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Nezzar s'en prend à Ait Ahmed


Guest mackiavelik

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Guest mackiavelik

Le général à la retraite s’en prend à Aït Ahmed

 

 

le 23.10.11 | 01h00

 

Nezzar panique. Vraisemblablement déstabilisé lors de son audition par le procureur fédéral suisse suite à une plainte qui le vise personnellement, le général en retraite Khaled Nezzar, pour se défendre, a porté une accusation aussi bizarre qu’inattendue à l’encontre du chef historique Hocine Aït Ahmed, l’assimilant à «un élément du FIS qui avait commis des carnages».

 

Accusation grotesque, affabulation ou ce général a-t-il simplement perdu tous ses moyens lors de son audition ? Qu’on en juge ! «S’il y a eu des dépassements de la part des autorités, ça ne pouvait qu’être des dépassements d’individus isolés, qui, une fois portés à la connaissance des autorités, étaient sanctionnés. Tous les autres carnages sont le fait des éléments du FIS qui, eux, ne sont pas sanctionnés. J’ajoute même qu’un de ces éléments se trouve en Suisse, à savoir M. Aït Ahmed !» Telle fut la réponse de Khaled Nezzar au procureur fédéral suisse qui l’interrogeait sur le rôle de l’armée dans le régime politique de 1992 à 1993. Cette déclaration est, le moins qu’on puisse dire, aussi étrange qu’infondée. Figure emblématique de la lutte de libération nationale et de l’instauration de la démocratie en Algérie, M. Aït Ahmed est le leader du Front des forces socialistes (FFS), le plus vieux parti de l’opposition.

 

Comment peut-il être alors membre d’un autre parti comme l’ex-FIS ? Se pose ainsi la question : qui cherche-t-il à convaincre ? L’ancien ministre de la Défense a-t-il à dessein cité le nom d’Aït Ahmed, qui se trouve depuis son premier exil installé à Lausanne, comme pour le rendre responsable de son interpellation par la justice helvétique ? L’éventail des questions peut en effet s’élargir autant que peuvent le permettre les différends politiques qui opposent les deux hommes sur une gestion très controversée de la décennie noire et de l’interruption du processus électoral. Au demeurant, cette accusation laisse pantois tant elle frise le burlesque. Nezzar est-il seulement capable de se croire lui-même !

 

Hacen Ouali

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Le général à la retraite s’en prend à Aït Ahmed

 

 

le 23.10.11 | 01h00

 

Nezzar panique. Vraisemblablement déstabilisé lors de son audition par le procureur fédéral suisse suite à une plainte qui le vise personnellement, le général en retraite Khaled Nezzar, pour se défendre, a porté une accusation aussi bizarre qu’inattendue à l’encontre du chef historique Hocine Aït Ahmed, l’assimilant à «un élément du FIS qui avait commis des carnages».

 

Accusation grotesque, affabulation ou ce général a-t-il simplement perdu tous ses moyens lors de son audition ? Qu’on en juge ! «S’il y a eu des dépassements de la part des autorités, ça ne pouvait qu’être des dépassements d’individus isolés, qui, une fois portés à la connaissance des autorités, étaient sanctionnés. Tous les autres carnages sont le fait des éléments du FIS qui, eux, ne sont pas sanctionnés. J’ajoute même qu’un de ces éléments se trouve en Suisse, à savoir M. Aït Ahmed !» Telle fut la réponse de Khaled Nezzar au procureur fédéral suisse qui l’interrogeait sur le rôle de l’armée dans le régime politique de 1992 à 1993. Cette déclaration est, le moins qu’on puisse dire, aussi étrange qu’infondée. Figure emblématique de la lutte de libération nationale et de l’instauration de la démocratie en Algérie, M. Aït Ahmed est le leader du Front des forces socialistes (FFS), le plus vieux parti de l’opposition.

 

Comment peut-il être alors membre d’un autre parti comme l’ex-FIS ? Se pose ainsi la question : qui cherche-t-il à convaincre ? L’ancien ministre de la Défense a-t-il à dessein cité le nom d’Aït Ahmed, qui se trouve depuis son premier exil installé à Lausanne, comme pour le rendre responsable de son interpellation par la justice helvétique ? L’éventail des questions peut en effet s’élargir autant que peuvent le permettre les différends politiques qui opposent les deux hommes sur une gestion très controversée de la décennie noire et de l’interruption du processus électoral. Au demeurant, cette accusation laisse pantois tant elle frise le burlesque. Nezzar est-il seulement capable de se croire lui-même !

 

Hacen Ouali

 

Il a tout simplement oublié qu'il s'adressait a un procureur fédéral suisse en se comportant comme il l'aurait fait devant un procureur a alger qui l'aurait forcement approuvé.

S'il lui reste un soupçon d'intelligence, il devrait se dire qu'il a encore perdue une occasion de se taire.

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Voila la chose la plus importante.

 

Ajoute s'y même qu’un de ces éléments se trouve en Suisse, à savoir M. Aït Ahmed, comme ça la chose sera encore plus importante, et même qu'il devrait être traduit devant le tribunal pénal international.

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Le général à la retraite Khaled Nezzar a indiqué avoir reçu un appel téléphonique du ministre des affaires étrangères immédiatement après sa libération par la justice suisse, après avoir été arrêté jeudi matin dans la ville de Genève.

 

Le général Khaled Nezzar a réfuté dans une déclaration à El Khabar avoir eu peur après avoir été arrêté jeudi matin dans la ville de Genève après un mandat d’amener émanant du procureur général suisse : « je suis capable de me défendre et j’ai toutes les preuves qui prouvent mon innocence des accusations qui m’ont été adressées ». L’ancien général a indiqué : « j’ai reçu un appel téléphonique du ministre des affaires étrangères, Mourad Medelci immédiatement après ma libération, et j’ai appris que c’était suite à plusieurs appels du président de la république », puis a ajouté : « j’ai également appris que le ministère des affaires étrangères a constitué une cellule de crise immédiatement après avoir appris mon arrestation, ce qui est une position qui est tout à l’honneur de l’état algérien, et une démarche positive dont il est remercié », indiquant que « ce que j’ai subit peut arriver à tous les responsables qui ont géré la période qui a suivi l’arrêt du processus électoral ». Khaled Nezzar a qualifié ceux qui ont porté et portent plainte auprès des cours européennes dans lesquelles ils accusent les responsables algériens d’avoir commis des « crimes contre l’humanité » après l’arrêt du processus électoral de « comparses » assurant que « ceux-là agissent à la demande d’organisations internationales dont les orientions et les objectifs sont connus ». Notre interlocuteur est revenu sur son arrestation en Suisse et a insisté sur le fait que « ce n’est pas Khaled Nezzar qui était visé. Pour preuve, l’organisation « Trial » qui a porté plainte, a publié un article intitulé « le printemps algérien commence à Genève ». A une question sur la possibilité d’être une nouvelle fois arrêté à Paris où il se trouve actuellement, Khaled Nezzar a répondu « je n’écarte aucune possibilité et je suis prêt à toutes les éventualités ».

El Khabar

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Le général à la retraite s’en prend à Aït Ahmed

 

 

le 23.10.11 | 01h00

 

Nezzar panique. Vraisemblablement déstabilisé lors de son audition par le procureur fédéral suisse suite à une plainte qui le vise personnellement, le général en retraite Khaled Nezzar, pour se défendre, a porté une accusation aussi bizarre qu’inattendue à l’encontre du chef historique Hocine Aït Ahmed, l’assimilant à «un élément du FIS qui avait commis des carnages».

 

Accusation grotesque, affabulation ou ce général a-t-il simplement perdu tous ses moyens lors de son audition ? Qu’on en juge ! «S’il y a eu des dépassements de la part des autorités, ça ne pouvait qu’être des dépassements d’individus isolés, qui, une fois portés à la connaissance des autorités, étaient sanctionnés. Tous les autres carnages sont le fait des éléments du FIS qui, eux, ne sont pas sanctionnés. J’ajoute même qu’un de ces éléments se trouve en Suisse, à savoir M. Aït Ahmed !» Telle fut la réponse de Khaled Nezzar au procureur fédéral suisse qui l’interrogeait sur le rôle de l’armée dans le régime politique de 1992 à 1993. Cette déclaration est, le moins qu’on puisse dire, aussi étrange qu’infondée. Figure emblématique de la lutte de libération nationale et de l’instauration de la démocratie en Algérie, M. Aït Ahmed est le leader du Front des forces socialistes (FFS), le plus vieux parti de l’opposition.

 

Comment peut-il être alors membre d’un autre parti comme l’ex-FIS ? Se pose ainsi la question : qui cherche-t-il à convaincre ? L’ancien ministre de la Défense a-t-il à dessein cité le nom d’Aït Ahmed, qui se trouve depuis son premier exil installé à Lausanne, comme pour le rendre responsable de son interpellation par la justice helvétique ? L’éventail des questions peut en effet s’élargir autant que peuvent le permettre les différends politiques qui opposent les deux hommes sur une gestion très controversée de la décennie noire et de l’interruption du processus électoral. Au demeurant, cette accusation laisse pantois tant elle frise le burlesque. Nezzar est-il seulement capable de se croire lui-même !

 

Hacen Ouali

 

Lorsqu'on perd les pédales on commence a dire n'importe quoi

C'est exactement le cas d'une personne qui se noie et qui cherche a s'accrocher a n'importe quoi

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Le général à la retraite s’en prend à Aït Ahmed

 

 

le 23.10.11 | 01h00

 

Nezzar panique. Vraisemblablement déstabilisé lors de son audition par le procureur fédéral suisse suite à une plainte qui le vise personnellement, le général en retraite Khaled Nezzar, pour se défendre, a porté une accusation aussi bizarre qu’inattendue à l’encontre du chef historique Hocine Aït Ahmed, l’assimilant à «un élément du FIS qui avait commis des carnages».

 

Accusation grotesque, affabulation ou ce général a-t-il simplement perdu tous ses moyens lors de son audition ? Qu’on en juge ! «S’il y a eu des dépassements de la part des autorités, ça ne pouvait qu’être des dépassements d’individus isolés, qui, une fois portés à la connaissance des autorités, étaient sanctionnés. Tous les autres carnages sont le fait des éléments du FIS qui, eux, ne sont pas sanctionnés. J’ajoute même qu’un de ces éléments se trouve en Suisse, à savoir M. Aït Ahmed !» Telle fut la réponse de Khaled Nezzar au procureur fédéral suisse qui l’interrogeait sur le rôle de l’armée dans le régime politique de 1992 à 1993. Cette déclaration est, le moins qu’on puisse dire, aussi étrange qu’infondée. Figure emblématique de la lutte de libération nationale et de l’instauration de la démocratie en Algérie, M. Aït Ahmed est le leader du Front des forces socialistes (FFS), le plus vieux parti de l’opposition.

 

Comment peut-il être alors membre d’un autre parti comme l’ex-FIS ? Se pose ainsi la question : qui cherche-t-il à convaincre ? L’ancien ministre de la Défense a-t-il à dessein cité le nom d’Aït Ahmed, qui se trouve depuis son premier exil installé à Lausanne, comme pour le rendre responsable de son interpellation par la justice helvétique ? L’éventail des questions peut en effet s’élargir autant que peuvent le permettre les différends politiques qui opposent les deux hommes sur une gestion très controversée de la décennie noire et de l’interruption du processus électoral. Au demeurant, cette accusation laisse pantois tant elle frise le burlesque. Nezzar est-il seulement capable de se croire lui-même !

 

Hacen Ouali

 

Nezzar etait un homme de main au lendemain de l'indépendance , il ne pou vait donc que vouer une haine farouche à Hocine Aït Ahmed qui etait à l'époque l'un des rares à s'opposer ouvertement à la déviation de la lutte de libération et à la mainmise de révolutionnaires de la 25 ème heure sur l'avenir du pays .

 

Il faut noter que Nezzar , a bénéficié de l'appui d'El Mouradia qui a installé une cellule spéciale pour suivre ses péripéties .

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Lorsqu'on perd les pédales on commence a dire n'importe quoi

C'est exactement le cas d'une personne qui se noie et qui cherche a s'accrocher a n'importe quoi

 

 

Peut etre est il inspiré par le comportement de J .Chirac,

pour eviter la justice !

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[...]«S’il y a eu des dépassements de la part des autorités, ça ne pouvait qu’être des dépassements d’individus isolés, qui, une fois portés à la connaissance des autorités, étaient sanctionnés. Tous les autres carnages sont le fait des éléments du FIS qui, eux, ne sont pas sanctionnés. J’ajoute même qu’un de ces éléments se trouve en Suisse, à savoir M. Aït Ahmed !»[...]

 

Ce tueur de masse devient pathétique...

En fait plus que ça! ...

il est à sa place, là où il a toujours été: dans les abysses de la bouffonnerie..

 

Mon Dieu!

Et dire que ce crétin ensanglanté par le sang encore fumant de ses milliers de victimes est un ancien Général Major de l'Algérie et infamie suprême, il s'identifie encore à elle... :huh:

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Ajoute s'y même qu’un de ces éléments se trouve en Suisse, à savoir M. Aït Ahmed, comme ça la chose sera encore plus importante, et même qu'il devrait être traduit devant le tribunal pénal international.

 

Il ne faut pas inverser les choses.

les massacreurs c'était ceux du FIS.

 

:giljotiini:

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