Jump to content

Gary Robinson: Le Maroc traverse une crise de langue unique dans le monde arabe !


Recommended Posts

Guest fellay
L’ancien secrétaire de l'ambassade américain à Rabat et actuel député au Sénat Americain, Gary Robinson, décrit dans un câble datant du 4 mai 2005, sans stupéfication l’indigence linguistique des Marocains. «Le groupe 20-40 ans, qui sont aujourd’hui candidats à l’embauche, parle un mélange confus de langue française, arabe et berbère, que certains chefs d’entreprise jugent ‘’inutile’’. Ils ne peuvent se faire comprendre par personne , même pas par eux-mêmes», souligne-t-il.

Intitulé : «Analphabètes trilingues : crise de la langue au Maroc», le télégramme en question reprend une discussion tenue lors d’un dîner à la résidence de l’ambassadeur , en présence de députés marocains. L’ambassadeur américain déplore notamment de ce qu’ils appellent le «collage» des langues. «Les diplomates qui viennent au Maroc après avoir été dans la région sont surpris de voir que les Marocains terminent rarement une phrase dans la même langue», rapporte-t-il.

 

 

il faut vraiement étre ***** pour prendre un article parlant à l'origine de l'algérie et prendre la peine de le changer minutieusement pour en faire un article épinglant le maroc. C'est quoi ton problème? tu as honte d'être algérien?

 

voici le texte d'origine comme publié par EL Watan:

 

El Watan le 07.09.11

«L’Algérie traverse une crise de langue unique dans le monde arabe.»

 

L’ancien ambassadeur américain, David Pearce, décrit dans un câble datant du 16 octobre 2008, avec stupéfaction l’indigence linguistique des Algériens. «Le groupe 20-40 ans, qui sont aujourd’hui candidats à l’embauche, parle un mélange confus de langue française, arabe et berbère, que certains chefs d’entreprise jugent ‘’inutile’’. Ils ne peuvent se faire comprendre par n’importe qui, sauf par eux-mêmes», souligne-t-il.

Intitulé : «Analphabètes trilingues : crise de la langue en Algérie», le télégramme en question reprend une discussion tenue lors d’un dîner (iftar) à la résidence de l’ambassadeur vers la fin du Ramadhan, en présence d’hommes d’affaires algériens. L’ambassadeur américain s’étonne notamment de ce qu’ils appellent le «collage» des langues. «Les diplomates qui viennent en Algérie après avoir été dans la région sont surpris de voir que les Algériens terminent rarement une phrase dans la même langue», rapporte-t-il.

 

Cela est d’autant plus dangereux, à ses yeux, que cela pourrait permettre à «l’extrémisme de prendre racine». Pour remédier à cette situation, l’ambassadeur écrit à Washington que l’Algérie a besoin d’un «plan Marshall» – selon l’expression d’un représentant du ministère de l’Enseignement supérieur – pour la langue anglaise. Dans la mesure où le français fait indéniablement partie de l’identité algérienne, estime-t-il, l’Algérie a besoin d’une langue «neutre».

Amel Blidi

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...