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Le double jeu du Qatar


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Article traduit de l'Anglais par google.

 

Le Qatar a été le premier pays arabe à soutenir l'opération de l'OTAN en Libye, en envoyant ses jets et a été salué par les dirigeants NTC peu de temps après la «libération», cependant, de récentes révélations soulèvent des questions concernant la position ambivalente du pays sur la Libye .

 

Après la mort de l'ancien dirigeant Mouammar Kadhafi et avec les efforts se concentrant désormais sur la reconstruction de la Libye, le leader du NTC Mustafa Abdul Jalil a rencontré l'emir qatari, Cheikh Hamad bin Khalifa Al-Thani, pour discuter de la suite du conflit et l'avenir de leurs relations bilatérales .

 

Peu après la déclaration de la Libération CNT SA Cheikh Tamim bin Hamad, l'émir adjoint et héritier présomptif fait l'éloge des CNT, l'OTAN et le rôle joué par le Qatar au cours du conflit.

 

"Nous voulons expliquer à chacun et à tous les Libyens que le but était d'aider le peuple libyen pour leur permettre de vivre en liberté dans la dignité", at-il déclaré mercredi à l'ouverture du Comité des amis à l'appui de la Libye Conférence, a également participé par Abdul Jalil.

 

Les louanges ont été réciproque par le chef de CNT qui a reconnu que "le Qatar était un partenaire initial et efficace dans la gestion de la campagne militaire et en choisissant les points de force qui pourrait renverser Mouammar Kadhafi et son régime parce que nous n'avions pas la capacité militaire ou une armée régulière.

 

Officiellement, le Qatar et les nouveaux dirigeants libyens présentent un front très uni, et les intérêts de l'etat Persan Golfe semblent tourner autour de la protection des civils libyens.

 

Cependant, après Moussa Koussa accusé d'avoir torturé des prisonniers libyens, et l'implication de celui ci dans les attentats de Lockerbie, a trouvé refuge au Qatar, des questions de double-face se posent.

 

Un document de la BBC (Panorama) a récemment retracé le chef de Kadhafi et ancien espion à un hôtel de luxe au Qatar, confirmant les rumeurs que le transfuge libyen avait fui à l'état du golfe Persique.

 

Koussa, qui a fui la Libye et est venu au Royaume Uni en Mars avant de s'envoler pour le Qatar, a été l'homme de Kadhafi, main droite et une figure redoutée par les Libyens.

 

Depuis la chute du régime, des civils ont ouvertement accusé Koussa de torture et le documentaire récent de la BBC a confirmé l'étendue des crimes de l'ancien ministre libyen, après un homme appelé Muftah Al Thawadi a déclaré avoir personnellement ete torturé par M. Koussa en 1996.

 

«Pendant que j'étais interrogé, Moussa Koussa m'électrocutait dans mon cou avec la tige électrique," at-il dit aux journalistes.

 

Koussa a été impliqué dans les négociations avec les services de renseignement britanniques et américains au cours promesse de la Libye à combattre le terrorisme après le début de la guerre contre le terrorisme et l'assurance de Kadhafi, il permettrait de se débarrasser de ses armes de destruction massive, dont de nouvelles armes découvertes en Libye prouvé jamais arrivé.

 

Aussi, après la chute de Tripoli, Human Right Watch a découvert des documents prouvant les liens avec l'ouest des services d'intelligence de Koussa, des documents ont également révélé des détails sur l'enlèvement et de restitution des terroristes présumés.

 

Plusieurs victimes vont désormais se présenter en insistant qu'ils avaient été torturée par l'homme de Kadhafi, ou à sa connaissance, avec des accusations allant de coups violents, des chocs électriques à la mutilation génitale.

 

Contrairement au Qatar qui a ouvert sa grande porte à Koussa sur son territoire, Eman Al-Obeidy, la femme qui a dit qu'elle avait été enlevée et violée par 15 membres des forces de sécurité de Kadhafi au cours de deux jours, a fui vers le Qatar pour être expulsé par les autorités.

 

L'attitude de l'OTAN, le Royaume-Uni et le CNT pose aussi des questions que, malgré de nouvelles révélations liant clairement Koussa à la torture, les autorités du Qatar n'ont pas été demandé de remettre le fugitif, risquant de laisser des crimes graves visant à les civils qu'ils sont censés protéger , impunis.

 

 

Lire l’article original en Anglais : Is Qatar Double-Dealing Over Libya: Gaddafi’s ex-Spy Chief Still Enjoying Impunity

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