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TERRORISME, ISLAMISME, LA TALIBANISATION DE L'ALGÉRIE S'ACCELÈRE


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LE DIABLE EN PERSONNE

 

 

Encouragés par une islamisation rampante de la société, conséquence d’une orientation idéologique des tenants du pouvoir, des anciens du FIS dissous passent à l’offensive.

 

Dans une hallucinante fetwa, l’ancien dirigeant du parti dissous, d’El Hachemi Sahnouni, et Abderezak Zeraoui Hamadache lancent un appel, dans un tract diffusé hier aux citoyens, les incitant à se soulever pour la fermeture des débits de boissons alcoolisées.

«Nous appelons les comités des quartiers populaires à multiplier leur contestation demandant la fermeture définitive des bars et des débits de boissons alcoolisées prohibées par la religion du Prophète, parce qu’elles pervertissent notre jeunesse et détruisent ses mœurs religieuses (…)», ont-ils écrit dans leur tract infamant. Une incitation à la violence, à la haine, à l’intolérance et, plus dangereux encore, à dresser des Algériens les uns contre les autres. Un véritable appel à «la fitna». Visiblement galvanisé par le virage conservateur pris par le pouvoir de Bouteflika, l’ancien prédicateur de la mosquée Essouna de Bab El Oued (Alger) s’érige ainsi en inquisiteur.

 

Sahnouni se sent en terrain conquis, lui, dont la responsabilité politique dans la violence qui a embrasé le pays durant les années 1990 n’est plus à démontrer. S’attribuant ainsi «le rôle» de la conscience de la société, les prédicateurs jugent curieusement que «ce sont les débits de boissons alcoolisées qui sont la cause de nombreux problèmes des Algériens parce qu’elles propagent la perversion et éloignent des solutions réelles et justes». Les deux prêcheurs estiment dans leur propagande intégriste que «le nombre de crimes a augmenté et les bagarres sont de plus en plus nombreuses entre les buveurs d’alcool et d’honorables citoyens à cause de la multiplication des débits de boissons».

 

Invraisemblable. Est-ce parce qu’il existe des imams pédophiles qu’il faudrait fermer les mosquées ? Faut-il interdire les matchs de football pour mettre un terme à la violence dans les stades ! Le raccourci est vite pris. Faut-il chercher les sources de la violence ailleurs que dans les bars ? Ne sont-elles pas d’ordre politique ? L’extrémisme religieux revient au-devant de la scène au moment même où le terrorisme continue de faire des victimes innocentes. Bien évidemment, d’El Hachemi Sahnouni n’oserait pas pointer du doit la cause réelle du mal qui ronge l’Etat et la société. Sahnouni en est-il seulement conscient ?

 

Pour le moins étrange, il a choisi de se fourvoyer aujourd’hui dans cette espèce de «guerre civile» contre les débits de boissons et leur clientèle. L’a-t-il fait de lui-même et par lui-même sans la tutelle d’un quelconque sponsor politique interne ou externe ? A l’heure, faut-il le noter, on traverse une phase très délicate politiquement du fait des exigences du changement démocratique imposé par ce qui se passe dans le monde arabe et les nécessités de la situation interne. Il est aisé en effet de remarquer que ce personnage évite soigneusement de s’attaquer au pouvoir politique.

 

Pouvoir et islamistes, même combat

 

Depuis quelques années, l’opinion publique assiste avec stupéfaction et inquiétude à une campagne de stigmatisation menée par le pouvoir de Bouteflika contre des Algériens parce qu’ils épousent une religion autre que l’Islam, contre les non-jeûneurs. Des femmes sont souvent persécutées. Le gouvernement a trouvé un stratagème juridique pour interdire aux descendants de détenteurs de licence d’exploitation de débits de boissons alcoolisées d’en hériter. Depuis, de nombreux bars sont fermés, notamment dans l’Algérois. D’autres propriétaires de débits de boissons alcoolisées, sous une pression de l’administration policière avec l’appui de leurs supplétifs, ont fermé boutique.

 

Au nom de quoi ? Au nom d’innombrables prétextes de pratique commerciale qui dissimulent mal une action de moralisation de la société. Ainsi, des concessions «symboliques», mais combien importantes, sont instrumentalisées par le pouvoir au profit des islamistes et aux forces conservatrices dans le but d’acheter leur soutien et surtout leur silence au moment où les peuples se soulèvent contre les dictatures. Est-il nécessaire de rappeler, durant les événements du début janvier dernier, que le gouvernement a fait recours aux imams pour dissuader les Algériens de descendre dans la rue pour réclamer leurs droits politiques. Au mois du Ramadhan dernier, le gouvernement a chargé son ministre des Affaires religieuses d’exhorter les commerçants à ne pas augmenter les prix des produits de large consommation. Alors que la mission de contrôle des prix est du ressort du ministère du Commerce.

 

Ainsi, nous assistons à un glissement dangereux de l’Etat en s’appuyant sur le discours religieux, souvent extrémiste, dans la gestion des affaires publiques. L’opinion publique s’inquiète de cette collusion historique et dangereuse entre le pouvoir et les islamistes. Le caractère républicain de l’Etat en pâtit. Par ailleurs, la question que soulève la fetwa de l’ancien dirigeant du FIS dissous va au-delà d’anecdotiques beuveries. Elle pose sérieusement la problématique des libertés individuelles et publiques dans une société mortellement étouffée.

 

En filigrane, dans son douteux combat, El Hachemi Sahnouni ne désespère pas, après l’épisode meurtrier des années 1990, de ramener l’Algérie au Moyen-Âge, en faisant feu de tout bois. De nombreux observateurs tirent la sonnette d’alarme, attirant l’attention sur la propagation de l’idéologie wahhabite et salafiste dans de nombreuses mosquées tolérée par le pouvoir en place. Pour peu, son hégémonie n’est pas remise en cause par les tenants de cette idéologie obscurantiste. Mais pas seulement. Le pouvoir met à contribution tous ses appareils idéologiques.

 

Des médias (publics et privés) et l’école distillent un discours d’intolérance et de haine. Foncièrement hostile aux aspirations de liberté, de démocratie et de justice de la société, le pouvoir a fait le choix de faire alliance avec des forces les plus archaïques. Quitte à mettre l’Etat en péril. Cette situation rappelle curieusement la période du début des années quatre-vingt. Faut-il alors considérer que la transition politique qui se joue actuellement doit absolument se négocier avec les islamistes purs et durs ? Leur offensive est en tout cas on ne peut plus bruyante.

Hacen Ouali

 

 

Débits de boissons alcoolisées : La fetwa et la fitna d?El Hachemi Sahnouni - A la une - El Watan

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une tempete dans un verre d'eau :D

 

toi tu es la bas chez toi et alors tu ne vois rien tu ne sais rien juste des miettes que tu reçois

 

c'est ce qu'ils ont dit en Iran avant Khomeini,,, c'est ce qu'ils ont dit en Somalie,,, ect le résultat aujourd'hui est affreux

 

moi je te dis une chose,, l'Algérie est dans un vrai brouillards ou toute les perspectives et solutions politiques et autres n'ont abouti qu'à un désastre plus profond, en d'autres termes,,,,,,,,,,, c'est trop tard, plus rien à faire.

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Guest mackiavelik

pour les débits de boissons...ca date bien avant que les ex-fissistes interviennent...ils ne font que suivre!

sinon , ce bonhomme nie en bloc qu'il est derriere ses revendications

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pour les débits de boissons...ca date bien avant que les ex-fissistes interviennent...ils ne font que suivre!

sinon , ce bonhomme nie en bloc qu'il est derriere ses revendications

 

Alors tout les jours tu nous bombardes avec le DRS

 

Alors je commence réellement avoir des toutes sur toi,, peut etre tu serai secrétaire du Général Mediene

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Guest mackiavelik
Alors tout les jours tu nous bombardes avec le DRS

 

Alors je commence réellement avoir des toutes sur toi,, peut etre tu serai secrétaire du Général Mediene

 

oui, comment tu as su?:mad:

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çà se passe comment sur Hollywood Boulevard ???

 

 

interdit de mettre la burka,, de s'habiller en un quamis,, de parler arabe en ville,, et puis on jette les corps dans l'océan et selon la tradition islamique tous ceux qui prient dans la rue. :D

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interdit de mettre la burka,, de s'habiller en un quamis,, de parler arabe en ville,, et puis on jette les corps dans l'océan et selon la tradition islamique tous ceux qui prient dans la rue. :D

 

attention ... j'ai vu un docu sur les musulmans de L.A. ... durant le mois de Ramadan passé ... c'est pas comme çà que çà se passe ...

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LE DIABLE EN PERSONNE

 

 

Encouragés par une islamisation rampante de la société, conséquence d’une orientation idéologique des tenants du pouvoir, des anciens du FIS dissous passent à l’offensive.

 

Dans une hallucinante fetwa, l’ancien dirigeant du parti dissous, d’El Hachemi Sahnouni, et Abderezak Zeraoui Hamadache lancent un appel, dans un tract diffusé hier aux citoyens, les incitant à se soulever pour la fermeture des débits de boissons alcoolisées.

«Nous appelons les comités des quartiers populaires à multiplier leur contestation demandant la fermeture définitive des bars et des débits de boissons alcoolisées prohibées par la religion du Prophète, parce qu’elles pervertissent notre jeunesse et détruisent ses mœurs religieuses (…)», ont-ils écrit dans leur tract infamant. Une incitation à la violence, à la haine, à l’intolérance et, plus dangereux encore, à dresser des Algériens les uns contre les autres. Un véritable appel à «la fitna». Visiblement galvanisé par le virage conservateur pris par le pouvoir de Bouteflika, l’ancien prédicateur de la mosquée Essouna de Bab El Oued (Alger) s’érige ainsi en inquisiteur.

 

Sahnouni se sent en terrain conquis, lui, dont la responsabilité politique dans la violence qui a embrasé le pays durant les années 1990 n’est plus à démontrer. S’attribuant ainsi «le rôle» de la conscience de la société, les prédicateurs jugent curieusement que «ce sont les débits de boissons alcoolisées qui sont la cause de nombreux problèmes des Algériens parce qu’elles propagent la perversion et éloignent des solutions réelles et justes». Les deux prêcheurs estiment dans leur propagande intégriste que «le nombre de crimes a augmenté et les bagarres sont de plus en plus nombreuses entre les buveurs d’alcool et d’honorables citoyens à cause de la multiplication des débits de boissons».

 

Invraisemblable. Est-ce parce qu’il existe des imams pédophiles qu’il faudrait fermer les mosquées ? Faut-il interdire les matchs de football pour mettre un terme à la violence dans les stades ! Le raccourci est vite pris. Faut-il chercher les sources de la violence ailleurs que dans les bars ? Ne sont-elles pas d’ordre politique ? L’extrémisme religieux revient au-devant de la scène au moment même où le terrorisme continue de faire des victimes innocentes. Bien évidemment, d’El Hachemi Sahnouni n’oserait pas pointer du doit la cause réelle du mal qui ronge l’Etat et la société. Sahnouni en est-il seulement conscient ?

 

Pour le moins étrange, il a choisi de se fourvoyer aujourd’hui dans cette espèce de «guerre civile» contre les débits de boissons et leur clientèle. L’a-t-il fait de lui-même et par lui-même sans la tutelle d’un quelconque sponsor politique interne ou externe ? A l’heure, faut-il le noter, on traverse une phase très délicate politiquement du fait des exigences du changement démocratique imposé par ce qui se passe dans le monde arabe et les nécessités de la situation interne. Il est aisé en effet de remarquer que ce personnage évite soigneusement de s’attaquer au pouvoir politique.

 

Pouvoir et islamistes, même combat

 

Depuis quelques années, l’opinion publique assiste avec stupéfaction et inquiétude à une campagne de stigmatisation menée par le pouvoir de Bouteflika contre des Algériens parce qu’ils épousent une religion autre que l’Islam, contre les non-jeûneurs. Des femmes sont souvent persécutées. Le gouvernement a trouvé un stratagème juridique pour interdire aux descendants de détenteurs de licence d’exploitation de débits de boissons alcoolisées d’en hériter. Depuis, de nombreux bars sont fermés, notamment dans l’Algérois. D’autres propriétaires de débits de boissons alcoolisées, sous une pression de l’administration policière avec l’appui de leurs supplétifs, ont fermé boutique.

 

Au nom de quoi ? Au nom d’innombrables prétextes de pratique commerciale qui dissimulent mal une action de moralisation de la société. Ainsi, des concessions «symboliques», mais combien importantes, sont instrumentalisées par le pouvoir au profit des islamistes et aux forces conservatrices dans le but d’acheter leur soutien et surtout leur silence au moment où les peuples se soulèvent contre les dictatures. Est-il nécessaire de rappeler, durant les événements du début janvier dernier, que le gouvernement a fait recours aux imams pour dissuader les Algériens de descendre dans la rue pour réclamer leurs droits politiques. Au mois du Ramadhan dernier, le gouvernement a chargé son ministre des Affaires religieuses d’exhorter les commerçants à ne pas augmenter les prix des produits de large consommation. Alors que la mission de contrôle des prix est du ressort du ministère du Commerce.

 

Ainsi, nous assistons à un glissement dangereux de l’Etat en s’appuyant sur le discours religieux, souvent extrémiste, dans la gestion des affaires publiques. L’opinion publique s’inquiète de cette collusion historique et dangereuse entre le pouvoir et les islamistes. Le caractère républicain de l’Etat en pâtit. Par ailleurs, la question que soulève la fetwa de l’ancien dirigeant du FIS dissous va au-delà d’anecdotiques beuveries. Elle pose sérieusement la problématique des libertés individuelles et publiques dans une société mortellement étouffée.

 

En filigrane, dans son douteux combat, El Hachemi Sahnouni ne désespère pas, après l’épisode meurtrier des années 1990, de ramener l’Algérie au Moyen-Âge, en faisant feu de tout bois. De nombreux observateurs tirent la sonnette d’alarme, attirant l’attention sur la propagation de l’idéologie wahhabite et salafiste dans de nombreuses mosquées tolérée par le pouvoir en place. Pour peu, son hégémonie n’est pas remise en cause par les tenants de cette idéologie obscurantiste. Mais pas seulement. Le pouvoir met à contribution tous ses appareils idéologiques.

 

Des médias (publics et privés) et l’école distillent un discours d’intolérance et de haine. Foncièrement hostile aux aspirations de liberté, de démocratie et de justice de la société, le pouvoir a fait le choix de faire alliance avec des forces les plus archaïques. Quitte à mettre l’Etat en péril. Cette situation rappelle curieusement la période du début des années quatre-vingt. Faut-il alors considérer que la transition politique qui se joue actuellement doit absolument se négocier avec les islamistes purs et durs ? Leur offensive est en tout cas on ne peut plus bruyante.

Hacen Ouali

 

 

Débits de boissons alcoolisées : La fetwa et la fitna d?El Hachemi Sahnouni - A la une - El Watan

Les islamistes sont connus pour leur esprit opportuniste, ils attendent la moindre occasion ou brèche pour s'engouffrer a l'intérieur, il est tout a fait clair qu'ils essayent de profiter des derniers évènements d'El Djamila ex Madrague pour réoccuper le terrain, d'ailleurs c'est réglé comme un papier a musique en choisissant le bon moment pour se faire remarquer, le printemps arabe, les reformes que le pays attend sont autant d'évènements importants pour la mouvance islamiste pour revenir au devant de la scène en mettant la pression et en pesant de tout son poids sur le terrain. Mais dans tout cela la main des services n'est pas a écarter puisque pour des raisons de survie, le régime a toujours voulu nous mettre dans une logique qui a comme antagonistes : Pouvoir Vs Islamistes

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Ya l'Ghma de quoi tu te mèle ?

Pourquopi tu n'irais pas voir tes fréres sionistes et constatés par toi mème les crimes dont ils sont responsables ces deux derniers ciècles ?

Tes freres sont passibles de la potance pour avoir créer ces fitnas a travers toute la planète .

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Fetwa ou pas fetwa, "cheikh" ou pas cheikh, l'alcool et les bars sont très mal vus et sont exécrés dans la culture algérienne.

 

Le "cheikh" n'as pas vraiment à intervenir dans les affaires algériennes mais, de l'autre côté, que les journaleux d'El Watan se gardent aussi de se croire à Paris.

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Le "cheikh" n'as pas vraiment à intervenir dans les affaires algériennes

 

Pourquoi? Il est égyptien ce Cheikh? Ou doit i l se limiter à refaire les meme gestes betement 5 fois par jours?!

 

Kouloukoum ra3in wa kouloukoum mass'ouloun 3an ri3ayatihi

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Il faudrait

.... que les fetards s'organisent

.... autour de leurs pro fetes

.... pour defendre les bars

 

A Oran les bars sot presque aussi sacrés que les mosquées !

D'ailleurs il y a un respect mutuel entre les deux publics ! :D

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Pourquoi? Il est égyptien ce Cheikh? Ou doit i l se limiter à refaire les meme gestes betement 5 fois par jours?!

 

Kouloukoum ra3in wa kouloukoum mass'ouloun 3an ri3ayatihi

 

Et ben figure-toi que je me suis plus fié à la photo (qui me semble être celle d'un cheikh saoudien à moins que je ne confonde) qu'à l'article que je n'ai pas lu attentivement.

 

Mais s'il est algérien alors ça change la donne car à mon avis un érudit à tout à fait le droit (parfois le devoir) de donner son avis dans un pays dont le peuple accorde une importance capitale à la religion (dans son volet légal du moins).

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Et ben figure-toi que je me suis plus fié à la photo (qui me semble être celle d'un cheikh saoudien à moins que je ne confonde) qu'à l'article que je n'ai pas lu attentivement.

 

Mais s'il est algérien alors ça change la donne car à mon avis un érudit à tout à fait le droit (parfois le devoir) de donner son avis dans un pays dont le peuple accorde une importance capitale à la religion (dans son volet légal du moins).

 

tu confend ,, car je te l'accorde le cheick saoudien en question avec qui tu confends s'appel Abdel Aziz et il est le Mufti officielle du royaume wahabite et il est l'imam officiel de la Montée d'Arafat, la veille de l'Aid el Kebir ou Al-Adha

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Ya l'Ghma de quoi tu te mèle ?

Pourquopi tu n'irais pas voir tes fréres sionistes et constatés par toi mème les crimes dont ils sont responsables ces deux derniers ciècles ?

Tes freres sont passibles de la potance pour avoir créer ces fitnas a travers toute la planète .

 

les sionniste sont à mes yeux des anges par rapport aux crimes commis par Khaddafi,, Al-Assad, Al-Bashir & co.

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