pmat 276 Posted February 17, 2008 Partager Posted February 17, 2008 bonjour a mon avis une democratie donne naissance a d'autre democratie et doit veiller a leur respect qu'est ce que cela veut dire? tout simplement le respect des citoyens et leurs droits donc une democratie a des droits et autant de devoirs envers le peuple qui est a respecter Citer Link to post Share on other sites
ABSO 10 Posted February 17, 2008 Partager Posted February 17, 2008 On est gratifié de sujets qui proviennent d'un autre forum! Je ne sais si la manière est très judicieuse ou la moindre des choses serait une modification de titre. Cela dit, la définition même de la démocratie étant disparate, il faudrait déjà s'entendre sur les modalités du terme. _______________________ Arrogance occidentale C’est que, un peu partout sur la planète, les processus de démocratisation connaissent des ratés, d’ordres divers, qui mettent à mal la «promotion de la démocratie», pour reprendre le vocabulaire en usage à l’ONU depuis les années 90 : l’Irak et l’Afghanistan, mais aussi la Russie reprise en main par Poutine, l’Algérie ou la Palestine où les islamistes se sont vus confisquer leurs victoires gagnées par les urnes. Ou encore, la montée des populismes en Pologne, au Danemark, en Belgique. Voire une Amérique qui, pour imposer la démocratie, n’a pas hésité à transgresser les principes élémentaires du droit. De quoi nourrir pour un bon moment le débat. Car, qu’on le veuille ou non, celui-ci est ouvert. Dans le numéro de janvier de la revue Esprit, Pierre Rosanvallon pointait «une certaine arrogance occidentale et un certain aveuglement sur la nature et les problèmes de la démocratie.» En publiant les interviews de Marcel Gauchet et Slavoj Zizek, Libération verse deux pièces au dossier. ____________________________ Dans la construction de la démocratie, il faudrait que l’on évite un piège et également pointer une méthode de réalisation. Le piège : c’est le repli identitaire. Les pays musulmans le savent très bien. Présentement, des «Élections propres et honnêtes», pour employer un slogan en cours, donneraient immanquablement la victoire au courant rétrograde qui sublime l’arabisme et l’islamisme (ne pas confondre avec l’islamité et l’arabité), c'est-à-dire le courant national – islamiste. D’ailleurs, cette approche l’a emporté en Iran avec Khomeiny, en Turquie avec Ordugan, en Afghanistan avec les Talibans, cela a failli se produire en Algérie en 1992 avec le FIS. Dans certains pays (Maroc, Egypte, Jordanie…), les islamistes instruits par les expériences passées ont jugé plus politique de limiter leur avancée électorale en refusant de se présenter dans toutes les circonscriptions pour ne pas apeurer le pouvoir en place. Leur stratégie est d’islamiser de fond en comble la société. Ce faisant, le pouvoir leur tombera entre les mains comme un fruit mûr. Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted February 17, 2008 Author Partager Posted February 17, 2008 On est gratifié de sujets qui proviennent d'un autre forum! Je ne sais si la manière est très judicieuse ou la moindre des choses serait une modification de titre. Cela dit, la définition même de la démocratie étant disparate, il faudrait déjà s'entendre sur les modalités du terme. _______________________ Arrogance occidentale C’est que, un peu partout sur la planète, les processus de démocratisation connaissent des ratés, d’ordres divers, qui mettent à mal la «promotion de la démocratie», pour reprendre le vocabulaire en usage à l’ONU depuis les années 90 : l’Irak et l’Afghanistan, mais aussi la Russie reprise en main par Poutine, l’Algérie ou la Palestine où les islamistes se sont vus confisquer leurs victoires gagnées par les urnes. Ou encore, la montée des populismes en Pologne, au Danemark, en Belgique. Voire une Amérique qui, pour imposer la démocratie, n’a pas hésité à transgresser les principes élémentaires du droit. De quoi nourrir pour un bon moment le débat. Car, qu’on le veuille ou non, celui-ci est ouvert. Dans le numéro de janvier de la revue Esprit, Pierre Rosanvallon pointait «une certaine arrogance occidentale et un certain aveuglement sur la nature et les problèmes de la démocratie.» En publiant les interviews de Marcel Gauchet et Slavoj Zizek, Libération verse deux pièces au dossier. ____________________________ Dans la construction de la démocratie, il faudrait que l’on évite un piège et également pointer une méthode de réalisation. Le piège : c’est le repli identitaire. Les pays musulmans le savent très bien. Présentement, des «Élections propres et honnêtes», pour employer un slogan en cours, donneraient immanquablement la victoire au courant rétrograde qui sublime l’arabisme et l’islamisme (ne pas confondre avec l’islamité et l’arabité), c'est-à-dire le courant national – islamiste. D’ailleurs, cette approche l’a emporté en Iran avec Khomeiny, en Turquie avec Ordugan, en Afghanistan avec les Talibans, cela a failli se produire en Algérie en 1992 avec le FIS. Dans certains pays (Maroc, Egypte, Jordanie…), les islamistes instruits par les expériences passées ont jugé plus politique de limiter leur avancée électorale en refusant de se présenter dans toutes les circonscriptions pour ne pas apeurer le pouvoir en place. Leur stratégie est d’islamiser de fond en comble la société. Ce faisant, le pouvoir leur tombera entre les mains comme un fruit mûr. Bonjour ABSO ta reflexion On est gratifié de sujets qui proviennent d'un autre forum! Je ne sais si la manière est très judicieuse ou la moindre des choses serait une modification de titre. je t'en remerci et te donne raison j'en suis l'auteur dans les deux forum mais te remerci je prend merci pour ta contribution par les infos que tu nous donnes comme toujour sur le sujet a une reaction voici ce que te dis concernant le monde de l'emigration vivant en europe tu as tout dit en disant çà Une question, faut-il attendre une démocratie sans y participer ? quand on est des sans voix et sans representantatrion ou on parle àpour nous on decide pour nous la est le probleme comme du tout va bien alors que tout va mal participer coment? qui ecoute lorsqu'on dit il y a plus rien et se permet une augmentation de salaire et on fait du recalculer aux ayants droits c'est comme mettre une police et dire allre circuler y a rien a voir et on aura pas respecter la democratie des autre par ces faits et comportement de faux et mauvais gestionnaires PS: je ne comprend pas le terme suisvant: Dans la construction de la démocratie, il faudrait que l’on évite un piège et également pointer une méthode de réalisation. Le piège : c’est le repli identitaire est ce lorsqu'on est emigré ou meme localement comme pour dire il faut etre laic mais alors l'unité aura servi a quoi c'est vrais que la france n'a pas ete d'une seule voix pour contre l'ennemi en 1945 alors que peut on dire? Citer Link to post Share on other sites
ABSO 10 Posted February 17, 2008 Partager Posted February 17, 2008 Je crains qu'il ait actuellement trop de brassage de populations dans le monde afin d'édicter un seul modèle démocratique. A l'inverse, la moindre des ouvertures vers d'autres formes de concepts démocratique fait le nid de l'extrême-droite raciale. Donc, la question est très laborieuse. _____________________ Le Temps - société Citer Link to post Share on other sites
sirghaz 10 Posted February 17, 2008 Partager Posted February 17, 2008 On est gratifié de sujets qui proviennent d'un autre forum! Je ne sais si la manière est très judicieuse ou la moindre des choses serait une modification de titre. Je n'arrête pas de le lui dire mais il n'en fait qu'à sa tête le pmat.:mdr: Citer Link to post Share on other sites
ABSO 10 Posted February 17, 2008 Partager Posted February 17, 2008 Je n'arrête pas de le lui dire mais il n'en fait qu'à sa tête le pmat.:mdr: Notez que la rubrique "Le saviez-vous?" de "notre" forum s'est faite aussi subtilisée pour être proposée sur un autre forum. Il est regrattable que le plagiat s'opère même sur des forums alors que la langue française est assez riche afin de permettre la modification d'un titre soumis à débat. Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted February 17, 2008 Author Partager Posted February 17, 2008 Je n'arrête pas de le lui dire mais il n'en fait qu'à sa tête le pmat.:mdr: bonjour sirghaz oui je confirme tu vas bien Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted February 17, 2008 Author Partager Posted February 17, 2008 Notez que la rubrique "Le saviez-vous?" de "notre" forum s'est faite aussi subtilisée pour être proposée sur un autre forum. Il est regrattable que le plagiat s'opère même sur des forums alors que la langue française est assez riche afin de permettre la modification d'un titre soumis à débat. pitié ma tres chere amie ABSO defaience AL zai......... mais que tu as raison il vrais que je me souci moins a soigner la langue mais ce qui me parit plus urgent et plus important c'est le sujet mais tu as raison n'arrete pas de me corriger mes meilleurs amis c'est ceux qui m'en feron c'est pour mon bien surement Citer Link to post Share on other sites
sirghaz 10 Posted February 17, 2008 Partager Posted February 17, 2008 pitié ma tres chere amie ABSO defaience AL zai......... mais que tu as raison il vrais que je me souci moins a soigner la langue mais ce qui me parit plus urgent et plus important c'est le sujet mais tu as raison n'arrete pas de me corriger mes meilleurs amis c'est ceux qui m'en feron c'est pour mon bien surement Je ne pense pas qu'Abso te reproche tes fautes pmat, relis tu comprendras peut-être. Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted February 17, 2008 Author Partager Posted February 17, 2008 Je ne pense pas qu'Abso te reproche tes fautes pmat, relis tu comprendras peut-être. moi je sais ce qu'elle a dit Sirghaz car ailleur j'ai fait le meme sujet et je trouve que ce qu'elle dit est juste tu le remarquera en t'y rendant et je ne le lui reproche pas de le faire pour moi bien au contraire merci pour la correction Citer Link to post Share on other sites
sirghaz 10 Posted February 17, 2008 Partager Posted February 17, 2008 ah democratie actuelle ou demodé ou est tu qui est tu montre toi fait toi connaitre Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted February 17, 2008 Author Partager Posted February 17, 2008 ah democratie actuelle ou demodé ou est tu qui est tu montre toi fait toi connaitre bravo et merci oui moi je suis de ceux qui decouvre et me pose la question qui etes vous que je leurs dis aux chose que je trouve a un poison je lui dis qui est tu et ext...et donc je pose la question aux mots et aux grandes idées comme le mot democratie c'est une mariée? Citer Link to post Share on other sites
sirghaz 10 Posted February 17, 2008 Partager Posted February 17, 2008 et bien revons pmat par ce qui s'ecrit, se dit se clame a tres haute voix se chante meme revons en attendant toute le democratie promettent grace a la sueur des hommes et des femmes mais en retour rien sur le terrain toujour rien Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted February 17, 2008 Author Partager Posted February 17, 2008 et bien revons pmat par ce qui s'ecrit, se dit se clame a tres haute voix se chante meme revons en attendant toute le democratie promettent grace a la sueur des hommes et des femmes mais en retour rien sur le terrain toujour rien attention tu devien l'initiateur et tu prend le risque qu'elle courage ein en attendant j'attend une reponse qui me ferais plaisir ou m'interrogerais d'aventage Citer Link to post Share on other sites
sirghaz 10 Posted February 17, 2008 Partager Posted February 17, 2008 L'Algérie se porte très bien et elle est en forme économiquement Bonjour. Un pays n'est pas une idée seule. Un pays n'est pas la volonté soudaine d'un groupe. Un pays n'est pas le souci de certains cas isolé et particulier. Un pays n'est pas le cas d'un petit nombre d'individu très particulier en en faisant un cas général. Car çà se serais un pays c'est son nombre d'habitant qui le situ politiquement économiquement idéologiquement philosophiquement. Et pas pare bribe d'idée qui n'est pas le sien. Et ou chacun fais son pronostique pour cela il y a ce qu'il faut pour s’en soucier et a bon escient Celui qui a une idée ce n'est pas ici que cela se tien. Il y des élections qui se présente il lui faut se présenter aux élections pour convaincre puisqu'il est si sur. Et ne pas venir faire de la propagande d'anti ici. Çà n’est pas l’aimer ce pays par ces comportements un pays c'est tout les individus il n'apparition pas qu'a celui qui sait écrire. Ou sait parler Ou encore mieux qui sait chanter. Un pays c'est l'affaire de tous et la main dans la main. Lorsque le pacs a été voter en France dans la rue les pacseurs pas toute la France était avec eux. Donc toute la France n'est pas pour aussi Un pays n'a pas besoin de toi Tu as besoin d'un pays Ne le sali pas Tes frères y habite c'est comme l'environnement Un peu de respect merci Car sur bien des sujets je m'assici a prevert aussi pour etre contre les intellectuelles Citer Link to post Share on other sites
ABSO 10 Posted February 17, 2008 Partager Posted February 17, 2008 L'Algérie se porte très bien et elle est en forme économiquement Bonjour. Un pays n'est pas une idée seule. Un pays n'est pas la volonté soudaine d'un groupe. Un pays n'est pas le souci de certains cas isolé et particulier. Un pays n'est pas le cas d'un petit nombre d'individu très particulier en en faisant un cas général. Car çà se serais un pays c'est son nombre d'habitant qui le situ politiquement économiquement idéologiquement philosophiquement. Et pas pare bribe d'idée qui n'est pas le sien. Et ou chacun fais son pronostique pour cela il y a ce qu'il faut pour s’en soucier et a bon escient Celui qui a une idée ce n'est pas ici que cela se tien. Il y des élections qui se présente il lui faut se présenter aux élections pour convaincre puisqu'il est si sur. Et ne pas venir faire de la propagande d'anti ici. Çà n’est pas l’aimer ce pays par ces comportements un pays c'est tout les individus il n'apparition pas qu'a celui qui sait écrire. Ou sait parler Ou encore mieux qui sait chanter. Un pays c'est l'affaire de tous et la main dans la main. Lorsque le pacs a été voter en France dans la rue les pacseurs pas toute la France était avec eux. Donc toute la France n'est pas pour aussi Un pays n'a pas besoin de toi Tu as besoin d'un pays Ne le sali pas Tes frères y habite c'est comme l'environnement Un peu de respect merci Car sur bien des sujets je m'assici a prevert aussi pour etre contre les intellectuelles Il y a des plaisantins sur ce forum! Avec 7 millions de citoyens vivant en-dessous du seuil de pauvreté, peut-on dire qu'une nation se porte bien? ___________________________ L'Algérie disposait fin 2007 d'un matelas de réserves de change de 110 milliards de dollars, placés en actifs publics, dont 40% en euros, a indiqué le ministre des Finances dans une déclaration dimanche à l'AFP. Les placements sont notamment effectués en dollars auprès du Trésor américain et en livres sterling auprès du Trésor britannique et en yen japonais, a précisé Karim Djoudi. "Les risques sont nuls parce que ce ne sont pas des risques de marché et que la Banque d'Algérie pratique une gestion sécurisée de ces réserves", a-t-il dit. "Ces placements assurent à l'Algérie des liquidités qu'elle peut investir ailleurs à tout moment", selon lui. La capacité d'absorption de l'économie algérienne étant encore faible, l'injection brutale d'une telle manne aurait généré une très forte inflation préjudiciable à la croissance, souligne le ministre, en réponse aux critiques d'experts défavorables à ces placements. Les réserves actuelles représentent plus de quatre ans d'importation, contre moins de quinze jours en 1992-93, lorsque l'Algérie était menacée de cessation de paiement du fait d'une chute brutale des prix du pétrole sur le marché international. L'Algérie bénéficie depuis trois ans de la flambée des prix du brut, qui flirte avec les 90 dollars le baril en moyenne. "L'Algérie dispose d'une surface financière qui assure une fiabilité à la mise en œuvre de sa politique économique", a souligné M. Djoudi. La dette publique externe a été ramenée à 900 millions de dollars en 2007 --contre plus de 25 mds USD en 1993-94-- et la dette publique interne doit être divisée par deux et ramenée à moins de 500 mds de dinars (5 mds euros environ) en 2008, selon les prévisions officielles. Source:TSA Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted February 17, 2008 Author Partager Posted February 17, 2008 Il y a des plaisantins sur ce forum! Avec 7 millions de citoyens vivant en-dessous du seuil de pauvreté, peut-on dire qu'une nation se porte bien? ___________________________ L'Algérie disposait fin 2007 d'un matelas de réserves de change de 110 milliards de dollars, placés en actifs publics, dont 40% en euros, a indiqué le ministre des Finances dans une déclaration dimanche à l'AFP. Les placements sont notamment effectués en dollars auprès du Trésor américain et en livres sterling auprès du Trésor britannique et en yen japonais, a précisé Karim Djoudi. "Les risques sont nuls parce que ce ne sont pas des risques de marché et que la Banque d'Algérie pratique une gestion sécurisée de ces réserves", a-t-il dit. "Ces placements assurent à l'Algérie des liquidités qu'elle peut investir ailleurs à tout moment", selon lui. La capacité d'absorption de l'économie algérienne étant encore faible, l'injection brutale d'une telle manne aurait généré une très forte inflation préjudiciable à la croissance, souligne le ministre, en réponse aux critiques d'experts défavorables à ces placements. Les réserves actuelles représentent plus de quatre ans d'importation, contre moins de quinze jours en 1992-93, lorsque l'Algérie était menacée de cessation de paiement du fait d'une chute brutale des prix du pétrole sur le marché international. L'Algérie bénéficie depuis trois ans de la flambée des prix du brut, qui flirte avec les 90 dollars le baril en moyenne. "L'Algérie dispose d'une surface financière qui assure une fiabilité à la mise en œuvre de sa politique économique", a souligné M. Djoudi. La dette publique externe a été ramenée à 900 millions de dollars en 2007 --contre plus de 25 mds USD en 1993-94-- et la dette publique interne doit être divisée par deux et ramenée à moins de 500 mds de dinars (5 mds euros environ) en 2008, selon les prévisions officielles. Source:TSA merci ABSO pour tout ces eclaircissements Citer Link to post Share on other sites
sirghaz 10 Posted February 17, 2008 Partager Posted February 17, 2008 Demande ça à pmat abso, pas à moi, ce topic est de lui pas de moi, il l'a posté sur l'autre forum.:mdr: Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted February 17, 2008 Author Partager Posted February 17, 2008 Demande ça à pmat abso, pas à moi, ce topic est de lui pas de moi, il l'a posté sur l'autre forum.:mdr: tu a pris la responsabilité donc tu te debrouilles en plus ABSO est la personne qui pose les bonnes questionzs Citer Link to post Share on other sites
ABSO 10 Posted February 17, 2008 Partager Posted February 17, 2008 Demande ça à pmat abso, pas à moi, ce topic est de lui pas de moi, il l'a posté sur l'autre forum.:mdr: Sincèrement, je ne comprends pas votre petit jeu. je sais que ce topic découle d'un autre forum, mais doit-on s'en résoudre à singer autrui par manque d'imagination? Citer Link to post Share on other sites
sirghaz 10 Posted February 17, 2008 Partager Posted February 17, 2008 Je déconnais avec pmat mais j'ai l'impression que vous vous prenez trop au sérieux sur ce forum, je vous le laisse.:crazy: :crazy: Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted February 17, 2008 Author Partager Posted February 17, 2008 Je crains qu'il ait actuellement trop de brassage de populations dans le monde afin d'édicter un seul modèle démocratique. A l'inverse, la moindre des ouvertures vers d'autres formes de concepts démocratique fait le nid de l'extrême-droite raciale. Donc, la question est très laborieuse. _____________________ Le Temps - société ABSO je ne suis pas un saint syndicale mais obligé de l'etre car la cause est mon emigration ne peut on pas dire on etayer un principe pour le respect de l'emligré car souvent la republique ferme les yeux sur ses problemes de l'emigree Citer Link to post Share on other sites
ABSO 10 Posted February 17, 2008 Partager Posted February 17, 2008 ABSO je ne suis pas un saint syndicale mais obligé de l'etre car la cause est mon emigration ne peut on pas dire on etayer un principe pour le respect de l'emligré car souvent la republique ferme les yeux sur ses problemes de l'emigree Il s'agit d'argumenter ses opinions de manière crédible si possible et rien d'autre. ________________________ Présenté comme un spécialiste de l’Algérie, auteur de plusieurs ouvrages sur le système politique algérien, le professeur et chercheur Williams B. Quandt, de l’université de Virginie et politologue ayant également travaillé dans l’Administration du président Carter, a donné, hier matin, à l’université d’Es Senia une conférence sur “la politique américaine au Moyen-Orient”. Devant un parterre d’enseignants et d’étudiants, le conférencier a tout d’abord tenu à expliquer qu’il était un admirateur d’Ibn Khaldoun et que, justement pour le thème de sa conférence, il gardait deux idées chères à Ibn Khaldoun, à savoir : la notion de solidarité et que l’histoire ne se lit pas et ne se découvre pas d’une façon directe, linéaire. Mais d’emblée, ce politologue affiche ses positions “critiques” envers l’Administration Bush et la politique menée au Moyen-Orient, plus particulièrement depuis l’invasion de l’Irak. Mais, dit-il, on doit d’abord, “avant de critiquer, analyser la situation de façon objective”. Ainsi, la situation désastreuse qui prévaut en Irak a fait des milliers de morts irakiens, des millions de personnes déplacées à l’intérieur ou ayant fui à l’étranger, une situation de guerre civile et un coût financier de plus de 500 milliards de dollars ; tel est le résultat de la politique américaine déstabilisante en Irak et dans toute la région. Pour le conférencier, il est clair que l’Administration Bush, plus particulièrement “le groupe néo-conservateur” des hommes “très solidaires” qui entourent le président, n’avait pas pour l’Irak de “stratégie claire à long terme. C’est une politique du moment qui va avoir des répercussions importantes dans toute la région et cela même après le départ de Bush en 2009”. En fait, le conférencier, qui abordera les différentes thèses avancées pour expliquer les raisons qui ont mené les EU à vouloir renverser le régime de Saddam Hussein, entre autres, la sécurité d’Israël, les intérêts nationaux américains, contrer les puissances et les influences de la Syrie et de l’Iran, pour qui aujourd’hui des rumeurs font planer une menace de guerre, etc., estime pour sa part qu’avec l’élection de Bush fils et la guerre du Golfe, les néo-conservateurs, à leur tête Donald Rumsfeld, cherchaient à mettre en place leur nouvelle stratégie de politique au Moyen-Orient et imposer leur idéologie. Cette stratégie s’appuie sur la puissance militaire américaine, économique et technologique qui a fait naître chez les néo-conservateurs cette ambition d’expansionnisme. “Ne pas utiliser la force que pour les intérêts nationaux, mais pour imposer une vision idéologique et politique au Moyen-Orient, développant ainsi la théorie de la guerre préventive”. Pour l’intervenant, les attentats du 11 septembre ont fourni une occasion de montrer quelle était la nouvelle politique des EU pour le Moyen-Orient. Parmi les erreurs fondamentales et graves des conséquences commises par l’Administration Bush et les néo-conservateurs, c’est de n’avoir pas eu de “stratégie à long terme pour l’Irak et leur méconnaissance totale de la société irakienne car en renversant le régime de Saddam Hussein, ils ont détruit l’État. Résultat, c’est presque une guerre civile aujourd’hui”. Le conférencier poursuit en expliquant que cette politique aussi étrange qu’elle soit a eu pour conséquence de favoriser l’Iran et de rappeler que des dirigeants iraniens ont été à remercier les EU car avec la fin du régime de Saddam Hussein, ce sont les chiites qui sont dominants et sur lesquels s’appuient toujours les Américains et les Iraniens qui ont des liens étroits avec les groupes chiites d’Irak. L’autre stratégie battue en brèche par Williams B. Quandt, c’est d’avoir voulu mettre de côté, dans la politique américaine au Moyen-Orient, le conflit israélo-arabe et de rompre, par la suite, avec la politique d’équilibre qu’avait mise en place le président Clinton. Toujours aussi critique envers les néo-conservateurs, le conférencier estime que l’une des autres erreurs fatales, c’est d’avoir cru que par la force, les Américains pouvaient imposer la démocratie : “Ils pensaient qu’il y aurait ainsi des changements démocratiques et que cela entraînerait les autres pays de la région pour aller plus tard vers la paix avec Israël.” Quant aux relations avec l’Algérie, l’intervenant a souhaité plus d’échanges, plus de relations entre les deux pays, notamment dans le domaine scientifique et culturel qui pourrait peut-être passer par la création d’une université américaine en Algérie, entre autres. Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted February 17, 2008 Author Partager Posted February 17, 2008 Il s'agit d'argumenter ses opinions de manière crédible si possible et rien d'autre. ________________________ Présenté comme un spécialiste de l’Algérie, auteur de plusieurs ouvrages sur le système politique algérien, le professeur et chercheur Williams B. Quandt, de l’université de Virginie et politologue ayant également travaillé dans l’Administration du président Carter, a donné, hier matin, à l’université d’Es Senia une conférence sur “la politique américaine au Moyen-Orient”. Devant un parterre d’enseignants et d’étudiants, le conférencier a tout d’abord tenu à expliquer qu’il était un admirateur d’Ibn Khaldoun et que, justement pour le thème de sa conférence, il gardait deux idées chères à Ibn Khaldoun, à savoir : la notion de solidarité et que l’histoire ne se lit pas et ne se découvre pas d’une façon directe, linéaire. Mais d’emblée, ce politologue affiche ses positions “critiques” envers l’Administration Bush et la politique menée au Moyen-Orient, plus particulièrement depuis l’invasion de l’Irak. Mais, dit-il, on doit d’abord, “avant de critiquer, analyser la situation de façon objective”. Ainsi, la situation désastreuse qui prévaut en Irak a fait des milliers de morts irakiens, des millions de personnes déplacées à l’intérieur ou ayant fui à l’étranger, une situation de guerre civile et un coût financier de plus de 500 milliards de dollars ; tel est le résultat de la politique américaine déstabilisante en Irak et dans toute la région. Pour le conférencier, il est clair que l’Administration Bush, plus particulièrement “le groupe néo-conservateur” des hommes “très solidaires” qui entourent le président, n’avait pas pour l’Irak de “stratégie claire à long terme. C’est une politique du moment qui va avoir des répercussions importantes dans toute la région et cela même après le départ de Bush en 2009”. En fait, le conférencier, qui abordera les différentes thèses avancées pour expliquer les raisons qui ont mené les EU à vouloir renverser le régime de Saddam Hussein, entre autres, la sécurité d’Israël, les intérêts nationaux américains, contrer les puissances et les influences de la Syrie et de l’Iran, pour qui aujourd’hui des rumeurs font planer une menace de guerre, etc., estime pour sa part qu’avec l’élection de Bush fils et la guerre du Golfe, les néo-conservateurs, à leur tête Donald Rumsfeld, cherchaient à mettre en place leur nouvelle stratégie de politique au Moyen-Orient et imposer leur idéologie. Cette stratégie s’appuie sur la puissance militaire américaine, économique et technologique qui a fait naître chez les néo-conservateurs cette ambition d’expansionnisme. “Ne pas utiliser la force que pour les intérêts nationaux, mais pour imposer une vision idéologique et politique au Moyen-Orient, développant ainsi la théorie de la guerre préventive”. Pour l’intervenant, les attentats du 11 septembre ont fourni une occasion de montrer quelle était la nouvelle politique des EU pour le Moyen-Orient. Parmi les erreurs fondamentales et graves des conséquences commises par l’Administration Bush et les néo-conservateurs, c’est de n’avoir pas eu de “stratégie à long terme pour l’Irak et leur méconnaissance totale de la société irakienne car en renversant le régime de Saddam Hussein, ils ont détruit l’État. Résultat, c’est presque une guerre civile aujourd’hui”. Le conférencier poursuit en expliquant que cette politique aussi étrange qu’elle soit a eu pour conséquence de favoriser l’Iran et de rappeler que des dirigeants iraniens ont été à remercier les EU car avec la fin du régime de Saddam Hussein, ce sont les chiites qui sont dominants et sur lesquels s’appuient toujours les Américains et les Iraniens qui ont des liens étroits avec les groupes chiites d’Irak. L’autre stratégie battue en brèche par Williams B. Quandt, c’est d’avoir voulu mettre de côté, dans la politique américaine au Moyen-Orient, le conflit israélo-arabe et de rompre, par la suite, avec la politique d’équilibre qu’avait mise en place le président Clinton. Toujours aussi critique envers les néo-conservateurs, le conférencier estime que l’une des autres erreurs fatales, c’est d’avoir cru que par la force, les Américains pouvaient imposer la démocratie : “Ils pensaient qu’il y aurait ainsi des changements démocratiques et que cela entraînerait les autres pays de la région pour aller plus tard vers la paix avec Israël.” Quant aux relations avec l’Algérie, l’intervenant a souhaité plus d’échanges, plus de relations entre les deux pays, notamment dans le domaine scientifique et culturel qui pourrait peut-être passer par la création d’une université américaine en Algérie, entre autres. sur cette question ABSO qui n'a rien a voir avec le sujet ou alor je n'ai pas saisi le sens pourtant çà parle des americains et de l'ira egalement de la deerniere question qui est la politique du moyen orien americaine cette question a ete posé pendant les evenement du 11 sept elle etait attendu cette question car sa reponse est absente car la question est et doit etre qu'elle la politique americaine sur sa politique etrangere et notemment celle du moyen orient il ne peut pas y repondre sans perdre les elections le president americain n'importe lequ'elle qui sera investi hier comme aujourdhui egalement demain ou alors il sera assasiner comme kennedy pourtant kennedy n'a pas ete assasiner sur cet question Citer Link to post Share on other sites
ABSO 10 Posted February 17, 2008 Partager Posted February 17, 2008 sur cette question ABSO qui n'a rien a voir avec le sujet ou alor je n'ai pas saisi le sens pourtant çà parle des americains et de l'ira egalement de la deerniere question qui est la politique du moyen orien americaine cette question a ete posé pendant les evenement du 11 sept elle etait attendu cette question car sa reponse est absente car la question est et doit etre qu'elle la politique americaine sur sa politique etrangere et notemment celle du moyen orient il ne peut pas y repondre sans perdre les elections le president americain n'importe lequ'elle qui sera investi hier comme aujourdhui egalement demain ou alors il sera assasiner comme kennedy pourtant kennedy n'a pas ete assasiner sur cet question L'article se référait à William B. Quandt admirateur d’Ibn Khaldoun, ce qui peut frapper plus d’un en raison de l’origine américaine du conférencier (Quandt). Ceci démontre qu’il y a lieu de posséder une grande culture lorsqu’il est question de démocratie. _______________________________________ Les «coups d'État conjoncturels» Ce qui risque de surprendre le lecteur ne réside pas seulement dans ce tableau historique. Les rédacteurs de ce volume dévoilent l'actualité d'un terme qui paraît beaucoup plus adapté à nos modernes démocraties qu'on ne pourrait le soupçonner. Mitterrand avait-il raison en affirmant que la Ve République est un « coup d'État permanent » ? L'analyse du juriste Frédéric Rouvillois permet de faire le point sur la nature de la Ve République, en partant de ses origines. Le régime de 1958 n'est pas issu, rappelle-t-il, d'un coup d'État, mais d'une sorte de révolution. Le 13 mai n'a rien à voir avec le 18 Brumaire. Dans un cas, les circonstances extérieures (la crise algérienne) contraignent le pouvoir à réagir et à recourir à une personnalité extérieure ; dans l'autre, un petit quarteron de comploteurs tente de s'emparer du pouvoir. Ce qui n'empêche pas que de Gaulle ait pu avoir recours à des petits arrangements constitutionnels (comme l'utilisation abusive de l'art. 16) que Rouvillois associe à des « coups d'État conjoncturels». Citer Link to post Share on other sites
Recommended Posts
Join the conversation
You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.