Jazairi 10 Posted September 8, 2011 Partager Posted September 8, 2011 ALGER - Le ministre algérien de l'Agriculture Rachid Benaïssa a déploré jeudi une mobilisation internationale insuffisante contre la désertification, à l'ouverture d'une conférence africaine à Alger sur ce phénomène, qui menace près du tiers des habitants de la planète. L'une des causes majeures de l'insécurité alimentaire au niveau mondial -en l'occurrence la perte de ressources naturelles, la dégradation des terres et la désertification- reste peu traitée et bénéficie d'une mobilisation internationale insuffisante, a déclaré le ministre à l'ouverture de cette rencontre qui regroupe une centaine d'experts venus de plus de 40 pays africains. Il s'agit d'une réunion préparatoire à la 10e conférence des parties de la Convention des Nations unies de lutte contre la désertification (UNCCD, née du Sommet de la terre de Rio en 1992, prévue en en Octobre en Corée du Sud. En Afrique, ce phénomène affecte 43% des terres productives, soit 70% de l'activité économique et 40 % de la population du continent, a précisé le ministre algérien. L'Afrique est le continent le plus touché et le plus vulnérable à la désertification et à la sécheresse mais elle est également la région où la victoire contre ce fléau sera la plus marquante, a estimé pour sa part le secrétaire exécutif de la UNCCD Luc Gnacadja Selon lui, près de 750 (bien 750) millions d'hectares de terres africaines dégradées ou affectées par la déforestation pourraient redevenir fertiles et propices à l'agriculture dans un continent où la sécurité alimentaire n'est pas encore maîtrisée. Concernant les fonds nécessaires pour lutter contre ce phénomène en Afrique, M. Gnacadja a indiqué l'urgence ce n'est pas l'argent qui vient d'ailleurs mais c'est les investissements que doivent engager les pays concernés en premier lieu. Si ces pays le font, c'est l'ensemble du partenariat international qui viendra les aider, a-t-il ajouté dit. Selon M. Gnacadja, 450 millions de dollars ont été mobilisés sur quatre ans (2010-2014) par le Fonds pour l'environnement mondial (FEM) afin de lutter contre la dégradation des terres en Afrique . Il faut que les gouvernements (africains) mettent en place leurs politiques de lutte contre la désertification et la dégradation des terres pour accéder à cette aide internationale, a-t-il précisé. Les participants à la réunion d'Alger doivent approuver au terme de leurs travaux une feuille de route commune pour lutter contre la désertification en Afrique. L'Algérie préside durant deux ans, jusqu'à la fin 2011, le groupe africain de la Convention des Nations Unies pour la lutte contre la désertification. (©AFP / 08 septembre 2011 16h20) Citer Link to post Share on other sites
ulacsmah 10 Posted September 9, 2011 Partager Posted September 9, 2011 ALGER - Le ministre algérien de l'Agriculture Rachid Benaïssa a déploré jeudi une mobilisation internationale insuffisante contre la désertification, à l'ouverture d'une conférence africaine à Alger sur ce phénomène, qui menace près du tiers des habitants de la planète. L'une des causes majeures de l'insécurité alimentaire au niveau mondial -en l'occurrence la perte de ressources naturelles, la dégradation des terres et la désertification- reste peu traitée et bénéficie d'une mobilisation internationale insuffisante, a déclaré le ministre à l'ouverture de cette rencontre qui regroupe une centaine d'experts venus de plus de 40 pays africains. Il s'agit d'une réunion préparatoire à la 10e conférence des parties de la Convention des Nations unies de lutte contre la désertification (UNCCD, née du Sommet de la terre de Rio en 1992, prévue en en Octobre en Corée du Sud. En Afrique, ce phénomène affecte 43% des terres productives, soit 70% de l'activité économique et 40 % de la population du continent, a précisé le ministre algérien. L'Afrique est le continent le plus touché et le plus vulnérable à la désertification et à la sécheresse mais elle est également la région où la victoire contre ce fléau sera la plus marquante, a estimé pour sa part le secrétaire exécutif de la UNCCD Luc Gnacadja Selon lui, près de 750 (bien 750) millions d'hectares de terres africaines dégradées ou affectées par la déforestation pourraient redevenir fertiles et propices à l'agriculture dans un continent où la sécurité alimentaire n'est pas encore maîtrisée. Concernant les fonds nécessaires pour lutter contre ce phénomène en Afrique, M. Gnacadja a indiqué l'urgence ce n'est pas l'argent qui vient d'ailleurs mais c'est les investissements que doivent engager les pays concernés en premier lieu. Si ces pays le font, c'est l'ensemble du partenariat international qui viendra les aider, a-t-il ajouté dit. Selon M. Gnacadja, 450 millions de dollars ont été mobilisés sur quatre ans (2010-2014) par le Fonds pour l'environnement mondial (FEM) afin de lutter contre la dégradation des terres en Afrique . Il faut que les gouvernements (africains) mettent en place leurs politiques de lutte contre la désertification et la dégradation des terres pour accéder à cette aide internationale, a-t-il précisé. Les participants à la réunion d'Alger doivent approuver au terme de leurs travaux une feuille de route commune pour lutter contre la désertification en Afrique. L'Algérie préside durant deux ans, jusqu'à la fin 2011, le groupe africain de la Convention des Nations Unies pour la lutte contre la désertification. (©AFP / 08 septembre 2011 16h20) Alger appelle a l'aide quelle honte!!!! Citer Link to post Share on other sites
helena 10 Posted September 9, 2011 Partager Posted September 9, 2011 Alger appelle a l'aide quelle honte!!!! qu est ce que tu racontes toi elle appelle a la responsabilisation de tout les pays concernes avec vous c est simple si elle ne fait rien on le lui reproche et si elle fait quelque chose on se moque d elle a sa place qu aurais tu fais ! puisque tu as l air d etre si malin que ca Citer Link to post Share on other sites
Ayrod 10 Posted September 9, 2011 Partager Posted September 9, 2011 ALGER - Le ministre algérien de l'Agriculture Rachid Benaïssa a déploré jeudi une mobilisation internationale insuffisante contre la désertification, à l'ouverture d'une conférence africaine à Alger sur ce phénomène, qui menace près du tiers des habitants de la planète. L'une des causes majeures de l'insécurité alimentaire au niveau mondial -en l'occurrence la perte de ressources naturelles, la dégradation des terres et la désertification- reste peu traitée et bénéficie d'une mobilisation internationale insuffisante, a déclaré le ministre à l'ouverture de cette rencontre qui regroupe une centaine d'experts venus de plus de 40 pays africains. Il s'agit d'une réunion préparatoire à la 10e conférence des parties de la Convention des Nations unies de lutte contre la désertification (UNCCD, née du Sommet de la terre de Rio en 1992, prévue en en Octobre en Corée du Sud. En Afrique, ce phénomène affecte 43% des terres productives, soit 70% de l'activité économique et 40 % de la population du continent, a précisé le ministre algérien. L'Afrique est le continent le plus touché et le plus vulnérable à la désertification et à la sécheresse mais elle est également la région où la victoire contre ce fléau sera la plus marquante, a estimé pour sa part le secrétaire exécutif de la UNCCD Luc Gnacadja Selon lui, près de 750 (bien 750) millions d'hectares de terres africaines dégradées ou affectées par la déforestation pourraient redevenir fertiles et propices à l'agriculture dans un continent où la sécurité alimentaire n'est pas encore maîtrisée. Concernant les fonds nécessaires pour lutter contre ce phénomène en Afrique, M. Gnacadja a indiqué l'urgence ce n'est pas l'argent qui vient d'ailleurs mais c'est les investissements que doivent engager les pays concernés en premier lieu. Si ces pays le font, c'est l'ensemble du partenariat international qui viendra les aider, a-t-il ajouté dit. Selon M. Gnacadja, 450 millions de dollars ont été mobilisés sur quatre ans (2010-2014) par le Fonds pour l'environnement mondial (FEM) afin de lutter contre la dégradation des terres en Afrique . Il faut que les gouvernements (africains) mettent en place leurs politiques de lutte contre la désertification et la dégradation des terres pour accéder à cette aide internationale, a-t-il précisé. Les participants à la réunion d'Alger doivent approuver au terme de leurs travaux une feuille de route commune pour lutter contre la désertification en Afrique. L'Algérie préside durant deux ans, jusqu'à la fin 2011, le groupe africain de la Convention des Nations Unies pour la lutte contre la désertification. (©AFP / 08 septembre 2011 16h20) Slt jazaïri,Regardes ma localisation sous mon avatar avant de me répondre.Jamais dans mes 35 ans de carrière n'ai vu un pays verdoyant posséder du petrole.Donc normal que l'Algérie soit un desert.Par contre l'Algérie peut faire la même chose que le Maroc en arrachant tous les eucalyptus qui pompent 500 litres d'eau par jour par arbre et d'importer les arbres australiens qui sont moins gourmands en eau,et l'Algérie a les moyens. Citer Link to post Share on other sites
ulacsmah 10 Posted September 9, 2011 Partager Posted September 9, 2011 qu est ce que tu racontes toi elle appelle a la responsabilisation de tout les pays concernes avec vous c est simple si elle ne fait rien on le lui reproche et si elle fait quelque chose on se moque d elle a sa place qu aurais tu fais ! puisque tu as l air d etre si malin que ca d'un coup l'occident le méchant , devient gentille. l’Algérie a les moyen de planter des million d'arabes. mais comme c'est un état anti-nature , cette appele n'est que de la poudre aux yeux. Chriaa ,sidi ali bounab....... rasé par l'armée, des centaines de millier d'arabes arraché vendu en bois. et ils justifie leurs crime par le terrorisme. Citer Link to post Share on other sites
Guest fellay Posted September 10, 2011 Partager Posted September 10, 2011 ALGER - Le ministre algérien de l'Agriculture Rachid Benaïssa a déploré jeudi une mobilisation internationale insuffisante contre la désertification, à l'ouverture d'une conférence africaine à Alger sur ce phénomène, qui menace près du tiers des habitants de la planète. L'une des causes majeures de l'insécurité alimentaire au niveau mondial -en l'occurrence la perte de ressources naturelles, la dégradation des terres et la désertification- reste peu traitée et bénéficie d'une mobilisation internationale insuffisante, a déclaré le ministre à l'ouverture de cette rencontre qui regroupe une centaine d'experts venus de plus de 40 pays africains. Il s'agit d'une réunion préparatoire à la 10e conférence des parties de la Convention des Nations unies de lutte contre la désertification (UNCCD, née du Sommet de la terre de Rio en 1992, prévue en en Octobre en Corée du Sud. En Afrique, ce phénomène affecte 43% des terres productives, soit 70% de l'activité économique et 40 % de la population du continent, a précisé le ministre algérien. L'Afrique est le continent le plus touché et le plus vulnérable à la désertification et à la sécheresse mais elle est également la région où la victoire contre ce fléau sera la plus marquante, a estimé pour sa part le secrétaire exécutif de la UNCCD Luc Gnacadja Selon lui, près de 750 (bien 750) millions d'hectares de terres africaines dégradées ou affectées par la déforestation pourraient redevenir fertiles et propices à l'agriculture dans un continent où la sécurité alimentaire n'est pas encore maîtrisée. Concernant les fonds nécessaires pour lutter contre ce phénomène en Afrique, M. Gnacadja a indiqué l'urgence ce n'est pas l'argent qui vient d'ailleurs mais c'est les investissements que doivent engager les pays concernés en premier lieu. Si ces pays le font, c'est l'ensemble du partenariat international qui viendra les aider, a-t-il ajouté dit. Selon M. Gnacadja, 450 millions de dollars ont été mobilisés sur quatre ans (2010-2014) par le Fonds pour l'environnement mondial (FEM) afin de lutter contre la dégradation des terres en Afrique . Il faut que les gouvernements (africains) mettent en place leurs politiques de lutte contre la désertification et la dégradation des terres pour accéder à cette aide internationale, a-t-il précisé. Les participants à la réunion d'Alger doivent approuver au terme de leurs travaux une feuille de route commune pour lutter contre la désertification en Afrique. L'Algérie préside durant deux ans, jusqu'à la fin 2011, le groupe africain de la Convention des Nations Unies pour la lutte contre la désertification. (©AFP / 08 septembre 2011 16h20) Monsieur le ministre a besoin d'une mobilisation mondiale pour montrer à son pays comment planter des arbres ... ou est ce un appel pour une aide financière? Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted September 10, 2011 Partager Posted September 10, 2011 L'Algérie doit prendre en charge ce problème (concernant le territoire Algérien ) toute seule. Elle a les moyens matériels et pourrait même recruter beaucoup de "sommités mondiales" dans le domaine . La catastrophe est à nos portes et ORAN sera , d'après plusieurs sources, submergée par le sable d'ici moins de 50 ans ! Le barrage verte était une bonne idée (pour l'époque) mais il s'agit là de faire encore plus fort en tenant compte de tous les paramètres qu'on ne maîtrisait pas à l'époque . Les solutions peuvent être nombreuses et variées (selon la nature du sol de chaque région et de la disponibilité de réserves d'eau souterraines ) et vont de la création de lacs artificiels à celui de forêts (tout aussi artificielles) ......... Croire que l'occident va s'apitoyer sur notre sort (et celui de nos voisins et frères) relève de la naïveté la plus absolue ! Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted September 10, 2011 Partager Posted September 10, 2011 Le barrage vert a été bouffé par les chèvres des hauts plateaux ! :D Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted September 10, 2011 Partager Posted September 10, 2011 Le barrage vert a été bouffé par les chèvres des hauts plateaux ! :D C'était difficile de l'entretenir ! Les autorités locales ne faisaient pas correctement leur boulot . Il faudrait aller plus vers des micro-ouvrages type lacs artificiels , forêts artificielles , abondance de végétation et arbres dans et autour des villes Sahariennes ...... Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted September 10, 2011 Partager Posted September 10, 2011 C'était difficile de l'entretenir ! Les autorités locales ne faisaient pas correctement leur boulot . Il faudrait aller plus vers des micro-ouvrages type lacs artificiels , forêts artificielles , abondance de végétation et arbres dans et autour des villes Sahariennes ...... C'est exactement ce qu'ont préconisé les experts à l'époque , mais le moustachu n'a rien voulu savoir . Citer Link to post Share on other sites
Guest mounir 19 Posted September 10, 2011 Partager Posted September 10, 2011 C'était difficile de l'entretenir ! Les autorités locales ne faisaient pas correctement leur boulot . Il faudrait aller plus vers des micro-ouvrages type lacs artificiels , forêts artificielles , abondance de végétation et arbres dans et autour des villes Sahariennes ...... .......... on ne crée pas une foret pour l'entretenir le barrage vert a était créer sans réel étude et ce de l'aveu de certain responsables ! Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted September 10, 2011 Partager Posted September 10, 2011 .......... on ne crée pas une foret pour l'entretenir le barrage vert a était créer sans réel étude et ce de l'aveu de certain responsables ! Une forêt , il y a un "office national des forêts" qui doit s'en occuper ... Et cet office doit comprendre qu'il doit "sortir" du confort de la bande côtière et faire son boulot sur l'ensemble du territoire national . Dans beaucoup d'endroits le sol (donc nul besoin d'importer de la terre :crazy:) se prête à la création de forêts , on pourrait même créer des réserves naturelles avec des espèces animales adaptées au climat local ! Le barrage vert a été une oeuvre volontariste mais à l'époque le niveau d'avancement de la recherche scientifique dans ce genre de "sujets sensibles" n'était pas très avancé . Mr Ladoz avait souligné qu'il fallait recruter (et ne pas avoir honte de le faire) des sommités mondiales dans le domaine et travailler avec eux sur différents projets . Citer Link to post Share on other sites
Guest mounir 19 Posted September 10, 2011 Partager Posted September 10, 2011 Une forêt , il y a un "office national des forêts" qui doit s'en occuper ... Et cet office doit comprendre qu'il doit "sortir" du confort de la bande côtière et faire son boulot sur l'ensemble du territoire national . Dans beaucoup d'endroits le sol (donc nul besoin d'importer de la terre :crazy:) se prête à la création de forêts , on pourrait même créer des réserves naturelles avec des espèces animales adaptées au climat local ! Le barrage vert a été une oeuvre volontariste mais à l'époque le niveau d'avancement de la recherche scientifique dans ce genre de "sujets sensibles" n'était pas très avancé . Mr Ladoz avait souligné qu'il fallait recruter (et ne pas avoir honte de le faire) des sommités mondiales dans le domaine et travailler avec eux sur différents projets . .... l'une des erreur dont j'ai pu m'en apercevoir de mes propre yeux c'est le pin d'alep il fut planter a grande échelle or c'est un arbre envahisseur si je puis dire en plus d’être nuisible pour la terre bien sur quand il est planter a grand échelle la sorte d'aiguille qu'il laisse tombé au fil des saisons forme une couche sur la terre et qui par la suite ne laisse aucune chance pour les autres espèce de poussé ! il c'est avérer aussi qu'il change la composition de la terre sur laquelle il est planté ..... Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted September 10, 2011 Partager Posted September 10, 2011 .... l'une des erreur dont j'ai pu m'en apercevoir de mes propre yeux c'est le pin d'alep il fut planter a grande échelle or c'est un arbre envahisseur si je puis dire en plus d’être nuisible pour la terre bien sur quand il est planter a grand échelle la sorte d'aiguille qu'il laisse tombé au fil des saisons forme une couche sur la terre et qui par la suite ne laisse aucune chance pour les autres espèce de poussé ! il c'est avérer aussi qu'il change la composition de la terre sur laquelle il est planté ..... Ce sont des détails scientifiques dont il faudrait tenir compte ... D'ou l'intérêt de recourir aux expertises de vrais scientifiques au lieu de faire du n'importe quoi . Il ne devrait y avoir aucun problème à y mettre des milliards de dollars (au lieu que ça ne soit détourné) car il s'agit de l'avenir du pays et de sa sécurité alimentaire . Citer Link to post Share on other sites
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