ABSO 10 Posted February 26, 2008 Partager Posted February 26, 2008 Pour prendre les mesures décisives qui s'imposent, les pouvoirs constitutionnels d'un président sont limités, sauf en politique étrangère, mais les politiques nationale et étrangère sont aujourd'hui si inextricablement liées - par exemple en matière d'économie, d'énergie et d'environnement - qu'il est souvent malaisé pour l'exécutif d'agir seul même dans le domaine des affaires étrangères. Dans la Ve République du président Sarkozy qui a, lui, effectivement précisé pendant sa campagne quelles décisions il prendrait, la marge de manœuvre a été limitée par les manifestations. Aux Etats-Unis, des changements de cap significatifs seraient également combattus par de puissants lobbies, même si cela ne se traduirait pas par des grèves et des manifestations mais par l'intermédiaire d'un Congrès dont les membres dépendent fortement du financement de ces lobbies pour conserver leur poste. Peut-être l'attention ne se détournera-t-elle pas et ne devrait-elle pas se détourner de la personnalité du candidat pour se concentrer sur son programme. L'ampleur du défi est telle que les exigences vont au-delà des mesures politiques rationnelles bien conçues pour faire face à des «problèmes» dans un contexte normal. Peut-être est-ce un moment où l'inspiration transformationnelle est nécessaire, où il faut un candidat capable de motiver, de mobiliser les énergies. Si c'est le cas, il y aurait de bonnes raisons de continuer à se concentrer sur les qualités personnelles du candidat plutôt que sur son genres et son âge. Il y a cinquante ans, John Kennedy avait déclaré à ses concitoyens dans son discours inaugural: "Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais plutôt ce que vous pouvez faire pour votre pays." Bouteflika devrait peut-être s’inspirer de cette phrase au cas où il viendrait à briguer un troisième mandat pendant la campagne présidentielle de 2009 ! Votre avis ? Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted February 26, 2008 Partager Posted February 26, 2008 Pour prendre les mesures décisives qui s'imposent, les pouvoirs constitutionnels d'un président sont limités, sauf en politique étrangère, mais les politiques nationale et étrangère sont aujourd'hui si inextricablement liées - par exemple en matière d'économie, d'énergie et d'environnement - qu'il est souvent malaisé pour l'exécutif d'agir seul même dans le domaine des affaires étrangères. Dans la Ve République du président Sarkozy qui a, lui, effectivement précisé pendant sa campagne quelles décisions il prendrait, la marge de manœuvre a été limitée par les manifestations. Aux Etats-Unis, des changements de cap significatifs seraient également combattus par de puissants lobbies, même si cela ne se traduirait pas par des grèves et des manifestations mais par l'intermédiaire d'un Congrès dont les membres dépendent fortement du financement de ces lobbies pour conserver leur poste. Peut-être l'attention ne se détournera-t-elle pas et ne devrait-elle pas se détourner de la personnalité du candidat pour se concentrer sur son programme. L'ampleur du défi est telle que les exigences vont au-delà des mesures politiques rationnelles bien conçues pour faire face à des «problèmes» dans un contexte normal. Peut-être est-ce un moment où l'inspiration transformationnelle est nécessaire, où il faut un candidat capable de motiver, de mobiliser les énergies. Si c'est le cas, il y aurait de bonnes raisons de continuer à se concentrer sur les qualités personnelles du candidat plutôt que sur son genres et son âge. Il y a cinquante ans, John Kennedy avait déclaré à ses concitoyens dans son discours inaugural: "Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais plutôt ce que vous pouvez faire pour votre pays." Bouteflika devrait peut-être s’inspirer de cette phrase au cas où il viendrait à briguer un troisième mandat pendant la campagne présidentielle de 2009 ! Votre avis ? bonjour ABSO pour nos pays du sud il va de soi pour la plus par des pays sincere c'est le programme qui fera la differance puis on a les abus justifier j'ai hesité sur le genre qui peut etre une qualité comme son contraire Citer Link to post Share on other sites
ABSO 10 Posted February 26, 2008 Author Partager Posted February 26, 2008 bonjour ABSO pour nos pays du sud il va de soi pour la plus par des pays sincere c'est le programme qui fera la differance puis on a les abus justifier j'ai hesité sur le genre qui peut etre une qualité comme son contraire C'est pourtant dans le pays du Sud que sont élus les présidents âgés. Pour l'écrivain Khadra, dans la mentalité sudiste la personne âgée représente la sagesse et la confiance du confidant. Seuls les dirigeants africains parvenus au pouvoir suite à un putsch furent jeunes (Kadhafi, Sankara notamment). Plus bizarrement, chez les papes également, la majorité d'entre eux sont d'âge avancé afin de parvenir à l'intronisation. Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted February 26, 2008 Partager Posted February 26, 2008 C'est pourtant dans le pays du Sud que sont élus les présidents âgés. Pour l'écrivain Khadra, dans la mentalité sudiste la personne âgée représente la sagesse et la confiance du confidant. Seuls les dirigeants africains parvenus au pouvoir suite à un putsch furent jeunes (Kadhafi, Sankara notamment). Plus bizarrement, chez les papes également, la majorité d'entre eux sont d'âge avancé afin de parvenir à l'intronisation. il y eut cette preference de sage a laquelle j'y est adherer moi meme c'est une verité pleine de sagesses mais voila de plus en plus on des nouvelliste et des modernistes ou deja prevert a averti contre les intellectuelles Citer Link to post Share on other sites
ABSO 10 Posted February 26, 2008 Author Partager Posted February 26, 2008 Dans une démocratie, l’âge du président n’a finalement aucune importance puisque, véritablement, il n’a aucun pouvoir, sinon qu’à donner des orientations auxquelles les ministres sont enjoints à proposer des solutions aux Assemblés nationales qui, elles, sont les réelles représentantes du peuple. Aussi, les subordonnés (ministres) d’un président peuvent être désavoués par les édiles (députés) dûment introniser par le peuple. Or, dans peu de nations ce système indispensable à l’esprit démocratique n’est respecté et d’où la majorité des pays sont des dictatures en dépit d’une soi-disant conjoncture fonctionnant selon les vœux du peuple (c’est le cas flagrant des Etats-Unis dont le président dispose d’un droit de veto ou de la France où le Conseil constitutionnelle peut débouté l’Assemblée nationale). Donc, le reflet authentique de républiques bananières s’agissant des deux cas mentionnés. Citer Link to post Share on other sites
pmat 276 Posted February 26, 2008 Partager Posted February 26, 2008 Dans une démocratie, l’âge du président n’a finalement aucune importance puisque, véritablement, il n’a aucun pouvoir, sinon qu’à donner des orientations auxquelles les ministres sont enjoints à proposer des solutions aux Assemblés nationales qui, elles, sont les réelles représentantes du peuple. Aussi, les subordonnés (ministres) d’un président peuvent être désavoués par les édiles (députés) dûment introniser par le peuple. Or, dans peu de nations ce système indispensable à l’esprit démocratique n’est respecté et d’où la majorité des pays sont des dictatures en dépit d’une soi-disant conjoncture fonctionnant selon les vœux du peuple (c’est le cas flagrant des Etats-Unis dont le président dispose d’un droit de veto ou de la France où le Conseil constitutionnelle peut débouté l’Assemblée nationale). Donc, le reflet authentique de républiques bananières s’agissant des deux cas mentionnés. oui ABSO tu nous tien en halene tout cas ont leurs echelles de valeurs et leurs echelle de comportement dans le travail entre eux on dit leur convention? considere bien ou mal c'est pourquoi les reformes Citer Link to post Share on other sites
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