Guest Risk Posted September 18, 2011 Partager Posted September 18, 2011 Guidé par mes pas... J’avance dans le noir de la nuit... Sous un plafond sombre troué par des lueurs ... La fumée empoisonnée s’échappe de mes narines... Rythmée par mes guides, soulevée par la brise... Un mur pour m’adosser, libéré de ses occupants du jour... Je la voyais, elle cherchait elle aussi mon regard... Au travers des nuages…, si pâle, si belle, que j’en devins bavard... Merci! lui criais-je, merci d’être là... Même après plusieurs départs tu m’es restée fidèle... Ces mots, reprit par l’écho, transportés au loin me revinrent ... Un sourire me soulagea le visage, pathétique je le savais je semblais... Pourtant, elle me fixait toujours... Tu dois être jalouse de ta voisine ! Colorée, grouillante de vie et toi…toujours pâle… Pourtant, tu ne devrais pas ! De près, elle porte d’étranges cicatrices ! Elle vomit de l’or sal, que ses enfants s’empressent d’amasser Pour nourrir des monstres de fer, pour construire des tours de béton Tu es bien, là où tu es Celui qui est mort ne peut mourir encore Ta voisine gémit par moment ne l’entends-tu pas ?! Elle vibre, pleure ; ne le vois-tu pas ?! Etranges sont ces nuits... étrange est cette vie... Tristement belle, joyeusement triste... Joyeusement courte, tristement drôle... Retranscrits par des mains fébriles ces mots Se placent devant vous, passez votre chemin cher ami Le supplice d’un autre ne doit pas être votre Libéré je deviens quand je lâche mon esprit Conscient je demeure, inconscient je souhaite devenir Emmuré dans du chagrin, étouffé par du satin Le rêveur éveillé ne souhaite plus se réveiller... Citer Link to post Share on other sites
Guest ania7 Posted September 18, 2011 Partager Posted September 18, 2011 Guidé par mes pas... J’avance dans le noir de la nuit... Sous un plafond sombre troué par des lueurs ... La fumée empoisonnée s’échappe de mes narines... Rythmé par mes guides, soulevé par la brise... Un mur pour m’adosser, libéré de ses occupants du jour... Je la voyais, elle cherchait elle aussi mon regard... Au travers des nuages…, si pâle, si belle, que j’en devins bavard... Merci! lui criais-je, merci d’être là... Même après plusieurs départs tu m’es restée fidèle... Ces mots, reprit par l’écho, transportés au loin me revinrent ... Un sourire me soulagea le visage, pathétique je le savais je semblais... Pourtant, elle me fixait toujours... Tu dois être jalouse de ta voisine ! Colorée, grouillante de vie et toi…toujours pâle… Pourtant, tu ne devrais pas ! De près, elle porte d’étranges cicatrices ! Elle vomit de l’or sal, que ses enfants s’empressent d’amasser Pour nourrir des monstres de fer, pour construire des tours de béton Tu es bien, là où tu es Celui qui est mort ne peut mourir encore Ta voisine gémit par moment ne l’entends-tu pas ?! Elle vibre, pleure ; ne le vois-tu pas ?! Etranges sont ces nuits... étrange est cette vie... Tristement belle, joyeusement triste... Joyeusement courte, tristement drôle... Retranscrits par des mains fébriles ces mots Se placent devant vous, passez votre chemin cher ami Le supplice d’un autre ne doit pas être votre Libéré je deviens quand je lâche mon esprit Conscient je demeure, inconscient je souhaite devenir Emmuré dans du chagrin, étouffé par du satin Le rêveur éveillé ne souhaite plus se réveiller. Magnifique. Merci pour le partage monsieur mélancolique Citer Link to post Share on other sites
Guest l'esquimau Posted September 18, 2011 Partager Posted September 18, 2011 Guidé par mes pas... J’avance dans le noir de la nuit... Sous un plafond sombre troué par des lueurs ... La fumée empoisonnée s’échappe de mes narines... Rythmé par mes guides, soulevé par la brise... Un mur pour m’adosser, libéré de ses occupants du jour... Je la voyais, elle cherchait elle aussi mon regard... Au travers des nuages…, si pâle, si belle, que j’en devins bavard... Merci! lui criais-je, merci d’être là... Même après plusieurs départs tu m’es restée fidèle... Ces mots, reprit par l’écho, transportés au loin me revinrent ... Un sourire me soulagea le visage, pathétique je le savais je semblais... Pourtant, elle me fixait toujours... Tu dois être jalouse de ta voisine ! Colorée, grouillante de vie et toi…toujours pâle… Pourtant, tu ne devrais pas ! De près, elle porte d’étranges cicatrices ! Elle vomit de l’or sal, que ses enfants s’empressent d’amasser Pour nourrir des monstres de fer, pour construire des tours de béton Tu es bien, là où tu es Celui qui est mort ne peut mourir encore Ta voisine gémit par moment ne l’entends-tu pas ?! Elle vibre, pleure ; ne le vois-tu pas ?! Etranges sont ces nuits... étrange est cette vie... Tristement belle, joyeusement triste... Joyeusement courte, tristement drôle... Retranscrits par des mains fébriles ces mots Se placent devant vous, passez votre chemin cher ami Le supplice d’un autre ne doit pas être votre Libéré je deviens quand je lâche mon esprit Conscient je demeure, inconscient je souhaite devenir Emmuré dans du chagrin, étouffé par du satin Le rêveur éveillé ne souhaite plus se réveiller. beau et mélancolique j'aime bien, l'ami . Citer Link to post Share on other sites
Guest Risk Posted September 19, 2011 Partager Posted September 19, 2011 Mais que dis-je, peut être est-ce ton choix de rester seule Tu lui tourne autour sans t’approcher, j’ai pris exemple sur toi sans même te connaitre Ne m’approchez pas, hideuse est ma mélancolie Mélange de folie et de bon sens, sucrée salée comme ces larmes Qui refusent de couler alors que les autres en versent a volonté Je traverse le temps marche contre le vent Je l’attends ,elle, vieille courbée vêtue de noir Messagère de dieu sans message Viendras-tu mettre un terme à mon passage Non bien sur, l’heure est à l’apprentissage J’attends toujours la caresse de tes mains hideuses Ils t’ont décrite ainsi, vielle peau macabre accompagnée par tes corbeaux Ils ne savent pas ta beauté Ne vivent pas ma beauté, ma belle qui est restée avec moi Il vibre, inlassablement Il noircit par moment Me fait pousser des grognements M’exaspère, je veux l e contrôler Le tenir dans mes mains, l’écraser L’empêcher de battre, de chanter la chamade Si petit, toujours à boire du rouge Combien de fois t’ai-je fait confiance M’assuré tu avais que c’était elles Me donnait la fièvre, chassait de moi le sommeille Je t’avais prévenu pourtant, elles sont cruelles Donnez moi mon poison cher ami, tenez gardez la monnaie Un si bon présent, ce n’est que trop peu payé Mon manteau gris est beau, elle me l’a offert Il te va si bien me dit-elle, je t’aime aussi risk... Citer Link to post Share on other sites
Guest Risk Posted September 19, 2011 Partager Posted September 19, 2011 merci les amis. Citer Link to post Share on other sites
Sakurita 10 Posted September 19, 2011 Partager Posted September 19, 2011 J'aime bien ;) Citer Link to post Share on other sites
Guest Risk Posted September 19, 2011 Partager Posted September 19, 2011 merci ... Citer Link to post Share on other sites
Zozotoun 10 Posted September 19, 2011 Partager Posted September 19, 2011 Guidé par mes pas... J’avance dans le noir de la nuit... Sous un plafond sombre troué par des lueurs ... La fumée empoisonnée s’échappe de mes narines... Rythmée par mes guides, soulevée par la brise... Un mur pour m’adosser, libéré de ses occupants du jour... Je la voyais, elle cherchait elle aussi mon regard... Au travers des nuages…, si pâle, si belle, que j’en devins bavard... Merci! lui criais-je, merci d’être là... Même après plusieurs départs tu m’es restée fidèle... Ces mots, reprit par l’écho, transportés au loin me revinrent ... Un sourire me soulagea le visage, pathétique je le savais je semblais... Pourtant, elle me fixait toujours... Tu dois être jalouse de ta voisine ! Colorée, grouillante de vie et toi…toujours pâle… Pourtant, tu ne devrais pas ! De près, elle porte d’étranges cicatrices ! Elle vomit de l’or sal, que ses enfants s’empressent d’amasser Pour nourrir des monstres de fer, pour construire des tours de béton Tu es bien, là où tu es Celui qui est mort ne peut mourir encore Ta voisine gémit par moment ne l’entends-tu pas ?! Elle vibre, pleure ; ne le vois-tu pas ?! Etranges sont ces nuits... étrange est cette vie... Tristement belle, joyeusement triste... Joyeusement courte, tristement drôle... Retranscrits par des mains fébriles ces mots Se placent devant vous, passez votre chemin cher ami Le supplice d’un autre ne doit pas être votre Libéré je deviens quand je lâche mon esprit Conscient je demeure, inconscient je souhaite devenir Emmuré dans du chagrin, étouffé par du satin Le rêveur éveillé ne souhaite plus se réveiller... c'est très beau...merci pour le partage... Citer Link to post Share on other sites
Guest samirovsky Posted September 19, 2011 Partager Posted September 19, 2011 Guidé par mes pas... J’avance dans le noir de la nuit... Sous un plafond sombre troué par des lueurs ... La fumée empoisonnée s’échappe de mes narines... Rythmée par mes guides, soulevée par la brise... Un mur pour m’adosser, libéré de ses occupants du jour... Je la voyais, elle cherchait elle aussi mon regard... Au travers des nuages…, si pâle, si belle, que j’en devins bavard... Merci! lui criais-je, merci d’être là... Même après plusieurs départs tu m’es restée fidèle... Ces mots, reprit par l’écho, transportés au loin me revinrent ... Un sourire me soulagea le visage, pathétique je le savais je semblais... Pourtant, elle me fixait toujours... Tu dois être jalouse de ta voisine ! Colorée, grouillante de vie et toi…toujours pâle… Pourtant, tu ne devrais pas ! De près, elle porte d’étranges cicatrices ! Elle vomit de l’or sal, que ses enfants s’empressent d’amasser Pour nourrir des monstres de fer, pour construire des tours de béton Tu es bien, là où tu es Celui qui est mort ne peut mourir encore Ta voisine gémit par moment ne l’entends-tu pas ?! Elle vibre, pleure ; ne le vois-tu pas ?! Etranges sont ces nuits... étrange est cette vie... Tristement belle, joyeusement triste... Joyeusement courte, tristement drôle... Retranscrits par des mains fébriles ces mots Se placent devant vous, passez votre chemin cher ami Le supplice d’un autre ne doit pas être votre Libéré je deviens quand je lâche mon esprit Conscient je demeure, inconscient je souhaite devenir Emmuré dans du chagrin, étouffé par du satin Le rêveur éveillé ne souhaite plus se réveiller... Le néophyte que je suis n'y vois que sublime plume. Et qu'en pensent nos critiques littéraires maison, Rihame par ex. ? :cool: Citer Link to post Share on other sites
Guest Risk Posted September 19, 2011 Partager Posted September 19, 2011 Merci à toi Zozo Citer Link to post Share on other sites
Rihame 10 Posted September 19, 2011 Partager Posted September 19, 2011 RISK qui prend le risque d'ENTRER dans ce manoir , pleins de choses bizarres... Tes ballades sont un régal Ma contribution quand j'étais comme toi, somnambule Reine de sabaa Fille à papa Un peu sel un peu barbe à papa Trottant à petit pas savourant chaque repas Oups! Je vois mes bas tomber bas... J'vois la vache mettre bas Après quelques courts va-et-viens J'l'ai vu lécher son bambin Et l'accompagner dans ces premiers pas Toujours en marchant à petit pas J'ai rencontré une oie Un chien, et un putois Mine de rien, ils étaient amis tous les trois Tout en allant doucement J'ai eu un sursaut en avant En éclatant de rire C’était un loup habillé en Émir Je continue mon chemin Que vois-je au loin Mister l'âne en chamane Qui avait une gazelle comme compagne J'ris aussi fort Qu'il m'entendit et ce fût là mon tord Puisque d'un coup de sabot Il m’éjecte de mon rêve que je trouvais beau Je vais devoir l'éviter celui-là A la prochaine balade en tout cas Nazwa le 27/12/2008 2H35 Citer Link to post Share on other sites
Guest Risk Posted September 19, 2011 Partager Posted September 19, 2011 Le néophyte que je suis n'y vois que sublime plume. Et qu'en pensent nos critiques littéraires maison, Rihame par ex. ? :cool: néophyte je le suis aussi je n'ai pas pris de raccourcis juste un état d'âme que j'ai retranscrit bourrés des sens cachés est ce récit merci de t'être arrêté ici samirovsky Citer Link to post Share on other sites
Guest Shadow Posted September 19, 2011 Partager Posted September 19, 2011 néophyte je le suis aussi je n'ai pas pris de raccourcis juste un état d'âme que j'ai retranscrit bourrés des sens cachés est ce récit merci de t'être arrêté ici samirovsky En effet, tes écrits sont comme une oeuvre de peinture surréaliste. Ils ont vagues et incompréhensibles au premier abord, mais traduisent pour les âmes mélancoliques des états d'esprit qu'elles peuvent, à leur guise, s'approprier. Citer Link to post Share on other sites
Guest Risk Posted September 19, 2011 Partager Posted September 19, 2011 Riham; j'ai voulu le contrôler le faire réagir selon mon gré il bat pour me faire vivre je me bat pour le faire taire veine tentative qui le fit rire sans moi tu n'es rien me murmura t-il les sentiments ont toujours été ta nature chasse les, ils reviendront à toute allure. je te lis, plus que tu ne le pense. Citer Link to post Share on other sites
Guest Risk Posted September 19, 2011 Partager Posted September 19, 2011 En effet, tes écrits sont comme une oeuvre de peinture surréaliste. Ils ont vagues et incompréhensibles au premier abord, mais traduisent pour les âmes mélancoliques des états d'esprit qu'elles peuvent, à leur guise, s'approprier. j'hésitais a faire des posts pour détailler un peu, bien que les sens soient multiples, l'ensemble tend ver une idée globale. Citer Link to post Share on other sites
Rihame 10 Posted September 19, 2011 Partager Posted September 19, 2011 Risk Laisse les autres apprécier tes écrits Le mérite d'un poète ou d'un amateur poète c'est bien sa simplicité Ne sous-estime pas ton lecteur... Il se pourrait qu'on en comprenne pas le sens où tu veux nous emmener, d'ailleurs sommes-nous obligés de le faire... Sache que chacun à travers sa lecture saura trouver ce qui lui convient! Tu sais, j'te propose de ne pas commenter car tu massacres tes beaux écrits :mdr::mdr: Poste et tais-toi c'est mieux !!!!!!!!! Citer Link to post Share on other sites
Guest Risk Posted September 19, 2011 Partager Posted September 19, 2011 Risk Laisse les autres apprécier tes écrits Le mérite d'un poète ou d'un amateur poète c'est bien sa simplicité Ne sous-estime pas ton lecteur... Il se pourrait qu'on en comprenne pas le sens où tu veux nous emmener, d'ailleurs sommes-nous obligés de le faire... Sache que chacun à travers sa lecture saura trouver ce qui lui convient! Tu sais, j'te propose de ne pas commenter car tu massacres tes beaux écrits :mdr::mdr: Poste et tais-toi c'est mieux !!!!!!!!! je me tais :chut: Citer Link to post Share on other sites
Guest Shadow Posted September 19, 2011 Partager Posted September 19, 2011 Risk Laisse les autres apprécier tes écrits Le mérite d'un poète ou d'un amateur poète c'est bien sa simplicité Ne sous-estime pas ton lecteur... Il se pourrait qu'on en comprenne pas le sens où tu veux nous emmener, d'ailleurs sommes-nous obligés de le faire... Sache que chacun à travers sa lecture saura trouver ce qui lui convient! Tu sais, j'te propose de ne pas commenter car tu massacres tes beaux écrits :mdr::mdr: Poste et tais-toi c'est mieux !!!!!!!!! C'est mieux en effet. La beauté de ses écrits est aussi dans leur mystère. Citer Link to post Share on other sites
Guest Risk Posted October 22, 2011 Partager Posted October 22, 2011 merci!! vous ai-je conté mon histoire? cherchons dans les tiroirs de ma mémoire sans doute y trouverions nous quelques doux souvenirs de ces jours passés où faciles étaient mes sourires ces nuits longues et froides où l'air si abondant me manquait ma donneuse de vie s'affolant le dieu de la maison indifférent Comptons nos souvenirs l’ami Exaltons nous, baignons nous dans la douceur De cette nostalgie aux milles saveurs Tant d’adieux macabres Où la terre couvrait les visages Emprisonnait les chairs froides Donnait naissance aux herbes bonnes Ha ! J’en parle et j’en découvre d’avantage Comme si ils n’étaient pas miens Ces bribes qui m’apparaissent M’interpellent pour que je leur donne forme Oui, je me souviens De ces journées ternes où sous la pluie nous dansions avec les arbres sous la musique du vent les larmes des cieux en pleure libérées les larmes de mes yeux en pleure emprisonnées les printemps se suivent la saison jaune fait place à la grise douces journées qui viennent caresser ma conscience à jamais torturée, à jamais noircie le commencement fut, la fin sera entre temps ... toute une vie entre temps ... que du gâchis les fous rient, se goinfrent et s'écrasent bientôt tomberons pour nourrir les misérables merci!! quand viendra la délivrance, dites "il fut avec nous nous l'avons connu, grincheux et lunatique mais nous l'avons connu..." merci!! Citer Link to post Share on other sites
Guest vanityfair Posted October 22, 2011 Partager Posted October 22, 2011 merci!! vous ai-je compté mon histoire? cherchons dans les tiroirs de ma mémoire sans doute y trouverions nous quelques doux souvenirs de ces jours passés où faciles étaient mes sourires ces nuits longues et froides où l'air si abondant me manquait ma donneuse de vie s'affolant le dieu de la maison indifférent Comptons nos souvenirs l’ami Exaltons nous, baignons nous dans la douceur De cette nostalgie aux milles saveurs Tant d’adieux macabres Où la terre couvrait les visages Emprisonnait les chairs froides Donnait naissance aux herbes bonnes Ha ! J’en parle et j’en découvre d’avantage Comme si ils n’étaient pas miens Ces bribes qui m’apparaissent M’interpellent pour que je leur donne forme Oui, je me souviens De ces journées ternes où sous la pluie nous dansions avec les arbres sous la musique du vent les larmes des cieux en pleure libérées les larmes de mes yeux en pleure emprisonnées les printemps se suivent la saison jaune fait place à la grise douces journées qui viennent caresser ma conscience à jamais torturée, à jamais noircie le commencement fut, la fin sera entre temps ... toute une vie entre temps ... que du gâchis les fous rient, se goinfrent et s'écrasent bientôt tomberons pour nourrir les misérables merci!! quand viendra la délivrance, dites "il fut avec nous nous l'avons connu, grincheux et lunatique mais nous l'avons connu..." merci!! Très beau texte Risk. Citer Link to post Share on other sites
Guest carobibique Posted October 22, 2011 Partager Posted October 22, 2011 Magnifique. Merci pour le partage monsieur mélancolique Le supplice de l'un ne doit pas être votre...je l'ai 10 ans accompagné. Citer Link to post Share on other sites
Guest carobibique Posted October 22, 2011 Partager Posted October 22, 2011 Mais que dis-je, peut être est-ce ton choix de rester seule Tu lui tourne autour sans t’approcher, j’ai pris exemple sur toi sans même te connaitre Ne m’approchez pas, hideuse est ma mélancolie Mélange de folie et de bon sens, sucrée salée comme ces larmes Qui refusent de couler alors que les autres en versent a volonté Je traverse le temps marche contre le vent Je l’attends ,elle, vieille courbée vêtue de noir Messagère de dieu sans message Viendras-tu mettre un terme à mon passage Non bien sur, l’heure est à l’apprentissage J’attends toujours la caresse de tes mains hideuses Ils t’ont décrite ainsi, vielle peau macabre accompagnée par tes corbeaux Ils ne savent pas ta beauté Ne vivent pas ma beauté, ma belle qui est restée avec moi Il vibre, inlassablement Il noircit par moment Me fait pousser des grognements M’exaspère, je veux l e contrôler Le tenir dans mes mains, l’écraser L’empêcher de battre, de chanter la chamade Si petit, toujours à boire du rouge Combien de fois t’ai-je fait confiance M’assuré tu avais que c’était elles Me donnait la fièvre, chassait de moi le sommeille Je t’avais prévenu pourtant, elles sont cruelles Donnez moi mon poison cher ami, tenez gardez la monnaie Un si bon présent, ce n’est que trop peu payé Mon manteau gris est beau, elle me l’a offert Il te va si bien me dit-elle, je t’aime aussi risk... J'attend la faucheuse... ma liberté sera à ce prix et je serai sienne. Citer Link to post Share on other sites
Guest Risk Posted October 22, 2011 Partager Posted October 22, 2011 Très beau texte Risk. merci très chère vanity ! Citer Link to post Share on other sites
Guest Risk Posted October 22, 2011 Partager Posted October 22, 2011 J'attend la faucheuse... ma liberté sera à ce prix et je serai sienne. merci Caro. Citer Link to post Share on other sites
Sally 11 Posted October 23, 2011 Partager Posted October 23, 2011 A peine sortis du ventre de nos mères, c'est déjà vers elle que nous nous dirigeons. Qu'il soit long ou raccourci, le chemin, elle est à son bout. Citer Link to post Share on other sites
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