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Ballades Nocturnes...


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Guidé par mes pas...

J’avance dans le noir de la nuit...

Sous un plafond sombre troué par des lueurs ...

 

La fumée empoisonnée s’échappe de mes narines...

Rythmée par mes guides, soulevée par la brise...

Un mur pour m’adosser, libéré de ses occupants du jour...

 

Je la voyais, elle cherchait elle aussi mon regard...

Au travers des nuages…, si pâle, si belle, que j’en devins bavard...

Merci! lui criais-je, merci d’être là...

Même après plusieurs départs tu m’es restée fidèle...

Ces mots, reprit par l’écho, transportés au loin me revinrent ...

Un sourire me soulagea le visage, pathétique je le savais je semblais...

 

Pourtant, elle me fixait toujours...

Tu dois être jalouse de ta voisine !

Colorée, grouillante de vie et toi…toujours pâle…

Pourtant, tu ne devrais pas ! De près, elle porte d’étranges cicatrices !

Elle vomit de l’or sal, que ses enfants s’empressent d’amasser

Pour nourrir des monstres de fer, pour construire des tours de béton

Tu es bien, là où tu es

Celui qui est mort ne peut mourir encore

Ta voisine gémit par moment ne l’entends-tu pas ?!

Elle vibre, pleure ; ne le vois-tu pas ?!

 

Etranges sont ces nuits... étrange est cette vie...

Tristement belle, joyeusement triste...

Joyeusement courte, tristement drôle...

 

Retranscrits par des mains fébriles ces mots

Se placent devant vous, passez votre chemin cher ami

Le supplice d’un autre ne doit pas être votre

Libéré je deviens quand je lâche mon esprit

Conscient je demeure, inconscient je souhaite devenir

Emmuré dans du chagrin, étouffé par du satin

Le rêveur éveillé ne souhaite plus se réveiller...

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Guidé par mes pas...

J’avance dans le noir de la nuit...

Sous un plafond sombre troué par des lueurs ...

 

La fumée empoisonnée s’échappe de mes narines...

Rythmé par mes guides, soulevé par la brise...

Un mur pour m’adosser, libéré de ses occupants du jour...

 

Je la voyais, elle cherchait elle aussi mon regard...

Au travers des nuages…, si pâle, si belle, que j’en devins bavard...

Merci! lui criais-je, merci d’être là...

Même après plusieurs départs tu m’es restée fidèle...

Ces mots, reprit par l’écho, transportés au loin me revinrent ...

Un sourire me soulagea le visage, pathétique je le savais je semblais...

 

Pourtant, elle me fixait toujours...

Tu dois être jalouse de ta voisine !

Colorée, grouillante de vie et toi…toujours pâle…

Pourtant, tu ne devrais pas ! De près, elle porte d’étranges cicatrices !

Elle vomit de l’or sal, que ses enfants s’empressent d’amasser

Pour nourrir des monstres de fer, pour construire des tours de béton

Tu es bien, là où tu es

Celui qui est mort ne peut mourir encore

Ta voisine gémit par moment ne l’entends-tu pas ?!

Elle vibre, pleure ; ne le vois-tu pas ?!

 

Etranges sont ces nuits... étrange est cette vie...

Tristement belle, joyeusement triste...

Joyeusement courte, tristement drôle...

 

Retranscrits par des mains fébriles ces mots

Se placent devant vous, passez votre chemin cher ami

Le supplice d’un autre ne doit pas être votre

Libéré je deviens quand je lâche mon esprit

Conscient je demeure, inconscient je souhaite devenir

Emmuré dans du chagrin, étouffé par du satin

Le rêveur éveillé ne souhaite plus se réveiller.

 

Magnifique. Merci pour le partage monsieur mélancolique :)

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Guest l'esquimau
Guidé par mes pas...

J’avance dans le noir de la nuit...

Sous un plafond sombre troué par des lueurs ...

 

La fumée empoisonnée s’échappe de mes narines...

Rythmé par mes guides, soulevé par la brise...

Un mur pour m’adosser, libéré de ses occupants du jour...

 

Je la voyais, elle cherchait elle aussi mon regard...

Au travers des nuages…, si pâle, si belle, que j’en devins bavard...

Merci! lui criais-je, merci d’être là...

Même après plusieurs départs tu m’es restée fidèle...

Ces mots, reprit par l’écho, transportés au loin me revinrent ...

Un sourire me soulagea le visage, pathétique je le savais je semblais...

 

Pourtant, elle me fixait toujours...

Tu dois être jalouse de ta voisine !

Colorée, grouillante de vie et toi…toujours pâle…

Pourtant, tu ne devrais pas ! De près, elle porte d’étranges cicatrices !

Elle vomit de l’or sal, que ses enfants s’empressent d’amasser

Pour nourrir des monstres de fer, pour construire des tours de béton

Tu es bien, là où tu es

Celui qui est mort ne peut mourir encore

Ta voisine gémit par moment ne l’entends-tu pas ?!

Elle vibre, pleure ; ne le vois-tu pas ?!

 

Etranges sont ces nuits... étrange est cette vie...

Tristement belle, joyeusement triste...

Joyeusement courte, tristement drôle...

 

Retranscrits par des mains fébriles ces mots

Se placent devant vous, passez votre chemin cher ami

Le supplice d’un autre ne doit pas être votre

Libéré je deviens quand je lâche mon esprit

Conscient je demeure, inconscient je souhaite devenir

Emmuré dans du chagrin, étouffé par du satin

Le rêveur éveillé ne souhaite plus se réveiller.

 

beau et mélancolique

 

j'aime bien, l'ami .:)

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Mais que dis-je, peut être est-ce ton choix de rester seule

Tu lui tourne autour sans t’approcher, j’ai pris exemple sur toi sans même te connaitre

Ne m’approchez pas, hideuse est ma mélancolie

Mélange de folie et de bon sens, sucrée salée comme ces larmes

Qui refusent de couler alors que les autres en versent a volonté

 

Je traverse le temps marche contre le vent

Je l’attends ,elle, vieille courbée vêtue de noir

Messagère de dieu sans message

Viendras-tu mettre un terme à mon passage

Non bien sur, l’heure est à l’apprentissage

J’attends toujours la caresse de tes mains hideuses

Ils t’ont décrite ainsi, vielle peau macabre accompagnée par tes corbeaux

Ils ne savent pas ta beauté

Ne vivent pas ma beauté, ma belle qui est restée avec moi

 

Il vibre, inlassablement

Il noircit par moment

Me fait pousser des grognements

M’exaspère, je veux l e contrôler

Le tenir dans mes mains, l’écraser

L’empêcher de battre, de chanter la chamade

Si petit, toujours à boire du rouge

Combien de fois t’ai-je fait confiance

M’assuré tu avais que c’était elles

Me donnait la fièvre, chassait de moi le sommeille

Je t’avais prévenu pourtant, elles sont cruelles

 

Donnez moi mon poison cher ami, tenez gardez la monnaie

Un si bon présent, ce n’est que trop peu payé

Mon manteau gris est beau, elle me l’a offert

Il te va si bien me dit-elle, je t’aime aussi risk...

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Guidé par mes pas...

J’avance dans le noir de la nuit...

Sous un plafond sombre troué par des lueurs ...

 

La fumée empoisonnée s’échappe de mes narines...

Rythmée par mes guides, soulevée par la brise...

Un mur pour m’adosser, libéré de ses occupants du jour...

 

Je la voyais, elle cherchait elle aussi mon regard...

Au travers des nuages…, si pâle, si belle, que j’en devins bavard...

Merci! lui criais-je, merci d’être là...

Même après plusieurs départs tu m’es restée fidèle...

Ces mots, reprit par l’écho, transportés au loin me revinrent ...

Un sourire me soulagea le visage, pathétique je le savais je semblais...

 

Pourtant, elle me fixait toujours...

Tu dois être jalouse de ta voisine !

Colorée, grouillante de vie et toi…toujours pâle…

Pourtant, tu ne devrais pas ! De près, elle porte d’étranges cicatrices !

Elle vomit de l’or sal, que ses enfants s’empressent d’amasser

Pour nourrir des monstres de fer, pour construire des tours de béton

Tu es bien, là où tu es

Celui qui est mort ne peut mourir encore

Ta voisine gémit par moment ne l’entends-tu pas ?!

Elle vibre, pleure ; ne le vois-tu pas ?!

 

Etranges sont ces nuits... étrange est cette vie...

Tristement belle, joyeusement triste...

Joyeusement courte, tristement drôle...

 

Retranscrits par des mains fébriles ces mots

Se placent devant vous, passez votre chemin cher ami

Le supplice d’un autre ne doit pas être votre

Libéré je deviens quand je lâche mon esprit

Conscient je demeure, inconscient je souhaite devenir

Emmuré dans du chagrin, étouffé par du satin

Le rêveur éveillé ne souhaite plus se réveiller...

 

c'est très beau...merci pour le partage...

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Guest samirovsky
Guidé par mes pas...

J’avance dans le noir de la nuit...

Sous un plafond sombre troué par des lueurs ...

 

La fumée empoisonnée s’échappe de mes narines...

Rythmée par mes guides, soulevée par la brise...

Un mur pour m’adosser, libéré de ses occupants du jour...

 

Je la voyais, elle cherchait elle aussi mon regard...

Au travers des nuages…, si pâle, si belle, que j’en devins bavard...

Merci! lui criais-je, merci d’être là...

Même après plusieurs départs tu m’es restée fidèle...

Ces mots, reprit par l’écho, transportés au loin me revinrent ...

Un sourire me soulagea le visage, pathétique je le savais je semblais...

 

Pourtant, elle me fixait toujours...

Tu dois être jalouse de ta voisine !

Colorée, grouillante de vie et toi…toujours pâle…

Pourtant, tu ne devrais pas ! De près, elle porte d’étranges cicatrices !

Elle vomit de l’or sal, que ses enfants s’empressent d’amasser

Pour nourrir des monstres de fer, pour construire des tours de béton

Tu es bien, là où tu es

Celui qui est mort ne peut mourir encore

Ta voisine gémit par moment ne l’entends-tu pas ?!

Elle vibre, pleure ; ne le vois-tu pas ?!

 

Etranges sont ces nuits... étrange est cette vie...

Tristement belle, joyeusement triste...

Joyeusement courte, tristement drôle...

 

Retranscrits par des mains fébriles ces mots

Se placent devant vous, passez votre chemin cher ami

Le supplice d’un autre ne doit pas être votre

Libéré je deviens quand je lâche mon esprit

Conscient je demeure, inconscient je souhaite devenir

Emmuré dans du chagrin, étouffé par du satin

Le rêveur éveillé ne souhaite plus se réveiller...

 

Le néophyte que je suis n'y vois que sublime plume.

Et qu'en pensent nos critiques littéraires maison, Rihame par ex. ? :cool:

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RISK qui prend le risque d'ENTRER dans ce manoir , pleins de choses bizarres...

 

Tes ballades sont un régal

 

Ma contribution quand j'étais comme toi, somnambule

Reine de sabaa

Fille à papa

Un peu sel un peu barbe à papa

Trottant à petit pas

savourant chaque repas

 

Oups! Je vois mes bas

tomber bas...

J'vois la vache mettre bas

Après quelques courts va-et-viens

J'l'ai vu lécher son bambin

Et l'accompagner dans ces premiers pas

 

 

Toujours en marchant à petit pas

J'ai rencontré une oie

Un chien, et un putois

Mine de rien, ils étaient amis tous les trois

 

 

Tout en allant doucement

J'ai eu un sursaut en avant

En éclatant de rire

C’était un loup habillé en Émir

 

 

 

Je continue mon chemin

Que vois-je au loin

Mister l'âne en chamane

Qui avait une gazelle comme compagne

 

 

J'ris aussi fort

Qu'il m'entendit et ce fût là mon tord

Puisque d'un coup de sabot

Il m’éjecte de mon rêve que je trouvais beau

 

 

 

Je vais devoir l'éviter celui-là

A la prochaine balade en tout cas

 

Nazwa le 27/12/2008

2H35

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Le néophyte que je suis n'y vois que sublime plume.

Et qu'en pensent nos critiques littéraires maison, Rihame par ex. ? :cool:

 

 

néophyte je le suis aussi

je n'ai pas pris de raccourcis

juste un état d'âme que j'ai retranscrit

bourrés des sens cachés est ce récit

merci de t'être arrêté ici samirovsky

:)

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néophyte je le suis aussi

je n'ai pas pris de raccourcis

juste un état d'âme que j'ai retranscrit

bourrés des sens cachés est ce récit

merci de t'être arrêté ici samirovsky

:)

 

En effet, tes écrits sont comme une oeuvre de peinture surréaliste. Ils ont vagues et incompréhensibles au premier abord, mais traduisent pour les âmes mélancoliques des états d'esprit qu'elles peuvent, à leur guise, s'approprier.

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Riham;

 

j'ai voulu le contrôler

le faire réagir selon mon gré

il bat pour me faire vivre

je me bat pour le faire taire

 

veine tentative qui le fit rire

sans moi tu n'es rien me murmura t-il

les sentiments ont toujours été ta nature

chasse les, ils reviendront à toute allure.

 

je te lis, plus que tu ne le pense.

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En effet, tes écrits sont comme une oeuvre de peinture surréaliste. Ils ont vagues et incompréhensibles au premier abord, mais traduisent pour les âmes mélancoliques des états d'esprit qu'elles peuvent, à leur guise, s'approprier.

 

 

j'hésitais a faire des posts pour détailler un peu, bien que les sens soient multiples, l'ensemble tend ver une idée globale.

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Risk

 

Laisse les autres apprécier tes écrits

Le mérite d'un poète ou d'un amateur poète c'est bien sa simplicité

Ne sous-estime pas ton lecteur...

 

Il se pourrait qu'on en comprenne pas le sens où tu veux nous emmener, d'ailleurs sommes-nous obligés de le faire... Sache que chacun à travers sa lecture saura trouver ce qui lui convient!

 

 

Tu sais, j'te propose de ne pas commenter car tu massacres tes beaux écrits :mdr::mdr:

Poste et tais-toi c'est mieux !!!!!!!!!

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Risk

 

Laisse les autres apprécier tes écrits

Le mérite d'un poète ou d'un amateur poète c'est bien sa simplicité

Ne sous-estime pas ton lecteur...

 

Il se pourrait qu'on en comprenne pas le sens où tu veux nous emmener, d'ailleurs sommes-nous obligés de le faire... Sache que chacun à travers sa lecture saura trouver ce qui lui convient!

 

 

Tu sais, j'te propose de ne pas commenter car tu massacres tes beaux écrits :mdr::mdr:

Poste et tais-toi c'est mieux !!!!!!!!!

 

je me tais :chut:

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Risk

 

Laisse les autres apprécier tes écrits

Le mérite d'un poète ou d'un amateur poète c'est bien sa simplicité

Ne sous-estime pas ton lecteur...

 

Il se pourrait qu'on en comprenne pas le sens où tu veux nous emmener, d'ailleurs sommes-nous obligés de le faire... Sache que chacun à travers sa lecture saura trouver ce qui lui convient!

 

 

Tu sais, j'te propose de ne pas commenter car tu massacres tes beaux écrits :mdr::mdr:

Poste et tais-toi c'est mieux !!!!!!!!!

 

C'est mieux en effet. La beauté de ses écrits est aussi dans leur mystère.

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  • 1 month later...

merci!!

 

vous ai-je conté mon histoire?

cherchons dans les tiroirs de ma mémoire

sans doute y trouverions nous quelques doux souvenirs

de ces jours passés où faciles étaient mes sourires

 

ces nuits longues et froides

où l'air si abondant me manquait

ma donneuse de vie s'affolant

le dieu de la maison indifférent

 

Comptons nos souvenirs l’ami

Exaltons nous, baignons nous dans la douceur

De cette nostalgie aux milles saveurs

 

Tant d’adieux macabres

Où la terre couvrait les visages

Emprisonnait les chairs froides

Donnait naissance aux herbes bonnes

 

Ha !

J’en parle et j’en découvre d’avantage

Comme si ils n’étaient pas miens

Ces bribes qui m’apparaissent

M’interpellent pour que je leur donne forme

Oui, je me souviens

 

De ces journées ternes où sous la pluie

nous dansions avec les arbres sous la musique du vent

les larmes des cieux en pleure libérées

les larmes de mes yeux en pleure emprisonnées

 

les printemps se suivent

la saison jaune fait place à la grise

douces journées qui viennent caresser ma conscience

à jamais torturée, à jamais noircie

le commencement fut, la fin sera

entre temps ... toute une vie

entre temps ... que du gâchis

les fous rient, se goinfrent et s'écrasent

bientôt tomberons pour nourrir les misérables

 

merci!!

 

quand viendra la délivrance, dites "il fut avec nous

nous l'avons connu, grincheux et lunatique

mais nous l'avons connu..." merci!!

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Guest vanityfair
merci!!

 

vous ai-je compté mon histoire?

cherchons dans les tiroirs de ma mémoire

sans doute y trouverions nous quelques doux souvenirs

de ces jours passés où faciles étaient mes sourires

 

ces nuits longues et froides

où l'air si abondant me manquait

ma donneuse de vie s'affolant

le dieu de la maison indifférent

 

Comptons nos souvenirs l’ami

Exaltons nous, baignons nous dans la douceur

De cette nostalgie aux milles saveurs

 

Tant d’adieux macabres

Où la terre couvrait les visages

Emprisonnait les chairs froides

Donnait naissance aux herbes bonnes

 

Ha !

J’en parle et j’en découvre d’avantage

Comme si ils n’étaient pas miens

Ces bribes qui m’apparaissent

M’interpellent pour que je leur donne forme

Oui, je me souviens

 

De ces journées ternes où sous la pluie

nous dansions avec les arbres sous la musique du vent

les larmes des cieux en pleure libérées

les larmes de mes yeux en pleure emprisonnées

 

les printemps se suivent

la saison jaune fait place à la grise

douces journées qui viennent caresser ma conscience

à jamais torturée, à jamais noircie

le commencement fut, la fin sera

entre temps ... toute une vie

entre temps ... que du gâchis

les fous rient, se goinfrent et s'écrasent

bientôt tomberons pour nourrir les misérables

 

merci!!

 

quand viendra la délivrance, dites "il fut avec nous

nous l'avons connu, grincheux et lunatique

mais nous l'avons connu..." merci!!

 

Très beau texte Risk. :)

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Guest carobibique
Mais que dis-je, peut être est-ce ton choix de rester seule

Tu lui tourne autour sans t’approcher, j’ai pris exemple sur toi sans même te connaitre

Ne m’approchez pas, hideuse est ma mélancolie

Mélange de folie et de bon sens, sucrée salée comme ces larmes

Qui refusent de couler alors que les autres en versent a volonté

 

Je traverse le temps marche contre le vent

Je l’attends ,elle, vieille courbée vêtue de noir

Messagère de dieu sans message

Viendras-tu mettre un terme à mon passage

Non bien sur, l’heure est à l’apprentissage

J’attends toujours la caresse de tes mains hideuses

Ils t’ont décrite ainsi, vielle peau macabre accompagnée par tes corbeaux

Ils ne savent pas ta beauté

Ne vivent pas ma beauté, ma belle qui est restée avec moi

 

Il vibre, inlassablement

Il noircit par moment

Me fait pousser des grognements

M’exaspère, je veux l e contrôler

Le tenir dans mes mains, l’écraser

L’empêcher de battre, de chanter la chamade

Si petit, toujours à boire du rouge

Combien de fois t’ai-je fait confiance

M’assuré tu avais que c’était elles

Me donnait la fièvre, chassait de moi le sommeille

Je t’avais prévenu pourtant, elles sont cruelles

 

Donnez moi mon poison cher ami, tenez gardez la monnaie

Un si bon présent, ce n’est que trop peu payé

Mon manteau gris est beau, elle me l’a offert

Il te va si bien me dit-elle, je t’aime aussi risk...

 

J'attend la faucheuse... ma liberté sera à ce prix et je serai sienne.

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