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Busineess: le créneau de la sous traitance mécanique.


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Les grandes sociétés algériennes ont besoin d'un résdseau de sous-traitants locaux pour se développer.

Il y a matière à business. LIRE.

El MOUDJAHID.COM 06 septembre 2011

L'offre des différents organismes de soutien à l’emploi des jeunes en matière de sous-traitance mécanique demeure "en deçà des besoins du marché local" dans la wilaya de Constantine, a estimé dimanche le directeur de l’industrie, de la PME et de la promotion de l’investissement. M. Nadjib Achouri a fait état, au cours d’un entretien avec l’APS à la vieille de la tenue du 1er Salon national de la sous-traitance mécanique (SNASTM) prévu à Constantine du 19 au 22 septembre prochains, de l’existence de "17 micro-entreprises seulement spécialisées dans une dizaine de créneaux de la sous-traitance mécanique". Le même responsable a indiqué que sa direction, en tant que structure organisatrice de cette manifestation économique, s’attendait pourtant à une participation "massive" de micro-entreprises de sous-traitance initiées dans le cadre de l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (ANSEJ) et de la Caisse nationale d’assurance chômage (CNAC), "conviés pour tirer profit de cet important évènement industriel". Tous les postulants à une participation à ce salon ont été acceptés "sans la moindre opération de sélection, compte tenu de leur nombre limité", a affirmé M. Achouri, regrettant "le peu d’engouement" des jeunes promoteurs pour ce genre de métiers générateurs de richesses et d’emplois. Les micro-entreprises ayant confirmé leur participation à cette manifestation sont spécialisées dans le domaine de la visserie, de la galvanisation, des pièces de recyclage, des batteries et de faisceaux de câbles notamment, a précisé le même responsable. L’organisation de ce salon "n’a rien d’exceptionnel" dans une wilaya spécialisée dans l’industrie mécanique, a encore souligné M. Achouri, faisant part des "perspectives prometteuses" à offrir aux micro-entreprises qui peinent à décoller. Ce regroupement national qui sera organisé en collaboration avec la Chambre de commerce et d’industrie Rhumel et l’université Mentouri de Constantine verra la participation d’importantes sociétés industrielles nationales, à l’image de la Société nationale des véhicules industriels (SNVI), et de plusieurs entreprises spécialisées dans le secteur de la mécanique et du machinisme agricole, notamment, a-t-il précisé. La présence des leaders algériens en matière de mécanique industrielle, soucieux d’élargir leur gamme de production et d’améliorer leur taux d’intégration, permettra de booster la sous-traitance mécanique sous toutes ses formes dans cette wilaya et offrira l’opportunité aux entreprises en herbe de franchir un premier pas dans le paysage mécanique national, a ajouté M. Achouri. La sous-traitance industrielle représente 10% de la production nationale et devra atteindre les 50% à l’horizon 2015, selon les prévisions traçées dans le cadre du programme quinquennal 2010-2014, a-t-il rappelé.

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  • 3 months later...
il y a là un domaine vaste pour ceux qui savent manier les machines outils modernes.

 

La plus part des industriels Algeriens avaient commencé avec de vielles plieuses guillotines , emboutisseuses,Presses, roulleuses etc..., et surtout les fameux Tours qu'on trouve chez le tourneur du coin , certains importateurs Algeriens se sont spécialisé dans l'importation de ces derniers depuis les années 70 , mais depuis que notre geni de ministre Ouyahia a chié une loi qui interdis l'importation de tout matériel d'occase, il n"y a plus de nouveaux entrepreneurs , Car un Tour importe de Chine même neuf n'arrive pas à la cheville d'un Tour Bombled français . Pire encore cette loi est tombée au moment ou la crise frappe de plein fouet les l"économie Occidentale, c'etait l'occasion du siécle d'acheter des usines completes pour les installer dans notre pays , c’était l'occasion pour tous les pays du tiers Monde, et tout le monde c'est servi , sauf nous car on avait un Geni qui S'appelle Ouyahia ,

je fais tout un détour pour vous expliquer les causes du malheur qui frappe notre industrie .

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La plus part des industriels Algeriens avaient commencé avec de vielles plieuses guillotines , emboutisseuses,Presses, roulleuses etc..., et surtout les fameux Tours qu'on trouve chez le tourneur du coin , certains importateurs Algeriens se sont spécialisé dans l'importation de ces derniers depuis les années 70 , mais depuis que notre geni de ministre Ouyahia a chié une loi qui interdis l'importation de tout matériel d'occase, il n"y a plus de nouveaux entrepreneurs , Car un Tour importe de Chine même neuf n'arrive pas à la cheville d'un Tour Bombled français . Pire encore cette loi est tombée au moment ou la crise frappe de plein fouet les l"économie Occidentale, c'etait l'occasion du siécle d'acheter des usines completes pour les installer dans notre pays , c’était l'occasion pour tous les pays du tiers Monde, et tout le monde c'est servi , sauf nous car on avait un Geni qui S'appelle Ouyahia ,

je fais tout un détour pour vous expliquer les causes du malheur qui frappe notre industrie .

 

Merci de vos remarques. Vous avez l'air de bien connaître le domaine.

Je pense comme vous qu'il n'y a pas de mal à importer du matériel d'occasion.

Parfois il est vendu au prix de la ferraille quand c'est des usines françaises qui ferment.

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Merci de vos remarques. Vous avez l'air de bien connaître le domaine.

Je pense comme vous qu'il n'y a pas de mal à importer du matériel d'occasion.

Parfois il est vendu au prix de la ferraille quand c'est des usines françaises qui ferment.

 

Il faut laisser le libre choix à l'entrepreneur, c'est lui le connaisseur et c'est lui le visionnaire pourquoi lui imposer un matériel qui ne lui convient pas , la loi De ouyahia interdit l'occase , sous prétexte qu'il est impropre à l"utilisation et represente un danger pour l'utilisateur , alors pourquoi il est autorisé dans des pays ou on rigole pas avec la sécrurité des travailleurs , je vais vous dire les 4 vérités Ouyahia roule pour les Baron de l'import import, rien que le marché des engins dans notre pays represente presque un milliard de dollars, la tactique de ces criminels économiques qui ont saigné l'économie Algerienne et de brider tout créneau lucratif pour ouvrir des repesentation exclusives, ou ils t'imposeront leur produit et surtout ils sont seuls dans le terrain .

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Il faut laisser le libre choix à l'entrepreneur, c'est lui le connaisseur et c'est lui le visionnaire pourquoi lui imposer un matériel qui ne lui convient pas , la loi De ouyahia interdit l'occase , sous prétexte qu'il est impropre à l"utilisation et represente un danger pour l'utilisateur , alors pourquoi il est autorisé dans des pays ou on rigole pas avec la sécrurité des travailleurs , je vais vous dire les 4 vérités Ouyahia roule pour les Baron de l'import import, rien que le marché des engins dans notre pays represente presque un milliard de dollars, la tactique de ces criminels économiques qui ont saigné l'économie Algerienne et de brider tout créneau lucratif pour ouvrir des repesentation exclusives, ou ils t'imposeront leur produit et surtout ils sont seuls dans le terrain .

 

Balek. Vous avez certainement raison.

J'ai lu de Tom Segev (si ma mémoire est bonne), qu'après la seconde guerre mondiale, Ben Gourion a racheté dans les surplus de l'armée US toute une usine de fabrication d'armes. Il a fait acheter ces machines au prix de la ferraille et les a fait introduire dans la Palestine, alors sous mandat britannique comme machines agricoles...

 

ps: pour en revenir, à cette loi, faudrait lancer un mouvement de revendication.

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  • 4 weeks later...

14 Décembre 2011 11:15 Algérie - Les déchets de la sidérurgie: une ressource peu exploitée par les cimentiers

 

[L’emploi des laitiers dans le processus de fabrication de ciment est une source d’économie.]

 

L’emploi des laitiers dans le processus de fabrication de ciment est une source d’économie.

 

Le secteur de la sidérurgie produit annuellement 600.000 tonnes de laitiers sous forme de déchets de la production des hauts fourneaux. Ces déchets peuvent remplacer le clinker dans la composition du ciment à 60%, ce qui induirait des gains sur le plan économique et écologique. Très abondante en Algérie, cette ressource demeure sous-exploitée, observe l’universitaire algérien Mohammed Nadir Toudjit. « Seuls 20% de ces résidus sont utilisés par les industriels du ciment », regrette-t-il.

 

 

 

Les laitiers des hauts fourneaux, des résidus issus de la fabrication de la fonte dans les hauts fourneaux du complexe sidérurgique d’El Hadjar, peuvent entrer dans la fabrication des ciments mais ils sont sous-exploités, constate Mohammed Nadir Toudjit, du Laboratoire Bâti dans l’Environnement (LBE), de la faculté de génie civil de l’USTHB (Université des sciences et des technologies Houari Boumediene, Alger).

 

Rencontré en marge du 8ème séminaire international sur les technologies organisé par La Farge à Alger, cet universitaire estime que l’utilisation des ajouts minéraux dans la fabrication du ciment a un double avantage écologique et économique. Ces sous-produits de la sidérurgie sont produits en quantités importantes dans le complexe sidérurgique d’El Hadjar. « Malheureusement, seuls 20% de ces résidus sont utilisés par les industriels du ciment ».

 

Chaque année 600.000 tonnes de laitiers sont produites par l’industrie sidérurgique, indiquent les chiffres officiels. « Seulement 120.000 tonnes sont utilisées annuellement dans l’industrie du ciment. Le reste ne trouve pas preneur chez les cimentiers, encore réticents à employer ce minéral de substitution », a regretté Mohammed Nadir Toudjit. « Pourtant, en récupérant 60% de ces déchets pour les intégrer à des taux d’addition au niveau des ciments, en termes de substitution on peut aller jusqu’à 30% d’économie sur la production d’une tonne de ciment », a-t-il expliqué.

 

 

 

« L’Algérie doit construire avec du béton prêt à l’emploi »

 

 

 

La Farge va aller jusqu’à 60% de laitiers en termes de substitution dans la production du ciment dit CEM III, selon ce chercheur qui souligne que « l’augmentation de 30% du laitier en substitution du ciment, ce sont 30% de CO2 en moins et 30% de moins en clinker, produit obtenu à partir de l’extraction du calcaire et de l’argile des carrières ».

 

Un autre avantage de ces matériaux est l’amélioration des propriétés du béton. Mohammed Nadir Toudjit a rappelé que l’utilisation de ciment de laitier est plus indiquée dans les milieux agressifs tels que le milieu marin.

 

Ce chercheur a estimé, par ailleurs, qu’il était nécessaire pour l’Algérie de construire avec du béton prêt à l’emploi. Selon lui, celui-ci répond aux critères de durabilité fixés par la norme NA 16002 qui impose des règles strictes pour la pérennité des ouvrages. « Pour avoir des bétons qui assurent la durabilité, il faut utiliser des adjuvants », a-t-il affirmé.

 

Ce type de béton revient relativement cher. Cependant, le coût supplémentaire qu’induit l’utilisation d’adjuvants est amortissable à long terme, a assuré Mohammed Nadir Toudjit. « Le coût du M3 de béton est mesurable à long terme, sur 20 ans et non dans l’immédiat », a-t-il expliqué.

M E

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  • 1 month later...

Industrie : le programme de mise à niveau des PME relancé (Bensaci)

 

ALGER - Le programme national de mise à niveau des PME, doté de 386 milliards de DA, a été relancé suite au soutien des pouvoirs publics, a affirmé lundi à Alger le président du Conseil national consultatif de la PME (CNC/PME), M. Zaim Bensaci.

"Les mesures exigées par le ministère des Finances avaient retardé l’application du programme de mise à niveau des PME (lancé en janvier 2010 ndlr)’’, mais il a été cependant relancé grâce à l’intervention du Premier ministre, ’’qui a permis aux choses de rentrer dans l’ordre", a-t-il expliqué dans une déclaration à la presse en marge d’une journée d’étude sur l’industrie mécanique.

Cela avait permis de rendre l’Agence nationale de développement des PME (ANDPME) "responsable et comptable" de l’application de ce nouveau dispositif, qui vise à mettre à niveau quelque 20.000 PME à l’horizon 2014, a-t-il dit sans donner plus de précisions sur la nature des mesures exigées par le ministère des Finances.

Selon M. Bensaci, un comité a été mis en place dans le but d’assurer le suivi de l’application du programme national de mise à niveau des PME et se réunira deux fois par an dans le cadre de ses missions.

Concernant la situation de la sous-traitance en Algérie, le président du CNC/PME, une structure autonome regroupant une quarantaine d’organisations patronales et associations professionnelles, a estimé qu’une plus grande implication de ce tissu industriel permettrait de réduire considérablement la facture des importations qui avoisine annuellement 50 milliards DA.

"Une bonne partie des produits importés par l’Algérie peuvent être fabriqués localement et fournies par des sous-traitants nationaux. Cela réduirait considérablement la facture globale des importations qui s’élève annuellement à près de 50 milliards de dollars", a-t-il soutenu.

De son côté, le président de l’Union professionnel de l’Industrie automobile et mécanique (UPIAM), M. Brahim Bendris, a affirmé à la presse en marge de cette rencontre que la sous-traitance nationale, notamment celle qui active dans la filière de l’auto-mécanique, est capable de se substituer aux importations.

"La sous-traitance fournit à la Société nationale des véhicules industriels +SNVI+ l’équivalent de 400.000 euros de pièces mécaniques qui étaient auparavant importées", a-t-il fait savoir. "Dire qu’une industrie automobile n’existe pas en Algérie est faux.

Nous fabriquons depuis plusieurs années des machines agricoles et des véhicules industriels ", a-t-il souligné.

 

Industrie : le programme de mise à niveau des PME relancé (Bensaci) - APS : Algérie Presse Service

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  • 7 months later...

a preopos de ces equipêments d occasion .j ai eu l occasion de visiter des ports de peche en fr.des centaines de chalutiers .a quai .obligés de fermer a cause des lois europeennes sur les quotas .

ils se revendaient a l etat de ferraille .

je n avais jamais compris pourquoi l algerie ne les importait pas .

maintenant je comprends .

merci mr ouyahia

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  • 2 years later...
a preopos de ces equipêments d occasion .j ai eu l occasion de visiter des ports de peche en fr.des centaines de chalutiers .a quai .obligés de fermer a cause des lois europeennes sur les quotas .

ils se revendaient a l etat de ferraille .

je n avais jamais compris pourquoi l algerie ne les importait pas .

maintenant je comprends .

merci mr ouyahia

 

il y a du matériel d'occasion à racheter

pour pas cher

 

il y a des usines

, des ateliers, des machines outils

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C'est foutu pour l'algerie elle est restée dans les vieux reflexe socialiste.

Pour eux l'industrie c'est diminuer le chomage..

Cette façon de voir les choses est déja au départ fausse

Les consequences sont visible..au lieu de produire ils recrutent..

L'usine va se tra'sformer en stade...20 joueurs pour 8000 spectateur

En algerie il n ya eu jamais d'industrie dans les normes americaine allemande et japonaise..c'est du footbal...d'ailleurs la majorité des gens qui font la lolitique et qui décide sont issus des organisation de masse syndicat sport ,,,la hayloula l'agitation la violence physique et verbal contre les gestionnaires etc

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La plus part des industriels Algeriens avaient commencé avec de vielles plieuses guillotines , emboutisseuses,Presses, roulleuses etc..., et surtout les fameux Tours qu'on trouve chez le tourneur du coin , certains importateurs Algeriens se sont spécialisé dans l'importation de ces derniers depuis les années 70 , mais depuis que notre geni de ministre Ouyahia a chié une loi qui interdis l'importation de tout matériel d'occase, il n"y a plus de nouveaux entrepreneurs , Car un Tour importe de Chine même neuf n'arrive pas à la cheville d'un Tour Bombled français . Pire encore cette loi est tombée au moment ou la crise frappe de plein fouet les l"économie Occidentale, c'etait l'occasion du siécle d'acheter des usines completes pour les installer dans notre pays , c’était l'occasion pour tous les pays du tiers Monde, et tout le monde c'est servi , sauf nous car on avait un Geni qui S'appelle Ouyahia ,

je fais tout un détour pour vous expliquer les causes du malheur qui frappe notre industrie .

Vous faites erreures l'algerie depuis que les français sont entres e algerie jamais il n'yavait fusion'les juif les catholique et ,es arabes algerien chacun avait ses propres affaire,, ce gouvernement algerien c'est une equipre de foot c'est tout,,il passe leur temps dans les reunions et dans les textes qui ne seront jamais appliqué..

L'autre algerie qu'on appelle informelle a ses propres affaires et si un privé algere desire et sent le besoin d'un tour allema'd tu crois ouyahya va l'empecher?

Pendant que ouyahya est dans un bureau entrain de faire des reunions ''on fat cci on va faire cela'' les gens les vraie sont occupe de leurs affaires...

Tu crois qu'on attend ouyahya pour travailler?

Des pauvres malheureux issus de la classe pauvre on leur donne quelques et on les laisse dans un stade de foot qui fait office d'adminsitration ou de usines..8000 spectateur pour 20 vraie joueurs

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