS: Tu devrais mettre tes boites de conserve à part. Et mettre le carton avec le papier et non avec le plastique.

 

Aussi, ton compost doit être aéré et humidifié souvent. N'oublie pas d'y mettre les coquilles d'œufs. :o

 

Oui, je met aussi les coquille d'oeufs et le papier genre Sopalin.

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Ca doit faire un bruit infernal.

 

Réellement ca n´est pas la pollution sonore qui cause probleme c´est surtout que ca a besoin d´équipement électrique pour controler la qualité de puissance qu´on génere (Tu imagine bien que si on utilisait pas ces équipements la tension qu´on obtiendrait varierait en fonction du vent et Bye Bye ton seche cheveux:p), ces équipements sont plutot....pas copins copins avec l´environnement (Temperature dégagée, composant interne...etc)

 

De plus, en général il est nécessaire un réducteur de vitesse et ca ca fait du bruit et ca a besoin de graisse....huiles....ca a des materiaux....pas trés copins avec l´environnement.

 

Mais avec tout cela l´éolienne reste la plus intéressante (La photovoltaique étant pfff inutile pour une consommation large, et l´énérgie thermo-solaire engageant l´usage de l´eau et des huiles....):rolleyes:

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Moi je met le marc de café dans les pots de fleurs* ou dans un trou dans mon jardin.

 

(*) l'idéal serait de le mettre dans du compost.

 

Un non sens ! Brûler les déchets organiques consomme doublement du pétrole :

Transformez vos déchets en richesse: faites votre compost!

- pour évaporer l’humidité qui est leur composant essentiel,

- parce que cela oblige à produire des engrais de synthèse (polluants) pour pallier à la disparition de l’or noir qu’est le compost ou le lombricompost.

 

Un coût pour la collectivité et le citoyen : À l’échelle d’une famille de quatre personnes, la part des ordures ménagères susceptible d’être compostée est de l’ordre de 400 kg par an, soit un coût de 480 € (données Rennes Métropole). « Pas de poubelles dans la nature, pas de nature dans les poubelles ! » (La Gazette des Jardins, n° 56, 2004)

Réapprenons à valoriser et à donner une nouvelle vie à cette part de la nature que nous appelons des déchets. Si vous avez un jardin, installez un silo-composteur ou tout simplement un compost en tas. En appartement adoptez la caisse berlinoise (voir plus bas). Ainsi, non seulement vous ne jetterez plus la nature à la poubelle mais vous prendrez soin de votre jardin ou de vos plantes en pots en leur restituant de l’humus. C’est une façon pour chacun de participer à la sauvegarde du milieu naturel.

 

À la ville comme à la campagne, ne jetez plus vos déchets organiques, compostez-les !

 

- les déchets de jardin : tonte de gazon, plantes et fleurs fanées, tailles de haies broyées...

- les déchets de cuisine et certains déchets domestiques : épluchures de fruits et légumes, marc de café (avec filtre), restes de thé, coquilles d’œufs, restes de repas (en petites quantités), pains rassis (à ramollir au préalable), cheveux, bouquets de fleurs fanées...

- n’y mettez pas : trop d’épluchures de fruits traités (résidus de pesticides), de la viande en grosse quantité, les os, le papier imprimé (métaux lourds).

 

Le compostage

 

Les débris organiques entreposés, soit dans un silo-composteur, soit en tas sont attaqués et dégradés par divers organismes vivants (bactéries, petits vers, champignons, insectes) qui se développent dans un milieu humide, chaud et oxygéné (il est parfois utile d’arroser le compost et de le retourner). Ils se transforment en humus (ou compost) utilisable au jardin pour aérer et alléger le sol (améliorer sa texture) et apporter de la matière organique. Certains syndicats intercommunaux proposent des silos-composteurs à faible prix pour encourager le compostage familial et diminuer le volume des déchets collectés. Renseignez-vous.

 

Le lombricompostage

 

C’est un fumier de vers. Il a l’avantage de réduire beaucoup plus que le compost, le volume initial des déchets organiques, de les transformer plus rapidement et d’être surtout beaucoup plus riche pour les végétaux qui, grâce à vous, s’en nourriront. Le ver de fumier (Eisenia fœtida avec les sous-espèces fœtida et andrei) avale la matière organique et élimine cette nourriture après passage dans l’intestin sous forme de grumeaux d’humus. Pendant cette digestion, la substance organique est broyée par de petits grains de silices puis transformée et enrichie de micro-organismes. Le lombricompost est riche en substances nutritives, il améliore la structure du sol (meilleure aération et meilleur drainage) stimule la croissance des racines, aide à renforcer les plantes.

L’entreprise SOVADEC, installée à la Voulte en Ardèche, utilise les vers pour traiter 30 tonnes par jour de déchets organiques récoltés sur une vingtaine de communes. Elle produit ainsi du lombricompost très recherché par les horticulteurs. Ce genre d’installation est hélas peu répandu. Vous pouvez cependant vous essayer au lombricompostage dans votre jardin (tas ou silo de compost) mais aussi grâce à la caisse berlinoise (voir ci-dessous) si vous habitez un appartement. À l’extérieur, en tas de compost, veillez à protéger les vers des prédateurs, par un grillage au sol (taupes) et un grillage sur le tas de compost (oiseaux...).

Où trouver les vers ? Ce sont les cousins du ver de terre mais ils vivent dans des milieux plus riches en substances organiques. Le mieux, pour ne pas se tromper, est de les prélever dans un tas de fumier.

 

La caisse à vers « berlinoise »

 

Originaire d’Allemagne comme son nom l’indique, elle a été mise au point par le ministère allemand de l’environnement avec l’aide de l’ingénieur agronome H. G. Starck. Il s’agit d’une caisse en bois, facile à fabriquer soi-même (mais on peut utiliser d’autres contenants - poubelles, tonneaux, bassines - pourvu que l’on veille à amener une certaine aération, un bon drainage et de l’obscurité), le fond étant percé de quelques trous pour le drainage et avec un couvercle. Ses dimensions indicatives (à adapter) : L = 90 cm, l = 60 cm, H = 30 cm.

 

La mise en place : une étape essentielle pour garantir un minimum de travail et de soucis par la suite. Au fond de la caisse, placer une couche de terre sableuse sur une épaisseur d’un doigt. Pour éviter d’introduire des hôtes indésirables (insectes, œufs et larves), il est nécessaire de chauffer cette terre. Il faut l’étaler dans un plat et la passer au four pendant 20 minutes à 180-200°. Au dessus de la terre, on remplit les deux tiers de la caisse avec du papier (pas de papier imprimé en couleur) et du carton (boîtes à œufs, emballages non imprimés) préalablement humidifié et malaxé (l’immerger une nuit dans l’eau chaude, en faire une bouillie puis l’égoutter). On mêle à ce papier les déchets de la maison et de la cuisine. On peut alors y placer les vers qui auront suffisamment de nourriture. Sur le dessus, on disposera du papier ou du carton humide pour limiter l’évaporation et l’on arrosera de temps à autre. Il est recommandé de tendre une toile fine (mousseline) sur l’ouverture de la caisse pour éviter que des insectes ne viennent y pondre, notamment les mouches et moucherons.

 

Où mettre la caisse ? Elle peut rester sur un balcon mais il faudra l’abriter du soleil s’il est trop chaud (la placer du côté le plus ombragé ou prévoir de lui faire de l’ombre) et du gel en hiver. À la mauvaise saison, on peut, par exemple, rentrer la caisse dans une cave.

 

Entretien et récolte : en été il faut arroser la caisse assez souvent, mais toutes les 3 ou 4 semaines seulement en hiver. La caisse est suffisamment arrosée lorsque des gouttes d’eau apparaissent sur le fond. Il faut d’ailleurs prévoir de la poser sur un plateau afin de recueillir le « jus » noir qui s’en écoule. Celui-ci peut être utilisé pour fertiliser la terre de vos plantes. Au bout de quelques mois, les vers auront produit un bon lombricompost que vous pourrez utiliser pour enrichir la terre de vos jardinières et autres pots (ajouter environ 10 % de lombricompost par volume de terre). Pour le récolter, si vous souhaitez conserver vos vers sans devoir les trier dans votre lombricompost, appâtez-les avec des pelures d’oignons, des restes de fruits, du marc de café et du carton mouillé (vous enlèverez au préalables les autres débris organiques non consommés) placés dans une boîte. Retirez la boîte lorsque les vers y auront migré. Récoltez. Très vite vous vous rendrez compte combien il est facile de déverser chaque jour épluchures de pommes de terre, trognons de pommes ou coquilles d’œufs dans cette caisse. Les vers travaillent pour vous, sans odeurs (plus de poubelle qui coule dans la cuisine) et vous avez gagné une excellente fumure pour vos plantes !

 

Dominique Saint-Jean et Rémi Schultz, février 2005

 

 

À lire : Walter BUCH, Le ver de terre au jardin, Ulmer, 1986 (édition française, 1991), 124 p.

 

je le balance au jardin

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je le balance au jardin

 

Bravo, voila un beau geste.

Rendons à la terre ce qui vient de la terre.

Moi, quand je mange une pêche et que je vois ce beau noyau, je le balance dans mon jardin ou dans un jardin public ou un espace vert.

Au moins il deviendra du terreau puis de l'engrais.

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Bravo, voila un beau geste.

Rendons à la terre ce qui vient de la terre.

Moi, quand je mange une pêche et que je vois ce beau noyau, je le balance dans mon jardin ou dans un jardin public ou un espace vert.

Au moins il deviendra du terreau puis de l'engrais.

 

merci :)

 

oui je fais pareil pour les noyaux des fruits, sauf pour les épluchures de la pastèque:confused:

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