Des émigrés dans leur pays

[HB 10]

Pour ceux qui croient que nous vivons dans un pays riche, voici un article d'El watan qui devrait les faire réfléchir avant de traiter les autres pays de sous-dévelloppé. Ici la misère est criante meme pour ceux qui travaillent dur.

Est ce normal dans un pays qui regorge de richesse? A méditer.

 

 

 

Commune de Aïn El Hammam

Ces ouvriers venus de loin

Ils viennent de M’Sila, de Bordj Bou Arreridj et d’ailleurs pour travailler dans des conditions pénibles l Un exil interne qui les déracine pour survivre.

 

On les appelle les travailleurs de la place ou « Zmagra », les émigrés. Ils sont tous les jours sur la place, à Aïn El Hammam, par beau temps ou dans le froid. Des jeunes et moins jeunes, étrangers à la région ; ils sont de Hammam Dhalâ, de M’Sila, de Rebta, ou de Bordj Bou Arréridj, pour la plupart ; ils viennent gagner leur vie sur les hauteurs de la Kabylie, un pays encore plus dur que le leur : « On est venus gagner notre pain », disent-ils. Ils sont une quarantaine. Leur âge varie entre 20 et 45 ans. Quotidiennement, ils attendent la venue d’un entrepreneur pour les embaucher pendant quelques jours ou pour décharger des semi-remorques de matériaux de construction, souvent pour quelques misérables dinars : « On nous paye 400 DA la journée et on gagne entre 9000 DA et 10 000 DA le mois », dit un jeune homme au visage buriné. On les retrouve facilement, ils sont tout le temps regroupés dans un coin, assis par terre avec leur tenue de travail qui semble ne plus jamais quitter leur corps, même la nuit. On vient les chercher des environs pour profiter de leurs services, sans conditions préalables de sécurité et de financement. Des proies faciles. Une situation qui profite aux entrepreneurs sans scrupules qui évitent les frais de l’assurance et qui, quelquefois, ne les payent même pas. « Certains entrepreneurs partent sans nous payer, hagrouna, ils savent qu’on ne peut pas courir derrière eux, car on ne les connaît même pas », témoignent-ils. « On vient les embarquer sur des camions et les faire travailler pour trois fois rien. Ils sont abusivement exploités », témoigne encore un cafetier. En guise d’hébergement, ces damnés louent des garages ou occupent des chantiers en construction, un « gourbi », disent-ils. En l’absence de literie, ces hommes se contentent de passer la nuit sur des cartons. Dans le froid et la rigueur de l’hiver, ils allument un feu de bois au moyen de planches récupérées dans des chantiers. « On vit comme l’emhabel n’taâ sahet chouhada, les fous de la place des Martyrs », nous dit l’un d’entre eux. Ils passent leur quotidien dans des conditions sanitaires alarmantes, entourés de saleté et d’odeurs insupportables. Ces gens improvisent leur quotidien, l’essentiel leur fait défaut. Pour manger, ils préparent de la pomme de terre, « batata », quand il y en a ; sinon, ils prennent du pain sec « La nourriture est chère : 1 kg de pommes de terre coûte 50 DA et un plat blache, sans viande, dans un restaurant, est à 100 DA, ce qui dépasse notre capacité d’achat. » Certains sont là depuis près de 10 ans, d’autres un peu plus. « Je suis là depuis 20 ans. Je suis un père de famille, j’ai sept enfants que je dois nourrir malgré tout », témoigne l’un des plus âgés, au corps amaigri et fripé. Ces hommes se plaignent du harcèlement dont ils sont victimes tous les jours, du manque d’assurance et du fait que l’on profite de leur situation pour les exploiter. « On veut travailler dans des conditions dignes et dans le respect de nos droits, mais comment faire pour cela ? », ajoutent-ils. Ces hommes ne cachent pas leur mal-être, leur mal-vivre, surtout à l’approche des fêtes religieuses, notamment. « Nous n’avons pas suffisamment d’argent pour rentrer chez nous ; vous savez, en hiver, le travail manque, ce qui nous met en difficulté ; autrement on serait bien heureux auprès de nos familles et de nos enfants », ajoutent-ils. Des pères de famille pour la plupart, venus de loin dans l’espoir de gagner leur vie. Ces hommes se sont retrouvés piégés dans un exil sans nom, les méandres d’une existence infernale, celle des damnés de la terre. Ils ont sûrement droit au respect, à un sort bien meilleur.

 

Md Amokrane Tighilt

[ABSO 10]

"L'exil interne" n'est pas nouveau en Algérie. J'ai une connaissance qui travaille à Constatine alors qu'elle habite dans la région de Reliziane. En dépit de tous les dérangements que lui cause son activité professionnelle, elle n'entend pas pour autant déménager à Constantine.

[messaoud 10]

Avant c'etait les peres de familles qui s'emmigrent dans les grande villes pour travailler, maintenant, en génerale c'est toute la famille. Les hommes qui travaillent en noir, ou bien au jour le jour sont nombreux en algérie. Le travail reste le souci majeur de la population, un travaille a proximité de là ou on habite c'est un luxe. Vous dite que l'Algerie est un pays riche, mais celui qui ne travaille pas, ou bien pour tous ses gens qui sont si je peut dire exploités, l'algerie est un pays pauvre.

[ABSO 10]

Avant c'etait les peres de familles qui s'emmigrent dans les grande villes pour travailler, maintenant, en génerale c'est toute la famille. Les hommes qui travaillent en noir, ou bien au jour le jour sont nombreux en algérie. Le travail reste le souci majeur de la population, un travaille a proximité de là ou on habite c'est un luxe. Vous dite que l'Algerie est un pays riche, mais celui qui ne travaille pas, ou bien pour tous ses gens qui sont si je peut dire exploités, l'algerie est un pays pauvre.

 

 

Bonsoir,

 

Je ne comprends pas la politique salariale en Algérie. Des salaires payés à "coups de pierres" ne justifie pas et au contraire, c'est même idiot, car l'élite immigre et ce sont là des investissements dans l'instruction à fonds perdus pour l'Algérie.

[HB 10]

Moi je pense que la misère parmi le peuple est volontairement maintenu de peur que si les algériens ont le ventre plein ils pensent á autre chose qui n'est pas dans l'interet de ceux qui nous gouvernent. Comment expliquer des revenus colossaux capable de developper tout un continent et une politique de l'emploi digne des républiques bananières.

Depuis 1999 , Où sont les investissements productifs capables de créer de l'emploi, les entreprises encores vivantes sont délabrées, des centaines d'entreprises ont fermé les portes et jeté des millions de travailleur sans aucun

espoir de recasement, une autoroute qui coute des milliard mais qui ne profite qu'aux étrangers qui la construisent, on se contente d'importer meme les aiguilles,les jouets, les alumettes, au lieu de developper des industies locales destiné au marché interne, on préfere importer parceque c là ou il ya la corruption et les commissions , ou est l'industrie agro alimentaire, que sont devenus tous ces secteurs qui engendrent de l'emploi?

Cette politique est voulue, la misere est programmée et personne ne peut dire que tout ca est normal.

Nos responsables ont compris que lorsque le peuple est rassasié il pensera á la politique et éxigera des comptes, alors la fain et le dénouement sont les moyens de les maitenir sous occupation et controler leur pensées.

C'est ce qu'on appelle le Néo colonialisme.

[messaoud 10]

Moi je pense que la misère parmi le peuple est volontairement maintenu de peur que si les algériens ont le ventre plein ils pensent á autre chose qui n'est pas dans l'interet de ceux qui nous gouvernent. Comment expliquer des revenus colossaux capable de developper tout un continent et une politique de l'emploi digne des républiques bananières.

Depuis 1999 , Où sont les investissements productifs capables de créer de l'emploi, les entreprises encores vivantes sont délabrées, des centaines d'entreprises ont fermé les portes et jeté des millions de travailleur sans aucun

espoir de recasement, une autoroute qui coute des milliard mais qui ne profite qu'aux étrangers qui la construisent, on se contente d'importer meme les aiguilles,les jouets, les alumettes, au lieu de developper des industies locales destiné au marché interne, on préfere importer parceque c là ou il ya la corruption et les commissions , ou est l'industrie agro alimentaire, que sont devenus tous ces secteurs qui engendrent de l'emploi?

Cette politique est voulue, la misere est programmée et personne ne peut dire que tout ca est normal.

Nos responsables ont compris que lorsque le peuple est rassasié il pensera á la politique et éxigera des comptes, alors la fain et le dénouement sont les moyens de les maitenir sous occupation et controler leur pensées.

C'est ce qu'on appelle le Néo colonialisme.

 

 

Je suis d'accord avec se que je viens de lire, et c'est la majorité des allgériens qui pensent ainsi. On boycottons les urnes a deux reprises, les algériens ont prouvés que la blluf sur leurs dos ne durera pas aussi longtemps.

c'etait une lueure d'espoir pour ceux qui aspirent au changements.

[Zombretto 1 127]

Je suis d'accord avec se que je viens de lire, et c'est la majorité des allgériens qui pensent ainsi. On boycottons les urnes a deux reprises, les algériens ont prouvés que la blluf sur leurs dos ne durera pas aussi longtemps.

c'etait une lueure d'espoir pour ceux qui aspirent au changements.

 

Faut pas se raconter

... des histoires

... si les democrates veulent la democratie

... il faut qu'ils utilisent la Kalachnikov

... tout le reste c'est de la philosophie

[HB 10]

Les democrates , en général ne sont partisans de la violence et n'aspirent pas á plonger leur peuple dans une autre guerre ou seulement les plus faibles d'entre eux en souffrent, les islamistes leur ont donné tellement de mauvais exemples que l'option de la violence est á écarter pour toujours.

Et puis les democrates ne sont pas tous les meme, y'en qui sont vraiment pour l'interet des larges masses et y'en a qui activent pour l'interet des multinationales et nabab de l'économie, le probleme est que le pays regorge de richesses mais le peuple n'en voit pas la couleur.

La solution est l'union de tous ceux qui veulent que l'équité s'installe dans notre pays et que les richesses soit distribuées d'une manière juste entre toutes les franges de la société. La violence n'a jamais rien réglé.

[ABSO 10]

Les democrates , en général ne sont partisans de la violence et n'aspirent pas á plonger leur peuple dans une autre guerre ou seulement les plus faibles d'entre eux en souffrent, les islamistes leur ont donné tellement de mauvais exemples que l'option de la violence est á écarter pour toujours.

Et puis les democrates ne sont pas tous les meme, y'en qui sont vraiment pour l'interet des larges masses et y'en a qui activent pour l'interet des multinationales et nabab de l'économie, le probleme est que le pays regorge de richesses mais le peuple n'en voit pas la couleur.

La solution est l'union de tous ceux qui veulent que l'équité s'installe dans notre pays et que les richesses soit distribuées d'une manière juste entre toutes les franges de la société. La violence n'a jamais rien réglé.

 

Absolument d'accord avec vous. Foin les armes entre démocrates. Nous nous considérons démocrates, alors discutons!

 

La richesse est propriété du seul peuple et doit lui est acquise équitablement.

[messaoud 10]

Faut pas se raconter

... des histoires

... si les democrates veulent la democratie

... il faut qu'ils utilisent la Kalachnikov

... tout le reste c'est de la philosophie

 

 

A mon avis, il faut commencer par isoler ses gueux, qui nous gouvernent, qu'ils ne trouvent pas de la sympatie au sein du peuple, et plus de clientele, qui servent de façade a leur système. Ils sont incapable de gérer un pays a la taille de l'algérie.