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SARKOZY EST DANS LA MERDE :Référendum en Grèce, panique en Europe


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BONJOUR

OUI SARKOZY A CRUT QU'ON POUVAIT SE FOUTRE DE LA GUEULE DES PEUPLES

 

Référendum en Grèce, panique en Europe

Au fil de la journéeParis, Londres, Francfort ou Madrid dégringolent, emportés par les valeurs bancaires. Sarkozy demande aux Grecs de «consentir aux efforts nécessaires».

 

Économie Aujourd'hui à 11h13 (Mis à jour à 12:54)

Référendum en Grèce, panique en Europe

Au fil de la journéeParis, Londres, Francfort ou Madrid dégringolent, emportés par les valeurs bancaires. Sarkozy demande aux Grecs de «consentir aux efforts nécessaires».

1576 commentaires

Par Liberation.fr

 

 

Le cours du Dax lundi à la bourse de Francfort. (REUTERS)

 

L’essentiel

 

Lunsi soir, le Premier ministre grec Georges Papandréou a annoncé la tenue d'un référendum concernant le plan d'austérité imposé à son pays. Quel objectif poursuit-il ? Lire le bilet de notre journaliste à Bruxelles Jean Quatremer sur son blog «Coulisses de Bruxelles».

 

Cette annonce a eu l'effet d'une petite bombe, puisqu'en cas de «non», elle remet en cause l'application du plan européen négocié la semaine dernière. Et pourrait entraîner le départ de la Grèce de la zone euro. Une perspective très vite assimilée par les places boursières, qui ont ouvert à la baisse.

 

 

 

Urgence à Paris et à Berlin

Le président Nicolas Sarkozy a organisé à 17 heures à l’Elysée une réunion interministérielle. Pour cette réunion, le chef de l’Etat a convié le Premier ministre François Fillon, le ministre de l’Economie, François Baroin, le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, la ministre du Budget Valérie Pécresse, le ministre des Affaires européennes Jean Leonetti et le gouverneur de la Banque de France Christian Noyer. A la sortie, le Président a avoué que «cette initiative avait surpris toute l’Europe».. «Donner la parole au peuple est toujours légitime, mais la solidarité de tous les pays de la zone euro ne saurait s’exercer sans que chacun consente aux efforts nécessaires», a poursuivi Sarkozy.

 

«C’est pourquoi la France et l’Allemagne ont pris l’initiative de réunir demain (mercredi), avant l’ouverture du sommet du G20, l’ensemble des institutions européennes ainsi que le Fonds monétaire international pour examiner avec le Premier ministre grec les conditions dans lesquelles les engagements pris seront tenus», a-t-il conclu. > Plus de détails

 

Plus tôt dans l'après-midi, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel se sont déclarés mardi «déterminés» à faire appliquer le plan de sauvetage de la Grèce.

 

Dans un entretien téléphonique, le président français et la chancelière allemande ont également souhaité l’adoption «rapidement» d’une «feuille de route» pour assurer l’application de ce plan. Ils sont également convenus de se retrouver mercredi après-midi à Cannes, d’abord avec le FMI et l’UE, puis avec les autorités grecques, à la veille du sommet du G20.

 

La chancelière va avancer de quelques heures son déplacement vers la ville du sud-est de la France où se tient jeudi et vendredi une réunion du G20. Georges Papandréou avance également sa venue. > Plus de détails

 

 

 

Panique sur les Bourses

Une journaliste fait dans métaphore Halloween, à la bourse de Madrid, mardi, pour expliquer la situation.

 

La Bourse de New York a ouvert en forte baisse mardi, plombée par l’annonce du référendum : le Dow Jones lâchait 2,20% et le Nasdaq 2,55%.

Wall Street avait terminé en repli lundi, au terme d’une séance de consolidation après la forte progression des deux semaines précédentes. Le Dow Jones avait cédé 2,26%, le Nasdaq 1,93% et le S&P 500 2,47%. «Le spectre de la crise de la dette en zone euro a recommencé à hanter les marchés», ont résumé les analystes de Barclays Capital. > Lire plus de détails

 

Les Bourses européennes ont toutes fini en baisse, perdant entre 3 et 6 %. Les valeurs bancaires ont le plus souffert. La Bourse de Paris a perdu 5,38%. > Lire plus de détails

 

La Banque centrale européenne (BCE) achète de la dette italienne par crainte d’une contagion de la crise de la dette grecque, ont indiqué mardi des opérateurs de marché.

 

«Aujourd’hui, le marché pense que la Grèce va sortir de l’euro. Et il y a un risque de contagion à la dette italienne et la dette espagnole. C’est la raison pour laquelle la BCE achète de la dette italienne et espagnole», a dit à l’AFP Miguel Ángel Rodríguez, analyste associé chez XTB (broker online). «Il semble qu’il y ait beaucoup de désinvestissement de fonds japonais et la banque européenne achète de la dette italienne et espagnole de façon préventive.» > Lire plus de détails

 

 

La fédération allemande des banques privées (BdB) a estimé mardi que le projet de référendum était «tout sauf un cadeau». «L’intention du gouvernement grec d’organiser un référendum sur les mesures d’aide a augmenté l’inquiétude sur les marchés», selon le BdB, qui craint que d’«importants détails» du plan ne soient «reportés, voire au pire gelés». «Pour la stabilisation de la situation qui est difficile comme avant, cette incertitude qui va probablement perdurer pendant des semaines est tout sauf un cadeau», a encore estimé le BdB.

 

 

 

Inquiétude – ou satisfaction – parmi les politiques

 

François Hollande, candidat socialiste à la présidentielle, et Martine Aubry, première secrétaire du PS, ont estimé mardi dans un communiqué commun que l’annonce grecque «traduit un défaut de gouvernance de la zone euro». «Bien des difficultés actuelles auraient pu être évitées si l’Europe avait fait preuve de solidarité dès le début des attaques spéculatives contre la Grèce», estiment les deux leaders socialistes.

 

Pour eux, «l’Europe a agit trop tard, trop faiblement sur le plan financier, et trop durement sur le plan économique et social». Ils ajoutent que s’ils ont «toujours défendu la nécessité pour la Grèce de redresser ses finances», ils ont «aussi toujours dénoncé la brutalité des mesures engagées».

 

«Si cette décision de Papandréou entraîne de nouveaux désordres sur les marchés financiers, elle devrait surtout décider les dirigeants européens à prendre enfin les décisions d’engager les réformes structurelles, notamment pour réguler le système financier - comme nous n’avons cessé de le proposer depuis des mois-, et pour trouver un juste chemin entre la réduction des déficits et le maintien de la croissance et de l’emploi», concluent-ils.

 

(Source AFP)

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La Grèce risque la faillite en cas de rejet du plan de sauvetage européen, a averti le Premier ministre luxembourgeois Jean-Claude Juncker, président de l’Eurogroupe, dans un entretien à la radio privée RTL.

 

«Cela dépendra de la manière dont la question sera exactement formulée et sur quoi exactement les Grecs vont voter», a-t-il précisé. «Le Premier ministre grec (Georges Papandréou) a pris sa décision sans en informer ses collègues européens», a-t-il affirmé.

 

Pour Arnaud Montebourg, ex-candidat à la primaire PS, il s'agit d'une «décision intelligente et justifiée par le fait qu’on n’a pas le droit d’infliger à des populations entières des souffrances, des appauvrissements (…) décidés par des gouvernements sans leur demander leur avis. C’est (aux Grecs) de choisir s’ils veulent garder l’euro au prix de souffrances considérables ou bien (s’ils veulent) une autre stratégie pour leur pays». Interrogé sur France Info, il a estimé que «beaucoup de dirigeants de droite européens devraient s’inspirer de cette sage décision. Au lieu d’infliger des plans d’austérité à perpétuité, ils auraient avantage à respecter les choix de la population. On ne peut pas accepter que l’Europe s’aligne sur les choix de la droite allemande».

 

L’annonce «crée des incertitudes» sur le marché, a déploré mardi Silvio Berlusconi. «Il n’y a pas de doute que la décision grecque de lancer un référendum sur le plan de sauvetage prévu par l’Union européenne pèse lourdement sur les échanges», a dit le chef du gouvernement italien dans un communiqué. «Il s’agit d’un choix inattendu qui crée des incertitudes après le Conseil européen et à la veille de l’importante rencontre du G20 à Cannes».

 

La décision de la Grèce d’organiser un référendum sur le plan de sauvetage du pays relève d’un «comportement anormal, qui n’est pas loyal» envers ses partenaires européens, a jugé mardi la présidente du Medef, Laurence Parisot sur LCI.

 

«Depuis déjà un certain temps, la Grèce ne jouait pas le jeu. Il faut en tirer les conséquences», a ajouté la présidente de la principale organisation patronale française, après avoir évoqué la sortie de la zone euro de ce pays au coeur de la crise de la dette souveraine européenne.

 

«S’il faut un jour envisager la sortie de la Grèce, définissons les conditions juridiques pour que cette sortie, finalement, ne concerne que la Grèce», a-t-elle déclaré. Elle s’est dit «bien persuadée qu’il n’y aura pas d’éclatement de la zone euro».

 

Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à la présidentielle, a estimé mardi que l’organisation d’un référendum en Grève sur le plan d’aide européen à ce pays était «un minimum de démocratie». «Il y a eu 13 grèves générales en Grèce et chacune a réclamé un référendum, Georges Papandréou savait qu’il ne pourrait pas tenir plus longtemps sans consulter le peuple grec», a déclaré le candidat sur France Info, ajoutant que c’était «un minimum de démocratie». Il a fait valoir que le dernier plan décidé pour aider la Grèce prévoyait «dix années supplémentaires d’austérité». «Aucun peuple au monde ne peut accepter de se voir annoncer un futur pareil», a-t-il dit. «Il y a un grand risque que tout ce château de cartes s’effondre. Les dirigeants européens doivent faire face à la crise, non pas par des artifices financiers, des constructions d’usines à gaz (…) mais y faire face politiquement», a conclu Mélenchon.

 

Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la République et candidat à la présidentielle, a déclaré sur BFMTV: «C’est un sursaut de dignité dans un monde de dirigeants qui méprisent le peuple et sont consternés quand on consulte le peuple (…). Le sommet de Bruxelles (la semaine dernière) a été une catastrophe. Ils ont oublié deux lois fondamentales: la loi de la légitimité démocratique et la loi de l’économie réelle». Georges Papandréou «est revenu dans son pays et, vu que tout le peuple grec était en colère, ne pouvait pas accepter cette austérité inutile, inefficace. Il a eu un réflexe de dignité, une sorte de va-tout, sinon ça finirait dans le sang. Je préfère la démocratie au sang.»

 

La présidente du Front national Marine Le Pen a estimé mardi que le référendum grec sur le plan d’aide à ce pays était «la moindre des choses» et constituait «aussi un moyen de préparer la sortie de l’euro». «Chacun est conscient que l’euro n’est pas viable mais personne ne veut prendre la responsabilité de le dire». «Peut-être attendent-ils que la Grèce, sacrifiée sur l’autel du dogme de cette monnaie, le dise», a-t-elle conclu.

 

 

 

La déclaration qui a tout déclenché

 

Le Premier ministre Papandréou annonce lundi soir à l'Assemblée nationale la tenue d'un référendum (©Reuters)

 

 

Le Premier ministre grec Georges Papandréou a créé la surprise et pris un risque politique lundi soir en annonçant l’organisation d’un référendum sur l’accord européen d’effacement d’une partie de la dette du pays, critiqué en Grèce pour l’abandon de souveraineté qu’il implique.

 

Les Grecs «veulent-ils l’adoption du nouvel accord ou le rejettent-ils? Si les Grecs n’en veulent pas, il ne sera pas adopté», a déclaré le Premier ministre devant le groupe parlementaire du parti socialiste (Pasok) lundi soir en laissant entendre que le référendum était attendu pour le début 2012.

 

«La volonté du peuple grec s’imposera à nous», a-t-il ajouté, tout en indiquant qu’il allait également demander un vote de confiance sur l’accord sur la dette au Parlement, où il dispose d’une majorité qui s’est effritée devant la montée des oppositions aux mesures d’austérité qui accompagnent le soutien financier au pays. Cette décision a d'ailleurs provoqué la défection d'une députée de la majorité socialiste grecque. Elle quitte son groupe parlementaire, ce qui réduit désormais à 152 sièges sur 300 la majorité du gouvernement socialiste. La députée, ex-secrétaire d’Etat au développement a dénoncé l'initiative du Premier ministre, Georges Papandréou, comme une «procédure créant la division» en Grèce, a ajouté la chaîne Net.

 

 

 

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Mais je n'ai pas bien compris le but poursuivi par le premier ministre grec Je crois bien qu'on y est tous dans ce que tu dis :)

 

car on a obliger a la grece d'accepter sa dette

 

et de lui en donner une autre

et comme ca on assure aux banque preteur qui ont eux un decouvert par la grece

 

la premiere dette etat a 25% de rembourssement L'autre est entre 4 et 10 %

 

et c'est toujour trop

 

le peuple grec ne veut pas payer pendant toujour une dette

 

et le premier ministre ne peut qu'etre d'accord avec son peuple si non avec quoi il va payer

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Oui mais comment faire ? Si on leur annule la dette, c'est nous qui allons payer davantage encore

 

D'accord avec toi. En annulant la dette de la Grèce , c'est toute la communauté financière qui écope.

 

Au fait, qui a permis à la Grèce de s'endetter autant?Les banques, les investisseurs, ?

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Oui mais comment faire ? Si on leur annule la dette, c'est nous qui allons payer davantage encore

 

 

ecoute alors ce que dit melanchon

 

c'est preter a taux zero

 

et on recuperera dans le temps

 

en claire il faut donner le temps a une economie pour se refaire et l'aider

 

 

SARKOZY

 

AVAIT DIT IL FAUT QUE LES COMERCANT GREC PAYENT LEURS IMPOTS

 

 

ect....

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Ce sont les grecs eux mêmes qui se sont mis dans la panade en trafiquant leurs comptes publics pour pouvoir emprunter auprès des banques. Alors que maintenant ce sont les contribuables européens qui payent leurs conneries, leur 1er Ministre a le culot de refuser le plan d'aide qui a déjà coûté plus de 150 milliards d'€

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Oui c'est à peu près ça mais par contre , lui, je ne sais pas s'il refuse Il se saborde non ?

 

 

 

Non seulement il saborde son pays mais tous ceux qui ont prêté à la Grèce, c'est à dire les banques c'est à dire les contribuables ... parce que pour revoir cet argent wallou ...

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Guest samirovsky
D'accord avec toi. En annulant la dette de la Grèce , c'est toute la communauté financière qui écope.

 

Au fait, qui a permis à la Grèce de s'endetter autant?Les banques, les investisseurs, ?

 

En tout cas, c'est Mario Draghi le nouveau directeur général de la banque centrale européenne et ancien vice-président pour l'Europe de la banque Goldman & Sachs qui a permis à la Grèce de trafiquer sa comptabilité pour pouvoir rentrer dans la zone Euro. Sans lui, l'effondrement de la Grèce et certainement plus tard de la zone Euro n'aurait pas eu lieu.

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En tout cas, c'est Mario Draghi le nouveau directeur général de la banque centrale européenne et ancien vice-président pour l'Europe de la banque Goldman & Sachs qui a permis à la Grèce de trafiquer sa comptabilité pour pouvoir rentrer dans la zone Euro. Sans lui, l'effondrement de la Grèce et certainement plus tard de la zone Euro n'aurait pas eu lieu.

 

 

 

Aussi oui les autorités de régulation n'ont pas fait leur boulot. Après c'est tout le débat de leur élargissement à la con à 27 qui n'aurait jamais du avoir lieu, refusé par la France et les Pays Bas soit dit en passant

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Quelles seront les conséquences si jamais la Grèce décide de sortir de l’union européenne?

 

 

 

De travailler plus mais pas pour gagner plus ... Leur dette sera effacée et les pauvres cloches d'européens vont devoir rembourser les banques pour des prêts qui n'auront servi à rien

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Quelles seront les conséquences si jamais la Grèce décide de sortir de l’union européenne?

 

un deficit des banques

que les peuples d'europes doivent supporter

 

alors que les etats deurpes veuillent imputer a la populations et pas aux banques

d'ou problemes

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la meilleur solution c est l arret de l emprunt de la part des etas envers les banques commerciales d une part pour eviter des taux d interets catastrophique,et la reouverture de l emprunt envers les banques centrales qui feront tourner la planche a billet a bonne escient pour eviter de produire du surliquiditer afin d eviter l inflation!!

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En tout cas, c'est Mario Draghi le nouveau directeur général de la banque centrale européenne et ancien vice-président pour l'Europe de la banque Goldman & Sachs qui a permis à la Grèce de trafiquer sa comptabilité pour pouvoir rentrer dans la zone Euro. Sans lui, l'effondrement de la Grèce et certainement plus tard de la zone Euro n'aurait pas eu lieu.

 

goldman & sachs ... c'est juif ... je dirai presque sans voir ...

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Si l'Europe tousse c'est l'Algérie et tout le Maghreb qui s'enrhumeront

 

je partage et je connais l'allusion qui est vrais

tout le monde subira

 

tout client du franc ou de l’euro français ou européen subira

 

car la dette sera reparti sur tout

et comme l'afrique du nord est cliente

donc elle subira

 

esperons que les anciens contrats ne subiront pas de changement comme les prêts banquiers

 

bien vu

 

bonsoir monsieur aynazppr

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