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Début de l'insurrection en Algérie 1 Novembre 1954


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BONNE FETE

WA ALLAH YARHAM ACHOUHADA

 

DATE OU LE SOULÈVEMENT DES ALGÉRIENS POUR SE LIBÉRER DU COLONISATEUR

QUI ÉTAIT LA FRANCE

 

Début de l'insurrection en Algérie

 

Evénement suivant >

1954

1 novembre Les indépendantistes algériens emmenés par le tout jeune parti indépendantiste le FLN (Front de Libération National), décident d'entamer la lutte armée contre l'occupant français. Une dizaine d'attentats sont perpétrés partout en Algérie. En France, l'événement à peu de retentissement, pourtant c'est le début d'une guerre de décolonisation qui durera huit années.

Voir aussi : Dossier histoire fête nationale - Dossier histoire de l' Empire colonial français - Insurrection - Histoire du FLN - Histoire de la Guerre d'Algérie - Histoire de l'Algérie - Le 1 Novembre - Année 1954

 

 

 

 

 

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Le 1er novembre 1954-2011 : Pour que nul n’oublie

 

Grâce au Premier Novembre et aux valeurs qu’il véhicule, le pays entre dans l’histoire par la grande porte, et participe activement aux grands débats et aux grandes pulsations qui agitent tout le vingtième siècle et le début du milléna

 

Novembre, un acte fondateur et fédérateur

La Révolution algérienne, déclenchée le 1er Novembre 1954, s’achève en 1962 par un triomphe retentissant : l’indépendance nationale, confisquée par la France coloniale durant plus de 130 ans. Par la justesse de la cause qu’elle prend en charge, celle de la liberté et de la dignité, elle impulse le large courant universel et émancipateur des peuples sous domination, et singulièrement en Afrique où les mouvements de libération reçoivent son aide et son soutien pendant et après son déroulement.

Parce qu'il a permis à l'Algérie d'émerger en tant que nation libre et souveraine en projetant de construire une société solidaire, moderne et tolérante, l'acte du Premier Novembre a été, est et demeure un acte fondateur et fédérateur, une référence majeure de notre histoire et de l’histoire universelle. Oui, un acte qui exprime la forte volonté du peuple algérien de renouer avec l’esprit de la résistance en unissant l’ensemble de ses forces patriotiques et nationalistes. En effet, depuis le 1er Novembre 1954, la nation algérienne s’affirme par les armes après avoir été longtemps bernée par les promesses, les mensonges et l’arbitraire du régime colonial. Dans la douleur, le sacrifice, la bravoure et l’abnégation de ses enfants, dans son identité et son histoire plusieurs fois millénaire, elle a su comment puiser d’elle-même l’énergie et la force qui vont l’aider à surmonter la grande épreuve imposée par un ennemi vorace, bestial, inhumain, qui ne connaît que la haine et cultive des valeurs négatives, humiliantes, à contre-courant du progrès humain.

Grâce au Premier Novembre et aux valeurs qu’il véhicule, le pays entre dans l’histoire par la grande porte, et participe activement aux grands débats et aux grandes pulsations qui agitent tout le vingtième siècle et le début du millénaire. En effet, il n’est pas exagéré de soutenir que les deux idées-forces qui font avancer l’histoire depuis au moins un siècle sont la révolution et la démocratie. L’une comme l’autre est au menu de l’Algérie contemporaine qui a brillamment réussi la première, après avoir été longtemps tenue en marge, et tente d’ancrer la seconde dans les esprits et dans le quotidien. Au prix, il est vrai, à chaque fois d’expériences douloureuses.

Ce n’est pas la moindre des leçons à retenir de ce passé récent et qui néanmoins est toujours en œuvre, que d’affirmer que la reconstruction du pays et sa modernisation ne peuvent se faire qu’avec l’ensemble de ses enfants, de ses forces, sans exclusivisme ni exclusivité. De même que les avancées sur le chemin de la démocratie peuvent et doivent se faire de manière pacifique en écartant les égoïsmes nés de l’exercice monopolistique du pouvoir et de l’accaparement des valeurs symboliques du patriotisme ou du nationalisme.

Si la Révolution algérienne a affronté des défis gigantesques et fini par les relever un à un, malgré les guerres mémorielles qu’on lui impose, les mythologies anciennes ou nouvelles avec lesquelles on l’affuble pour mieux la pervertir, ou les polémiques, ici et ailleurs, qu’on suscite pour réduire sa portée libératrice, sans oublier les appels indécents à l’oubli et à l’occultation, c’est qu’elle a réellement atteint un immense degré de maturité et que son statut relève désormais, sans verser dans une quelconque démarche dogmatique, de l’exemplarité.

Son impact sur la société ne s’est guère limité à la reconquête de la souveraineté usurpée, mais il se prolonge encore aujourd’hui dans le brûlant débat sur les réformes nécessaires à promouvoir la démocratie, la justice et la dignité et la meilleure manière d’aller résolument vers une société créative, fière de sa jeunesse et de son dynamisme, faite de partage, soucieuse d’un mieux-être général et du bien vivre ensemble, capable de prendre en charge ses besoins, et dans laquelle le citoyen peut devenir acteur de son présent et de son avenir.

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BONNE FETE

WA ALLAH YARHAM ACHOUHADA

 

DATE OU LE SOULÈVEMENT DES ALGÉRIENS POUR SE LIBÉRER DU COLONISATEUR

QUI ÉTAIT LA FRANCE

 

Début de l'insurrection en Algérie

 

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1 novembre Les indépendantistes algériens emmenés par le tout jeune parti indépendantiste le FLN (Front de Libération National), décident d'entamer la lutte armée contre l'occupant français. Une dizaine d'attentats sont perpétrés partout en Algérie. En France, l'événement à peu de retentissement, pourtant c'est le début d'une guerre de décolonisation qui durera huit années.

Voir aussi : Dossier histoire fête nationale - Dossier histoire de l' Empire colonial français - Insurrection - Histoire du FLN - Histoire de la Guerre d'Algérie - Histoire de l'Algérie - Le 1 Novembre - Année 1954

 

Amine,

Allah yerham echouhada.

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Gloire à nos chouhadas et moujahidines qui ont dit non au colonialisme ignoble!

 

Que DIEU les bénisse

Salam TIGZIRT

oui gloire a nos chouhada

 

et que la paix entre Algériens s'installe et réunisse

afin que la solidarité la fraternité gagne de plus en pluis pour mieux et plus construire notre societé

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salam PMAT

 

et que la paix entre Algériens s'installe et réunisse

afin que la solidarité la fraternité gagne de plus en pluis pour mieux et plus construire notre societé

inchallah.....et surtout que notre peuple sois uni et ne tombe pas dans le piège des croisés.......
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actualite1[19141].jpgVous êtes ici : Accueil >L'événement >Détailmardi 01 novembre 2011 13:49:071er novembre 1954-2011 : Pour que nul n’oublie

Grâce au Premier Novembre et aux valeurs qu’il véhicule, le pays entre dans l’histoire par la grande porte, et participe activement aux grands débats et aux grandes pulsations qui agitent tout le vingtième siècle et le début du milléna

 

Novembre, un acte fondateur et fédérateur

 

La Révolution algérienne, déclenchée le 1er Novembre 1954, s’achève en 1962 par un triomphe retentissant : l’indépendance nationale, confisquée par la France coloniale durant plus de 130 ans. Par la justesse de la cause qu’elle prend en charge, celle de la liberté et de la dignité, elle impulse le large courant universel et émancipateur des peuples sous domination, et singulièrement en Afrique où les mouvements de libération reçoivent son aide et son soutien pendant et après son déroulement.

Parce qu'il a permis à l'Algérie d'émerger en tant que nation libre et souveraine en projetant de construire une société solidaire, moderne et tolérante, l'acte du Premier Novembre a été, est et demeure un acte fondateur et fédérateur, une référence majeure de notre histoire et de l’histoire universelle. Oui, un acte qui exprime la forte volonté du peuple algérien de renouer avec l’esprit de la résistance en unissant l’ensemble de ses forces patriotiques et nationalistes. En effet, depuis le 1er Novembre 1954, la nation algérienne s’affirme par les armes après avoir été longtemps bernée par les promesses, les mensonges et l’arbitraire du régime colonial. Dans la douleur, le sacrifice, la bravoure et l’abnégation de ses enfants, dans son identité et son histoire plusieurs fois millénaire, elle a su comment puiser d’elle-même l’énergie et la force qui vont l’aider à surmonter la grande épreuve imposée par un ennemi vorace, bestial, inhumain, qui ne connaît que la haine et cultive des valeurs négatives, humiliantes, à contre-courant du progrès humain.

Grâce au Premier Novembre et aux valeurs qu’il véhicule, le pays entre dans l’histoire par la grande porte, et participe activement aux grands débats et aux grandes pulsations qui agitent tout le vingtième siècle et le début du millénaire. En effet, il n’est pas exagéré de soutenir que les deux idées-forces qui font avancer l’histoire depuis au moins un siècle sont la révolution et la démocratie. L’une comme l’autre est au menu de l’Algérie contemporaine qui a brillamment réussi la première, après avoir été longtemps tenue en marge, et tente d’ancrer la seconde dans les esprits et dans le quotidien. Au prix, il est vrai, à chaque fois d’expériences douloureuses.

Ce n’est pas la moindre des leçons à retenir de ce passé récent et qui néanmoins est toujours en œuvre, que d’affirmer que la reconstruction du pays et sa modernisation ne peuvent se faire qu’avec l’ensemble de ses enfants, de ses forces, sans exclusivisme ni exclusivité. De même que les avancées sur le chemin de la démocratie peuvent et doivent se faire de manière pacifique en écartant les égoïsmes nés de l’exercice monopolistique du pouvoir et de l’accaparement des valeurs symboliques du patriotisme ou du nationalisme.

Si la Révolution algérienne a affronté des défis gigantesques et fini par les relever un à un, malgré les guerres mémorielles qu’on lui impose, les mythologies anciennes ou nouvelles avec lesquelles on l’affuble pour mieux la pervertir, ou les polémiques, ici et ailleurs, qu’on suscite pour réduire sa portée libératrice, sans oublier les appels indécents à l’oubli et à l’occultation, c’est qu’elle a réellement atteint un immense degré de maturité et que son statut relève désormais, sans verser dans une quelconque démarche dogmatique, de l’exemplarité.

Son impact sur la société ne s’est guère limité à la reconquête de la souveraineté usurpée, mais il se prolonge encore aujourd’hui dans le brûlant débat sur les réformes nécessaires à promouvoir la démocratie, la justice et la dignité et la meilleure manière d’aller résolument vers une société créative, fière de sa jeunesse et de son dynamisme, faite de partage, soucieuse d’un mieux-être général et du bien vivre ensemble, capable de prendre en charge ses besoins, et dans laquelle le citoyen peut devenir acteur de son présent et de son avenir.

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Retour aux sources de Novembre

A l’initiative de l’organisation des moudjahidine de la wilaya d’Alger, le Club des moudjahidine, sis au square Port-Saïd d’Alger, a abrité samedi après-midi une intéressante conférence sur le Mouvement national et les préparatifs du déclenchement du 1er Novembre 1954

 

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A l’initiative de l’organisation des moudjahidine de la wilaya d’Alger, le Club des moudjahidine, sis au square Port-Saïd d’Alger, a abrité samedi après-midi une intéressante conférence sur le Mouvement national et les préparatifs du déclenchement du 1er Novembre 1954, animée par le moudjahid Mustapha Zergaoui, secrétaire de la wilaya des moudjahidine d’Alger, en présence de nombre de personnalités nationales, et de moudjahidine et moudjahidate.

Mise sur pied dans le cadre de la célébration du 57e anniversaire du déclenchement de la Révolution de Novembre, la rencontre a permis au responsable ONM de revenir aux sources de la glorieuse Révolution de Novembre et au rôle décisif joué par le peuple algérien pour sa libération du joug colonial et son autodétermination. Après un bref rappel des faits et événements qui ont jalonné l’histoire du pays, le moudjahid a mis l’accent sur le long et éprouvant parcours de lutte accompli par les nombreux militants nationalistes pour informer, expliquer, sensibiliser le peuple algérien sur les souffrances et les privations qu’il a endurées depuis plus d’un siècle, et la nécessité avérée de prendre les armes, afin d’arracher ses droits à la liberté et à l’indépendance. Dans ce contexte, il a souligné le long combat mené par les partis politiques de l’époque, en faveur de l’indépendance nationale, sans oublier les diverses formes de répression coloniales subies par les fervents militants nationalistes, notamment le leader du PPA Messali El Hadj. M. Zergaoui devait ensuite préciser que les massacres du 8 Mai 1945, perpétrés par les forces coloniales à Sétif, Guelma et Kherrata, ont été déterminants dans la prise de conscience des Algériens du fait colonial, et également dans le choix des armes comme moyen de lutte pour la libération du pays. En dépit de la crise grave qui a éclaté au sein du PPA, entre les membres du comité central du parti et les partisans de Messali El Hadj, a ajouté le moudjahid, les militants du partis ont entamé les préparatifs de la lutte armée en commençant d’abord par la recherche des hommes sérieux et aptes au combat, la collecte des armes, la recherche des caches et abris et autres nécessités de la lutte. Dans ces conditions particulières, Mohamed Belouizdad, Mohamed Boudiaf et nombre de militants du PPA créent l’Organisation spéciale (OS) en 1947. Après trois ans d’activité et de lutte clandestine contre l’occupant colonial, l’organisation est découverte par l’ennemi en 1950 et ses principaux chefs arrêtés et condamnés à de lourdes peines de détention. Mais le glas a sonné pour le colonialisme en Algérie, car les militants nationalistes qui ont échappé aux griffes de l’armée coloniale ont repris le flambeau, en procédant à la réorganisation sérieuse de leurs rangs pour continuer la lutte de libération, comme c’est le cas de la constitution du Groupe des 22, la réunion des 6 chefs historiques. Et le 1er Novembre 1954 fut !

Mourad A.

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Conseil national des anciens condamnés à mort 1954-1962 : «L’Algérie vit dans le prolongement de la Révolution de Novembre 1954»

 

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Dans une motion parvenue à notre rédaction, le Conseil national de l’Association nationale des anciens condamnés à mort 1954-1962, qui s’est réuni en session extraordinaire le 13 février dernier, au centre de la mutuelle des matériaux de construction à Zeralda, salue la victoire des révoltes populaires en Tunisie et en Egypte mais il considère toutefois que la situation vécue par ces deux pays, n’a aucune similitude avec l’Algérie qui vit dans le prolongement de sa glorieuse Révolution de Novembre 1954.

Il se déclare solidaire avec notre jeunesse qui exprime des revendications légitimes non sans l’exhorter à faire preuve de vigilance pour éviter de verser dans la manipulation, la caporalisation de son mouvement par des politiciens en déficit de base populaire.

Il soutient les dernières mesures d’ouverture démocratiques prises par le Président de la République qui répondent positivement aux aspirations de l’heure, tout en préconisant de mettre en place des instruments plus efficaces de contrôle de la répartition du revenu national, l’utilisation et la gestion des finances publiques, d’accorder plus de pouvoirs au Conseil national de lutte contre la corruption.

Il interpelle la classe politique, la société civile, l’ensemble des forces vives de la nation pour œuvrer massivement à la consolidation des acquis de la Réconciliation nationale. C’est grâce à ces acquis que l’Algérie a pu s’engager dans un développement économique d’envergure, porteur de tous les espoirs pour un avenir meilleur qui fera de l’Algérie un pays émergent.

Le Conseil national de l’Association nationale des anciens condamnés à mort 1954-1962, recommande à l’opposition d’organiser des débats sereins dans des lieux publics protégés pour qu’elle puisse exprimer ses revendications et contribuer à l’approfondissement des réformes engagées , partant du constat que la violence verbale et physique peut engendrer des dérapages .

Le Conseil national des anciens condamnés à mort rappelle à tous ceux qui ont exercé des responsabilités importantes dans les structures et institutions de l’Etat de ne pas « jeter de l’huile sur le feu » par leurs déclarations et leur présence en tête des marches de ceux qui ont un intérêt et un motif légitime de faire part de leur mécontentement.

Enfin, le Conseil national s’élève énergiquement contre les injustices, les abus d’autorité et de pouvoir que certains responsables font subir aux citoyens, les poussant au désespoir.

Il condamne le piston, le favoritisme, le bakchich qui existent dans notre administration.

Le mécontentement de nos concitoyens qui est légitime et justifié interpelle la conscience de tous les responsables pour revoir leur comportement et changer les méthodes qui ont affecté leur crédibilité auprès des citoyens, est-il affirmé en conclusion de cette motion.

Synthèse de M. B.

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A l’occasion de l’anniversaire du déclenchement de la glorieuse révolution du 1er Novembre 1954, l’Organisation nationale des moudjahidine organise une conférence à cette occasion aujourd’hui, à 14 h, au Nadi El Moudjahid, Square Port-Saïd Alger.

 

Publié dans : Novembre 1954

 

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