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Houari Boumédiène: "Koulou Trab Bladkoum Ou'matrouhouche L'França !!"


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Pas sûr! En tout pas à mon avis.

 

"Boumediene serait-il une référence taboue ?"

 

http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2008/12/27/article.php?sid=77447&cid=8

 

 

ben oui ils ont echoues dans leur politique comment veux tu que le peuple se souviennent d eux par la suite c est sur que boumedienne a su capter le coeur de ces milliers d algeriens incarnant la voie de la liberte et de l egalite pour tous helas l histoire en a voulu autrement ils nous l on pris bien trop tot

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Et

.... pendant ce temps

.... y avait pas de patates

.... a Oran

 

on s'entretué aussi pour le café la tomate la patate l'oignon la viande congelée etc............ et cinq générations sacrifié pour rien actuellement on est a trois il reste encore deux autres générations et je peut continué mais j'arrete la pour les gens qui connaissent vraiment la politique les autres m'excuses

 

et celui ou celle qui a un doute elle pose la question a son entourage pour ce que je viens de dire

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A méditer!

 

 

 

-Le 19 juin 1965, Houari Boumediene, alors vice président du Conseil de la révolution et ministre de la Défense, prenait le pouvoir à Alger à la faveur d'un coup d'état militaire. Mettant fin au régime populiste de Ben Bella qui s'apprêtait, disait-on, à mettre l'Algérie sous la tutelle de l'Egypte de Nasser, cette journée sera sacrée celle du redressement révolutionnaire et sera fériée, chômée et payée. Cumulant les fonctions de chef de l'Etat et de ministre de la Défense nationale, Boumediene règnera de main de maître sur le pays jusqu'à sa disparition, le 27 décembre 1978.

 

La démocratisation de l'enseignement, la gratuité des soins et la nationalisation des hydrocarbures sont à mettre à son crédit ainsi que le recouvrement progressif mais réel de la souveraineté nationale. Sur le plan économique, la politique de l'industrie industrialisante confiée à Belaïd Abdeslam, de même que la révolution agraire, s'avèreront des échecs cuisants. Au chapitre des erreurs on peut ajouter le royal mépris du tout puissant président pour le secteur du tourisme qui peine à relever la tête à ce jour.

 

Le plus controversé est, cependant, son bilan politique. S'il a réussi à donner sa place à l'Algérie sur la scène internationale en s'imposant comme un leader incontournable au sein du mouvement des non-alignés, son régime se caractérisait par une politique intérieure qui n'avait rien à envier aux dictatures socialisantes de l'Europe de l'Est. Ayant déjoué un coup d'état en 1967 et ayant échappé à des tentatives d'assassinat, Boumediene a joué la sécurité en bouclant hermétiquement tous les espaces de liberté et d'expression et en imposant l'unicité de la pensée au nom de l'unité des rangs. La sécurité militaire, dont la seule évocation faisait trembler les Algériens, était partout et veillait à étouffer toute voix discordante, au besoin par des moyens expéditifs. Exil forcé, emprisonnement et parfois même assassinat d'opposants sont ainsi à déplorer.

 

Au plan des libertés, l'université restait le seul îlot où il pouvait y avoir un semblant de débat, sous haute surveillance. Quatre forces s'y confrontaient : les nationalistes et les baathistes du FLN acquis à Boumediene, les communistes du PAGS semi-clandestins qui appuyaient ouvertement sa politique économique et sociale, les Frères musulmans et les berbéristes qui constitueront l'essentiel des formations démocratiques après l'ouverture de 1989. En dehors des berbéristes régulièrement réprimés, le régime de Boumediene a souvent joué les courants les uns contre les autres, à son plus grand profit.

 

Boumediene assoit solidement son régime en 1976 en lui donnant une forme de légitimité après avoir fait adopter par référendum la charte nationale, puis la constitution. C'est alors qu'il commet deux erreurs stratégiques qui compromettront gravement l'avenir. Il s'agit de l'arabisation intempestive du système éducatif qu'il servira comme gage aux baathistes, et du passage du week-end universel au week-end islamique que recevront les islamistes comme un cadeau inespéré.

 

Le 27 décembre 1978 les Algériens étaient abasourdis par l'annonce de la mort de celui qui était un peu le père fouettard mais dont on mesurait, soudain, l'étendue du vide qu'il laissait.. Il eut droit à des funérailles mémorables et le peuple a inondé les rues pour lui rendre un dernier hommage. La majorité des Algériens a alors pleuré. Un peu pace qu'ils regrettaient l'homme dont la mort n'a pas dévoilé tous ses secrets, un peu par crainte des lendemains...-

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ben oui ils ont echoues dans leur politique comment veux tu que le peuple se souviennent d eux par la suite c est sur que boumedienne a su capter le coeur de ces milliers d algeriens incarnant la voie de la liberte et de l egalite pour tous helas l histoire en a voulu autrement ils nous l on pris bien trop tot

J'avais

.... tout juste 10 ans

.... quand le champagne

.... a coule a flot

.... pour feter son execution

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maintenant c'est toi qui m'a fait pleuré ignorante a ce point

 

tu ne vois pas la cata actuelle et le résultat de ça politique ou on paye les conséquences jusqu'a ce jour

 

la mauvaise politique n est pas du a boumedienne il faut remonter le temps les dossiers de la gestion apres sa disparition s il l on elimine c est qu il derangeait quelque part

voila c est fait et maintenant on voit bien la cata

mais bon l Algérie de boutef se releve petit a petit le probleme en Algérie c est qu il y a trop de corruption voila ce qui gangrene le pays des voyous qui ne laisse pas le pays se redresser

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A méditer!

 

 

 

-Le 19 juin 1965, Houari Boumediene, alors vice président du Conseil de la révolution et ministre de la Défense, prenait le pouvoir à Alger à la faveur d'un coup d'état militaire. Mettant fin au régime populiste de Ben Bella qui s'apprêtait, disait-on, à mettre l'Algérie sous la tutelle de l'Egypte de Nasser, cette journée sera sacrée celle du redressement révolutionnaire et sera fériée, chômée et payée. Cumulant les fonctions de chef de l'Etat et de ministre de la Défense nationale, Boumediene règnera de main de maître sur le pays jusqu'à sa disparition, le 27 décembre 1978.

 

La démocratisation de l'enseignement, la gratuité des soins et la nationalisation des hydrocarbures sont à mettre à son crédit ainsi que le recouvrement progressif mais réel de la souveraineté nationale. Sur le plan économique, la politique de l'industrie industrialisante confiée à Belaïd Abdeslam, de même que la révolution agraire, s'avèreront des échecs cuisants. Au chapitre des erreurs on peut ajouter le royal mépris du tout puissant président pour le secteur du tourisme qui peine à relever la tête à ce jour.

 

Le plus controversé est, cependant, son bilan politique. S'il a réussi à donner sa place à l'Algérie sur la scène internationale en s'imposant comme un leader incontournable au sein du mouvement des non-alignés, son régime se caractérisait par une politique intérieure qui n'avait rien à envier aux dictatures socialisantes de l'Europe de l'Est. Ayant déjoué un coup d'état en 1967 et ayant échappé à des tentatives d'assassinat, Boumediene a joué la sécurité en bouclant hermétiquement tous les espaces de liberté et d'expression et en imposant l'unicité de la pensée au nom de l'unité des rangs. La sécurité militaire, dont la seule évocation faisait trembler les Algériens, était partout et veillait à étouffer toute voix discordante, au besoin par des moyens expéditifs. Exil forcé, emprisonnement et parfois même assassinat d'opposants sont ainsi à déplorer.

 

Au plan des libertés, l'université restait le seul îlot où il pouvait y avoir un semblant de débat, sous haute surveillance. Quatre forces s'y confrontaient : les nationalistes et les baathistes du FLN acquis à Boumediene, les communistes du PAGS semi-clandestins qui appuyaient ouvertement sa politique économique et sociale, les Frères musulmans et les berbéristes qui constitueront l'essentiel des formations démocratiques après l'ouverture de 1989. En dehors des berbéristes régulièrement réprimés, le régime de Boumediene a souvent joué les courants les uns contre les autres, à son plus grand profit.

 

Boumediene assoit solidement son régime en 1976 en lui donnant une forme de légitimité après avoir fait adopter par référendum la charte nationale, puis la constitution. C'est alors qu'il commet deux erreurs stratégiques qui compromettront gravement l'avenir. Il s'agit de l'arabisation intempestive du système éducatif qu'il servira comme gage aux baathistes, et du passage du week-end universel au week-end islamique que recevront les islamistes comme un cadeau inespéré.

 

Le 27 décembre 1978 les Algériens étaient abasourdis par l'annonce de la mort de celui qui était un peu le père fouettard mais dont on mesurait, soudain, l'étendue du vide qu'il laissait.. Il eut droit à des funérailles mémorables et le peuple a inondé les rues pour lui rendre un dernier hommage. La majorité des Algériens a alors pleuré. Un peu pace qu'ils regrettaient l'homme dont la mort n'a pas dévoilé tous ses secrets, un peu par crainte des lendemains...-

 

tu as oublié de parlé de la cata de la révolution agraire

 

tu as oublié la listes des anciens moudjahidines qui est était fausse a quatre vingt dix pour cent et je peut continuer

 

tu as oublié la listes de nos glorieux vrais moudjahide qu'il a assassiné un peut partout dans le monde sans compté ceux qu'il a pété en algérie pendant tout son reine tu as oublié la dictature

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la mauvaise politique n est pas du a boumedienne il faut remonter le temps les dossiers de la gestion apres sa disparition s il l on elimine c est qu il derangeait quelque part

voila c est fait et maintenant on voit bien la cata

mais bon l Algérie de boutef se releve petit a petit le probleme en Algérie c est qu il y a trop de corruption voila ce qui gangrene le pays des voyous qui ne laisse pas le pays se redresser

la cata c'est les conséquences du passé et pas plus

le vol la corruption c'est le régime de boumedienne qui l'a crée lors d'un discourt il a dit

 

travaillé ne volé pas avec un coufin mais volé avec un sac et depuis ce discourt dans notre pays le vol et la corruption monaie courrante jusqu'a ce jour

 

je ne peut parlé du présent puisque le topic parle de boumedienne

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J'avais

.... tout juste 10 ans

.... quand le champagne

.... a coule a flot

.... pour feter son execution

 

 

quand sa mort fut annoncer aux infos du 20h je me souviens que mon pere a pleure a chaude larme car lui etait un revolutioniste de boumedienne

 

 

il n y a que les vieux qui le connaissaient et savaient ce qu il valait pas toi

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la cata c'est les conséquences du passé et pas plus

le vol la corruption c'est le régime de boumedienne qui l'a crée lors d'un discourt il a dit

 

travaillé ne volé pas avec un coufin mais volé avec un sac et depuis ce discourt dans notre pays le vol et la corruption monaie courrante jusqu'a ce jour

 

je ne peut parlé du présent puisque le topic parle de boumedienne

 

cette citation etait elle a prendre au premier degre

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quand sa mort fut annoncer aux infos du 20h je me souviens que mon pere a pleure a chaude larme car lui etait un revolutioniste de boumedienne

 

 

 

il n y a que les vieux qui le connaissaient et savaient ce qu il valait pas toi

 

dans ma famille j'étais le seul a ne pas avoir pleuré ce jour la et je ne regrette rien car celui ou celle qui ont saboté mon pays je ne leur pardonne jamais au grand jamais

 

nous avons un peuple idéal nous avons un trés beau pays qui a quatre saisons mais de trés mauvais dirigeant et actuellement je constate il y a une nette amélioration en tout et pour tout

 

seulement reste une seule chose a faire d'aprés moi une justice sociale et pas plus

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cette citation etait elle a prendre au premier degre

 

tu te trompe ce n'est pas une citation mais c'est la vérité va voir les archives tu trouvera ça dans les journeaux et dans les vidéos aussi

 

bibliothéques des mairies et des wilaya

 

et avant de dire citation mieux vérifié et réfléchir avant de répondre ci non demande a ton père puisque tu dit que c'est un politicien il te le dira ci non tes voisins qui sont assez agés

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tu as oublié de parlé de la cata de la révolution agraire

 

tu as oublié la listes des anciens moudjahidines qui est était fausse a quatre vingt dix pour cent et je peut continuer

 

tu as oublié la listes de nos glorieux vrais moudjahide qu'il a assassiné un peut partout dans le monde sans compté ceux qu'il a pété en algérie pendant tout son reine tu as oublié la dictature

 

Je ne suis pas "boumédenniste" ni "bouteflikiste" son alter ego! Au contraire, sans les Kabyles, il est à craindre que le "bateau ivre" algérien continuera à naviguer à vue (atteinte de myopie).

 

-«Le pouvoir parle au peuple, il ne l’écoute pas»-

 

http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2011/09/18/article.php?sid=123083&cid=2

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tu te trompe ce n'est pas une citation mais c'est la vérité va voir les archives tu trouvera ça dans les journeaux et dans les vidéos aussi

 

bibliothéques des mairies et des wilaya

 

et avant de dire citation mieux vérifié et réfléchir avant de répondre ci non demande a ton père puisque tu dit que c'est un politicien il te le dira ci non tes voisins qui sont assez agés

 

 

c etait un revolutionaire pas un politicien

 

les detracteurs de boumedienne il y en a toujours eu donc pour moi qui en suis fan je prend tout ca au premier degre ca m etonnerait que boumedienne demande a son peuple de piller le bled

 

le pays a foiré quand chadli a prit le pouvoir d ailleurs personne ne l aime ce type la

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Je ne suis pas "boumédenniste" ni "bouteflikiste" son alter ego! Au contraire, sans les Kabyles, il est à craindre que le "bateau ivre" algérien continuera à naviguer à vue (atteinte de myopie).

 

-«Le pouvoir parle au peuple, il ne l’écoute pas»-

 

http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2011/09/18/article.php?sid=123083&cid=2

 

exact mon ami

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quand sa mort fut annoncer aux infos du 20h je me souviens que mon pere a pleure a chaude larme car lui etait un revolutioniste de boumedienne

 

 

il n y a que les vieux qui le connaissaient et savaient ce qu il valait pas toi

 

Il faut voir les photos de la Foule à El Harrach quand son cerceuil est passé.

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c etait un revolutionaire pas un politicien

 

les detracteurs de boumedienne il y en a toujours eu donc pour moi qui en suis fan je prend tout ca au premier degre ca m etonnerait que boumedienne demande a son peuple de piller le bled

 

le pays a foiré quand chadli a prit le pouvoir d ailleurs personne ne l aime ce type la

 

Mais alors si Boumediènne fut un révolutionnaire que dire alors de Krim Belkacem? Un homme au-delà de tous les Dieux?

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Guest samirovsky
Mais alors si Boumediènne fut un révolutionnaire que dire alors de Krim Belkacem? Un homme au-delà de tous les Dieux?

 

Comment trouver une quelconque qualité ou humanité à celui qui a assassiné:

Chabani

Krim

Khider

Medeghri

 

Et exilé:

Ait Ahmed

Boudiaf

et tant d'autres assassinats.

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salam

 

helena si demain ton pere te laisse un heritage , c'est que cet heritage te revient de droit , si moi demain je me proclame president et je saisisse le bien que ton pere t'a laissé et que dieu t'a prescrit et je le fais en nom d'une ideologie que j'aurai choisie comme concept pour un pays et pour l'appliquer sur un peuple , tu crois que je serais un souverrains juste ou un dictateur ?

 

si demain j'accede au pouvoir et je sais que le smic pour le pauvre citoyen est de 3000 DA par mois , et moi dans mes discours je porte des montres qui font 10 fois ce montant et je fume des cigarres qui valent ce montant à l'unité , et je porte un burnous qui quatre fois ce smig , et je laisse ma femme allez dans les magasins chic de new york se payait des manteaux de fourrure avec l'argent du pays , mais pour le peuple je tape du doigt et je declare "quarrarna" on a décidé, alors qu'il decide seul du sort de ce pays et d'appauvrir le peuple

 

lorsqu'un homme execute de sang froid dans des complots des hommes et des grands hommes de la revolution algerienne est-ce qu'il lui reste une legitimité pour dire que c'est un revolutionnaire, ce que je te dis c'est en connaissance de cause , je n'avance pas des theses ou des suppositions ,ou des on dit , je parle de parent tres proche a moi qui ont fait les frais de ce sanguinaire

 

Boumedienne etait peut-etre un nationaliste qui aimait son pays, mais il ne comprenait rien a rien car il n'etais pas instruit et il a peché par orgueil, il croyait bien faire , mais dans le fond ,le resultat nous le vivons aujourd'hui

 

tu etais jeune helena mais l'epoque de boumedienne il nous a mis la securité militaire, qui etais la plus redoutable du monde model KGB, a cette epoque quand il venait chercher un parent a toi et qu'il embarquait , ce parent etait porté disparu a jamais , et quand les voisins voulaient avoir des nouvelles tu n'avais pas le droit de dire ou il etais , les familles par peur de represaille disait que leurs parents etaient en voyage , sinon la SM revenait te cherchait pour t'embarquer

 

toi tu ne te rappel pas de ce slogan, les allemands dressent les bergers allemands et les bergers allemands dressent les algeriens, oui helena il avait acheté aux allemands des chiens pour dresser le peuple au lieu d'eduquer le peuple, voila ce qu'il se disait

 

il avait donné le pouvoir aux militaires ils faisaient ce qu'ils voulaient du peuple

 

je te passe les details de ce qu'il avait fait aux kabyles et au freres musulmans enfin laissons le passé et essayons de voir devant nous cela vaut mieux ........

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A méditer!

 

 

 

-Le 19 juin 1965, Houari Boumediene, alors vice président du Conseil de la révolution et ministre de la Défense, prenait le pouvoir à Alger à la faveur d'un coup d'état militaire. Mettant fin au régime populiste de Ben Bella qui s'apprêtait, disait-on, à mettre l'Algérie sous la tutelle de l'Egypte de Nasser, cette journée sera sacrée celle du redressement révolutionnaire et sera fériée, chômée et payée. Cumulant les fonctions de chef de l'Etat et de ministre de la Défense nationale, Boumediene règnera de main de maître sur le pays jusqu'à sa disparition, le 27 décembre 1978.

 

La démocratisation de l'enseignement, la gratuité des soins et la nationalisation des hydrocarbures sont à mettre à son crédit ainsi que le recouvrement progressif mais réel de la souveraineté nationale. Sur le plan économique, la politique de l'industrie industrialisante confiée à Belaïd Abdeslam, de même que la révolution agraire, s'avèreront des échecs cuisants. Au chapitre des erreurs on peut ajouter le royal mépris du tout puissant président pour le secteur du tourisme qui peine à relever la tête à ce jour.

 

Le plus controversé est, cependant, son bilan politique. S'il a réussi à donner sa place à l'Algérie sur la scène internationale en s'imposant comme un leader incontournable au sein du mouvement des non-alignés, son régime se caractérisait par une politique intérieure qui n'avait rien à envier aux dictatures socialisantes de l'Europe de l'Est. Ayant déjoué un coup d'état en 1967 et ayant échappé à des tentatives d'assassinat, Boumediene a joué la sécurité en bouclant hermétiquement tous les espaces de liberté et d'expression et en imposant l'unicité de la pensée au nom de l'unité des rangs. La sécurité militaire, dont la seule évocation faisait trembler les Algériens, était partout et veillait à étouffer toute voix discordante, au besoin par des moyens expéditifs. Exil forcé, emprisonnement et parfois même assassinat d'opposants sont ainsi à déplorer.

 

Au plan des libertés, l'université restait le seul îlot où il pouvait y avoir un semblant de débat, sous haute surveillance. Quatre forces s'y confrontaient : les nationalistes et les baathistes du FLN acquis à Boumediene, les communistes du PAGS semi-clandestins qui appuyaient ouvertement sa politique économique et sociale, les Frères musulmans et les berbéristes qui constitueront l'essentiel des formations démocratiques après l'ouverture de 1989. En dehors des berbéristes régulièrement réprimés, le régime de Boumediene a souvent joué les courants les uns contre les autres, à son plus grand profit.

 

Boumediene assoit solidement son régime en 1976 en lui donnant une forme de légitimité après avoir fait adopter par référendum la charte nationale, puis la constitution. C'est alors qu'il commet deux erreurs stratégiques qui compromettront gravement l'avenir. Il s'agit de l'arabisation intempestive du système éducatif qu'il servira comme gage aux baathistes, et du passage du week-end universel au week-end islamique que recevront les islamistes comme un cadeau inespéré.

 

Le 27 décembre 1978 les Algériens étaient abasourdis par l'annonce de la mort de celui qui était un peu le père fouettard mais dont on mesurait, soudain, l'étendue du vide qu'il laissait.. Il eut droit à des funérailles mémorables et le peuple a inondé les rues pour lui rendre un dernier hommage. La majorité des Algériens a alors pleuré. Un peu pace qu'ils regrettaient l'homme dont la mort n'a pas dévoilé tous ses secrets, un peu par crainte des lendemains...-

 

Tout a fait d'accord sur tous ce que vous avez écris sauf dans le passage ou vous mettez les frères musulman dans le même camp que les démocrates quelque par c'est contre nature

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helena si demain ton pere te laisse un heritage , c'est que cet heritage te revient de droit , si moi demain je me proclame president et je saisisse le bien que ton pere t'a laissé et que dieu t'a prescrit et je le fais en nom d'une ideologie que j'aurai choisie comme concept pour un pays et pour l'appliquer sur un peuple , tu crois que je serais un souverrains juste ou un dictateur ?

 

si demain j'accede au pouvoir et je sais que le smic pour le pauvre citoyen est de 3000 DA par mois , et moi dans mes discours je porte des montres qui font 10 fois ce montant et je fume des cigarres qui valent ce montant à l'unité , et je porte un burnous qui quatre fois ce smig , et je laisse ma femme allez dans les magasins chic de new york se payait des manteaux de fourrure avec l'argent du pays , mais pour le peuple je tape du doigt et je declare "quarrarna" on a décidé, alors qu'il decide seul du sort de ce pays et d'appauvrir le peuple

 

lorsqu'un homme execute de sang froid dans des complots des hommes et des grands hommes de la revolution algerienne est-ce qu'il lui reste une legitimité pour dire que c'est un revolutionnaire, ce que je te dis c'est en connaissance de cause , je n'avance pas des theses ou des suppositions ,ou des on dit , je parle de parent tres proche a moi qui ont fait les frais de ce sanguinaire

 

Boumedienne etait peut-etre un nationaliste qui aimait son pays, mais il ne comprenait rien a rien car il n'etais pas instruit et il a peché par orgueil, il croyait bien faire , mais dans le fond ,le resultat nous le vivons aujourd'hui

 

tu etais jeune helena mais l'epoque de boumedienne il nous a mis la securité militaire, qui etais la plus redoutable du monde model KGB, a cette epoque quand il venait chercher un parent a toi et qu'il embarquait , ce parent etait porté disparu a jamais , et quand les voisins voulaient avoir des nouvelles tu n'avais pas le droit de dire ou il etais , les familles par peur de represaille disait que leurs parents etaient en voyage , sinon la SM revenait te cherchait pour t'embarquer

 

toi tu ne te rappel pas de ce slogan, les allemands dressent les bergers allemands et les bergers allemands dressent les algeriens, oui helena il avait acheté aux allemands des chiens pour dresser le peuple au lieu d'eduquer le peuple, voila ce qu'il se disait

 

il avait donné le pouvoir aux militaires ils faisaient ce qu'ils voulaient du peuple

 

je te passe les details de ce qu'il avait fait aux kabyles et au freres musulmans enfin laissons le passé et essayons de voir devant nous cela vaut mieux ........

 

On peut tout lui coller : Dictateur, Assassin, Populisme, Zaimisme..........etc.

C'est vrai qu'il a acheté le silence de certaines personne en les corrompant ou en fermant les yeux sur certains agissements de personnes proches de lui comme bouteflika, mais pour sa propre personne ou pour sa famille il n'a jamais été question de corruption ou de détournement, le burnous qu'il portait et que d'ailleurs beaucoup de responsables algériens aimaient porter sur le costume était un signe pour montrer ses origines montagnardes, quant a son fameux cigare cubain il est clair que c'était pour montrer son attachement au bloc socialiste. depuis la disparition de houari boumedienne, sa femme Anissa boumedienne mène une vie simple et digne, elle n'a bénéficié d'aucune largesse de la part du pouvoir algérien

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on s'entretué aussi pour le café la tomate la patate l'oignon la viande congelée etc............ et cinq générations sacrifié pour rien actuellement on est a trois il reste encore deux autres générations et je peut continué mais j'arrete la pour les gens qui connaissent vraiment la politique les autres m'excuses

 

et celui ou celle qui a un doute elle pose la question a son entourage pour ce que je viens de dire

Je me rappelle

.... j'avais tout juste 6 ou 7 ans

.... j'etais a Oran avec mon pere

.... qui a croise ses amis de lycee

.... qui faisaient la queue devant

.... le "Prisunic" boulevard Gallieni

.... pour acheter du beurre

.... a l'epoque on venait d'amenager

.... en France a notre retour du Maroc

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Boumediènne n'avait pas été digne, comme le trio cairois, de l'indépendance algérienne. Celle-ci du reste foutue dès l'assassinat de Larbi Ben Mhidi, indéniablement l'un de ses enfants le plus brillant.

Meme

.... ceux qui ont combattu

.... Larbi Ben M'Hidi

.... l'ont respecte meme apres

.... sa mort

.... mon grand-pere a prenomme

.... mon cousin Larbi par respect a Ben M'Hidi

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Meme

.... ceux qui ont combattu

.... Larbi Ben M'Hidi

.... l'ont respecte meme apres

.... sa mort

.... mon grand-pere a prenomme

.... mon cousin Larbi par respect a Ben M'Hidi

 

C'est-à-dire? L'épopée de l'Etat algérien indépendant est jonchée d'intrigues, de charognards mais tant Krim Belkacem ni Larbi Ben M'hidi- entre autres-) ne font office de griefs. N'est pas pure qu'importe quelle âme!

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