gladiateur dz 10 Posted September 22, 2011 Partager Posted September 22, 2011 En dépit de toutes les pressions exercées sur lui, depuis qu’il a fait part de son intention de présenter, ce vendredi, devant l’Assemblée générale la demande d’adhésion d’un Etat palestinien à part entière à l’Onu, Mahmoud Abbas n’a pas cédé. C’est le branle-bas de combat dans les chancelleries et les événements vont de plus en plus vite. La demande d’adhésion de la Palestine à l’ONU est en train de chambouler tous les programmes, toutes les options. Même si la candidature est bloquée, voire reportée par Abbas lui-même, la situation du problème palestinien ne sera plus la même au soir du 23 septembre 2011. En fait, ce qui semble faire le plus peur à tous ceux qui s’agitent, c’est cette nouvelle dimension que prendrait la question palestinienne une fois posée par un Etat souverain, membre de la communauté internationale. La Palestine a fait sérieusement bouger les lignes, déterminant de fait qui sont ses vrais amis et ceux qui ne le sont pas et surtout qui sont réellement pour le règlement juste du problème et ceux qui font semblant. L’attitude palestinienne, même si elle est porteuse de grands dangers pour les Palestiniens eux-mêmes — on promet de lourdes sanctions notamment financières — a, en tout cas, remis les pendules à l’heure alors que depuis les accords d’Oslo, les négociations traînent et les Palestiniens voient leur rêve d’un Etat frontalier d’Israël s’éloigner. En fait, alors que l’Etat de Palestine peine à exister, les Israéliens ne se privent pas de coloniser de nouvelles surfaces sur le territoire même de ce qui constituera le futur Etat palestinien. D’ailleurs, que reste-il à négocier se demandent les Palestiniens dans la mesure où les colonies qui se multiplient créent une situation de fait accompli très difficile à surmonter. Dans le même temps, le gouvernement de droite en Israël n’entend ne rien lâcher alors que le Premier ministre Benyamin Netanyahu, tout en admettant l’idée d’un Etat palestinien, refuse que ce même Etat soit géographiquement inscrit sur les frontières de 1967. C’est donc par stratégie politique mais aussi avec beaucoup d’exaspération que les Palestiniens s’en vont bousculer la quiétude feutrée des Nations unies et demander d’être reconnu comme membre de cette institution, créée comme on le sait au lendemain de la Seconde Guerre mondiale pour régler les conflits et aplanir les différends entre les pays. Panique à Tel Aviv Pourtant, cette demande tout à fait pacifique fait peur à Israël et celle-ci pousse ses alliés à peser de tout leur poids sur les Palestiniens pour qu’ils abandonnent leur projet. Les Israéliens ont même la garantie de voir les Etats-Unis user de leur veto au Conseil de sécurité pour empêcher une telle demande d’aboutir, quitte à perdre tout le capital sympathie acquis récemment auprès de l’opinion arabe par Obama. Si les Américains promettent le veto, les Britanniques ne sont pas contre une adhésion en tant qu’Etat non membre et les Français parlent du statut du Vatican pour la Palestine. En fait, à défaut de convaincre Abbas d’abandonner son projet, on opte pour une sorte de moindre mal, un moindre mal pour Israël bien entendu. Cela dit qu’est-ce qui fait tant peur à Israël ? Le premier problème ce sera de négocier d’égal à égal avec les Palestiniens alors que jusque-là, Israël négociait en Etat face quasiment à un mouvement de libération. En devenant même Etat non membre, c’est-à-dire par le seul vote de la plénière à l’Assemblée générale, cela permettra aux Palestiniens d’adhérer à la Cour internationale de justice (CIJ) de La Haye ou à la Cour pénale internationale (CPI). Dans ce cas les plaintes pourront être déposées contre Israël, notamment celles qui concernent l’épineuse question de l’implantation de nouvelles colonies juives en Cisjordanie. Un acte totalement hors la loi commis par Israël que l’on condamne du bout des lèvres sans que des sanctions soient prises contre ce pays qui occupe illégalement des territoires qui ne lui appartiennent pas. Par ailleurs, il faudra bien se décider à dire dans quelles frontières s’inscrit cet Etat palestinien que l’on accueille à l’ONU. Au bout du compte, même si Mahmoud Abbas s’attend à des jours difficiles, après vendredi, il va sans dire que la difficulté touchera aussi toute la communauté internationale et ce sera à elle de trouver une solution aux embarras que rencontre la Palestine. Avant même que Mahmoud Abbas n’annonce sa volonté d’aller devant l’Assemblée générale de l’ONU pour annoncer sa décision, Riyad Al Maliki, le ministre palestinien des Affaires étrangères, déclarait : « Nous ramenons le dossier palestinien à l’ONU, c’est là qu’il est à sa place ». Effectivement, une question internationale doit être traitée par l’ONU. Probablement que le succès déjà obtenu c’est celui-là : ramener à l’ONU, la question palestinienne. La détermination de Mahmoud Abbas En dépit de toutes les pressions exercées sur lui, depuis qu’il a fait part de son intention de présenter, ce vendredi, devant l’Assemblée générale la demande d’adhésion d’un Etat palestinien à part entière à l’Onu, Mahmoud Abbas n’a pas cédé. Du moins jusqu’à hier. Il compte aller au bout de sa revendication, vieille de plusieurs années. Un rêve caressé par des milliers de Palestiniens et que Yasser Arafat n’a pas réussi à réaliser. Au bout de plusieurs années de lutte ponctuées par d’innombrables concessions, il a juste obtenu le droit de mettre sur pied une Autorité palestinienne. C’est tout ce qu’Israël lui a concédé. Des faits que son adjoint de l’époque, Abou Mazen, ne peut ignorer. Ce successeur, qui a repris le flambeau, porte aujourd’hui sur ses épaules la lourde responsabilité de la cause palestinienne dont la finalité est la création d’un Etat palestinien ayant pour capitale El Qods. Mais la lutte qu’il mène à l’Etat hébreux est biaisée du fait du soutien inconditionnel que les Occidentaux portent à Tel Aviv. Preuve en est, aucune capitale ne réussit à lui arracher, dans le cadre des rounds de négociations menées, une concession de plus que ce qu’Israël veut donner. Et c’est pour cette raison que les négociations sont au point mort depuis plus d’un an. Dans ce contexte, qui peut dès lors reprocher au président de l’Autorité palestinienne de recourir aux voies et moyens qu’il pense être nécessaires pour faire aboutir la lutte de son peuple ? En toute logique aucune capitale du monde n’est en droit de l’empêcher d’aller devant l’ONU pour présenter sa requête et s’expliquer sur les raisons de sa démarche. Mais c’est compter sans le lobbying des Israéliens. En effet, outre les menaces à peine voilées adressées à M. Abbas, Tel-Aviv a actionné tous ses relais, à leur tête les USA, pour “dissuader” le président palestinien de passer à l’acte ce vendredi. Depuis, chacun y va de son conseil et suggère la reprise des négociations de paix. Le chef de la diplomatie de l’UE estime qu’il n’a pas à jouer son va-tout. Mais Mme Ashton et tous les autres amis subitement bienveillants à l’égard des Palestiniens semblent oublier que c’est parce qu’on ne lui offre plus d’autres choix que M. Abbas a décidé d’aller devant l’ONU. Et puis à ce stade de l’évolution des choses, il sait qu’il n’a plus rien à perdre, si ce n’est une nouvelle vague de représailles contre le peuple palestinien, que Tsahal se fera un plaisir d’exécuter. ps:pouvez-vs me rendre un service svp?je vous dirai lequel. Citer Link to post Share on other sites
Guest samirovsky Posted September 22, 2011 Partager Posted September 22, 2011 Il suffirait que le Koweit, le Qatar, les EAU et l'Arabie Saoudite menacent de retirer leurs avoirs des places financières internationales pour voir les USA et l'Europe se coucher et reconnaitre une bonne fois pour toute l'État Palestinien. Malheureusement, ces pays ne le feront jamais car ils sont sous protection américain et peur du loup Iranien. Citer Link to post Share on other sites
gladiateur dz 10 Posted September 22, 2011 Author Partager Posted September 22, 2011 je ne comprends pas l'opposition d'obama.il est déjà en très mauvaise posture depuis la victoire des républicains aux législatives il y'a 1 ans, depuis la crise de la dette et avec le dossier palestinien, il peut encore abattre sa dernière carte pour remonter la tendance et il préfére se mettre sur un siège éjectable.si le veto us porte ses fruits vendredi, il pourra pratiquemment dire adieu à un second mandat.le monde avait naïvement placé tous les espoirs d'un boulversement, sur lui en 2008.mais avant même sa prise de fonction, il s'était déjà parfaitement illustré par son mutisme lors des bombardements à Gaza et avait ensuite justifié son silence sous prétexte que la question était encore entre les mains de l'administration bush tant qu'il n'avait pas pris ses fonctions.et obama avait pourtant suscité un immense optimisme pour le proche-orient,mais cela s'est rapidement évanoui.L'option la plus aisée pour Obama a tjrs été de maintenir le soutien indéfectible de Washington pour Israël. ps:peut tu me rendre service stp?merci! Citer Link to post Share on other sites
djallalnamri 10 Posted September 22, 2011 Partager Posted September 22, 2011 Il suffirait que le Koweit, le Qatar, les EAU et l'Arabie Saoudite menacent de retirer leurs avoirs des places financières internationales pour voir les USA et l'Europe se coucher et reconnaitre une bonne fois pour toute l'État Palestinien. Malheureusement, ces pays ne le feront jamais car ils sont sous protection américain et peur du loup Iranien. certains d'entre eux ont aussi accepté la partition de la Palestine Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted September 22, 2011 Partager Posted September 22, 2011 En dépit de toutes les pressions exercées sur lui, depuis qu’il a fait part de son intention de présenter, ce vendredi, devant l’Assemblée générale la demande d’adhésion d’un Etat palestinien à part entière à l’Onu, Mahmoud Abbas n’a pas cédé. C’est le branle-bas de combat dans les chancelleries et les événements vont de plus en plus vite. La demande d’adhésion de la Palestine à l’ONU est en train de chambouler tous les programmes, toutes les options. Même si la candidature est bloquée, voire reportée par Abbas lui-même, la situation du problème palestinien ne sera plus la même au soir du 23 septembre 2011. En fait, ce qui semble faire le plus peur à tous ceux qui s’agitent, c’est cette nouvelle dimension que prendrait la question palestinienne une fois posée par un Etat souverain, membre de la communauté internationale. La Palestine a fait sérieusement bouger les lignes, déterminant de fait qui sont ses vrais amis et ceux qui ne le sont pas et surtout qui sont réellement pour le règlement juste du problème et ceux qui font semblant. L’attitude palestinienne, même si elle est porteuse de grands dangers pour les Palestiniens eux-mêmes — on promet de lourdes sanctions notamment financières — a, en tout cas, remis les pendules à l’heure alors que depuis les accords d’Oslo, les négociations traînent et les Palestiniens voient leur rêve d’un Etat frontalier d’Israël s’éloigner. En fait, alors que l’Etat de Palestine peine à exister, les Israéliens ne se privent pas de coloniser de nouvelles surfaces sur le territoire même de ce qui constituera le futur Etat palestinien. D’ailleurs, que reste-il à négocier se demandent les Palestiniens dans la mesure où les colonies qui se multiplient créent une situation de fait accompli très difficile à surmonter. Dans le même temps, le gouvernement de droite en Israël n’entend ne rien lâcher alors que le Premier ministre Benyamin Netanyahu, tout en admettant l’idée d’un Etat palestinien, refuse que ce même Etat soit géographiquement inscrit sur les frontières de 1967. C’est donc par stratégie politique mais aussi avec beaucoup d’exaspération que les Palestiniens s’en vont bousculer la quiétude feutrée des Nations unies et demander d’être reconnu comme membre de cette institution, créée comme on le sait au lendemain de la Seconde Guerre mondiale pour régler les conflits et aplanir les différends entre les pays. Panique à Tel Aviv Pourtant, cette demande tout à fait pacifique fait peur à Israël et celle-ci pousse ses alliés à peser de tout leur poids sur les Palestiniens pour qu’ils abandonnent leur projet. Les Israéliens ont même la garantie de voir les Etats-Unis user de leur veto au Conseil de sécurité pour empêcher une telle demande d’aboutir, quitte à perdre tout le capital sympathie acquis récemment auprès de l’opinion arabe par Obama. Si les Américains promettent le veto, les Britanniques ne sont pas contre une adhésion en tant qu’Etat non membre et les Français parlent du statut du Vatican pour la Palestine. En fait, à défaut de convaincre Abbas d’abandonner son projet, on opte pour une sorte de moindre mal, un moindre mal pour Israël bien entendu. Cela dit qu’est-ce qui fait tant peur à Israël ? Le premier problème ce sera de négocier d’égal à égal avec les Palestiniens alors que jusque-là, Israël négociait en Etat face quasiment à un mouvement de libération. En devenant même Etat non membre, c’est-à-dire par le seul vote de la plénière à l’Assemblée générale, cela permettra aux Palestiniens d’adhérer à la Cour internationale de justice (CIJ) de La Haye ou à la Cour pénale internationale (CPI). Dans ce cas les plaintes pourront être déposées contre Israël, notamment celles qui concernent l’épineuse question de l’implantation de nouvelles colonies juives en Cisjordanie. Un acte totalement hors la loi commis par Israël que l’on condamne du bout des lèvres sans que des sanctions soient prises contre ce pays qui occupe illégalement des territoires qui ne lui appartiennent pas. Par ailleurs, il faudra bien se décider à dire dans quelles frontières s’inscrit cet Etat palestinien que l’on accueille à l’ONU. Au bout du compte, même si Mahmoud Abbas s’attend à des jours difficiles, après vendredi, il va sans dire que la difficulté touchera aussi toute la communauté internationale et ce sera à elle de trouver une solution aux embarras que rencontre la Palestine. Avant même que Mahmoud Abbas n’annonce sa volonté d’aller devant l’Assemblée générale de l’ONU pour annoncer sa décision, Riyad Al Maliki, le ministre palestinien des Affaires étrangères, déclarait : « Nous ramenons le dossier palestinien à l’ONU, c’est là qu’il est à sa place ». Effectivement, une question internationale doit être traitée par l’ONU. Probablement que le succès déjà obtenu c’est celui-là : ramener à l’ONU, la question palestinienne. La détermination de Mahmoud Abbas En dépit de toutes les pressions exercées sur lui, depuis qu’il a fait part de son intention de présenter, ce vendredi, devant l’Assemblée générale la demande d’adhésion d’un Etat palestinien à part entière à l’Onu, Mahmoud Abbas n’a pas cédé. Du moins jusqu’à hier. Il compte aller au bout de sa revendication, vieille de plusieurs années. Un rêve caressé par des milliers de Palestiniens et que Yasser Arafat n’a pas réussi à réaliser. Au bout de plusieurs années de lutte ponctuées par d’innombrables concessions, il a juste obtenu le droit de mettre sur pied une Autorité palestinienne. C’est tout ce qu’Israël lui a concédé. Des faits que son adjoint de l’époque, Abou Mazen, ne peut ignorer. Ce successeur, qui a repris le flambeau, porte aujourd’hui sur ses épaules la lourde responsabilité de la cause palestinienne dont la finalité est la création d’un Etat palestinien ayant pour capitale El Qods. Mais la lutte qu’il mène à l’Etat hébreux est biaisée du fait du soutien inconditionnel que les Occidentaux portent à Tel Aviv. Preuve en est, aucune capitale ne réussit à lui arracher, dans le cadre des rounds de négociations menées, une concession de plus que ce qu’Israël veut donner. Et c’est pour cette raison que les négociations sont au point mort depuis plus d’un an. Dans ce contexte, qui peut dès lors reprocher au président de l’Autorité palestinienne de recourir aux voies et moyens qu’il pense être nécessaires pour faire aboutir la lutte de son peuple ? En toute logique aucune capitale du monde n’est en droit de l’empêcher d’aller devant l’ONU pour présenter sa requête et s’expliquer sur les raisons de sa démarche. Mais c’est compter sans le lobbying des Israéliens. En effet, outre les menaces à peine voilées adressées à M. Abbas, Tel-Aviv a actionné tous ses relais, à leur tête les USA, pour “dissuader” le président palestinien de passer à l’acte ce vendredi. Depuis, chacun y va de son conseil et suggère la reprise des négociations de paix. Le chef de la diplomatie de l’UE estime qu’il n’a pas à jouer son va-tout. Mais Mme Ashton et tous les autres amis subitement bienveillants à l’égard des Palestiniens semblent oublier que c’est parce qu’on ne lui offre plus d’autres choix que M. Abbas a décidé d’aller devant l’ONU. Et puis à ce stade de l’évolution des choses, il sait qu’il n’a plus rien à perdre, si ce n’est une nouvelle vague de représailles contre le peuple palestinien, que Tsahal se fera un plaisir d’exécuter. ps:pouvez-vs me rendre un service svp?je vous dirai lequel. SALAM gladiateur dz OUI TOUT A FAIT C4EST EN TOUT CAS UNE TRES BONNE CHOSE LES PEUPLES SONT POUR ON L'A ENTENDU A LA FETE DE L'HUMA SAMEDI quand aux etats ils sont pris par Israel qui les commande de mille et une sortes Citer Link to post Share on other sites
el-rézo 10 Posted September 22, 2011 Partager Posted September 22, 2011 certains d'entre eux ont aussi accepté la partition de la Palestine Même pour certain ,un état palestinien va a l'encontre de leur intérêts. Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted September 22, 2011 Partager Posted September 22, 2011 je ne comprends pas l'opposition d'obama.il est déjà en très mauvaise posture depuis la victoire des républicains aux législatives il y'a 1 ans, depuis la crise de la dette et avec le dossier palestinien, il peut encore abattre sa dernière carte pour remonter la tendance et il préfére se mettre sur un siège éjectable.si le veto us porte ses fruits vendredi, il pourra pratiquemment dire adieu à un second mandat.le monde avait naïvement placé tous les espoirs d'un boulversement, sur lui en 2008.mais avant même sa prise de fonction, il s'était déjà parfaitement illustré par son mutisme lors des bombardements à Gaza et avait ensuite justifié son silence sous prétexte que la question était encore entre les mains de l'administration bush tant qu'il n'avait pas pris ses fonctions.et obama avait pourtant suscité un immense optimisme pour le proche-orient,mais cela s'est rapidement évanoui.L'option la plus aisée pour Obama a tjrs été de maintenir le soutien indéfectible de Washington pour Israël. ps:peut tu me rendre service stp?merci! le pantagone mon ami le pantagonne a 80 % en son seint sont des israelites Citer Link to post Share on other sites
gladiateur dz 10 Posted September 22, 2011 Author Partager Posted September 22, 2011 le pantagone mon ami le pantagonne a 80 % en son seint sont des israelites c le Congrès et le Sénat US qui sont composés de plus de 80% de sionistes.à l'époque de bush qui lui était pro-sioniste,il avait le pouvoir d'opposer son veto contre le retrait des forces americaines en irak et d'autres projets votés par les 2 assemblés,quand à Obama il n'a aucuns pouvoir face au Congrès et Sénat sionistes. Citer Link to post Share on other sites
jamila du 13011 10 Posted October 4, 2011 Partager Posted October 4, 2011 le monde est gouverne par les sionistes et le koweit l'EAU arabie saoudite sont complices ils ont peur de tout perdre car ils sont riches comme cresus petrole etc...ils ont placé leur fortune (immeuble restaurant hotel de luxe etc...) dans tous les pays mais pas d'armee ils comptent sur les etats unis tout le monde le sait rappelez vous l'Irak qui envahissait le Koweit pour reprendre une contré à eux et qui est venu à l'aide? s'ils voulaient ils claqueraient des doigts et la palestine deviendrait libre j'ai rien contre les juifs ils n'ont rien à voir c'est ces chiens de sionnistes tot ou tard ils le paieront! Dieu leur fera payer très cher la haut, Citer Link to post Share on other sites
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