Guest mimineVnoir Posted November 1, 2011 Partager Posted November 1, 2011 Salam 3alaykoum Vous pouvez juste me rappeller les pays qui ont accepté les résolution de l'ONU prévoyant l'intervention de l'Otan en Libye comme le Quatar ou qui ont accepter lors de la réunion à l'Elisée comme le maroc ? Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted November 1, 2011 Partager Posted November 1, 2011 Canada, Danemark, Espagne, Emirats arabes unis, USA, France, Grèce, Italie, Jordanie, Norvège, Pays Bas, Qatar, Roumanie, RU, Suède, Turquie et Bulgarie Citer Link to post Share on other sites
helena 10 Posted November 1, 2011 Partager Posted November 1, 2011 la france bien sur le chef de file l Angleterre l Italie la norvege la belgique la turquie la grece espagne le maroc certains pays de l afrique noir le perou la ligue des poltrons ( ligue arabe ) et bien d autre pays et en court de chemin la russie et la chine Citer Link to post Share on other sites
Guest mimineVnoir Posted November 1, 2011 Partager Posted November 1, 2011 Canada, Danemark, Espagne, Emirats arabes unis, USA, France, Grèce, Italie, Jordanie, Norvège, Pays Bas, Qatar, Roumanie, RU, Suède, Turquie et Bulgarie Non je parle des pays arabes, sma7li. Et la Turquie a refusé j'ai verifié. Citer Link to post Share on other sites
helena 10 Posted November 1, 2011 Partager Posted November 1, 2011 pourquoi miminevnoir tu veux les attaquer lol Citer Link to post Share on other sites
helena 10 Posted November 1, 2011 Partager Posted November 1, 2011 Non je parle des pays arabes, sma7li. Et la Turquie a refusé j'ai verifié. alors tu as tout les emirats unis l arabie saoudite jordanie maroc Citer Link to post Share on other sites
PAX 10 Posted November 1, 2011 Partager Posted November 1, 2011 La résolution est présentée par la France, le Liban, et le Royaume-Uni, sous le chapitre VII de la Charte des Nations unies. Les négociations préalables ont suscité d'abord l'opposition de la Russie et de la Chine qui s'abstiennent finalement lors du vote3. Elle est votée par l'Afrique du Sud, la Bosnie-Herzégovine, la Colombie, les États-Unis, la France, le Gabon, le Liban, le Nigeria, le Portugal, et le Royaume-Uni ; cinq membres s'abstiennent : l'Allemagne, le Brésil, la Chine, l'Inde, et la Russie ; aucun ne s'y oppose Citer Link to post Share on other sites
aynazppr75 29 Posted November 1, 2011 Partager Posted November 1, 2011 Non je parle des pays arabes, sma7li. Et la Turquie a refusé j'ai verifié. Bah les EAU, Qatar, Soudan, Jordanie, Tunisie, Egypte et par la suite la Ligue arabe Citer Link to post Share on other sites
PAX 10 Posted November 1, 2011 Partager Posted November 1, 2011 En fait c'est le conseil de sécurité qui vote...la Turquie n'en faisait pas partie Le Conseil de sécurité se compose de 15 membres, dont 5 membres membres permanents - Chine, États-Unis, Fédération de Russie, France et Royaume-Uni et 10 membres élus par l'Assemblée générale pour un mandat de deux ans. Afrique du Sud (2012) Allemagne (2012) Bosnie-Herzgovine (2011) Brésil (2011) Colombie (2012) Gabon (2011) Inde (2012) Liban (2011) Nigéria (2011) Portugal (2012) Citer Link to post Share on other sites
PAX 10 Posted November 1, 2011 Partager Posted November 1, 2011 Mais la Turquie en tant que membre de l'OTAN a participé aux opérations Citer Link to post Share on other sites
Guest mimineVnoir Posted November 1, 2011 Partager Posted November 1, 2011 hhhhh tkharbtat el 7alla. Si je comprend bien : Jordanie, Quatar , Maroc, Egypte , EAU, Liban, Tunisie , Soudan ? puis toute la ligue arabe ? sauf l'Algérie et la Syrie c'est ça ? Citer Link to post Share on other sites
TIGZIRT 10 Posted November 1, 2011 Partager Posted November 1, 2011 Question sur la résolution de l'ONUelle prévoyait quoi déja plus cette résolution? la protection des civils, c'est ca? Citer Link to post Share on other sites
helena 10 Posted November 1, 2011 Partager Posted November 1, 2011 hhhhh tkharbtat el 7alla. Si je comprend bien : Jordanie, Quatar , Maroc, Egypte , EAU, Liban, Tunisie , Soudan ? puis toute la ligue arabe ? sauf l'Algérie et la Syrie c'est ça ? oui car les deux ont soutenu la libye d ailleurs la chaine arai est base en syrie elle a servit a kadaffi de faire diffuser ses messages Citer Link to post Share on other sites
helena 10 Posted November 1, 2011 Partager Posted November 1, 2011 elle prévoyait quoi déja plus cette résolution? la protection des civils, c'est ca? oui tig avec 40.000 bombes sur leur tete Citer Link to post Share on other sites
TIGZIRT 10 Posted November 1, 2011 Partager Posted November 1, 2011 la résolution de l'ONU Mouammar Kadhafi condamné à mort par Washington et Paris Obama et Sarkozy ne voulaient pas qu’il s’en sorte vivant.De crainte qu’il ne parle trop lors de son procès devant la Cour pénale internationale. Mercredi, 19 octobre en fin d’après-midi, un colonel du Pentagone téléphone à l’un de ses correspondants au sein du service secret français. Chargé du dossier « Kadhafi », l’une des priorités actuelles des généraux de l’équipe Obama, l’Américain annonce que le chef libyen, suivi à la trace par des drones Predator US, est pris au piège dans un quartier de Syrte et qu’il est désormais impossible de le « manquer ». Puis il ajoute que laisser ce type en vie le transformerait en « véritable bombe atomique ». Son interlocuteur comprend ainsi que la maison Blanche a rendu son verdict, et qu’il faut éviter de fournir à Kadhafi la tribune internationale que représenterait son éventuel procès. Depuis quelques jours d’ailleurs, des commandos des forces spéciales américaines et françaises participaient ensemble à cette chasse au Kadhafi. À Paris, au Centre de planification et de conduite des opérations (CPCO), à la Direction du renseignement militaire (DRM) et au service action de la DGSE, plusieurs officiers évaluaient à une cinquantaine de membres du COS (Commandement des opérations spéciales) les militaires présents à Syrte. Leur mission : porter assistance aux unités du CNT qui investissaient la ville, quartier par quartier, et, selon le jargon maison utilisé par un officier du CPCO, « ´´traiter´´ le guide libyen et les membres de sa famille ». Une formule codée en cours à la DGSE : « livrer le colis à Renard », et agir en sorte que Kadhafi n’échappe pas à ses poursuivants (une unité du CNT baptisé « Renard ?». Hypocrisie internationale. À l’Élysée, on savait depuis la mi-octobre que Kadhafi et l’un de ses fils s’étaient réfugié à Syrte, avec gardes corps et mercenaires. Et Sarko avait chargé le général Benoit Puga, son chef d’état-major particulier, de superviser la chasse à l’ancien dictateur. Ce qu’il a fait en relation avec la « Cuve », le bunker souterrain où des officiers du CPCO sont en contact permanent avec tous les militaires engagés à l’étranger et les services barbouzards. À la DGSE comme à la DRM on ne se gêne pas d’ailleurs pour évoquer l’ «élimination physique »du chef libyen, à la différence des formules bien plus convenables employées par l’Élysée, s’il faut en croire un conseiller du Président. « La peine de mort n’était pas prévue dans les résolutions de l’ONU qui ont permis à l’OTAN d’intervenir, ironise un diplomate français. Mais il ne faut pas jouer les hypocrites. À plusieurs reprises, des avions français et britanniques avaient déjà tenté de liquider Kadhafi en bombardant certains de ses repaires, à Tripoli ou en détruisant notamment un de ses bureaux. » Le 20 octobre à 8h 30 du matin, l’objectif allait être atteint. Trois avions de l’OTAN s’approchent de Syrte. Rien à voir avec une mission de reconnaissance effectuée par hasard : une colonne de 75 véhicules fuit la ville à vive allure. Un drone américain Predator tire des roquettes. Un mirage F1CR français de reconnaissance suit un Mirage 200-D qui large deux bombesGBU-12 de 225 kilos guidées au laser. Bilan : 21 véhicules détruit et Kadhafi seulement blessé. Soupirs de satisfaction. Des forces spéciales françaises sont alors présentes sur les lieux. L’histoire ne dit pas à quelle distance de ce qui va survenir, et que raconte avec abondance de détails un officier des services militaires de renseignements : « Il est capturé vivant par des combattants surexcités. La foule scande ῞Allah Akbarˮà pleine poumons, le menace de ses armes et se met à le tabasser pendant que d’autres combattants qui peinent à prendre le dessus, crient de le maintenir en vie ». On connait la suite, quelques images de ce lynchage suivi d’une exécution par balles sont apparues sur les écrans de télévision et dans la presse écrite. Mais la disparition de Kadhafi n’est pas la fin de l’histoire car, en croire une analyse barbouzarde, « la Libye est entrée dans un no man’s land politique, une zone de turbulences imprévisibles. » Voilà qui devrait inquiéter ceux qui, dans plusieurs capitales occidentales et arabes, ont poussé des soupirs de satisfaction que Kadhafi ne serait jamais la vedette d’un procès international. Claude Angeli. Canard Enchainé Citer Link to post Share on other sites
TIGZIRT 10 Posted November 1, 2011 Partager Posted November 1, 2011 La démocratie directe de la Jamahariya La démocratie directe de la Jamahariya Le pouvoir du peuple pour le peuple..........(comités populaires partout en Libye) Pour ceux que cela intéresse, regardez bien ces deux vidéos diffusées par ARTE, elles sont édifiantes..... Ils font l'éloge de la démocratie directe de la Jamahariya , eh oui, c'est bien Antoine Sfeir, qui la guerre coloniale arrivée retourna sa veste plus vite que le vent ne souffle, pour diaboliser celui dont il vantait auparavant les prouesses.... Alors que de sa propre bouche, il reconnait que Kadhafi avait réellement donné le pouvoir à son peuple! J'ai beaucoup aimé la réponse du guide, lorsqu'il parle des "opposants" Il dit ceci: "Ce ne sont pas mes opposants, Comment le peuple qui a le pouvoir peut-il s'opposer à lui même"? Sfeir reconnaissait lui même que Kadhafi oeuvrait pour son peuple, qu'il oeuvrait pour l'unité du monde arabe....Tout ce qu'il a apporté aux Africains. Il nous explique comment le guide à donner de l'eau 24H/24 à tous les libyens et ce 365 jours par an...Grâce à la fâmeuse rivière artificielle, d'un coût de plus de 3 milliards de dollars... [DM]x8m7ii[/DM] Citer Link to post Share on other sites
PAX 10 Posted November 1, 2011 Partager Posted November 1, 2011 Mimine je ne comprends pas bien ta question... Les résolutions prises par le conseil des sécurité s'imposent à tous les membres ....après c'est de la diplomatie et surtout des tractations en coulisses .... )on va pas parler d'israel mais c'est l'exemple le plus courant de résolutions jamais appliquées...) Il y a surtout les pays qui prennent une position publique destinée à leur électorat (ou population) mais adhérent en coulisses ou négocient des contreparties .... Ce que je veux dire : en diplomatie les déclarations publiques ne sont jamais à prendre pour argent comptant... Citer Link to post Share on other sites
TIGZIRT 10 Posted November 1, 2011 Partager Posted November 1, 2011 Quand les nouveaux maîtres de Tripoli étaient supplétifs du Groupe Islamiste Armé en Algérie Quand les nouveaux maîtres de Tripoli étaient supplétifs du Groupe Islamiste Armé en Algérie « Nous avons remporté la bataille. Ils ont fui comme des rats », se félicitait Abdelhakim Belhaj, le commandant militaire des rebelles à Tripoli, après que ses hommes eurent pris le contrôle du quartier général de Kadhafi. Les hommes de Belhadj avaient de quoi pavoiser. Ils étaient revenus de loin. Moins d’une année plus tôt, ils étaient en prison, et c’est Seifal- Islam Kadhafi qui s’était chargé d’en libérer 300, lesquels avaient fait amende honorable et promis de ne plus appeler au djihad en Libye. Les négociations secrètes avec les références doctrinales du Groupe islamique combattant libyen – Gicl – avaient atteint leur but. Le « deal » était le non recours à la violence contre leur libération. Mais le Gicl a fait beaucoup plus qu’une simple repentance. Ses maîtres à penser, dont Abdelhakim Belhaj, avaient publié une étude intitulé « Mourajaât Al-Jamaâ al-libiya », et dont le contenu tendait à interdire désormais le recours à la violence sacré au nom de l’islam. Paroles, paroles, paroles : un mois après leur libération, ils faisaient libérer l’aile pure et dure des islamistes détenus dans les geôles de Kadhafi, et partaient à l’assaut de Tripoli. Ce sont eux, dans une large mesure, qui ont entraîné Mustafa Abdeljalil, un simple pantin désarticulé entre leurs mains, à alterner accusations et attaques contre Alger.Tout était généré par le Gicl, et Abdeljalil, tout comme Mahmoud Jibril, du reste, ne faisait que répéter. Un passé très présent À partir de 1993, le Gicl se mettait sous les commandes du GIA. Des dizaines de représentants du Groupe armé combattant libyen sont venus combattre au côté du Groupe islamique armé en Algérie, dès 1994, à l’époque de Chérif Gousmi, « Abou Abdellah Ahmed », comme simples supplétifs. Ils étaient installés à l’est, mais aussi à Meftah, Cherarba et Larbaâ, dans le Centre du pays. Beaucoup sont morts dans des accrochages avec les unités opérationnelles de l’ANP. Les rapports de l’époque en font foi. Dans un document intitulé « Mon expérience dans le jihad algérien »-un document d’une portée inestimable, rédigé par le référent doctrinal d’Al-Qaïda, à l’époque, « Abou Mossaâb Es-Souri », il est fait état d’un renfort massif des Libyens au profit du GIA. Une autre délégation du Gicl, mais cette fois-ci composée de chefs, est venue voir Djamel Zitouni et discuter du djihad. La rencontre eut lieu à Chréa, ou à Bougara, sur les contrebas des monts de Blida, selon les sources sécuritaires. Zitouni, devenu chef du GIA, ne portait pas en estime la « légion étrangère ». La rencontre se termina par un clash, et les chefs libyens sont rentrés subrepticement chez eux la queue entre les jambes. On ne sait pas si Abdelhakim Belhadj faisait partie de la délégation des chefs du Gicl, mais il parait invraisemblable que Djamel Zitouni, très imbu de sa personne, put rencontrer un autre chef que le chef principal du Gicl, Abdelhakim Belhaj en l’occurrence. Plus tard, Antar Zouabri va les dénoncer comme non salafistes, « ikhwanistes », et un tant soit peu « hérétiques ». Dans un entretien publié dans l’opuscule « Al-Jamaâ » du GIA, dans le n° 10, daté de septembre 1996, il le dit clairement : une rencontre a eu lieu entre les chefs du Gicl et le chef du GIA, à l’époque, Zitouni. Après un dialogue théologique et hiératique entre les deux groupes, le GIA a constaté que le GICL était plutôt proche de la tendance des Frères Musulmans égyptiens et ses attaches avec le salafisme étaient douteuses. À partir de là, le GIA n’en voulait plus. La guerre est déclarée, et beaucoup de membres du Gicl sont assassinés par les hommes de Zouabri. Certains n’ont eu la vie sauve qu’en se réfugiant chez les groupes affiliés à l’Armée Islamique du Salut (AIS) de Madani Mezrag. En septembre 1996 et septembre 1997, le GIA commet des exactions sur les membres du Gicl. La revue « Al-Ansar », qui paraît à Londres, tente une médiation, puis se démarque elle aussi, du GIA, après les dérives criminelles de Antar Zouabri. Les trois référents doctrinaux du GIA à Londres, « Abou Mossaâb Es-Souri », « Abou Hafs Al-Misri » et « Abou Qatada al-Filistini », se démarquent aussi du GIA, bien que le dernier nommé tentera jusqu’au bout de couvrir les dérives djihadistes de Zouabri. Le 1er octobre 1997, Le Gicl diffuse un communiqué contre le GIA, dans lequel il met en garde contre les dérives djihadistes, les exactions, les crimes et les génocides perpétrés par Antar Zouabri. Le communiqué est signé de la main de « Abou Abdellah Es-Sdaki ». Pour les profanes en la matière, il s’agit de Abdelhakim Belhaj, l’actuel Gouverneur militaire de Tripoli et véritable gourou du CNT et de Mustafa Abdeljalil. Après la création du Groupe (algérien) Salafiste pour la Prédication et le Combat (GSPC), des membres du Gicl sont revenus en Algérie combattre dans les rangs du Groupe salafiste, et les maquis de Tizi Ouzou ont vécu les visites de ces hommes du Gicl, incapables de pointer du nez en Libye, tomber les uns après les autres.Trois d’entre eux ont été interceptés et capturés à Meftah, sur les contrebas des monts de Larbâa. Les capitales européennes méconnaissent les membres du Gicl, mais cet homme, Abdelhakim Belhaj, n’est pas un nouveau-venu : plus connu sous le nom d’ « Abou Abdallah Es-Sdaki », il s’agit d’une des principales figures du djihadisme libyen. En réalité, Belhaj incarne toutes les incertitudes autour de la Libye post-Kadhafi. Né le 1er mai 1966 en Libye, Abdelhakim Belhaj a fait ses armes en Afghanistan contre l’URSS, avant de fonder le Groupe islamique combattant libyen (Gicl). Avec l’accord des talibans, cet organisme ouvre plusieurs camps d’entraînement dans ce pays, dont certains formeront des volontaires liés à Al- Qaïda. Affilié en 2007 à l’organisation de Ben Laden, le Gicl devient une priorité pour la CIA. Belhaj est suivi de près par la CIA, depuis 2002, et c’est elle qui l’arrête en 2003 en Malaisie. Remis aux services secrets libyens en 2004, il est libéré cinq ans plus tard, en janvier 2011, Seif al- Islam Kadhafi ayant décidé d’opérer une réconciliation du régime avec les islamistes. Mais Abdelhakim Belhaj se retourne contre son libérateur en février 2011, en rejoignant avec ses hommes la rébellion, dans un premier temps, puis, en menant lui-même, au profit du Gicl, la guerre contre le clan Kadhafi. Les services de renseignement américains suivent donc avec la plus grande attention l’évolution du Gicl. « Les services secrets américains, européens et arabes reconnaissent que l’influence d’anciens membres de ce groupe les inquiète », confiait, mi-juillet, un cadre des renseignements au quotidien New York Times. « Il est facile de changer de nom et de dire « Nous n’appartenons pas à Al-Qaïda », mais la vraie question est de savoir s’ils ont changé d’idéologie… et j’en doute », avait-il ajouté. Abdelhakim Belhaj affirme, d’ailleurs, depuis la prise de Tripoli, que « mes troupes ne respecteraient que ce qui est en accord avec la Charia ». Source : lavoixdelalibye.com Citer Link to post Share on other sites
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