djallalnamri 10 Posted October 30, 2011 Partager Posted October 30, 2011 dimanche 30 octobre 2011 Mouammar Kadhafi et le projet libyen de redistribution de la richesse par Mahdi Darius Nazemroaya L’idée que l’on se fait du colonel Mouammar Kadhafi n’est pas la même partout dans le monde. Qu’on l’aime ou qu’on le déteste, sous son règne la Libye est passée d’un des pays les plus pauvres de la surface de la Terre au pays ayant le niveau de vie le plus élevé en Afrique. Selon le professeur Henri Habibi : « Lorsque les Nations Unies ont octroyé son indépendance à la Libye le 24 décembre 1951, on la décrivait comme l’un des pays les plus pauvres et arriérés du monde. La population de l’époque ne dépassait pas les 1,5 millions, elle était illettrée à plus de 90 % et n’avait ni d’expérience politique ni d’expertise. Il n’y avait pas d’université et seulement un nombre limité d’écoles secondaires, établies sept ans avant l’indépendance [1]. » Kadhafi avait plusieurs plans d’envergure. Il voulait créer une Organisation du Traité de l’Atlantique Sud pour protéger l’Afrique et l’Amérique latine. Il préconisait l’utilisation d’un étalon-or pour le dinar comme devise des pays musulmans. Bon nombre de ses plans étaient de nature panafricaine, dont les États-Unis d’Afrique. Les projets panafricains de Kadhafi Le colonel Kadhafi a mis en œuvre la grande rivière artificielle, un projet d’envergure visant à transformer le désert du Sahara et à renverser la désertification de l’Afrique. Grâce à ses plans d’irrigation, la grande rivière artificielle avait également pour but de soutenir l’agriculture ailleurs sur le continent. Ce projet est devenu une cible militaire pour l’OTAN. Sans justification, la campagne de bombardements de l’OTAN visait à détruire la grande rivière artificielle. Kadhafi envisageait aussi la création d’institutions financières panafricaines indépendantes, où la Libyan Investment Authority (Autorité libyenne d’investissements) et la Banque étrangère de Libye joueraient des rôles importants. Par le biais de ces deux institutions, Kadhafi a contribué à mettre sur pied le premier réseau de satellites africain, la Regional African Satellite Communication Organization (Organisation régionale africaine de communications par satellite, RASCOM), afin de réduire la dépendance des Africains aux puissances étrangères [2]. Son chef-d’œuvre aurait été la création des États-Unis d’Afrique. L’entité supranationale aurait été constituée à l’aide de la Banque africaine d’investissements, le Fonds monétaire africain et finalement, la Banque centrale africaine. L’Union européenne (UE), les États-Unis, le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale étaient hostiles à toutes ces institutions. Le projet de redistribution de la richesse de Kadhafi Kadhafi avait un projet de redistribution de la richesse en Libye. Des sources du Congrès étasunien l’ont même admis dans un rapport daté du 18 février 2011 : « En mars 2008, le colonel Kadhafi a annoncé son intention de dissoudre la plupart des corps administratifs gouvernementaux et d’instituer un programme de redistribution de la richesse, où les recettes pétrolières de l’État seraient mensuellement distribuées aux citoyens, qui les administreraient personnellement, en coopération avec des comités locaux. Citant la critique populaire des performances gouvernementales dans un long discours touchant à divers sujets, il a répété que l’État traditionnel serait bientôt “mort” en Libye et que la gouvernance directe s’accomplirait par la redistribution des revenus du pétrole. [L’armée], les affaires étrangères, la sécurité et les arrangements concernant la production de pétrole demeureraient, dit-on, des responsabilités gouvernementales, alors que d’autres organes gouvernementaux seraient supprimés peu à peu. Au début de 2009, les Congrès populaires de base envisageaient des changements dans les propositions et le Congrès général du peuple a voté pour la remise de l’implantation à une date ultérieure [3]. » Kadhafi souhaitait que tout le peuple libyen ait un accès direct à la richesse nationale. Il était également au courant de la corruption enracinée dans les rangs du gouvernement libyen. C’est l’une des raisons pour lesquelles il désirait appliquer progressivement un modèle d’anarchie politique en Libye. Il a parlé de ces projets pendant quelques années. Par ailleurs, le projet de redistribution de la richesse et l’instauration d’un système politique anarchiste étaient vus comme des menaces très sérieuses par les États-Unis, l’UE et un groupe de représentants libyens. Si elles réussissaient, les réformes auraient créé des troubles politiques parmi de nombreuses populations à travers le monde. Au niveau national, bien des officiels Libyens tentaient de ralentir le projet, entre autres, en faisant appel à des puissances étrangères. Pourquoi Mahmoud Jibril s’est joint au Conseil national de transition Mahmoud Jibril faisait partie des officiels Libyens ayant horreur de ce projet et fortement opposés à celui-ci. C’est Seïf al-Islam Kadhafi qui a nommé M. Jibril. En raison de la forte influence des États-Unis et de l’UE, Seïf al-Islam a choisi Jibril pour transformer l’économie libyenne et imposer une vague de réformes économiques néolibérales qui ouvriraient le marché libyen. Jibril est devenu chef de deux organes gouvernementaux de la Jamahiriya arabe libyenne : le Conseil national de planification et l’Office national de développement économique de la Libye. Alors que ce dernier est un ministère régulier, le Conseil national de planification se situe au-delà du Bureau du secrétaire général du Comité populaire dans la hiérarchie gouvernementale. En réalité, cela plaçait Jibril dans un poste supérieur à celui qui constitue l’équivalent d’un premier ministre. Jibril est en fait devenu l’une des forces ayant ouvert les portes à la privatisation et à la pauvreté en Libye. Environ six mois avant l’éclatement du conflit en Libye, Mahmoud Jibiril a rencontré Bernard-Henri Lévy en Australie afin de discuter de la formation du Conseil de transition et de la déposition du colonel Kadhafi [4]. Dans des documents et des procès-verbaux de l’Office national de développement économique de la Jamahiriya arabe libyenne, Jibril a qualifié de « fou » le projet de redistribution de la richesse de Kadhafi [5]. Jibril croyait fermement que le peuple libyen n’était pas digne de se gouverner lui-même et qu’une élite devrait toujours contrôler le destin et la richesse de toute nation. Il souhaitait diminuer la taille du gouvernement libyen et licencier un grand nombre de travailleurs du secteur public, mais, en revanche, il désirait augmenter les réglementations gouvernementales en Libye. Jibril citait aussi toujours Singapour comme l’exemple parfait d’un État néolibéral. Alors qu’il était à Singapour, un pays qu’il visitait régulièrement, il est probable qu’il ait rencontré Bernard-Henri Lévy. Lorsque les problèmes ont commencé à Benghazi, Mahmoud Jibiril s’est immédiatement rendu au Caire en Égypte. Il a avisé ses collègues qu’il serait de retour bientôt à Tripoli, mais il n’avait aucune intention d’y retourner. En réalité, il est allé au Caire pour rencontrer les leaders du Conseil national syrien et Lévy. Tous l’attendaient au Caire afin de coordonner les événements en Libye et en Syrie. C’est l’une des raisons pour lesquelles le Conseil national de transition (CNT) a reconnu le Conseil national syrien comme gouvernement légitime de la Syrie. N’ayez pas pitié des morts, ayez pitié des vivants! Mouammar Kadhafi est mort maintenant. Il a été tué dans sa ville natale, Syrte. Il a tenu bon jusqu’à la fin comme il l’avait promis. Le CNT, qui avait juré de le poursuivre en justice, l’a fait assassiner. Kadhafi a même rappelé aux hommes qui l’ont battu, sodomisé, se sont moqués de lui et l’ont finalement assassiné qu’ils ne respectaient pas les lois de l’Islam concernant le traitement respectueux des prisonniers. L’OTAN a pour sa part joué un rôle central et supervisé l’événement du début à la fin. Ali Tarhouni Le meurtre de Kadhafi a été systématique, puisque son fils et plusieurs autres leaders libyens ont ensuite aussi été tués. Le décès de Kadhafi marque une étape historique pour la Libye : la fin d’une époque et le commencement d’un nouveau chapitre. La Libye ne deviendra pas un nouveau paradis comme le dit le CNT. Dans bien des cas, les vivants envieront les morts, à cause d’hommes comme Mahmoud Jibril, Ali Tarhouni, et Sliman Bouchuiguir. Sliman Bouchuiguir Mahmoud Jibril est un simple opportuniste. L’homme ne voyait aucun problème à agir comme représentant du gouvernement sous feu Kadhafi. Il ne s’est jamais plaint à propos des droits humains ou du manque de démocratie. Il était encore premier ministre du CNT quelques jours après le meurtre sauvage du colonel Kadhafi. L’opposition de Jibril au projet de redistribution de richesse du colonel et son attitude élitiste sont parmi les raisons pour lesquelles il a conspiré contre Kadhafi et contribué à la formation du CNT. Cet officiel de l’ancien régime, qui a toujours appuyé ouvertement les dictateurs arabes dans le golfe Persique, est-il vraiment un représentant et un héros du peuple? Qu’en est-il de ses collègues du CNT qui ont négocié des contrats pétroliers avec les États membres de l’OTAN, avant même de détenir de soi-disant postes gouvernementaux au sein du CNT? Article original : Who Was Muammar Qaddafi? Libya's Wealth Redistribution Project, paru le 27 octobre 2011 Traduction : Julie Lévesque pour Mondialisation.ca Source Mondialisation Notes [1] Henri Pierre Habib, Politics and Government of Revolutionary Libya (Montmagny, Québec: Le Cercle de Livre de France Ltée, 1975), p.1. [2] Regional African Satellite Communication Organization, “Launch of the Pan African Satellite,” July 26, 2010: : : : : : : : : : RASCOM | AFRICA'S RESPONSE : : : : : : : : : [3] Christopher M. Blanchard and James Zanotti, “Libya Christopher M. Blanchard and James Zanotti, “Libya: Background and U.S. Relations,” Congressional Research Service, February 18, 2011, p.22. [4] Private discussions with Mahmoud Jiribil’s co-workers inside and outside of Libya. [5] Internal private documents from the National Economic Development Board of the Libyan Arab Jamahiriya. Citer Link to post Share on other sites
djallalnamri 10 Posted October 30, 2011 Author Partager Posted October 30, 2011 Obama Gang Libye : Histoire De Pétrole Ou De Banque Centrale ? « …Kadhafi a osé prendre l’initiative de refuser le Dollar et l’Euro et a appelé les nations arabes et africaines à utiliser une nouvelle monnaie à la place, le Dinar Or. Kadhafi a suggéré d’établir un continent africain unifié dont les 200 millions d’habitants utiliseraient une seule monnaie… Cette initiative a été mal vue par les US et l’UE, le président français, Nicolas Sarkozy, a dit de la Libye qu’elle était une menace pour la sécurité financière de l’humanité... » Libye : Histoire De Pétrole Ou De Banque Centrale ? Plusieurs journalistes ont remarqué que fait étrange les rebelles libyens ont pris le temps pendant leur rébellion en Mars de créer leur propre banque centrale - ceci avant même d’avoir un gouvernement. Robert Wenzel a écrit dans l’Economic Policy Journal : « Je n’ai jamais entendu parler auparavant d’une banque centrale créée juste après quelques semaines d’un soulèvement populaire. Ceci veut dire que nous avons à faire à autre chose qu’un groupe de rebelles déguenillés courant partout et qu’il y a derrière des influences plutôt subtiles ». Dans le New Américan Alex Newman a écrit : « Dans une déclaration faite la semaine dernière les rebelles ont fait part des résultats d’une rencontre ayant eu lieu le 19 Mars. Les révolutionnaires soit disant déguenillés ont annoncé entre autres choses la « désignation de la Banque Centrale de Benghazi comme autorité compétente en matière de politique monétaire en Libye et ont nommé un gouverneur à la Banque Centrale de Libye avec un Q G temporaire à Benghazi. » Newman a cité l’éditeur en chef de CNBC, John Carney, qui a demandé « est ce la première fois qu’un groupe révolutionnaire a crée une banque centrale alors même qu’il est en plein milieu de combats avec un pouvoir central retranché ? Cela semble vraiment indiquer à quel point les banques centrales sont devenues puissantes à notre époque «. Autre anomalie donnant lieu à une justification officielle pour prendre les armes en Libye. C’est supposé être justifié par des violations des droits de l’homme, mais les preuves disent le contraire. Selon un article sur le site de Fox News du 28 Février : « Alors même que l’Onu œuvre fiévreusement pour condamner le chef libyen Muammar Khadafi pour réprimer les manifestants, le conseil des Droits de l’Homme de l’ONU est sur le point d’adopter un rapport stupéfiant plein d’éloge pour le compte rendu sur le respect des droits de l’Homme en Libye. Le compte rendu loue la Libye pour avoir amélioré les chances en matière d’éducation, pour avoir fait des droits de l’homme sa «priorité » et pour avoir amélioré son cadre « constitutionnel ». Plusieurs pays dont l’Iran , le Venezuela, la Corée du Nord, l’Arabie Saoudite mais aussi le Canada ont distribué des bon points à la Libye pour avoir accordé des protections légales à ces citoyens - qui se révoltent actuellement contre le régime et sont confrontés à ne répression sanglante. » Quoiqu’on dise des crimes personnels de Kadhaf le peuple libyen semble prospérer. Une délégation de professionnels du secteur médical de Russie d’Ukraine et de Biélorussie ont écrit une lettre d’appel au président russe Dimitri Medvedev et au premier ministre Vladimir Poutine après s’être familiarisé avec la vie en Libye et de leur point de vue dans peu de nations les gens vivent dans un tel confort. « Les Libyens bénéficient de soins gratuits et leurs hôpitaux ont les meilleurs équipements dans le monde. L’éducation en Libye est gratuite les gens capables ont la possibilité d’étudier à l’étranger au frais du gouvernement. Quand ils se marient les jeunes couples reçoivent 60 .000 dinars libyens (environ 50 000 $ US) comme aide financière en prêt d’état sans intérêt et comme le montre la pratique sans date limite. Grâce aux subventions d’état le prix des voitures est bien moins cher qu’en Europe et chaque famille peut se permettre d’en avoir une. L’essence et le pain coûte presque rien il n’y a pas de taxe pour les agriculteurs. Le peuple libyen est calme et pacifique n’est pas porté à boire et est très religieux ». Ils affirment que la communauté internationale a été mal informée sur la lutte contre le régime. « Dites- nous » disent-ils « qui n’aimerait pas un tel régime ? » Même si c’est juste de la propagande on ne peut nier au moins une réalisation du gouvernement libyen. Il a apporté l’eau du désert en construisant le projet d’irrigation le plus cher et le plus important dans l’histoire, le GMMR ( Great Man-Made River) un projet de 33 milliards de $ US. Encore plus que le pétrole l’eau est vitale pour la Libye. Le GMMR fournit 70% de la population en eau potable et pour l’irrigation la pompant de la nappe aquifère souterraine du Désert de Nubie au Sud et la transportant à 4000 Km au Nord aux zones côtières densément peuplées. Le gouvernement libyen a fait au moins une bonne chose. Une autre explication à propos de la Libye c’est que c’est «entièrement une question de pétrole ». Mais cette théorie est aussi problématique. Comme l’a fait remarquer le National Journal le pays produit seulement 2% du pétrole mondial. L’Arabie Saoudite à elle seule a suffisamment de capacité en réserve pour palier à l’absence de pétrole libyen si celui-ci venait à disparaître du marché. Et si tout est une question de pétrole alors pourquoi se précipiter pour créer une banque centrale ? Autre données provocantes circulant sur le Net c’est une interview du Gl (ret) US Wesley Clark sur Démocracy Now. Dans celle-ci il dit qu’environ 10 jours après le 11 Septembre 2001 un général lui a dit que la décision avait été prise de faire la guerre à l’Irak. Clark a été surpris et a demandé pourquoi. « Je ne sais pas » lui a-ton répondu. « Je suppose qu’ils ne savent pas quoi faire d’autre » . Plus tard le même général a dit qu’ils projetaient de s’en prendre à 7 pays en 5 ans : l’Irak, la Syrie, le Liban, la Lybie, la Somalie, le Soudan et l’Iran. Citer Link to post Share on other sites
djallalnamri 10 Posted October 30, 2011 Author Partager Posted October 30, 2011 Qu’ont ces 7 pays en commun ? Dans le domaine bancaire l’élément commun c’est qu’aucun d’eux n’est sur la liste des 56 membres bancaires de la BIS( Bank of International Settlements). Cela les place évidemment hors de portée du long bras régulateur des banques centrales de la banque centrale de Suisse. Les plus renégats d’entre eux seraient la Libye et l’Irak les deux qui ont en fait été attaqués. Kenneth Schortgen, Jr, qui écrit dans le Examiner.com a noté que : « 6 mois avant que les US n’entrent en Irak pour déloger Saddam Hussein ce pays producteur de pétrole avait accepté des Euros à la place de Dollars en paiement du pétrole et cela est devenu une menace à la domination mondiale du Dollar comme monnaie étalon et son empire du pétro dollar. » Selon un article russe intitulé « Bombing in Libye - Punishment for Kadhafi for His Attempt to Refuse US Dollar » Bombardement en Libye - Punition pour Kadhafi pour avoir essayé de refuser le dollar US - Kadhafi a osé prendre l’initiative de refuser le Dollar et l’Euro et a appelé les nations arabes et africaines à utiliser une nouvel monnaie à la place le Dinar Or. Kadhafi a suggéré d’établir un continent africain unifié dont les 200 millions d’habitants utiliseraient une seule monnaie. L’année dernière l’idée a été approuvée par de nombreux pays arabes et la plupart des pays africains. Seuls opposants la République d’Afrique du Sud et le chef de la ligue arabe. Cette initiative a été mal vue par les US et l’UE le président français Nicolas Sarkozy a dit de la Libye qu’elle était une menace pour la sécurité financière de l’humanité ; Mais Kadhafi est passé outre et a continué à aller de l’avant dans la création d’une Afrique unie. Et cela nous ramène au puzzle de la banque centrale libyenne. Dans un article posté sur le Market Oracle , Eric Encina remarque que : « Un fait pratiquement pas mentionné par les politiques occidentaux et les experts des médias c’est que la Banque Centrale de Libye appartient 100% à l’état … Actuellement, le gouvernement libyen crée sa propre monnaie, le Dinar libyen, via les établissements de sa propre banque centrale. On peut difficilement argumenter que la Libye n’est pas un état souverain avec ses propres ressources importantes, capable de gérer économiquement son avenir. L’un des problèmes majeurs pour les cartels bancaires mondialistes c’est que pour faire des affaires avec la Libye ils doivent passer par la Banque Centrale de Libye et sa monnaie nationale un endroit ou ils n’ont absolument aucun pouvoir ou capacité de prendre le pouvoir. Donc, détruire la Banque Centrale de Libye n’apparaît probablement pas dans les discours d’Obama Cameron et Sarkozy mais c’est certainement au sommet de l’agenda mondialiste d’absorber la Libye dans son giron de nations dociles. » La Libye n’a pas seulement du pétrole. Selon le Fond Monétaire International (FMI) sa Banque Centrale a environ 144 tonnes d’or dans ses coffres. Avec une telle richesse qui a besoin de la BIS ou du FMI et de leurs règles ? Tout ceci pousse à regarder de plus près les règles de la BIS et leurs effets sur les économies locales. Un article sur le site de la BIS déclare que les banques centrales du Réseau de gouvernance de la Banque Centrale sont supposées avoir comme « unique ou principal objectif de base » de « préserver la stabilité des prix ». Elles doivent rester indépendantes des gouvernements pour être sûr que des considérations politiques n’interfèrent pas avec cet objectif. « Stabilité des Prix » cela veut dire maintenir une réserve monétaire stable même si cela implique de faire porter le poids de la lourde dette étrangère aux peuples. On décourage les banques centrales d’augmenter leur réserve monétaire en faisant fonctionner la planche à billets et en les utilisant au bénéfice de l’état soit directement soit sous forme de prêts. Dans un article de 2002 paru sur Asia Times Online intitulé « the BIS vs national banks » Henri Liu affirmait : “Les règles de la BIS servent un seul but celui de renforcer le système bancaire privé international en mettant même en danger l’économie des nations. La BIS fait aux systèmes bancaires nationaux ce que le FMI a fait aux systèmes monétaires nationaux. Les économies nationales ne servent plus les intérêts nationaux à cause de la mondialisation financière. « … Le FDI ( Foreign Direct Investment - Investissement Direct Etranger) chiffré en monnaies étrangères principalement le Dollar a condamné de nombreuses économies nationales à développer leurs exportations de façon déséquilibrée ceci principalement pour verser des intérêts en Dollars au FDI avec très peu de bénéfice pour les économies domestiques. » Il a ajouté : « En appliquant la Théorie de la Monnaie d’Etat tout gouvernement peut financer avec sa propre monnaie tous ses besoins de développement domestiques pour maintenir le plein emploi sans inflation. » La « Théorie de la Monnaie D’Etat » fait référence à la monnaie créée par les gouvernements plutôt que par les banques privées. Le fait d’être contre l’emprunt auprès de la banque centrale du gouvernement c’est qu’il est soit disant facteur d’inflation alors que d’emprunter auprès des banques privées ou du FMI ne le serait pas. Mais en fait toutes les banques créent l’argent qu’elles prêtent dans leurs documents comptables qu’elles soient publiques ou privées. La plupart de l’argent crée provient des prêts bancaires. L’emprunter de la banque centrale du gouvernement cela a l’avantage que c’est sans intérêt. Il a été prouvé qu’éliminer les intérêts d’emprunt réduisait le coût des projets publics de 50%. Et il semble que c’est de cette façon que fonctionne le système libyen. Selon Wikipedia parmi les fonctions de la Banque Centrale de Libye il ya celle d’« imprimer frapper et réguler les billets et pièces de monnaies en Libye » et de « gérer et accorder tous les prêts ». La Banque de Libye appartenant à l’état peut tout à fait produire la monnaie nationale et faire des prêts ayant des objectifs étatiques. Ceci explique d’où la Libye tire l’argent pour fournir une éducation et une couverture santé gratuites et pour verser à chaque jeune couple 50 000$ d’emprunts d’état sans intérêt. Ceci explique aussi d’où le pays a puisé les 33 milliards de $ pour construire le GMMR. Les Libyens craignent que les attaques aériennes de l’OTAN ne s’approchent dangereusement prés de c e pipeline, menace d’une autre catastrophe humanitaire. Alors cette nouvelle guerre est-elle pour le pétrole ou pour le système bancaire ? Peut être les deux - et pour l’eau aussi. Avec des ressources énergétiques, de l’eau et un important crédit pour développer les infrastructures pour y accéder une nation peut être libre de la main mise des prêteurs étrangers. Et cela est peut être la véritable menace que représente la Libye : cela pourrait montrer au monde ce qu’il est possible de faire. La plupart des pays n’ont pas de pétrole mais des nouvelles technologies sont en cours de développement qui pourraient rendre les nations non productrices de pétrole indépendantes énergiquement particulièrement si les coûts des infrastructures étaient couverts par des emprunts auprès d’une banque publique. L’indépendance énergétique libérerait les gouvernements des réseaux bancaires internationaux et du besoin d’orienter leur production vers l’exportation sur les marchés internationaux pour couvrir les emprunts et au lieu de cela ils pourraient satisfaire les besoins du marché national. Si le gouvernement de Kadhafi tombe ce sera intéressant d’observer si la nouvelle banque centrale rejoint la BIS si l’industrie pétrolière nationalisée est vendue aux investisseurs étrangers et si l’éducation et l’accès aux soins continuent d’être gratuits. Ellen Brown 14/04/2011 - (Copyright Ellen Brown 2011) Article en anglais Ellen Brown est juriste et présidente du Public Banking Institute, Public Banking Institute - Banking in the Public Interest. Dans son dernier livre “ In Web of Deb”,( elle en a publié 11)elle montre comment un cartel privé a usurpé le pouvoir du people à battre monnaie et comment le peuple peut récupérer ce pouvoir Ses sites internet Web of Debt - How Banks And The Federal Reserve Are Bankrupting The Planet... et http://ellenbrown.com. Citer Link to post Share on other sites
MJB 10 Posted October 30, 2011 Partager Posted October 30, 2011 dimanche 30 octobre 2011 Mouammar Kadhafi et le projet libyen de redistribution de la richesse par Mahdi Darius Nazemroaya L’idée que l’on se fait du colonel Mouammar Kadhafi n’est pas la même partout dans le monde. Qu’on l’aime ou qu’on le déteste, sous son règne la Libye est passée d’un des pays les plus pauvres de la surface de la Terre au pays ayant le niveau de vie le plus élevé en Afrique. Selon le professeur Henri Habibi : « Lorsque les Nations Unies ont octroyé son indépendance à la Libye le 24 décembre 1951, on la décrivait comme l’un des pays les plus pauvres et arriérés du monde. La population de l’époque ne dépassait pas les 1,5 millions, elle était illettrée à plus de 90 % et n’avait ni d’expérience politique ni d’expertise. Il n’y avait pas d’université et seulement un nombre limité d’écoles secondaires, établies sept ans avant l’indépendance [1]. » Kadhafi avait plusieurs plans d’envergure. Il voulait créer une Organisation du Traité de l’Atlantique Sud pour protéger l’Afrique et l’Amérique latine. Il préconisait l’utilisation d’un étalon-or pour le dinar comme devise des pays musulmans. Bon nombre de ses plans étaient de nature panafricaine, dont les États-Unis d’Afrique. Les projets panafricains de Kadhafi Le colonel Kadhafi a mis en œuvre la grande rivière artificielle, un projet d’envergure visant à transformer le désert du Sahara et à renverser la désertification de l’Afrique. Grâce à ses plans d’irrigation, la grande rivière artificielle avait également pour but de soutenir l’agriculture ailleurs sur le continent. Ce projet est devenu une cible militaire pour l’OTAN. Sans justification, la campagne de bombardements de l’OTAN visait à détruire la grande rivière artificielle. Kadhafi envisageait aussi la création d’institutions financières panafricaines indépendantes, où la Libyan Investment Authority (Autorité libyenne d’investissements) et la Banque étrangère de Libye joueraient des rôles importants. Par le biais de ces deux institutions, Kadhafi a contribué à mettre sur pied le premier réseau de satellites africain, la Regional African Satellite Communication Organization (Organisation régionale africaine de communications par satellite, RASCOM), afin de réduire la dépendance des Africains aux puissances étrangères [2]. Son chef-d’œuvre aurait été la création des États-Unis d’Afrique. L’entité supranationale aurait été constituée à l’aide de la Banque africaine d’investissements, le Fonds monétaire africain et finalement, la Banque centrale africaine. L’Union européenne (UE), les États-Unis, le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale étaient hostiles à toutes ces institutions. Le projet de redistribution de la richesse de Kadhafi Kadhafi avait un projet de redistribution de la richesse en Libye. Des sources du Congrès étasunien l’ont même admis dans un rapport daté du 18 février 2011 : « En mars 2008, le colonel Kadhafi a annoncé son intention de dissoudre la plupart des corps administratifs gouvernementaux et d’instituer un programme de redistribution de la richesse, où les recettes pétrolières de l’État seraient mensuellement distribuées aux citoyens, qui les administreraient personnellement, en coopération avec des comités locaux. Citant la critique populaire des performances gouvernementales dans un long discours touchant à divers sujets, il a répété que l’État traditionnel serait bientôt “mort” en Libye et que la gouvernance directe s’accomplirait par la redistribution des revenus du pétrole. [L’armée], les affaires étrangères, la sécurité et les arrangements concernant la production de pétrole demeureraient, dit-on, des responsabilités gouvernementales, alors que d’autres organes gouvernementaux seraient supprimés peu à peu. Au début de 2009, les Congrès populaires de base envisageaient des changements dans les propositions et le Congrès général du peuple a voté pour la remise de l’implantation à une date ultérieure [3]. » Kadhafi souhaitait que tout le peuple libyen ait un accès direct à la richesse nationale. Il était également au courant de la corruption enracinée dans les rangs du gouvernement libyen. C’est l’une des raisons pour lesquelles il désirait appliquer progressivement un modèle d’anarchie politique en Libye. Il a parlé de ces projets pendant quelques années. Par ailleurs, le projet de redistribution de la richesse et l’instauration d’un système politique anarchiste étaient vus comme des menaces très sérieuses par les États-Unis, l’UE et un groupe de représentants libyens. Si elles réussissaient, les réformes auraient créé des troubles politiques parmi de nombreuses populations à travers le monde. Au niveau national, bien des officiels Libyens tentaient de ralentir le projet, entre autres, en faisant appel à des puissances étrangères. Pourquoi Mahmoud Jibril s’est joint au Conseil national de transition Mahmoud Jibril faisait partie des officiels Libyens ayant horreur de ce projet et fortement opposés à celui-ci. C’est Seïf al-Islam Kadhafi qui a nommé M. Jibril. En raison de la forte influence des États-Unis et de l’UE, Seïf al-Islam a choisi Jibril pour transformer l’économie libyenne et imposer une vague de réformes économiques néolibérales qui ouvriraient le marché libyen. Jibril est devenu chef de deux organes gouvernementaux de la Jamahiriya arabe libyenne : le Conseil national de planification et l’Office national de développement économique de la Libye. Alors que ce dernier est un ministère régulier, le Conseil national de planification se situe au-delà du Bureau du secrétaire général du Comité populaire dans la hiérarchie gouvernementale. En réalité, cela plaçait Jibril dans un poste supérieur à celui qui constitue l’équivalent d’un premier ministre. Jibril est en fait devenu l’une des forces ayant ouvert les portes à la privatisation et à la pauvreté en Libye. Environ six mois avant l’éclatement du conflit en Libye, Mahmoud Jibiril a rencontré Bernard-Henri Lévy en Australie afin de discuter de la formation du Conseil de transition et de la déposition du colonel Kadhafi [4]. Dans des documents et des procès-verbaux de l’Office national de développement économique de la Jamahiriya arabe libyenne, Jibril a qualifié de « fou » le projet de redistribution de la richesse de Kadhafi [5]. Jibril croyait fermement que le peuple libyen n’était pas digne de se gouverner lui-même et qu’une élite devrait toujours contrôler le destin et la richesse de toute nation. Il souhaitait diminuer la taille du gouvernement libyen et licencier un grand nombre de travailleurs du secteur public, mais, en revanche, il désirait augmenter les réglementations gouvernementales en Libye. Jibril citait aussi toujours Singapour comme l’exemple parfait d’un État néolibéral. Alors qu’il était à Singapour, un pays qu’il visitait régulièrement, il est probable qu’il ait rencontré Bernard-Henri Lévy. Lorsque les problèmes ont commencé à Benghazi, Mahmoud Jibiril s’est immédiatement rendu au Caire en Égypte. Il a avisé ses collègues qu’il serait de retour bientôt à Tripoli, mais il n’avait aucune intention d’y retourner. En réalité, il est allé au Caire pour rencontrer les leaders du Conseil national syrien et Lévy. Tous l’attendaient au Caire afin de coordonner les événements en Libye et en Syrie. C’est l’une des raisons pour lesquelles le Conseil national de transition (CNT) a reconnu le Conseil national syrien comme gouvernement légitime de la Syrie. N’ayez pas pitié des morts, ayez pitié des vivants! Mouammar Kadhafi est mort maintenant. Il a été tué dans sa ville natale, Syrte. Il a tenu bon jusqu’à la fin comme il l’avait promis. Le CNT, qui avait juré de le poursuivre en justice, l’a fait assassiner. Kadhafi a même rappelé aux hommes qui l’ont battu, sodomisé, se sont moqués de lui et l’ont finalement assassiné qu’ils ne respectaient pas les lois de l’Islam concernant le traitement respectueux des prisonniers. L’OTAN a pour sa part joué un rôle central et supervisé l’événement du début à la fin. Ali Tarhouni Le meurtre de Kadhafi a été systématique, puisque son fils et plusieurs autres leaders libyens ont ensuite aussi été tués. Le décès de Kadhafi marque une étape historique pour la Libye : la fin d’une époque et le commencement d’un nouveau chapitre. La Libye ne deviendra pas un nouveau paradis comme le dit le CNT. Dans bien des cas, les vivants envieront les morts, à cause d’hommes comme Mahmoud Jibril, Ali Tarhouni, et Sliman Bouchuiguir. Sliman Bouchuiguir Mahmoud Jibril est un simple opportuniste. L’homme ne voyait aucun problème à agir comme représentant du gouvernement sous feu Kadhafi. Il ne s’est jamais plaint à propos des droits humains ou du manque de démocratie. Il était encore premier ministre du CNT quelques jours après le meurtre sauvage du colonel Kadhafi. L’opposition de Jibril au projet de redistribution de richesse du colonel et son attitude élitiste sont parmi les raisons pour lesquelles il a conspiré contre Kadhafi et contribué à la formation du CNT. Cet officiel de l’ancien régime, qui a toujours appuyé ouvertement les dictateurs arabes dans le golfe Persique, est-il vraiment un représentant et un héros du peuple? Qu’en est-il de ses collègues du CNT qui ont négocié des contrats pétroliers avec les États membres de l’OTAN, avant même de détenir de soi-disant postes gouvernementaux au sein du CNT? Article original : Who Was Muammar Qaddafi? Libya's Wealth Redistribution Project, paru le 27 octobre 2011 Traduction : Julie Lévesque pour Mondialisation.ca Source Mondialisation Notes [1] Henri Pierre Habib, Politics and Government of Revolutionary Libya (Montmagny, Québec: Le Cercle de Livre de France Ltée, 1975), p.1. [2] Regional African Satellite Communication Organization, “Launch of the Pan African Satellite,” July 26, 2010: : : : : : : : : : RASCOM | AFRICA'S RESPONSE : : : : : : : : : [3] Christopher M. Blanchard and James Zanotti, “Libya Christopher M. Blanchard and James Zanotti, “Libya: Background and U.S. Relations,” Congressional Research Service, February 18, 2011, p.22. [4] Private discussions with Mahmoud Jiribil’s co-workers inside and outside of Libya. [5] Internal private documents from the National Economic Development Board of the Libyan Arab Jamahiriya. 42 ANS PASSES UNIQUEMENT A PROJETER DES PROJETS !!!!!!. Pour les réaliser, le peuple libyen devrait attendre des siécles et des siécles. Citer Link to post Share on other sites
Ladoz 11 Posted October 31, 2011 Partager Posted October 31, 2011 42 ANS PASSES UNIQUEMENT A PROJETER DES PROJETS !!!!!!. Pour les réaliser, le peuple libyen devrait attendre des siécles et des siécles. Il a évité à son peuple de mourir de soif avec le grand lac artificiel . C'est déjà ça ! Citer Link to post Share on other sites
dihya.roufi 10 Posted October 31, 2011 Partager Posted October 31, 2011 "cris et chuchotements "...... systeme monètariste et suprématie d'une gouvérnance 'impériale' avancent ,s'installent ,se consolident.....on se le chuchote dans les think-tanks suivis de la ' fabrique du consentement' à coup de mensonges des medias vendus.... les cadavres s'accumulent ,certains sont exposés ,d'autres jetés à la mer et d'autres sont lynchés...les cris s'avérent inutils ,ceux des bombardès,mutilès,affamés.......de tous les bords.... ....seul ,compte un système et une suprèmatie financiére qui se veut et qui exige d'être la seule force dominante ..... pour 'eux' ,la domination d'un sysème financier est seule garante de la mise en résérves des richesses naturelles au-delà des frontières ....qui s'effaceront d'elles-mêmes avec le temps ,à coup de transactions 'gagnantes'.... Citer Link to post Share on other sites
djallalnamri 10 Posted October 31, 2011 Author Partager Posted October 31, 2011 "cris et chuchotements "...... systeme monètariste et suprématie d'une gouvérnance 'impériale' avancent ,s'installent ,se consolident.....on se le chuchote dans les think-tanks suivis de la ' fabrique du consentement' à coup de mensonges des medias vendus.... les cadavres s'accumulent ,certains sont exposés ,d'autres jetés à la mer et d'autres sont lynchés...les cris s'avérent inutils ,ceux des bombardès,mutilès,affamés.......de tous les bords.... ....seul ,compte un système et une suprèmatie financiére qui se veut et qui exige d'être la seule force dominante ..... pour 'eux' ,la domination d'un sysème financier est seule garante de la mise en résérves des richesses naturelles au-delà des frontières ....qui s'effaceront d'elles-mêmes avec le temps ,à coup de transactions 'gagnantes'.... en fait jaz a posté une vidéo sur le topic des révolutions arabes etc,etc, du sheikh imrane hossein ... il consacre un chapitre au dollar et à sa manipulation ... c'est très impressionnant ... si cela devait arriver ça serait une catastrophe mondiale ... l'autre jour je regardais une vidéo sur la fin du pétrole ... selon l'auteur le pic de production aurait été atteint dans le milieu des années 80 ... lui aussi parle d'acheter de l'or en prévision de cette "catastrophe mondiale" mais aussi des semences de légumes ... et de ne pas s'éloigner de ses proches de ses connaissances et de sa ville ... Citer Link to post Share on other sites
tewfikhouari 10 Posted October 31, 2011 Partager Posted October 31, 2011 42 ANS PASSES UNIQUEMENT A PROJETER DES PROJETS !!!!!!. Pour les réaliser, le peuple libyen devrait attendre des siécles et des siécles. 42 ans passés uniquement a humilier son peuple oui.... Citer Link to post Share on other sites
Mousquetaire 10 Posted October 31, 2011 Partager Posted October 31, 2011 Toi le mythomanne du forum arrêtes tes manipulations et mensonges a la sioniste !!!!!!!!C'est faux ce que tu dis !!!! Nouvelle d'aujourd'hui. Les moudjahidine ont fait explosé le champ petrolier du port al sidra plusieurs morts et blesses (‘zangatna).source. Citer Link to post Share on other sites
tewfikhouari 10 Posted October 31, 2011 Partager Posted October 31, 2011 Toi le mythomanne du forum arrêtes tes manipulations et mensonges a la sioniste !!!!!!!!C'est faux ce que tu dis !!!! Nouvelle d'aujourd'hui. Les moudjahidine ont fait explosé le champ petrolier du port al sidra plusieurs morts et blesses (‘zangatna).source. Zengatna!!! bravo!! source des harkas comploteurs, avec Algeria ISP:mdr::mdr: Citer Link to post Share on other sites
Mousquetaire 10 Posted October 31, 2011 Partager Posted October 31, 2011 Moi je ne repete pas ce que disent les merdias… Ca fait 50 ans que les merdias occidentaux accusent l' Algerie de tout et certains s' empressent de les croire. Comme on a diabolise Ghadafi, on diabolise les ALgeriens pour mieux les attaquer. Les merdias ont leurs raisons…Moi je sais a peu pres qui est corrompu et qui ne l' est pas, comme tous ceux qui vivent en ALgerie. Mais on sait aussi que nombreux sont ceux qui cassent l' Algerie sur les forums et je n' en serais pas. Et ceux qui le font ne sont pas Algeriens… ou sont des separistes a ideologie mortifere. Citer Link to post Share on other sites
dihya.roufi 10 Posted November 1, 2011 Partager Posted November 1, 2011 en fait jaz a posté une vidéo sur le topic des révolutions arabes etc,etc, du sheikh imrane hossein ... il consacre un chapitre au dollar et à sa manipulation ... c'est très impressionnant ... si cela devait arriver ça serait une catastrophe mondiale ... l'autre jour je regardais une vidéo sur la fin du pétrole ... selon l'auteur le pic de production aurait été atteint dans le milieu des années 80 ... lui aussi parle d'acheter de l'or en prévision de cette "catastrophe mondiale" mais aussi des semences de légumes ... et de ne pas s'éloigner de ses proches de ses connaissances et de sa ville ... faire coincider des evenements et des prèvisions politiques avec des sourates coraniques ,des hadiths et egalement des textes bibliques est devenu de plus en plus frequent. les evenements sont en cascade et devant l'incomprehension ,on cherche une logique.... un ordre nouveau est entrain de se mettre en place.il n'a rien de bon.il suit une certaine feuille de route.... cette etape est celle du désordre suivi de l'insècuritè qui seront tres grands (voulu ,entretenu par creation de foyers de tension dans differents pays) le but etant de faire voter des lois liberticides, à la longue qui se transformeront en lois repressives (surveillance du citoyen sous pretexte de l'insecuritè..) ....à la suite de cette etape ,un nouveau systeme monetaire verra le jour..... ceux qui ne l'accepteront pas,à ce moment là , seront facilement repèrables... ....dans les textes bibliques ,on parle de : les humains seront marqués d'un signe sans lequel ils ne pouront ni acheter ni vendre....il s'agit probablement de la micro -puce qui remplacera la carte bancaire......c'est un long sujet.... ....essayes de taper sur ton clavier le chiffre 666..........!!!:crazy: Citer Link to post Share on other sites
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