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Sarkozy: des enveloppes compromettantes...


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Politiques Aujourd'hui à 19h17 LIBERATION

«Je n'ai pas parlé de remises d'enveloppes» à Sarkozy, assure l'ex-infirmière de Bettencourt

 

 

Interrogée par l'AFP, la présidence de la République parle d'accusations «infondées, mensongères et scandaleuses». (AFP / Lionel Bonaventure)

 

L'ex-infirmière de Liliane Bettencourt a affirmé mercredi dans une interview à l'hebdomadaire Marianne qu'elle n'avait «pas parlé de remise d’enveloppes à Nicolas Sarkozy, ni à personne d’autre» à la juge de Nanterre Isabelle Prévost-Desprez ou à sa greffière.

 

«Lorsque j’ai été auditionnée par la juge Isabelle Prévost-Desprez, je ne lui ai pas parlé de remise d’enveloppes à Nicolas Sarkozy, ni à personne d’autre. Je n’en ai parlé ni à la juge, ni à sa greffière», déclare l'infirmière, identifiée sous les initiales HY, qui dit aussi avoir été la cible de «menaces de mort» dans cette affaire.

 

Dans Sarko m'a tuer (Stock), un ouvrage de deux journalistes du Monde, la juge Prévost-Desprez affirme que l'ancienne infirmière de Liliane Bettencourt avait «confié à (sa) greffière, après son audition par (elle): "J'ai vu des remises d'espèces à Sarkozy mais je ne pouvais le dire sur procès-verbal"».

 

(Source AFP)

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Une juge met en cause Sarkozy dans l'affaire Bettencourt

 

PARIS (Reuters) - La juge de Nanterre Isabelle Prévost-Desprez, aujourd'hui dessaisie de l'affaire Bettencourt, affirme qu'un témoin a vu Nicolas Sarkozy se faire remettre des espèces chez la milliardaire, écrit Libération, daté de mercredi.

 

Le quotidien se fonde sur un livre à paraître, écrit par deux journalistes du Monde, qui ont pu rencontrer et entendre la vice-présidente du tribunal de Nanterre (Hauts-de-Seine).

 

Cette version est démentie par l'Elysée. "Ce sont des allégations scandaleuses, infondées et mensongères", a-t-on déclaré à Reuters.

 

Pour Libération, les accusations d'Isabelle Prévost-Desprez semblent répondre à "l'extrême défiance" que le chef de l'Etat a alimenté à l'égard de l'institution judiciaire.

 

Interrogée par les auteurs du livre, Isabelle Prévost-Desprez dit avoir été frappée par la peur des témoins lors de ses investigations sur un volet du dossier Bettencourt.

 

Priée de dire de quoi ces témoins avaient peur, la magistrate répond : "Peur de parler sur procès-verbal à propos de Nicolas Sarkozy".

 

Puis elle ajoute : "L'un d'eux m'a dit qu'il avait vu des remises d'espèces à Nicolas Sarkozy."

 

Isabelle Prévost-Desprez précise qu'il s'agit de l'infirmière de la milliardaire, laquelle ne se serait toutefois pas exprimée sur procès-verbal, précise Libération.

 

La comptable de Liliane Bettencourt, Claire Thiboult, avait déjà évoqué des remises d'espèces mais d'une façon vague.

 

Dans le livre "Sarko m'a tuer", dont le quotidien publie des extraits, la magistrate ajoute: "Il fallait me dessaisir par tous les moyens. Il était impératif de me débarquer".

 

Isabelle Prévost-Desprez a été dessaisie à l'automne 2010 au profit du tribunal correctionnel de Bordeaux, qui a hérité de l'ensemble du dossier.

 

Gérard Bon, édité par Clément Guillou

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........Aubry demande une enquête dans l'affaire Bettencourt/Sarkozy

 

PARIS (Reuters) - Martine Aubry a souhaité mercredi qu'une nouvelle enquête fasse la lumière sur les allégations de la juge Isabelle Prévost-Desprez, qui affirme qu'un témoin a vu Nicolas Sarkozy se faire remettre des espèces chez Liliane Bettencourt, l'héritière de L'Oréal.

 

A droite, le secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé, s'est dit "étonné" du témoignage de la magistrate, évoquant à demi-mot une manipulation politique à huit mois de l'élection présidentielle. La porte-parole du gouvernement, Valérie Pécresse, a évoqué "un timing douteux".

 

L'Elysée a démenti mercredi soir les allégations rapportées mercredi dans Libération.

 

Le quotidien se fonde sur un livre à paraître jeudi, écrit par deux journalistes du Monde qui ont rencontré la vice-présidente du tribunal de Nanterre (Hauts-de-Seine), aujourd'hui dessaisie de l'affaire Bettencourt.

 

"Je ne comprends pas que Madame la juge n'ait pas exprimé cela devant le procureur, même si je sais les pressions dont elle a été l'objet et dont elle s'est d'ailleurs plainte. Je pense qu'aujourd'hui, je l'espère en tout cas, une nouvelle enquête va être ouverte", a réagi Martine Aubry sur RMC Info et BFM TV.

 

"C'est ce qui se passe normalement dans un pays où la justice est indépendante et libre. Quand une information comme celle-là, une allégation - qui n'est pour l'instant qu'une allégation - se retrouve sur la place publique, une nouvelle enquête doit avoir lieu", a-t-elle ajouté.

 

La présidence de la République parle d'"allégations scandaleuses, infondées et mensongères".

 

COPÉ "DUPE DE RIEN"

 

Pour Libération, les accusations d'Isabelle Prévost-Desprez semblent répondre à "l'extrême défiance" que le chef de l'Etat a alimenté à l'égard de l'institution judiciaire.

 

Interrogée par les auteurs du livre "Sarko m'a tuer", Fabrice Lhomme et Gérard Davet, Isabelle Prévost-Desprez dit avoir été frappée par la peur des témoins lors de ses investigations sur un volet du dossier Bettencourt.

 

Priée de dire de quoi ces témoins avaient peur, la magistrate répond : "Peur de parler sur procès-verbal à propos de Nicolas Sarkozy". Puis elle ajoute : "L'un d'eux m'a dit qu'il avait vu des remises d'espèces à Nicolas Sarkozy."

 

Isabelle Prévost-Desprez précise qu'il s'agit de l'infirmière de la milliardaire, laquelle ne se serait toutefois pas exprimée sur procès-verbal, précise Libération.

 

La comptable de Liliane Bettencourt, Claire Thiboult, avait déjà évoqué des remises d'espèces mais d'une façon vague.

 

Dans le livre, dont le quotidien publie des extraits, la magistrate ajoute: "Il fallait me dessaisir par tous les moyens. Il était impératif de me débarquer".

 

Isabelle Prévost-Desprez a été dessaisie à l'automne 2010 au profit du tribunal correctionnel de Bordeaux, qui a hérité de l'ensemble du dossier.

 

"C'est la femme qui a vu la femme qui a vu l'ours", a ironisé Valérie Pécresse lors du compte rendu du conseil des ministres.

 

"Il ne faut pas que l'approche de la campagne présidentielle soit l'occasion de toutes les dénonciations calomnieuses", a-t-elle ajouté, jugeant que "le timing est douteux et que la méthode l'est tout autant".

 

Jean-François Copé a abondé dans le même sens.

 

"On est à quelques mois de l'élection présidentielle, donc il ne faut être dupe de rien", a-t-il dit sur Canal+.

 

"Je crois comprendre que c'était hors procès-verbal, que ce sont des attaques de la part d'un juge en exercice. Tout cela est quand même un peu étonnant", a-t-il ajouté.

 

Pour le député socialiste de l'Essonne Julien Dray, invité d'Europe 1, "il faut que les choses soient clairement explicitées devant les juges".

 

"Dès qu'il y a un soupçon, il doit y avoir clarification", a estimé pour sa part sur France Info le député-maire d'Evry (Essonne), Manuel Valls, candidat à l'investiture socialiste pour la présidentielle.

 

Sophie Louet et Gérard Bon

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Ça sens très mauvais... Il y a rien de pire qu'une juge qui croit à la justice :mdr:

Apparemment il y a du nouveau , aux dernières nouvelles , le témoin contredit la juge ; il ne faut pas oublier que Sarkozy avait fait ses armes en politique à coté de Charles Pasqua à qui il a ravi la mairie de Neuilly/Seine , l'élève qui a dépassé le maitre en quelque sorte !

Le témoin dément avoir cité Sarkozy dans l'affaire Bettencourt

 

PARIS (Reuters) - Les principaux prétendants socialistes ont souhaité mercredi que la lumière soit faite sur les allégations de la juge Isabelle Prévost-Desprez, qui affirme qu'un témoin a vu Nicolas Sarkozy se faire remettre des espèces chez Liliane Bettencourt, l'héritière de L'Oréal.

 

Le témoin présumé, une ancienne infirmière de la milliardaire, a toutefois démenti dans la soirée avoir parlé de remises d'enveloppes d'argent en 2007 au futur chef de l'Etat.

 

"Lorsque j'ai été auditionnée par la juge Isabelle Prévost-Desprez, je ne lui ai pas parlé de remise d'enveloppes à Nicolas Sarkozy, ni à personne d'autre", dit-elle au site du magazine Marianne, qui ne donne que ses initiales H.Y.

 

Cette femme affirme en revanche qu'un climat de peur règne autour de cette affaire: "J'ai reçu des menaces de mort. On m'a fait savoir qu'à cause de mon témoignage dans l'affaire Banier-Bettencourt on allait retrouver mon corps dans la Seine".

 

Le Premier ministre, François Fillon, avait auparavant regretté "qu'au mépris de toute règle déontologique, de telles allégations visant le président de la République, à l'évidence dénuées de tout fondement, viennent nourrir la rumeur dans ce qu'elle a de plus détestable et de plus insidieux".

 

Le Premier ministre "ne peut que souhaiter que les procédures en cours viennent rapidement et en toute indépendance mettre un terme aux manipulations que la période préélectorale paraît seule de nature à expliquer", dit un communiqué.

 

UN EFFET DE LA PRÉSIDENTIELLE ?

 

Le secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé, s'est dit "étonné" du témoignage de la magistrate, évoquant à demi-mot une manipulation politique à huit mois de l'élection présidentielle.

 

L'Elysée avait démenti dès mercredi soir les allégations rapportées mercredi dans Libération et L'Express, les jugeant "scandaleuses, infondées et mensongères".

 

Elles figurent dans un livre à paraître jeudi, "Sarko m'a tuer", écrit par deux journalistes du Monde qui ont rencontré la vice-présidente du tribunal de Nanterre (Hauts-de-Seine), aujourd'hui dessaisie de l'affaire Bettencourt.

 

Martine Aubry, candidate à la primaire socialiste, a souhaité une nouvelle enquête.

 

"Je ne comprends pas que Mme la juge n'ait pas exprimé cela devant le procureur, même si je sais les pressions dont elle a été l'objet et dont elle s'est d'ailleurs plainte. Je pense qu'aujourd'hui, je l'espère en tout cas, une nouvelle enquête va être ouverte", a-t-elle dit sur RMC Info et BFM TV.

 

François Hollande, autre candidat à la primaire socialiste en vue de la présidentielle de 2012, a déclaré qu'il y avait "trop de pression" de l'Elysée sur la justice.

 

Le livre évoquant cette affaire révèle "qu'il y aurait à l'Elysée, aux côtés même du président de la République, une cellule qui, avec la police, avec la justice, ferait pression pour que des affaires soient lancées et d'autres étouffées", a-t-il dit à des journalistes.

 

Ségolène Royal, également engagée dans la compétition socialiste, a rappelé sur BFM-TV qu'elle avait réclamé dès le départ une enquête indépendante sur cette affaire. "Aujourd'hui, certains se réveillent pour demander cette enquête indépendante mais c'est une évidence", a-t-elle dit.

 

Pour Libération, les accusations d'Isabelle Prévost-Desprez semblent répondre à "l'extrême défiance" que le chef de l'Etat a alimenté à l'égard de l'institution judiciaire.

 

Interrogée par Fabrice Lhomme et Gérard Davet, Isabelle Prévost-Desprez dit avoir été frappée par la peur des témoins lors de ses investigations sur un volet du dossier Bettencourt.

 

Priée de dire de quoi ces témoins avaient peur, la magistrate répond : "Peur de parler sur procès-verbal à propos de Nicolas Sarkozy". Puis elle ajoute : "L'un d'eux m'a dit qu'il avait vu des remises d'espèces à Nicolas Sarkozy."

 

Isabelle Prévost-Desprez précise qu'il s'agit de l'infirmière de la milliardaire, laquelle ne se serait toutefois pas exprimée sur procès-verbal et aurait parlé à la greffière de la magistrate.

 

La comptable de Liliane Bettencourt, Claire Thiboult, avait déjà évoqué des remises d'espèces mais d'une façon vague.

 

Isabelle Prévost-Desprez a été dessaisie à l'automne 2010 au profit du tribunal correctionnel de Bordeaux, qui a hérité de l'ensemble du dossier.

 

Sophie Louet et Gérard Bon, édité par Jean-Loup Fiévet

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"Quand Sarkozy a quelqu'un dans le nez, il l'élimine"

 

Par LEXPRESS.fr | L'Express.fr – il y a 15 heures..

 

Dans leur ouvrage "Sarkozy m'a tuer", les journalistes Fabrice Lhomme et Gérard Davet ont recueilli les témoignages et les accusations de 27 victimes du sarkozysme.

 

Le président de la République n'aime pas qu'on se mette en travers de son chemin. Comme, avant lui, Jacques Chirac et François Mitterrand, son ascension est semée d'adversaires éliminés, de partisans sacrifiés ou de simples Français embarqués par accident dans une histoire trop grande pour eux. Mais, avec Nicolas Sarkozy, la machine à évincer s'est dotée de deux rouages supplémentaires: d'abord, la cause de l'élimination d'un "gêneur" peut être une simple exigence de communication ; ensuite, l'humiliation est couramment pratiquée, parce qu'elle permet de faire savoir que le clan présidentiel, une fois de plus, a été le plus fort. Dans leur livre, Fabrice Lhomme et Gérard Davet, grands reporters au Monde, sont allés à la rencontre de 27 victimes du sarkozysme. Leur ouvrage est une bombe lancée dans la présidentielle.

 

Y a-t-il une "méthode Sarkozy" pour éliminer quelqu'un?

 

Fabrice Lhomme : La volonté est récurrente, le processus change: on ne s'y prend pas de la même façon pour la petite comptable de l'affaire Bettencourt, Claire Thibout, qui dénonce un financement politique, ou pour Patrick Devedjian, qui s'oppose à Isabelle Balkany. Le système Sarkozy est très sensible aux rapports de forces: on écrase directement le faible, on procède de manière plus fine, voire perverse, avec le fort.

 

Gérard Davet: Un point commun cependant: la volonté d'humiliation. Nous citons la phrase fétiche de Nicolas Sarkozy, évoquée par Dominique de Villepin dans notre ouvrage: "Et pourquoi je me gênerais ?" Il n'aime pas qu'on se mette en travers de sa route et utilise tous les moyens à sa disposition.

 

Quel est son degré d'implication personnelle?

 

F. L. : Il y a ses colères: il a quelqu'un dans le nez, il faut l'éliminer. Et puis il y a les phénomènes de cour, avec des collaborateurs zélés qui (...) Lire la suite sur lexpress.fr

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Par LEXPRESS.fr | L'Express.fr – il y a 15 heures..

 

Dans leur ouvrage "Sarkozy m'a tuer", les journalistes Fabrice Lhomme et Gérard Davet ont recueilli les témoignages et les accusations de 27 victimes du sarkozysme.

 

Le président de la République n'aime pas qu'on se mette en travers de son chemin. Comme, avant lui, Jacques Chirac et François Mitterrand, son ascension est semée d'adversaires éliminés, de partisans sacrifiés ou de simples Français embarqués par accident dans une histoire trop grande pour eux. Mais, avec Nicolas Sarkozy, la machine à évincer s'est dotée de deux rouages supplémentaires: d'abord, la cause de l'élimination d'un "gêneur" peut être une simple exigence de communication ; ensuite, l'humiliation est couramment pratiquée, parce qu'elle permet de faire savoir que le clan présidentiel, une fois de plus, a été le plus fort. Dans leur livre, Fabrice Lhomme et Gérard Davet, grands reporters au Monde, sont allés à la rencontre de 27 victimes du sarkozysme. Leur ouvrage est une bombe lancée dans la présidentielle.

 

Y a-t-il une "méthode Sarkozy" pour éliminer quelqu'un?

 

Fabrice Lhomme : La volonté est récurrente, le processus change: on ne s'y prend pas de la même façon pour la petite comptable de l'affaire Bettencourt, Claire Thibout, qui dénonce un financement politique, ou pour Patrick Devedjian, qui s'oppose à Isabelle Balkany. Le système Sarkozy est très sensible aux rapports de forces: on écrase directement le faible, on procède de manière plus fine, voire perverse, avec le fort.

 

Gérard Davet: Un point commun cependant: la volonté d'humiliation. Nous citons la phrase fétiche de Nicolas Sarkozy, évoquée par Dominique de Villepin dans notre ouvrage: "Et pourquoi je me gênerais ?" Il n'aime pas qu'on se mette en travers de sa route et utilise tous les moyens à sa disposition.

 

Quel est son degré d'implication personnelle?

 

F. L. : Il y a ses colères: il a quelqu'un dans le nez, il faut l'éliminer. Et puis il y a les phénomènes de cour, avec des collaborateurs zélés qui (...) Lire la suite sur lexpress.fr

 

Ça me fait penser à l'histoire de Mitterrand et son garde du corps...

 

Dans les secrets du pouvoir, le genre de trucs qui doit exister que dans les films normalement....

 

Mais bon c'est un secret de polichinelle les financements occultes en France...

 

J'espère jusque Sarko se fera prendre...

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Purée cette affaire est bizarre.

 

Oui, c'est quand même bizarre, mais les guignols de l'info, montrent mamie Zinzin devant les caméras en train de donner à Nicolas des sacs de billets. L' infirmière n'a vu que des enveloppes, et le reste ? Ne l'aurait-elle pas gardé pour elle ?

 

Preuve s'il en est que l' UMP n'a rien cacher de ses dons, et que tout ce petit monde en quête de pub et de notoriété ne recule devant rien. Vous me direz que le ridicule ne tue pas, mais quand même !

 

Faut arriver à comprendre que si Sarko a pris des thunes, c'est pas en prenant à témoin l'infirmière.

 

Franchement, c'est hallucinant ! Quant au Monde, ça fait quelque temps déjà que je me suis désabonné. Pas besoin de dessin.

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Politiques Aujourd'hui à 19h17 LIBERATION

«Je n'ai pas parlé de remises d'enveloppes» à Sarkozy, assure l'ex-infirmière de Bettencourt

 

 

Interrogée par l'AFP, la présidence de la République parle d'accusations «infondées, mensongères et scandaleuses». (AFP / Lionel Bonaventure)

 

L'ex-infirmière de Liliane Bettencourt a affirmé mercredi dans une interview à l'hebdomadaire Marianne qu'elle n'avait «pas parlé de remise d’enveloppes à Nicolas Sarkozy, ni à personne d’autre» à la juge de Nanterre Isabelle Prévost-Desprez ou à sa greffière.

 

«Lorsque j’ai été auditionnée par la juge Isabelle Prévost-Desprez, je ne lui ai pas parlé de remise d’enveloppes à Nicolas Sarkozy, ni à personne d’autre. Je n’en ai parlé ni à la juge, ni à sa greffière», déclare l'infirmière, identifiée sous les initiales HY, qui dit aussi avoir été la cible de «menaces de mort» dans cette affaire.

 

Dans Sarko m'a tuer (Stock), un ouvrage de deux journalistes du Monde, la juge Prévost-Desprez affirme que l'ancienne infirmière de Liliane Bettencourt avait «confié à (sa) greffière, après son audition par (elle): "J'ai vu des remises d'espèces à Sarkozy mais je ne pouvais le dire sur procès-verbal"».

 

(Source AFP)

Mais qu'est ce qu'il me gonfle ces nabo de politiciens!!!!!!!!!!! je suis cerné des 2 côtés! aidez moi!!!!:crazy::crazy::mdr::mdr:

lol si cela s'avère exact, c'est gravissime!!!!!!!! indépendance de la justice welou et nature du délit implique aucune pitié face au jugement!!!

vivement 2012!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! :rolleyes:

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