warseniss02 10 Posted October 23, 2011 Partager Posted October 23, 2011 Entre criminels ils s'entendent et se solidarisent....:o Rabbi yechmate fihoum, fi wladhoum kima chmate fi ben ali, kadhafou, moubarak ou sadam....:eek: Cet assassin va subir des séances de chimio en europe aux frais du peuple alors que les cancéreux en algérie ne trouvent aucun médicament...Quelle honte...Tfou....:o Citer Link to post Share on other sites
djallalnamri 10 Posted October 23, 2011 Partager Posted October 23, 2011 écoutez aujourd'hui nezzar est pdg d'entreprise ... arrêtez de l'appeler général ! Citer Link to post Share on other sites
Guest vuqaruy Posted October 23, 2011 Partager Posted October 23, 2011 Entre criminels ils s'entendent et se solidarisent....:o Rabbi yechmate fihoum, fi wladhoum kima chmate fi ben ali, kadhafou, moubarak ou sadam....:eek: Cet assassin va subir des séances de chimio en europe aux frais du peuple alors que les cancéreux en algérie ne trouvent aucun médicament...Quelle honte...Tfou....:o Toujours aussi cru :mdr: Citer Link to post Share on other sites
Guest Biobazard Posted October 23, 2011 Partager Posted October 23, 2011 écoutez aujourd'hui nezzar est pdg d'entreprise ... arrêtez de l'appeler général ! Je connais un gars qu'on appelle jusqu'à aujourd’hui par "commandant" ... à une époque, il avait prétendu qu'il était "commandant" (?) pendant la révolution 54-62 ... alors qu'on sait qu'il ne l'a jamais été. Chez le Ghachi, quand on te donne un surnom ... il te suit jusqu'à ta tombe. Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted October 24, 2011 Partager Posted October 24, 2011 Quand je me rappelle les noms d'oiseaux dont Nezzar a traité Bouteflika dans un passé récent , je me marre sans pitié ! :D On parle de pouvoir en tant que tel ... Ils n'abandonneront jamais un des leurs dans ce genre de situation parce que ça ouvrirait la boîte à Pandore Citer Link to post Share on other sites
samy89 82 Posted October 24, 2011 Partager Posted October 24, 2011 On parle de pouvoir en tant que tel ... Ils n'abandonneront jamais un des leurs dans ce genre de situation parce que ça ouvrirait la boîte à Pandore Il t'arrive de dire des choses qui sont vraie !:cool: Citer Link to post Share on other sites
Smiley 15 Posted October 24, 2011 Partager Posted October 24, 2011 La procureur fédérale : Pour quel motif êtes-vous actuellement présent en suisse ? Je suis en suisse pour voir mon psychothérapeute le docteur bourgeois, pour arrêter la cigarette. * Qu'en pensez vous ? :D * Source El Watan d'aujourd'hui, " l'intégralité du procès verbal de l'audition ". Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted October 24, 2011 Partager Posted October 24, 2011 La procureur fédérale : Pour quel motif êtes-vous actuellement présent en suisse ? Je suis en suisse pour voir mon psychothérapeute le docteur bourgeois, pour arrêter la cigarette. * Qu'en pensez vous ? :D * Source El Watan d'aujourd'hui, " l'intégralité du procès verbal de l'audition ". Pendant ce temps des cancéreux crèvent faute de radiothérapie !!!! Citer Link to post Share on other sites
Water White 10 Posted October 24, 2011 Partager Posted October 24, 2011 Pendant ce temps des cancéreux crèvent faute de radiothérapie !!!! é_ben oui, ce Nazzar le cancéreux est celui qui a mis le boutef l' infécond dans le pouvoir, donc, il ne fait que lui renvoyer le ballon:w00t2: Citer Link to post Share on other sites
el-rézo 10 Posted October 24, 2011 Partager Posted October 24, 2011 Même son médecin est bourgeois!!!!!:D Sincèrement ,c'est pas Nezzar qui est sur la ligne de mire ,dans cette affaire :cool: Citer Link to post Share on other sites
Guest from nulle part Posted October 24, 2011 Partager Posted October 24, 2011 ah nezzar et sa compagnie c'est blanche et ses 7nains boutef fait partie des 7 mais lequel? Citer Link to post Share on other sites
Thanatos 10 Posted October 24, 2011 Partager Posted October 24, 2011 ah nezzar et sa compagnie c'est blanche et ses 7nains boutef fait partie des 7 mais lequel? Grincheux :D Citer Link to post Share on other sites
Guest Osiria Posted October 24, 2011 Partager Posted October 24, 2011 Grincheux :D c'est vrai qu' il a l'air de faire la gueule tout le temps. :D Citer Link to post Share on other sites
Guest samirovsky Posted October 24, 2011 Partager Posted October 24, 2011 Aux dernières nouvelles, de retour de Genève, Nezzar a chargé Ait Ahmed et l'a désigné comme source de ses malheurs. Ait Ahmed et rien que Ait Ahmed pour unir la junte au pouvoir. Citer Link to post Share on other sites
Smiley 15 Posted October 24, 2011 Partager Posted October 24, 2011 Même son médecin est bourgeois!!!!!:D Sincèrement ,c'est pas Nezzar qui est sur la ligne de mire ,dans cette affaire :cool: C'est Nezzou qui l'a rendu riche :D Et c'es qui le guidon ? Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted October 24, 2011 Partager Posted October 24, 2011 Le général à la retraite Khaled Nezzar, l'un des responsables de la tragédie algérienne, a été auditionné ce vendredi 21 octobre par la justice suisse, dans une affaire de torture. Selon El Watan, il s’agirait d’un ancien responsable du FIS dissous, résidant en Suisse, et s’est dit être victime de torture au début des années quatre-vingt dix, qui avait déposé une plainte contre des militaires algériens. Le plaignant serait un acien vice-président du FIS dissous de l'APC de Meftah (Blida). Se rendant dans la capitale helvétique pour des soins, Khaled Nezzar a été entendue le procureur à Genève pour donner sa version des faits. A l'heure où nous mettons en ligne, l'audition de l'ancien homme fort du régime algérien se poursuit. j espere que ce salopard sera comdamner,ce sera le debut de la fin de cette caste Citer Link to post Share on other sites
gladiatt 10 Posted October 25, 2011 Partager Posted October 25, 2011 j espere que ce salopard sera comdamner,ce sera le debut de la fin de cette caste La haine et l'insulte ne servent à rien ... Dieu reconnaîtra les siens ... Citer Link to post Share on other sites
samy89 82 Posted October 25, 2011 Partager Posted October 25, 2011 La haine et l'insulte ne servent à rien ... Dieu reconnaîtra les siens ... Ce n'est pas tout a fait ça, (c'est tuez les tous, dieu reconnaîtra les siens) Citer Link to post Share on other sites
gladiatt 10 Posted October 25, 2011 Partager Posted October 25, 2011 Ce n'est pas tout a fait ça, (c'est tuez les tous, dieu reconnaîtra les siens) J'l'ai dis à ma façon ... :04: et vue le contexte , plus besoin de tuerie . Citer Link to post Share on other sites
samy89 82 Posted October 25, 2011 Partager Posted October 25, 2011 J'l'ai dis à ma façon ... :04: et vue le contexte , plus besoin de tuerie . Et en plus se ne sont que des musulmans . Citer Link to post Share on other sites
gladiatt 10 Posted October 25, 2011 Partager Posted October 25, 2011 Et en plus se ne sont que des musulmans . Pourquoi le "que" ??? :eek: Citer Link to post Share on other sites
samy89 82 Posted October 25, 2011 Partager Posted October 25, 2011 Pourquoi le "que" ??? :eek: Pourquoi t'en a vus d'autre ? Citer Link to post Share on other sites
gladiatt 10 Posted October 25, 2011 Partager Posted October 25, 2011 Pourquoi t'en a vus d'autre ? Oula je crois que j'vais ramer ... quand tu dis " se ne sont que des musulmans" le "que" est utilisé comme si tu disais que ces musulmans dont tu parles ne sont en fait rien de rien , de la purée de machin, du vent ...:04: d'ou ma question sur ton utilisation du "que" . Donc cette question que tu pose ne me semble pas du tout adéquate à la discussion . :04: Citer Link to post Share on other sites
Smiley 15 Posted October 25, 2011 Partager Posted October 25, 2011 Le général à la retraite Khaled Nezzar, l'un des responsables de la tragédie algérienne, a été auditionné ce vendredi 21 octobre par la justice suisse, dans une affaire de torture. Selon El Watan, il s’agirait d’un ancien responsable du FIS dissous, résidant en Suisse, et s’est dit être victime de torture au début des années quatre-vingt dix, qui avait déposé une plainte contre des militaires algériens. Le plaignant serait un acien vice-président du FIS dissous de l'APC de Meftah (Blida). C'est Ahcen Kerkadi lié a la torture dans un centre de Bouzzeraâa. Ps : Kidnappé Dimanche dernier, Noureddine Belmouhoub porte parole du comité de défense des ex-internés des camps de sûreté Avait aussi déposé en 2001 une plainte auprés du tribunal d'Alger contre le général Khaled Nezzar. ( par el Watan ) Citer Link to post Share on other sites
Thanatos 10 Posted October 25, 2011 Partager Posted October 25, 2011 Algérie: le général Nezzar rattrapé en Suisse par une plainte pour « crimes de guerre » Ce jeudi 21 octobre, le général Khaled Nezzar, 73 ans, ancien homme fort du pouvoir militaire algérien dans les années 1990, était à Genève pour affaires. Mais il n’y a pas dormi tranquillement, comme à son habitude, à l’hôtel cinq étoiles « Beau Rivage » : ce soir-là, il y a été « assigné à résidence, sous surveillance » par la justice suisse, après avoir passé la journée au poste de police du boulevard Carl-Vogt. Arrêté le matin même par la police, il y a été entendu par la procureur de la Confédération suisse sur son implication dans les « crimes de guerre » commis durant les années 1990, suite à la plainte de deux Algériens victimes de tortures à l’époque, plainte déposée par l’ONG TRIAL (Track Impunity Always), une association suisse qui lutte contre l’impunité des responsables de violations des droits humains. Nezzar a été remis en liberté vendredi soir, après avoir été « prévenu » (l’équivalent d’une mise en examen). Khaled Nezzar, l’un des principaux organisateurs du terrorisme d’État en Algérie Dans son communiqué du 21 octobre, TRIAL rappelle les faits : « Khaled Nezzar […] a occupé divers postes à responsabilités dans l’armée. Chef des armées terrestres en 1986, il a été promu chef d’état-major puis ministre de la Défense en 1990 [jusqu’en juillet 1993]. À ce poste, il est devenu l’homme de toutes les décisions au sein du pouvoir. De [janvier] 1992 à [janvier] 1994, il a été l’un des cinq membres du Haut Comité d’État (HCE), junte militaire de cinq membres remplaçant le président élu. M. Nezzar a été considéré comme l’un des hommes les plus puissants du régime au début des années 1990, alors que la “sale guerre” faisait rage. De nombreuses organisations de défense des droits humains lui reprochent d’avoir ordonné, autorisé et incité des militaires et des agents de la fonction publique à exercer des actes de torture, à commettre des meurtres, des exécutions extrajudiciaires, des disparitions forcées et autres actes constitutifs de graves violations du droit international humanitaire. » Un constat froid et factuel, qui a le mérite de battre en brèche, une nouvelle fois, le discours de désinformation propagé depuis le coup d’État de janvier 1992 par le pouvoir algérien, jusqu’à ce jour : derrière la démocratie de façade instaurée par des « militaires républicains » qui prétendaient lutter contre l’« hydre islamiste », c’est en réalité un véritable terrorisme d’État, méticuleusement planifié, qui a frappé la société algérienne dans les années 1990, au prix de quelque 200 000 morts, dont au moins 20 000 victimes de « disparations forcées » du fait des « forces de sécurité ». Plus de dix ans après la fin de la « sale guerre », tous les organisateurs de cette effroyable « machine de mort » – pour reprendre les termes d’un rapport accablant et trop méconnu publié en 2003 par l’ONG Algeria-Watch – bénéficient toujours d’une totale impunité. Certains d’entre eux sont depuis morts de leur belle mort, sans avoir jamais été inquiétés. C’est le cas du général Smaïl Lamari (dit « Smaïn »), décédé en août 2007, qui fut à partir de 1990 le numéro deux de la police politique, le DRS (Département de renseignement et de sécurité). Et, à ce titre, l’un des pires criminels responsables de la machine de mort : ce digne héritier des pires pratiques de l’armée française contre le peuple algérien durant la guerre d’indépendance les a répétées à une échelle inédite, notamment avec l’ordonnancement des grands massacres de 1997 perpétrés par les « groupes islamiques de l’armée » (GIA) qu’il contrôlait. C’est le cas également du général Larbi Belkheir, le faiseur de rois dans l’Algérie des années 1980 et 1990 et l’un des principaux concepteurs du coup d’État de 1992 et de la guerre déclenchée ensuite contre la population : cet affairiste hors pair, homme clé des circuits de corruption de la Françalgérie, est mort dans son lit en janvier 2010. Ou encore du général Brahim Fodhil Chérif, ex-chef du Département des opérations au ministère de la Défense nationale et acteur de premier plan de la « sale guerre » antiterroriste des années 1990, décédé en juin 2008. Des centaines d’officiers auteurs ou complices de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité Mais les autres officiers algériens responsables de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité dans les années 1990 sont toujours bien vivants. Certains d’entre eux ont été discrètement écartés par leurs pairs des sphères officielles de décision, souvent au prix de juteux fromages, même s’ils conservent dans l’ombre un pouvoir certain. Tel est le cas du général Khaled Nezzar, l’homme qui fait aujourd’hui l’actualité en Suisse et qui n’a plus de fonctions officielles depuis 1994. Ou des généraux Mohamed Lamari (ancien commandant des forces terrestres de 1989 à 1992, nommé en octobre 1992 à la tête des nouvelles unités antiterroristes, puis chef d’état-major de l’ANP – Armée nationale populaire – de juillet 1993 à juillet 2004) et Kamel Abderrahmane (chef de la Direction centrale de la sécurité de l’armée, l’une des branches du DRS, de 1990 à 1996, puis commandant de la 2e région militaire de 1996 à 2003) : tous deux ont été mis sur la touche en 2004, après avoir joué un rôle majeur dans le déploiement du terrorisme d’État depuis 1992. Nombre de leurs pairs ou subordonnés de l’époque sont en revanche toujours en poste aujourd’hui et sont les véritables « décideurs » dans l’Algérie de 2011. À commencer par le général Mohammed Médiène (dit « Toufik »), 72 ans, l’inamovible numéro un de la police politique, le DRS, depuis plus de vingt ans : il est toujours à ce jour le véritable « patron » du pays, en connivence plus ou moins conflictuelle avec le civil que lui et ses collègues des « services » et de l’armée ont chargé depuis 1999 d’incarner la façade pseudo-démocratique du régime, le président Abdelaziz Bouteflika, 74 ans. L’un et l’autre sont en cette fin 2011 bien malades, et les luttes de clan pour leur succession ont pris récemment un tour plus aigu que d’habitude. Derrière les bagarres publiques qui mobilisent depuis plusieurs années, sans conséquence, les vieilles marionnettes de la classe politique sur la scène médiatique algérienne, se déroule en effet dans l’ombre une autre bagarre, autrement décisive, au sein de la coupole dirigeante du DRS et de l’armée. Les enjeux : savoir qui mettra demain la main sur les tuyaux de la corruption liés au commerce extérieur (exportations des hydrocarbures, importations de biens de consommation) ; et qui sera capable de mater encore une société en pleine ébullition, où les émeutes violentes et les grèves dures des syndicats autonomes sont devenues quotidiennes. Les principaux acteurs de cette lutte féroce pour le pouvoir, attisée par la crainte de la contagion des « printemps arabes », sont les officiers (devenus colonels ou généraux) aujourd’hui quinquagénaires aux mains tâchées du sang qu’ils ont fait verser dans les années 1990, quand ils conduisaient méthodiquement contre la population leur guerre d’« éradication » de l’islamisme, y compris par la manipulation des groupes armés se réclamant de l’islam. Parmi les centaines d’officiers auteurs ou complices des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité commis durant cette période, on peut citer par exemple (liste en vérité interminable, toujours à compléter et préciser) : – le général Abdelmalek Guenaïzia, actuel « ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale », depuis 2005 ; – le général Ahmed Gaïd Salah, actuel chef d’état-major de l’ANP depuis 2004 ; – le général Othmane Tartag, dit « Bachir », qui dirigea de 1990 à 2001 l’un des principaux centres de torture et d’exécutions extrajudiciaires du DRS, le Centre principal militaire d’investigation (CPMI) de Ben-Aknoun, dans la banlieue d’Alger (Tartag est aujourd’hui donné comme l’un des possibles successeurs du général Médiène à la tête du DRS) ; – le général M’henna Djebbar, ancien patron du CTRI de Blida de 1991 à 2003, un autre centre majeur de torture et de tuerie du DRS, où au moins 5 000 « disparus » ont été victimes d’exécutions extrajudiciaires ; il serait depuis 2003 le chef de la 2e région militaire (Oran) ; – le général Rachid Laalali, dit « Attafi », ancien commandant de la 4e région militaire (Ouargla) de 1994 à 2005 ; – le colonel Hamou, dit « Abdelwahab », ancien commandant du CTRI d’Oran (Centre Magenta) de 1988 à 1999 ; – ou encore les anciens commandants des régiments des forces spéciales dans les années 1990 qui furent alors le fer de lance du terrorisme d’État (et dont plusieurs occupent aujourd’hui des fonctions éminentes au sein de l’armée) : les (aujourd’hui) généraux Omar Tlemçani (ex-chef du 4e RPC), Amar Athamnia (12e RPC), Daoud (25e régiment de reconnaissance), Hassan Alayma (18e RPC) et Bendjenna (90e BPM). Citer Link to post Share on other sites
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