Jump to content

Les salaires mirobolants de ceux qui nous gouvernent !


Recommended Posts

La tripartite (gouvernement-UGTA-patronat) qui se tiendra ce jeudi à Alger prévoit dans son agenda de traiter de l’augmentation du Salaire national minimum garanti (SNMG). Une augmentation de 2000 à 3000 DA n’est pas à écarter, comme c’est de coutume lors des dernières tripartites.

 

Des augmentations insignifiantes qui seront présentées comme importantes et qui seront, bien entendu, vite rattrapées par la hausse récurrente et généralisée des prix. Le gouvernement et ses partenaires invoqueront, comme d’habitude, la nécessité d’ajuster les salaires selon la productivité et expliqueront que les travailleurs algériens sont bien rémunérés quand la richesse produite reste dérisoire.Des affirmations qui sont, par ailleurs, justes, mais dans un autre contexte autre que celui d’une économie de rente qui caractérise notre pays.Des affirmations, tout aussi justes, lorsqu’elles sont appliquées, d’abord, et aussi, par les décideurs et tous ceux qui font ou défont les lois ou les exécutent. Et en scrutant le train de vie de l’Etat, l’on se rend compte que la rigueur et l’austérité sont réservées exclusivement à la masse des travailleurs. Sinon, comment expliquer des salaires mirobolants pour les hauts cadres de l’Etat, défiant toutes les lois économiques !

 

Le Premier ministre, qui présidera la tripartite, a un salaire net de 500 000 DA, selon des sources au ministère des Finances, soit près de 34 fois le SNMG, et le chef de l’Etat, qui validera en dernier ressort les décisions prises, a un salaire mensuel de 800 000 DA, soit 54 fois le SNMG ! A titre comparatif, le salaire mensuel du président français est de près de 20 000 euros, soit 14 fois le SMIC (13 65 euros) et des voix de l’opposition promettent déjà de le réduire de 20 à 30% en cas victoire lors de la présidentielle de 2012. Un ministre français touche quant à lui 11000 euros, soit 8 fois le SMIC quand nos ministres s’offrent des salaires moyens de 350 000 DA, soit près de 24 fois le SNMG.

 

Outre les prises en charge multiples, gratuité du logement, véhicule, repas, déplacements et autres avantages, qui se justifient, par ailleurs, certains usent et abusent des commissions pour arrondir les fins de mois, comme en attestent les multiples procès et scandales liés à la corruption et dont la presse nationale en fait souvent état ces derniers temps.

De l’avis de nombreux analystes et financiers du pays, le train de vie de l’Etat algérien est toujours aussi fastueux au moment où de larges couches de la société sombrent dans la précarité et la pauvreté. Les couches moyennes sont plus que jamais laminées par la hausse vertigineuses des prix. Depuis 2004, des augmentations de 100% ont étés accordées aux parlementaires et de même pour les fonctionnaires et hauts cadres de l’Etat depuis 2008.

 

Un secrétaire d’Etat touche actuellement 270 000 DA et un secrétaire général d’une institution 210 000 DA, au moment où la fiscalité ordinaire en dehors des hydrocarbures (1.500 milliards de dinars) n’arrive même pas à couvrir la masse salariale des fonctionnaires, au nombre de 1 500 000, environ. Et comme la répartition des budgets n’obéit à aucune logique économique et ne découle d’aucune richesse produite, autant alors redistribuer la rente de manière plus équilibrée. Une redistribution qui obéit actuellement à des considérations politiques et de confortement des positions acquises des uns et des autres comme en attestent les augmentations pour les parlementaires en 2004 pour les besoins d’un acquiescement général lors de la révision constitutionnelle qui a cassé le verrou de la limitation des mandats.

 

Pour une institution comme l’APN, dont le président est rémunéré comme un ministre ou le président du Sénat qui s’offre quelque 600 000 DA, de quelle «productivité» peut-on affubler ces deux institutions lorsque leurs locataires ne font qu’avaliser les lois de l’Exécutif et qu’aucune commission d’enquête sérieuse n’a vu le jour sur les innombrables cas de corruption qui ont vu le jour. C’est dire que la question des salaires doit être prise dans sa globalité et à tous les niveaux pour la cohérence des justificatifs qui s’annoncent. Le train de vie de l’Etat ne doit pas s’éloigner de celui des Algériens et l’idée de l’uniformisation des véhicules prise l’année dernière peut en constituer un

premier pas vers cette rigueur dans la gestion des deniers publics.

 

source:

Mahmoud Mamart. El Watan.com

Link to post
Share on other sites

Pas si mirobolant que ça ............

 

Bouteflika touche 1/5 ième du salaire de Lemouchia (joueur de foot à l'USMA) par exemple :mdr::mdr:

 

Les 200 000 Dinars d'un secrétaire général , par mois font 2 520 000 Dinars par an soit 75 600 000 Dinars en 30 ans de carrière , soit même pas de quoi s'offrir une simple "petite" villa dans une banlieue quelconque d'Alger ou d'Oran....

 

Le patrimoine acquis par ce genre de "fonctionnaire" en 10 ans de carrière se chiffre en ..................milliards de dinars .

 

Les salaires et même avantages c'est un faux débat !!!!

Link to post
Share on other sites

 

Le Premier ministre, qui présidera la tripartite, a un salaire net de 500 000 DA, selon des sources au ministère des Finances, soit près de 34 fois le SNMG, et le chef de l’Etat, qui validera en dernier ressort les décisions prises, a un salaire mensuel de 800 000 DA, soit 54 fois le SNMG ! A titre comparatif, le salaire mensuel du président français est de près de 20 000 euros, soit 14 fois le SMIC (13 65 euros) et des voix de l’opposition promettent déjà de le réduire de 20 à 30% en cas victoire lors de la présidentielle de 2012. Un ministre français touche quant à lui 11000 euros, soit 8 fois le SMIC quand nos ministres s’offrent des salaires moyens de 350 000 DA, soit près de 24 fois le SNMG.

 

Outre les prises en charge multiples, gratuité du logement, véhicule, repas, déplacements et autres avantages

 

Boutef 80 millions= soit 54 fois le salaire minimum garanti

Sarko 20 mille= soit 14 fois le smig.

 

Faut quand même reconnaitre que question labeur et sueur, Boutef est largement plus méritant, en témoignent ses efforts dans la défense des intérêts du pays, contrairement à Sarko dont on entend rarement parler sur la seine internationale....:mdr::mdr:

Link to post
Share on other sites

salam

 

envoyé par si-nistri

Boutef 80 millions= soit 54 fois le salaire minimum garanti

 

je dirai que c'est indecent , il n'est point necessaire de comparer avec les autres , il faut savoir se suffir a soi , je n'ai pas besoin de sarko , d'obama ou de poutine pour comprendre ce qui est juste , moral , et ethique

 

la nature humaine si demain nous possedons une montagne en or , on demanderait une deuxieme

 

pour un president qui sait qu'une partie de son peuple meurt de faim et beaucoup vivent sous le seuil de la pauvreté c'est tout simplement indecent et irrespectueux d'accepter un tel salaire, sous reserve que l'information soit vérifié

Link to post
Share on other sites
ils méritent après tout, ils travaillent durement et ils pensent a nous !!

 

 

Bien t'as raison cherry...Ils triment dur nos pauvres petits amour, et il va falloir, peut être, leur donner un petit coup de main pour le transfer de leur tout petit bas de laine de l'autre côté de la méditérannée pour leur grands et internels vacances une récompense pour leur travail bien accompli ?

Link to post
Share on other sites
Bien t'as raison cherry...Ils ont triment dur nos pauvres petits amour, et il va falloir, peut être, leur donner un petit coup de main pour démènager leur tout petit bas de laine de l'autre côté de la méditérannée pour leur grands et internels vacances une récompense pour leur travail bien accompli ?

 

oui, il faut faire ça aussi, bonne idée !

Link to post
Share on other sites

La honte...

 

Attendre de ces indécents personnages qu'ils déclarent la guerre et / ou enquêtent sur la corruption!!!...

Mais, ils la portent en eux....c'est eux la corruption... leurs salaires et tous les avantages qu'ils s'octroient indûment les uns aux autres sont les pires cas de corruption...

 

En effet, l’exécutif corrompe les dé putes par les salaires mirobolants qu'il leur octroie et ces derniers déjà désignés à leurs postes par une autre forme de corruption, par leur silence ...corrompent l'exécutif pour fermer les yeux sur leur propre corruption et ainsi ferme t-on la boucle de la corruption...

 

tous pourris!

tous corrompus!

Link to post
Share on other sites
La tripartite (gouvernement-UGTA-patronat) qui se tiendra ce jeudi à Alger prévoit dans son agenda de traiter de l’augmentation du Salaire national minimum garanti (SNMG). Une augmentation de 2000 à 3000 DA n’est pas à écarter, comme c’est de coutume lors des dernières tripartites.

 

Des augmentations insignifiantes qui seront présentées comme importantes et qui seront, bien entendu, vite rattrapées par la hausse récurrente et généralisée des prix. Le gouvernement et ses partenaires invoqueront, comme d’habitude, la nécessité d’ajuster les salaires selon la productivité et expliqueront que les travailleurs algériens sont bien rémunérés quand la richesse produite reste dérisoire.Des affirmations qui sont, par ailleurs, justes, mais dans un autre contexte autre que celui d’une économie de rente qui caractérise notre pays.Des affirmations, tout aussi justes, lorsqu’elles sont appliquées, d’abord, et aussi, par les décideurs et tous ceux qui font ou défont les lois ou les exécutent. Et en scrutant le train de vie de l’Etat, l’on se rend compte que la rigueur et l’austérité sont réservées exclusivement à la masse des travailleurs. Sinon, comment expliquer des salaires mirobolants pour les hauts cadres de l’Etat, défiant toutes les lois économiques !

 

Le Premier ministre, qui présidera la tripartite, a un salaire net de 500 000 DA, selon des sources au ministère des Finances, soit près de 34 fois le SNMG, et le chef de l’Etat, qui validera en dernier ressort les décisions prises, a un salaire mensuel de 800 000 DA, soit 54 fois le SNMG ! A titre comparatif, le salaire mensuel du président français est de près de 20 000 euros, soit 14 fois le SMIC (13 65 euros) et des voix de l’opposition promettent déjà de le réduire de 20 à 30% en cas victoire lors de la présidentielle de 2012. Un ministre français touche quant à lui 11000 euros, soit 8 fois le SMIC quand nos ministres s’offrent des salaires moyens de 350 000 DA, soit près de 24 fois le SNMG.

 

Outre les prises en charge multiples, gratuité du logement, véhicule, repas, déplacements et autres avantages, qui se justifient, par ailleurs, certains usent et abusent des commissions pour arrondir les fins de mois, comme en attestent les multiples procès et scandales liés à la corruption et dont la presse nationale en fait souvent état ces derniers temps.

De l’avis de nombreux analystes et financiers du pays, le train de vie de l’Etat algérien est toujours aussi fastueux au moment où de larges couches de la société sombrent dans la précarité et la pauvreté. Les couches moyennes sont plus que jamais laminées par la hausse vertigineuses des prix. Depuis 2004, des augmentations de 100% ont étés accordées aux parlementaires et de même pour les fonctionnaires et hauts cadres de l’Etat depuis 2008.

 

Un secrétaire d’Etat touche actuellement 270 000 DA et un secrétaire général d’une institution 210 000 DA, au moment où la fiscalité ordinaire en dehors des hydrocarbures (1.500 milliards de dinars) n’arrive même pas à couvrir la masse salariale des fonctionnaires, au nombre de 1 500 000, environ. Et comme la répartition des budgets n’obéit à aucune logique économique et ne découle d’aucune richesse produite, autant alors redistribuer la rente de manière plus équilibrée. Une redistribution qui obéit actuellement à des considérations politiques et de confortement des positions acquises des uns et des autres comme en attestent les augmentations pour les parlementaires en 2004 pour les besoins d’un acquiescement général lors de la révision constitutionnelle qui a cassé le verrou de la limitation des mandats.

 

Pour une institution comme l’APN, dont le président est rémunéré comme un ministre ou le président du Sénat qui s’offre quelque 600 000 DA, de quelle «productivité» peut-on affubler ces deux institutions lorsque leurs locataires ne font qu’avaliser les lois de l’Exécutif et qu’aucune commission d’enquête sérieuse n’a vu le jour sur les innombrables cas de corruption qui ont vu le jour. C’est dire que la question des salaires doit être prise dans sa globalité et à tous les niveaux pour la cohérence des justificatifs qui s’annoncent. Le train de vie de l’Etat ne doit pas s’éloigner de celui des Algériens et l’idée de l’uniformisation des véhicules prise l’année dernière peut en constituer un

premier pas vers cette rigueur dans la gestion des deniers publics.

 

source:

Mahmoud Mamart. El Watan.com

 

Lorsqu'on a affaire a un président qui fait de la corruption une stratégie pour assoir son pouvoir, il n'est nullement étonnant de voir cet écart énorme entre les salaires des gouvernants et ceux des gouvernés. bouteflika a besoin de tout ce beau monde pour faire passer ses lois ou devrais je dire ses désirs comme une lettre a la poste et pour cela il ne lésine sur aucun moyen et d'ailleurs pas très loin lorsqu'il y a eu des troubles en Algérie janvier dernier il a décidé d'acheter la paix sociale a coup de milliards de dollars. quel malheur!!!!!!.

Ah avant que je n'oublie, il avait bien un frère a lui qui touchait un salaire de 1 million de DA chez khalifa en tant que conseiller juridique enfin rien d'étonnant.

Link to post
Share on other sites
je dirai que c'est indecent , il n'est point necessaire de comparer avec les autres , il faut savoir se suffir a soi , je n'ai pas besoin de sarko , d'obama ou de poutine pour comprendre ce qui est juste , moral , et ethique

 

la nature humaine si demain nous possedons une montagne en or , on demanderait une deuxieme

 

pour un president qui sait qu'une partie de son peuple meurt de faim et beaucoup vivent sous le seuil de la pauvreté c'est tout simplement indecent et irrespectueux d'accepter un tel salaire, sous reserve que l'information soit vérifié

 

L'info date de plusieurs jours. Et, corriges moi si je me trompe, jusqu'à maintenant il n'y a pas eu de démenti de lapart des services de la présidence, pourtant connus pour leurs prompts "droits de repense". ça me suffit pour admettre la véracité de l'article. Et ces salaires mirobolants ne sont que les parties visibles des icebergs puants des pots de vin, des passe droits...

Link to post
Share on other sites

salam

 

envoyé par si-nistri

L'info date de plusieurs jours. Et, corriges moi si je me trompe, jusqu'à maintenant il n'y a pas eu de démenti de lapart des services de la présidence, pourtant connus pour leurs prompts "droits de repense". ça me suffit pour admettre la véracité de l'article. Et ces salaires mirobolants ne sont que les parties visibles des icebergs puants des pots de vin, des passe droits...

 

salam si-nistri voila ce que j'ai pu te trouver comme lecture sur le sujet ça vaut ce que ça vaut , je ne pourrai te dire si c'est vrai ou faux , mais c'est des compatriotes qui ont posté cet article...

 

"La polémique soulevée par le doublement du salaire du président Nicolas Sarkozy a été l’occasion, en France, de le comparer aux émoluments de ses pairs choisis un peu partout dans le monde.

Au hit-parade des salaires de base mensuels (en euros) : Japon (Premier ministre) 24 000 ; États-Unis (Président) 22 784 ; Irlande (Président) 22 834 ; Suisse (Président) 21 276 ; Allemagne (Chancelier) 21 262 ; Autriche (Président) 20 775 ; Italie (Premier ministre) 18 553 ; Canada (Premier ministre) 16 705 ; Belgique (Premier ministre) 15 082 ; Royaume-Uni (Premier ministre) 15 249 ; Azerbaïdjan (Président) 12 400.

Sous la barre des 10 000 euros : Danemark (Premier ministre) 9 500 ; Finlande (Président) 8 500 ; Espagne (Premier ministre) 7 296 ; Portugal (Président) 7 049.

L’équivalent d’un salaire de cadre supérieur en France : Liban (Président) 6 600 ; Indonésie (Président) 5 212 ; Russie (Président) 4 250, Algérie (Président) 4 000 ; Afghanistan (Président) 3 890 ; Pologne (Premier ministre) 3 662 ; Turquie (Président) 3 900 ; Brésil (Président) 2 900.

Enfin, celui d’un smicard, version française : Pakistan (Président) 1 800 ; Mali (Président) 1 500 ; Philippines (Président) 962 ; Sénégal (Président) 745 ; Nigeria (Président) 710 ; Bolivie (Président) 667 ; Inde (Président) 650.

Il faut, cependant, savoir que ces salaires ne sont que la partie visible de l'iceberg, ces fonctions étant assorties à tous les avantages qui font toute la différence.

Liberté

 

 

Un véritable maquis, c’est la conclusion d’une enquête portant sur les «salaires des chefs d’Etat» dans le monde, publiée par l’hebdomadaire L’Express de la semaine dernière. Avec 21 milliards de dollars, soit 16, 3 milliards d’euros, le roi Abdallah d’Arabie Saoudite tient le haut du classement des dix dirigeants politiques les plus fortunés de la planète. On y trouve successivement de la 2e position à la 4e place le sultan de Brunei, le sultan Khalifa Ibn Zaïd de Abou Dahbi, l’émir de Dubai. Viennent ensuite dans l’ordre, le prince de Liechtenstein, Albert de Monaco, le président Fidel Castro, le président de la Guinée équatoriale, la reine Elizabeth II d’Angleterre et la reine Beatrix des Pays-Bas. Et que touche le président algérien ? La réponse est donnée par les journalistes de L’Express, qui soulignent que contrairement à son voisin tunisien qui considère que le salaire du premier dirigeant du pays n’a pas à être connu, «en Algérie, les données chiffrées sont publiques». Bouteflika percevrait «un salaire de 260.000 dinars, soit environ 2 800 euros par mois, auquel s’ajoutent des primes.

 

 

Pour en savoir plus:

http://www.lesoird************/articles/2006/06/12/article.php?sid=39601&"

Link to post
Share on other sites
salam si-nistri voila ce que j'ai pu te trouver comme lecture sur le sujet ça vaut ce que ça vaut , je ne pourrai te dire si c'est vrai ou faux , mais c'est des compatriotes qui ont posté cet article...

 

"La polémique soulevée par le doublement du salaire du président Nicolas Sarkozy a été l’occasion, en France, de le comparer aux émoluments de ses pairs choisis un peu partout dans le monde.

Au hit-parade des salaires de base mensuels (en euros) : Japon (Premier ministre) 24 000 ; États-Unis (Président) 22 784 ; Irlande (Président) 22 834 ; Suisse (Président) 21 276 ; Allemagne (Chancelier) 21 262 ; Autriche (Président) 20 775 ; Italie (Premier ministre) 18 553 ; Canada (Premier ministre) 16 705 ; Belgique (Premier ministre) 15 082 ; Royaume-Uni (Premier ministre) 15 249 ; Azerbaïdjan (Président) 12 400.

Sous la barre des 10 000 euros : Danemark (Premier ministre) 9 500 ; Finlande (Président) 8 500 ; Espagne (Premier ministre) 7 296 ; Portugal (Président) 7 049.

L’équivalent d’un salaire de cadre supérieur en France : Liban (Président) 6 600 ; Indonésie (Président) 5 212 ; Russie (Président) 4 250, Algérie (Président) 4 000 ; Afghanistan (Président) 3 890 ; Pologne (Premier ministre) 3 662 ; Turquie (Président) 3 900 ; Brésil (Président) 2 900.

Enfin, celui d’un smicard, version française : Pakistan (Président) 1 800 ; Mali (Président) 1 500 ; Philippines (Président) 962 ; Sénégal (Président) 745 ; Nigeria (Président) 710 ; Bolivie (Président) 667 ; Inde (Président) 650.

Il faut, cependant, savoir que ces salaires ne sont que la partie visible de l'iceberg, ces fonctions étant assorties à tous les avantages qui font toute la différence.

Liberté

 

 

Un véritable maquis, c’est la conclusion d’une enquête portant sur les «salaires des chefs d’Etat» dans le monde, publiée par l’hebdomadaire L’Express de la semaine dernière. Avec 21 milliards de dollars, soit 16, 3 milliards d’euros, le roi Abdallah d’Arabie Saoudite tient le haut du classement des dix dirigeants politiques les plus fortunés de la planète. On y trouve successivement de la 2e position à la 4e place le sultan de Brunei, le sultan Khalifa Ibn Zaïd de Abou Dahbi, l’émir de Dubai. Viennent ensuite dans l’ordre, le prince de Liechtenstein, Albert de Monaco, le président Fidel Castro, le président de la Guinée équatoriale, la reine Elizabeth II d’Angleterre et la reine Beatrix des Pays-Bas. Et que touche le président algérien ? La réponse est donnée par les journalistes de L’Express, qui soulignent que contrairement à son voisin tunisien qui considère que le salaire du premier dirigeant du pays n’a pas à être connu, «en Algérie, les données chiffrées sont publiques». Bouteflika percevrait «un salaire de 260.000 dinars, soit environ 2 800 euros par mois, auquel s’ajoutent des primes.

 

 

Pour en savoir plus:

http://www.lesoird************/articles/2006/06/12/article.php?sid=39601&"

Tu es encore déconnecté de la réalité du pays

Comment veux tu que le nain touche 260000 DA alors que les députes et sénateurs qu'il a lui même placé touchent dans les environs de 300000DA !!!!!!!!

Link to post
Share on other sites
salam si-nistri voila ce que j'ai pu te trouver comme lecture sur le sujet ça vaut ce que ça vaut , je ne pourrai te dire si c'est vrai ou faux , mais c'est des compatriotes qui ont posté cet article...

 

"La polémique soulevée par le doublement du salaire du président Nicolas Sarkozy a été l’occasion, en France, de le comparer aux émoluments de ses pairs choisis un peu partout dans le monde.

Au hit-parade des salaires de base mensuels (en euros) : Japon (Premier ministre) 24 000 ; États-Unis (Président) 22 784 ; Irlande (Président) 22 834 ; Suisse (Président) 21 276 ; Allemagne (Chancelier) 21 262 ; Autriche (Président) 20 775 ; Italie (Premier ministre) 18 553 ; Canada (Premier ministre) 16 705 ; Belgique (Premier ministre) 15 082 ; Royaume-Uni (Premier ministre) 15 249 ; Azerbaïdjan (Président) 12 400.

Sous la barre des 10 000 euros : Danemark (Premier ministre) 9 500 ; Finlande (Président) 8 500 ; Espagne (Premier ministre) 7 296 ; Portugal (Président) 7 049.

L’équivalent d’un salaire de cadre supérieur en France : Liban (Président) 6 600 ; Indonésie (Président) 5 212 ; Russie (Président) 4 250, Algérie (Président) 4 000 ; Afghanistan (Président) 3 890 ; Pologne (Premier ministre) 3 662 ; Turquie (Président) 3 900 ; Brésil (Président) 2 900.

Enfin, celui d’un smicard, version française : Pakistan (Président) 1 800 ; Mali (Président) 1 500 ; Philippines (Président) 962 ; Sénégal (Président) 745 ; Nigeria (Président) 710 ; Bolivie (Président) 667 ; Inde (Président) 650.

Il faut, cependant, savoir que ces salaires ne sont que la partie visible de l'iceberg, ces fonctions étant assorties à tous les avantages qui font toute la différence.

Liberté

 

 

Un véritable maquis, c’est la conclusion d’une enquête portant sur les «salaires des chefs d’Etat» dans le monde, publiée par l’hebdomadaire L’Express de la semaine dernière. Avec 21 milliards de dollars, soit 16, 3 milliards d’euros, le roi Abdallah d’Arabie Saoudite tient le haut du classement des dix dirigeants politiques les plus fortunés de la planète. On y trouve successivement de la 2e position à la 4e place le sultan de Brunei, le sultan Khalifa Ibn Zaïd de Abou Dahbi, l’émir de Dubai. Viennent ensuite dans l’ordre, le prince de Liechtenstein, Albert de Monaco, le président Fidel Castro, le président de la Guinée équatoriale, la reine Elizabeth II d’Angleterre et la reine Beatrix des Pays-Bas. Et que touche le président algérien ? La réponse est donnée par les journalistes de L’Express, qui soulignent que contrairement à son voisin tunisien qui considère que le salaire du premier dirigeant du pays n’a pas à être connu, «en Algérie, les données chiffrées sont publiques». Bouteflika percevrait «un salaire de 260.000 dinars, soit environ 2 800 euros par mois, auquel s’ajoutent des primes.

 

Pour en savoir plus:

http://www.lesoird************/articles/2006/06/12/article.php?sid=39601&"

 

Sauf que l'article ne précise pas la date de cette conclusion. En an 2000peut être. Et on n'a aucune idée, ne serait-ce qu'approximative, sur le montant de ces primes.

 

Wait and see; les services de la présidence daigneront peut être nous éclairer prochainement...

Link to post
Share on other sites
salam si-nistri voila ce que j'ai pu te trouver comme lecture sur le sujet ça vaut ce que ça vaut , je ne pourrai te dire si c'est vrai ou faux , mais c'est des compatriotes qui ont posté cet article...

 

"La polémique soulevée par le doublement du salaire du président Nicolas Sarkozy a été l’occasion, en France, de le comparer aux émoluments de ses pairs choisis un peu partout dans le monde.

Au hit-parade des salaires de base mensuels (en euros) : Japon (Premier ministre) 24 000 ; États-Unis (Président) 22 784 ; Irlande (Président) 22 834 ; Suisse (Président) 21 276 ; Allemagne (Chancelier) 21 262 ; Autriche (Président) 20 775 ; Italie (Premier ministre) 18 553 ; Canada (Premier ministre) 16 705 ; Belgique (Premier ministre) 15 082 ; Royaume-Uni (Premier ministre) 15 249 ; Azerbaïdjan (Président) 12 400.

Sous la barre des 10 000 euros : Danemark (Premier ministre) 9 500 ; Finlande (Président) 8 500 ; Espagne (Premier ministre) 7 296 ; Portugal (Président) 7 049.

L’équivalent d’un salaire de cadre supérieur en France : Liban (Président) 6 600 ; Indonésie (Président) 5 212 ; Russie (Président) 4 250, Algérie (Président) 4 000 ; Afghanistan (Président) 3 890 ; Pologne (Premier ministre) 3 662 ; Turquie (Président) 3 900 ; Brésil (Président) 2 900.

Enfin, celui d’un smicard, version française : Pakistan (Président) 1 800 ; Mali (Président) 1 500 ; Philippines (Président) 962 ; Sénégal (Président) 745 ; Nigeria (Président) 710 ; Bolivie (Président) 667 ; Inde (Président) 650.

Il faut, cependant, savoir que ces salaires ne sont que la partie visible de l'iceberg, ces fonctions étant assorties à tous les avantages qui font toute la différence.

Liberté

 

 

Un véritable maquis, c’est la conclusion d’une enquête portant sur les «salaires des chefs d’Etat» dans le monde, publiée par l’hebdomadaire L’Express de la semaine dernière. Avec 21 milliards de dollars, soit 16, 3 milliards d’euros, le roi Abdallah d’Arabie Saoudite tient le haut du classement des dix dirigeants politiques les plus fortunés de la planète. On y trouve successivement de la 2e position à la 4e place le sultan de Brunei, le sultan Khalifa Ibn Zaïd de Abou Dahbi, l’émir de Dubai. Viennent ensuite dans l’ordre, le prince de Liechtenstein, Albert de Monaco, le président Fidel Castro, le président de la Guinée équatoriale, la reine Elizabeth II d’Angleterre et la reine Beatrix des Pays-Bas. Et que touche le président algérien ? La réponse est donnée par les journalistes de L’Express, qui soulignent que contrairement à son voisin tunisien qui considère que le salaire du premier dirigeant du pays n’a pas à être connu, «en Algérie, les données chiffrées sont publiques». Bouteflika percevrait «un salaire de 260.000 dinars, soit environ 2 800 euros par mois, auquel s’ajoutent des primes.

 

 

Pour en savoir plus:

http://www.lesoird************/articles/2006/06/12/article.php?sid=39601&"

 

 

Tiens rien que pour toi :crazy: ça va te permettre de mettre a jour tes informations concernant le pays et peut être même dépoussiérer tes tiroirs enfin si tu voix ce que je veux dire.

 

PS : j'ai pris l'article a partir du site d'Algérie Focus

 

 

Le président de la République Bouteflika ainsi que le Premier ministre Ouyahia ont bénéficié récemment d’une augmentation de salaire conséquente, rapporte le quotidien arabophone «Wakt El Djazaïr».

 

Le Chef de l’Etat a ainsi vu son salaire augmenté de 160.000 dinars par mois soit une augmentation de 34% passant, à partir de l’année prochaine, de 770.000 dinars à 930.000 dinars.

 

Le Premier ministre a quant à lui vu son salaire grimpé de 100.000 dinars passant de 510.000 dinars à 610.000 dinars par mois. Ces augmentations ont été appliquées avec effet rétroactif à partir du 1er janvier 2010 et entreront en vigueur à partir du 1er janvier 2012.

 

Les autres responsables concernés par ces augmentations sont ceux appartenant au corps des «fonctions supérieurs». Les revalorisations salariales varient entre 40 et 60%.

 

Ali B.

Link to post
Share on other sites
Tiens rien que pour toi :crazy: ça va te permettre de mettre a jour tes informations concernant le pays et peut être même dépoussiérer tes tiroirs enfin si tu voix ce que je veux dire.

 

PS : j'ai pris l'article a partir du site d'Algérie Focus

 

 

Le président de la République Bouteflika ainsi que le Premier ministre Ouyahia ont bénéficié récemment d’une augmentation de salaire conséquente, rapporte le quotidien arabophone «Wakt El Djazaïr».

 

Le Chef de l’Etat a ainsi vu son salaire augmenté de 160.000 dinars par mois soit une augmentation de 34% passant, à partir de l’année prochaine, de 770.000 dinars à 930.000 dinars.

 

Le Premier ministre a quant à lui vu son salaire grimpé de 100.000 dinars passant de 510.000 dinars à 610.000 dinars par mois. Ces augmentations ont été appliquées avec effet rétroactif à partir du 1er janvier 2010 et entreront en vigueur à partir du 1er janvier 2012.

 

Les autres responsables concernés par ces augmentations sont ceux appartenant au corps des «fonctions supérieurs». Les revalorisations salariales varient entre 40 et 60%.

 

Ali B.

 

 

Koul el khobz ya meskine...

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...