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Un soleil souriant, un ciel aussi limpide qu une âme, des arbres qui chantent sur le champ d un vents doux...des fleurs qui débordent l horizon attirant les curieux que du beaux pour se renaitre d espoirs et de sentiments…je me lâche dans ce jours pour fuir les bracelets du ténèbres et se faufiler un chemin pour dépasser un tunnel dont le bout est les débris de mes penses, de mes rêves dont les bougies ont vieilli, maigri, épuisées attendant le jours de la retraite, de la délivrance… grignotant les millimètres, les mètres, les kilomètres , je rode le tunnel et emportant avec moi le mot vivre ; c est l air que je respire , l eau qui m hydrate , c est l énergie qui me fait ignorer l effort fournis ,la fatigue ,le stresse…a certain temps je me sentais seul, étonnant que je suis ,je marque un arrêt, y a du monde, j entends des voix ici par la, je vois un cadavre d un jeune homme a visage pale qui avait l air d un pigeon voyageur venant d une terre aussi lointaine que sont corps a épuisé tous ses réserves et dont les pieds sont enflammes indiquant des mois de marche si ce n est plus. Ma curiosité me laisse s approcher de lui petit à petit songeant à des personnes dont les traits me semblent familiers. Arrive au lieu, je confirme que cette personne n’est pas étrangère à moi !! Ce n est que mon corps qui a perdu sa rage de vaincre, abandonné son parcours, son combat !hélas ! Sans lui je ne verrai pas au delà du tunnel. je le regagne, les yeux s ouvrent difficilement ce n était qu un rêve parmi d autre dont la réalité est encore lointaine

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Guest angry angel
Un soleil souriant, un ciel aussi limpide qu une âme, des arbres qui chantent sur le champ d un vents doux...des fleurs qui débordent l horizon attirant les curieux que du beaux pour se renaitre d espoirs et de sentiments…je me lâche dans ce jours pour fuir les bracelets du ténèbres et se faufiler un chemin pour dépasser un tunnel dont le bout est les débris de mes penses, de mes rêves dont les bougies ont vieilli, maigri, épuisées attendant le jours de la retraite, de la délivrance… grignotant les millimètres, les mètres, les kilomètres , je rode le tunnel et emportant avec moi le mot vivre ; c est l air que je respire , l eau qui m hydrate , c est l énergie qui me fait ignorer l effort fournis ,la fatigue ,le stresse…a certain temps je me sentais seul, étonnant que je suis ,je marque un arrêt, y a du monde, j entends des voix ici par la, je vois un cadavre d un jeune homme a visage pale qui avait l air d un pigeon voyageur venant d une terre aussi lointaine que sont corps a épuisé tous ses réserves et dont les pieds sont enflammes indiquant des mois de marche si ce n est plus. Ma curiosité me laisse s approcher de lui petit à petit songeant à des personnes dont les traits me semblent familiers. Arrive au lieu, je confirme que cette personne n’est pas étrangère à moi !! Ce n est que mon corps qui a perdu sa rage de vaincre, abandonné son parcours, son combat !hélas ! Sans lui je ne verrai pas au delà du tunnel. je le regagne, les yeux s ouvrent difficilement ce n était qu un rêve parmi d autre dont la réalité est encore lointaine

rak tach3ar ;)

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