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El-Oued exporte sa pomme de terre vers la Russie


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ain defla était aussi la wilaya de la patate comme se fut le cas aussi pour Annaba wilaya de la tomate mais comme a leur habitude ils trouveront bien un moyen pour étouffer se petit élan avant oued souf en faisait aussi deux récolte de blé par an a adrar ..

 

Khouya tu n'as pas mal à force de vous flageller?

3,8 millions de tonnes produites en 2011

Pomme de terre : une filière en progression

Par : Badreddine KHRIS

 

 

La profonde restructuration engagée par le ministère dans le secteur de l’agriculture commence à avoir des effets positifs sur les différentes filières. La réhabilitation des offices et la renaissance des conseils interprofessionnels… s’avèrent apparemment la solution tant attendue. La réorganisation adoptée par le département de Rachid Benaïssa montre les signes avant-coureurs d’une future réussite, si l’on se fie aux résultats obtenus en termes de productivité dans divers produits agricoles. Après le satisfecit exprimé par le ministre quant à la disponibilité du lait en sachet à travers le territoire national, le même sentiment a été révélé pour la pomme de terre.

Au cours d’une réunion du Conseil interprofessionnel de la pomme de terre tenue jeudi, Rachid Benaïssa a remercié tous les acteurs intervenant dans la filière pour les efforts consentis. Son geste est motivé par les 3,8 millions de tonnes de tubercule produites durant l’exercice 2011 par les 48 wilayas. Mieux, ce rendement a suscité en lui à la fois soulagement et enthousiasme car, il y a une année, il a signifié à ses collaborateurs qu’une production de 4 millions de tonnes à l’horizon 2014 était réalisable. Ce n’était pas de l’avis des cadres et des professionnels pour qui un tel objectif relève du domaine de l’impossible.

Le chiffre se veut ainsi une réponse aux plus sceptiques. Mieux, les prévisions seront non seulement atteintes, mais seront dépassées également pour avoisiner les 5 millions de tonnes d’ici à cette échéance. La production est, faut-il le souligner, l’œuvre de quatre principales wilayas, en l’occurrence, El-Oued, Aïn Defla, Mascara et Mostaganem qui ont produit 53% de l’offre.

D’autres régions telles que Bouira, Chlef… reviennent, elles aussi, en force. “Il y a une nette amélioration dans la production nationale et cela est observé sur le marché”, déclare le ministre. La progression qu’a connue la filière devrait, affirme-t-il, pousser les opérateurs à maintenir la cadence. “C’est le moment d’accéder à un niveau supérieur”, indique M. Benaïssa qui fait allusion à la modernisation de la filière.

“C’est à vous, au conseil, qu’échoit la mission de trouver des solutions idoines pour développer davantage la filière”, lance-t-il à l’adresse des participants à cette rencontre. Ces derniers ont, néanmoins, anticipé sur les consignes du ministre. Les membres du conseil ont, en effet, programmé une série d’ateliers qui aborderont plusieurs questions indispensables pour le bon fonctionnement de la filière. Et la mécanisation de celle-ci est d’ores et déjà prévue dans le plan de travail du conseil.

Organisation, exploitation, fertilisation, régulation par le biais du Syrpalac, communication… sont entre autres thèmes que traiteront les représentants de toutes les régions en conseil. Ces derniers sont, en outre, appelés à réorganiser la représentativité par segment relevant de la filière, notamment les semenciers, les stockeurs, les producteurs…

Par ailleurs, le premier responsable du département de l’Agriculture a mis l’accent sur le contrôle du commerce de la semence. Car, si au Centre national de contrôle et de certification des semences (CNCC) l’on produit et l’on vend des semences certifiées, il est signalé en parallèle une production informelle qui n’est pas maîtrisée sur le marché. Ce constat établi lors de cette réunion a aussitôt irrité le ministre.

Il a sommé le directeur du CNCC de renforcer le contrôle en s’appuyant sur la méthode interprofessionnelle comme cela se fait, argue-t-il, pour le lait, contrôlé par les professionnels eux-mêmes. Ceux-ci aideront par conséquent les contrôleurs et les inspections engagés par le CNCC.

 

 

B.K

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Guest mounir 19
Khouya tu n'as pas mal à force de vous flageller?

3,8 millions de tonnes produites en 2011

Pomme de terre : une filière en progression

Par : Badreddine KHRIS

 

 

La profonde restructuration engagée par le ministère dans le secteur de l’agriculture commence à avoir des effets positifs sur les différentes filières. La réhabilitation des offices et la renaissance des conseils interprofessionnels… s’avèrent apparemment la solution tant attendue. La réorganisation adoptée par le département de Rachid Benaïssa montre les signes avant-coureurs d’une future réussite, si l’on se fie aux résultats obtenus en termes de productivité dans divers produits agricoles. Après le satisfecit exprimé par le ministre quant à la disponibilité du lait en sachet à travers le territoire national, le même sentiment a été révélé pour la pomme de terre.

Au cours d’une réunion du Conseil interprofessionnel de la pomme de terre tenue jeudi, Rachid Benaïssa a remercié tous les acteurs intervenant dans la filière pour les efforts consentis. Son geste est motivé par les 3,8 millions de tonnes de tubercule produites durant l’exercice 2011 par les 48 wilayas. Mieux, ce rendement a suscité en lui à la fois soulagement et enthousiasme car, il y a une année, il a signifié à ses collaborateurs qu’une production de 4 millions de tonnes à l’horizon 2014 était réalisable. Ce n’était pas de l’avis des cadres et des professionnels pour qui un tel objectif relève du domaine de l’impossible.

Le chiffre se veut ainsi une réponse aux plus sceptiques. Mieux, les prévisions seront non seulement atteintes, mais seront dépassées également pour avoisiner les 5 millions de tonnes d’ici à cette échéance. La production est, faut-il le souligner, l’œuvre de quatre principales wilayas, en l’occurrence, El-Oued, Aïn Defla, Mascara et Mostaganem qui ont produit 53% de l’offre.

D’autres régions telles que Bouira, Chlef… reviennent, elles aussi, en force. “Il y a une nette amélioration dans la production nationale et cela est observé sur le marché”, déclare le ministre. La progression qu’a connue la filière devrait, affirme-t-il, pousser les opérateurs à maintenir la cadence. “C’est le moment d’accéder à un niveau supérieur”, indique M. Benaïssa qui fait allusion à la modernisation de la filière.

“C’est à vous, au conseil, qu’échoit la mission de trouver des solutions idoines pour développer davantage la filière”, lance-t-il à l’adresse des participants à cette rencontre. Ces derniers ont, néanmoins, anticipé sur les consignes du ministre. Les membres du conseil ont, en effet, programmé une série d’ateliers qui aborderont plusieurs questions indispensables pour le bon fonctionnement de la filière. Et la mécanisation de celle-ci est d’ores et déjà prévue dans le plan de travail du conseil.

Organisation, exploitation, fertilisation, régulation par le biais du Syrpalac, communication… sont entre autres thèmes que traiteront les représentants de toutes les régions en conseil. Ces derniers sont, en outre, appelés à réorganiser la représentativité par segment relevant de la filière, notamment les semenciers, les stockeurs, les producteurs…

Par ailleurs, le premier responsable du département de l’Agriculture a mis l’accent sur le contrôle du commerce de la semence. Car, si au Centre national de contrôle et de certification des semences (CNCC) l’on produit et l’on vend des semences certifiées, il est signalé en parallèle une production informelle qui n’est pas maîtrisée sur le marché. Ce constat établi lors de cette réunion a aussitôt irrité le ministre.

Il a sommé le directeur du CNCC de renforcer le contrôle en s’appuyant sur la méthode interprofessionnelle comme cela se fait, argue-t-il, pour le lait, contrôlé par les professionnels eux-mêmes. Ceux-ci aideront par conséquent les contrôleurs et les inspections engagés par le CNCC.

 

 

B.K

 

..................ce n'est pas le cas tu les sous estime on en reparlera quand il on auront fini avec eux ...:mdr:

puis a quoi bon exporté alors que sur le marché elle est toujours aussi cher bien plus cher que quand il y avait des quantité moindre !

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..................ce n'est pas le cas tu les sous estime on en reparlera quand il on auront fini avec eux ...:mdr:

puis a quoi bon exporté alors que sur le marché elle est toujours aussi cher bien plus cher que quand il y avait des quantité moindre !

 

Je suis contre l'exportation.

Je loue le succès des agriculteurs d'El Oued.

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Guest mounir 19
Je suis contre l'exportation.

Je loue le succès des agriculteurs d'El Oued.

 

.........

 

quel succès yarham babak :confused:

la culture de la patate est l'une des plus facile alors que 'ain defla combler les besoin du marcher ils on su la détrôner puis le sud a commencé a faire deux récolte par an maintenant walou on en parle plus et on sais qui est derrière la filière du blé ! alors qu'Annaba produisait suffisamment de tomate en plus de qualité certain mal saint l'importé d’Italie au point ou les usines de conditionnement on du fermer !! et les agriculture on changer d’orientation le seul exploit qu'il peut y avoir c'est de pouvoir s'imposer face a ses politico monstre les algérien on toujours était des agriculteur et la terre ils connaissent les cadre affilier a l'agronomie y en a des milliers ...

y a aussi skikda wilaya des fraise biskra wilaya des dattes blida et l'orange kabylie et huile d'olive ....

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quel succès yarham babak :confused:

la culture de la patate est l'une des plus facile alors que 'ain defla combler les besoin du marcher ils on su la détrôner puis le sud a commencé a faire deux récolte par an maintenant walou on en parle plus et on sais qui est derrière la filière du blé ! alors qu'Annaba produisait suffisamment de tomate en plus de qualité certain mal saint l'importé d’Italie au point ou les usines de conditionnement on du fermer !! et les agriculture on changer d’orientation le seul exploit qu'il peut y avoir c'est de pouvoir s'imposer face a ses politico monstre les algérien on toujours était des agriculteur et la terre ils connaissent les cadre affilier a l'agronomie y en a des milliers ...

y a aussi skikda wilaya des fraise biskra wilaya des dattes blida et l'orange kabylie et huile d'olive ....

 

Lella khouya:

- il faut des pommes de terre de qualité à planter,

- il faut des machines: planteuses, arracheuses,

- il faut de l'eau,

- il faut el khbar.

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Guest mounir 19
Lella khouya:

- il faut des pommes de terre de qualité à planter,

 

y en a toujours eu et c'est l'affaire des cadre agronome ...

 

 

- il faut des machines: planteuses, arracheuses,

 

y en a mais pas forcément utilisé la main d’œuvre locale permet d'endigué un temps soi peu le chaumage ...

 

- il faut de l'eau,

 

y en a aussi c'est la gestion de cette ressource qui n'existe pas ...

 

- il faut el khbar.

 

oui on va les envoyer chez la NASA pour un stage intensif t un vrai casse tête :D

 

 

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Guest mounir 19
Sujet important qu'on ne peut traiter en plaisantant...

 

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je ne plaisante pas j'ai même assister a la récolte de cette dernière s’était a cherchelle la variété de la patate se nommé désiré tu doit surement connaitre :D

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je ne plaisante pas j'ai même assister a la récolte de cette dernière s’était a cherchelle la variété de la patate se nommé désiré tu doit surement connaitre :D

 

Bon, eh bien si vous avez assisté à une récolte vous devez avoir des choses à nous dire.

- comment a été réalisée cette récolte? à la main?

- où allaient les pomme de terre? vente directe?

Variété Désirée:

Origine génétique : Urgenta X Depesche

Obtenteur(s) : Z.P.C. - (PAYS BAS)

Inscription au catalogue français 1971

Catégorie : Consommation

Maturité : Moyenne à demi-tardive

Code Gnis : 2059

 

 

Tubercule : Oblong, assez régulier, yeux superficiels, peau rouge, chair jaune.

 

Germe : Rouge violacé, en forme de tonneau, pilosité moyenne.

 

Plante : Taille haute, port dressé, type semi-rameux.

 

Tige : Entrenœuds fortement pigmentés, nœuds moyennement pigmentés, aux ailes étroites, rectilignes.

 

Feuille : Vert franc, peu divisée, ouverte ; foliole moyenne, ovale (I = 1,73) ; limbe plan.

 

Floraison : Abondante.

 

Fleur : Rouge violacé, grande pointes blanches, bouton floral partiellement pigmenté.

 

Fructification : Assez fréq

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Guest mounir 19
Bon, eh bien si vous avez assisté à une récolte vous devez avoir des choses à nous dire.

- comment a été réalisée cette récolte? à la main?

 

a la machine est ce qu'il en rester les villageois le ramasser pour leur consommation..

 

- où allaient les pomme de terre? vente directe?

j'ai pas demander mais en général ca se vend en gros au souk du gros entre autres roviguo ...

 

Variété Désirée:

Origine génétique : Urgenta X Depesche

Obtenteur(s) : Z.P.C. - (PAYS BAS)

Inscription au catalogue français 1971

Catégorie : Consommation

Maturité : Moyenne à demi-tardive

Code Gnis : 2059

 

 

Tubercule : Oblong, assez régulier, yeux superficiels, peau rouge, chair jaune.

 

Germe : Rouge violacé, en forme de tonneau, pilosité moyenne.

 

Plante : Taille haute, port dressé, type semi-rameux.

 

Tige : Entrenœuds fortement pigmentés, nœuds moyennement pigmentés, aux ailes étroites, rectilignes.

 

Feuille : Vert franc, peu divisée, ouverte ; foliole moyenne, ovale (I = 1,73) ; limbe plan.

 

Floraison : Abondante.

 

Fleur : Rouge violacé, grande pointes blanches, bouton floral partiellement pigmenté.

 

Fructification : Assez fréq

 

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Guest mounir 19
Merci pour la réponse.

Il y a donc des agriculteurs qui ont des moyens (machines) et qui font du bon boulot.

C'est encourageant.

 

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y a pas de doute la dessus mais quand tu fais une bonne récolte et que comme par hasard monsieur X ou Y décide d'allait chercher cette même patate ou tomate de l’extérieur en plus de moindre qualité y a de quoi se posé des question !!

ce qui a poussé de nombreuse fois les agriculteur a vendre a perte et ne plus la semer rajoute a cela les spéculateur qui depuis qu'ils on su se qu’était une chambre froide rien ne va plus ...

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y a pas de doute la dessus mais quand tu fais une bonne récolte et que comme par hasard monsieur X ou Y décide d'allait chercher cette même patate ou tomate de l’extérieur en plus de moindre qualité y a de quoi se posé des question !!

ce qui a poussé de nombreuse fois les agriculteur a vendre a perte et ne plus la semer rajoute a cela les spéculateur qui depuis qu'ils on su se qu’était une chambre froide rien ne va plus ...

 

Je suis d'accord avec vous.

Pour la tomate concentrée, alors qu'à Annaba, il y a de la production, certains responsables en achètent à l'extérieur.

c'est un geste coupable.

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  • 3 weeks later...
Tant qu'ils payent nos agriculteurs en "difizes", c'est le principal ya kho.

Maintenant une chose:

- il me semble qu'il faut mieux approvisionner le marché national,

- produire ces pommes de terre nous coûte cher en une eau précieuse. Cette eau est-elle bien utilisée en l'exportant indirectement vers la Russie.

²²

 

Tout l'Est de l' Algérie est approvisionnée en p. de terre de cette région et donc ce ne doit être que le surplus qui est exporté...

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  • 2 weeks later...

bonjour

Le peuple algérien souffre , et il ne peut même pas se payer qlques kgs de pommes de terre. c'est dommage, on a oublié la saveur de la viande fraiche de mouton qui coute 1100 DA avec os.

Les protéines coutent de plus en plus cher, voir inaccessibles.

AAAAHHHH Je reve de manger du mouton et mourir ensuite.

Aujourdh'ui j'ai payé le kilo de patates à 70 DA

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bonjour

Le peuple algérien souffre , et il ne peut même pas se payer qlques kgs de pommes de terre. c'est dommage, on a oublié la saveur de la viande fraiche de mouton qui coute 1100 DA avec os.

Les protéines coutent de plus en plus cher, voir inaccessibles.

AAAAHHHH Je reve de manger du mouton et mourir ensuite.

Aujourdh'ui j'ai payé le kilo de patates à 70 DA

 

- il faut développer la mécanisation de la culture de la batata (j'ai vu sur canal 5 des fellahs travailler à la main la batata),

- plante en un peu si tu as un jardin, sinon pourquoi ne pas développer comme en France les jardins ouvriers (voir sur le Net).

ps: la viande? préférer les protéines des lentilles.

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56 tonnes ou 56 milles tonnes ? :crazy:

Si c'est 56 tonnes, c'est ce qu'on mange dans la famille par année:ermm:

Pas besoin de chercher un marché en Russie pour ça.

 

Effectivement 56 tonnes ça semble un peu "court".

Le marché productif en Russie se chiffrant en millions de tonnes.

Mais, peut-être, est-ce une qualité de pomme de terre très particulière particulièrement appréciée par les consommateurs.

Chiffres sur les marché de la pomme de terre...

Le monde de la pomme de terre: Production et Consommation - Année internationale de la pomme de terre 2008

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  • 4 weeks later...

cette semaine elle a depassè les 80 da le kilo et la plupart des algeriens ne l'achetent plus ,je penses que c un manque de respect au peuple de parler d'exportation de la pomme de terre alors que c un luxe actuellement

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cette semaine elle a depassè les 80 da le kilo et la plupart des algeriens ne l'achetent plus ,je penses que c un manque de respect au peuple de parler d'exportation de la pomme de terre alors que c un luxe actuellement

 

Comme tout les produits agricoles dans le monde, l'exportation se fait lorsqu'il y a surplus, il se trouve que depuis le début des intempéries la pomme de terre est victime de spéculation (les stocks sont pourtant énormes) et le gouvernement est incapable de faire respecter la loi! Vous allez voir qu'ils vont recourir à la bonne vieille méthode de l'importation!

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cette semaine elle a depassè les 80 da le kilo et la plupart des algeriens ne l'achetent plus ,je penses que c un manque de respect au peuple de parler d'exportation de la pomme de terre alors que c un luxe actuellement

 

- je pense que cela doit être ponctuel,

- il faut d'abord satisfaire le marché national.

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