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La connaissance rend-t'elle intelligent?


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t' en es sur ?

Alors en effet c'est la thèse la plus plausible, mais rien est arrêté en fait dans le milieu scientifique.

l’éducation et l’hérédité jouent tous deux un rôle dans la transmission de l’intelligence,mais l’hérédité joue clairement un rôle plus important que l’éducation...

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- J'ai une question tout à fait stupide mais qui m'intrigue, est-ce que la créativité est influencée par la mélancolie et la déprime? J'ai l'impression que dans beaucoup de biographies de personnes créatives, artistes ... on relate certaines périodes bourrées de mélodrames.

 

absolument.

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Alors en effet c'est la thèse la plus plausible, mais rien est arrêté en fait dans le milieu scientifique.

l’éducation et l’hérédité jouent tous deux un rôle dans la transmission de l’intelligence,mais l’hérédité joue clairement un rôle plus important que l’éducation...

mes gènes ont dû subir mutation génétique ... c clair mainant:(

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- De toutes façon, Je suis la chouchou de la maîtresse en l'occurence Licorne :mad:

 

 

Oui,et tu peux faire ce que bon te semble.:p

 

C'est toujours comme ça, les élèves qui remènent leurs

khouchaybettes sont méprisés devant les chouchous :mad:

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Alors en effet c'est la thèse la plus plausible, mais rien est arrêté en fait dans le milieu scientifique.

l’éducation et l’hérédité jouent tous deux un rôle dans la transmission de l’intelligence,mais l’hérédité joue clairement un rôle plus important que l’éducation...

 

je suis pas vraiment convaincu, peux-tu argumenter stp ? cité une étude ? j'ai donné un exemple moi, dans la 1ere page.

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je suis pas vraiment convaincu, peux-tu argumenter stp ? cité une étude ? j'ai donné un exemple moi, dans la 1ere page.

L’intelligence est-elle héréditaire ?

Déterminer si l’intelligence est innée ou acquise est fondamental. De la réponse à cette question découle l’importance ou non de préserver son patrimoine génétique. De la réponse, on peut également déduire s’il ;est utile ou non de dépenser des fortunes à tenter d’éduquer des individus peu doués. L’idéologie dominante défend actuellement la thèse de l’acquis et nie le rôle de l’inné, ce qui justifie les politiques actuelles en matière d’éducation.

 

Qu’est ce que l’intelligence, cette qualité tellement appréciée dans notre société ? Bien qu’il existe diverses définitions de l’intelligence et que des livres entiers aient été écrits sur le sujet, on dira que l’intelligence est la faculté de trouver des solutions non apprises à des problèmes.

 

L’hérédité a-t-elle une influence sur la capacité des animaux à trouver une solution ? La réponse semble être positive, si l’on en croit les recherches de R.C. TRYON effectuées sur des rats. Les travaux consistaient à étudier statistiquement l’influence génétique sur la capacité des rats à trouver leur chemin dans un labyrinthe. On a croisé entre eux d’une part les rats qui faisaient le moins d’erreurs et d’autre part les rats qui faisaient le plus d’erreurs. En procédant ainsi , jusqu’à la huitième génération, on a obtenu des différences de plus en plus significatives dans les résultats entre ceux qui descendaient des plus habiles à trouver leur chemin et ceux qui descendaient des moins habiles. Les rats étaient bien entendus élevés et manipulés de la même manière. Ces travaux appuient indiscutablement la thèse de l’inné : les aptitudes à résoudre des problèmes se transmettent génétiquement chez les rats. Mais en est-il de même chez les hommes ?

 

Une étude effectuée par C. BURT appuie cette thèse. Il a mesuré le niveau de corrélation statistique entre l’intelligence des parents et celle de leurs enfants. Sans que l’on puisse déduire que les enfants de parents intelligents seront eux-mêmes intelligents, un lien statistique clair (0,50) apparaît cependant : les enfants de parents intelligents ont plus de chances d’être intelligents que les enfants de parents moins intelligents. Mais ceci peut également être attribué à l’éducation, surtout si l’on épouse les thèses (fort controversées) du sociologue P. Bourdieu.

 

Plusieurs études ont porté sur l’intelligence des jumeaux. Les jumeaux monozygotes (parfaits) ont un taux de corrélation entre leurs intelligences beaucoup plus élevé (0,87) que les jumeaux dizygotes (0,53) (faux jumeaux). L’intervention de l’hérédité semble donc claire. Le taux de corrélation entre jumeaux monozygotes élevés dans des milieux différents (familles différentes) reste très élevé (0,75), alors que les enfants ont reçu une éducation différente.

 

Le taux de corrélation entre enfants d’hérédité différente élevés ensemble reste par contre beaucoup plus faible (0,23), ce qui souligne une influence relativement faible du facteur éducation.

 

On peut donc en conclure que si l’éducation et l’hérédité jouent tous deux un rôle dans la transmission de l’intelligence, l’hérédité joue clairement un rôle plus important que l’éducation.

 

N’en concluons pas que l’éducation est secondaire : elle permet au contraire de développer le potentiel d’intelligence préexistant et de transmettre le savoir sans lequel l’intelligence resterait stérile. Enfin, la personnalité joue, souvent, un rôle beaucoup plus fondamental que l’intelligence.

L’importance primordiale du facteur hérédité infirme par contre les idéologies à la mode et démontrent l’inanité des méthodes éducatives actuelles qui privilégient le nivellement par le bas et prohibent l’idée même d’élitisme. On ne s’étonnera dès lors guère que certaines recherches sur la transmission héréditaire des qualités humaines fassent l’objet d’un tabou.

R. KORTENHORST

 

Les recherches conduites sur des jumeaux ont démontré que 55 % de l´intelligence sont déterminés par des facteurs génétiques. Ce composant génétique détermine le plafond de votre intelligence, c´est-à-dire le niveau maximal d´intelligence que vous pouvez atteindre. C´est votre environnement qui définit si vous atteindrez ou non ce niveau maximal. On pourrait comparer l´intelligence à l´athlétisme. Certains individus sont meilleurs en sports que d´autres.

 

Le 15 décembre 1994, The Wall Street Journal publiait un manifeste intitulé « Mainstream science on intelligence » (Le point de vue majoritaire des scientifiques sur l'intelligence). Ce texte était signé par quarante-neuf Américains et trois Britanniques, parmi lesquels de nombreux professeurs d'université, présentés comme « experts en intelligence et matières connexes ». L'essentiel de leur message s'articule autour de deux propositions : 1) les gènes jouent un plus grand rôle que l'environnement dans le niveau intellectuel, mesuré par les tests de QI ; 2) ces gènes pourraient être responsables des différences de QI entre Noirs et Blancs.

Selon ses auteurs, ce manifeste est destiné à corriger certaines des erreurs commises par ceux qui, dans les médias ou la presse scientifique, avaient critiqué l'ouvrage des Américains Richard J. Herrnstein, professeur de psychologie à Harvard (décédé depuis) et Charles Murray, docteur en sciences politiques : The Bell Curve : Intelligence and Class Structure in American Life (La courbe en cloche : intelligence et structure de classe dans la vie américaine)(1).

Devenu un best-seller, ce livre s'attaque au problème particulièrement sensible aux Etats-Unis des différences entre Noirs et Blancs du double point de vue des performances intellectuelles et de la propension à la criminalité. Le moindre QI des Noirs serait à l'origine de leur plus faible réussite sociale et de leur taux de criminalité plus élevé. Or le QI aurait une base génétique (voir fig. 1).

Le manifeste entend donc, par des affirmations faisant l'objet d'un consensus dont cinquante-deux notables seraient les garants, régler l'un des points les plus chauds à l'intersection des sciences biologiques et sociales et clore le débat par un argument d'autorité.

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qu'est ce que la connaissance?

tout savoir n'est pas bon, quelqu'un du désert, ou vivant au fin fond de la jungle pourra être plus sage qu'une personne "civilisé", se disant instruite et intellectuelle...

 

donc, on peut connaitre l'actu, les dernière nouveautés, les math et toutes les sciences, mais cela ne fait pas de nous quelqu'un de "sage", car le sage peut ne pas savoir écrire ou lire...

 

je dirais même que, le civilisé est débile, son quotidien est gangrené par toutes les formes de pollutions, visuelles, sonores, mentale...tout le temps stressé pressé...comme a dit un vieux fou "si eux ont l'heure...nous nous avons le temps".

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Merci pour l'article Tig ...

Alors personne n'a dit qu'une partie de l'intelligence n'était pas innée, mais il s'agit bien d'une partie, comme l'a très bien montré ton article, quoi que j'aurai aimé avoir une étude détaillé, c'est juste un article, qui transcrits des statistiques, et des résultats.

je te cite et je mets en gras italique ce qu'il ne va pas avec ce que tu as dit au début.

 

Non, pas du tout, puisque l'intelligence est innée...Donc l'on peut dire que la connaissance la complète.

 

 

 

 

L’intelligence est-elle héréditaire ?

Déterminer si l’intelligence est innée ou acquise est fondamental. De la réponse à cette question découle l’importance ou non de préserver son patrimoine génétique. De la réponse, on peut également déduire s’il ;est utile ou non de dépenser des fortunes à tenter d’éduquer des individus peu doués. L’idéologie dominante défend actuellement la thèse de l’acquis et nie le rôle de l’inné, ce qui justifie les politiques actuelles en matière d’éducation.

 

Qu’est ce que l’intelligence, cette qualité tellement appréciée dans notre société ? Bien qu’il existe diverses définitions de l’intelligence et que des livres entiers aient été écrits sur le sujet, on dira que l’intelligence est la faculté de trouver des solutions non apprises à des problèmes.

 

L’hérédité a-t-elle une influence sur la capacité des animaux à trouver une solution ? La réponse semble être positive, si l’on en croit les recherches de R.C. TRYON effectuées sur des rats. Les travaux consistaient à étudier statistiquement l’influence génétique sur la capacité des rats à trouver leur chemin dans un labyrinthe. On a croisé entre eux d’une part les rats qui faisaient le moins d’erreurs et d’autre part les rats qui faisaient le plus d’erreurs. En procédant ainsi , jusqu’à la huitième génération, on a obtenu des différences de plus en plus significatives dans les résultats entre ceux qui descendaient des plus habiles à trouver leur chemin et ceux qui descendaient des moins habiles. Les rats étaient bien entendus élevés et manipulés de la même manière. Ces travaux appuient indiscutablement la thèse de l’inné : les aptitudes à résoudre des problèmes se transmettent génétiquement chez les rats. Mais en est-il de même chez les hommes ?

 

Une étude effectuée par C. BURT appuie cette thèse. Il a mesuré le niveau de corrélation statistique entre l’intelligence des parents et celle de leurs enfants. Sans que l’on puisse déduire que les enfants de parents intelligents seront eux-mêmes intelligents, un lien statistique clair (0,50) apparaît cependant : les enfants de parents intelligents ont plus de chances d’être intelligents que les enfants de parents moins intelligents. Mais ceci peut également être attribué à l’éducation, surtout si l’on épouse les thèses (fort controversées) du sociologue P. Bourdieu.

 

Plusieurs études ont porté sur l’intelligence des jumeaux. Les jumeaux monozygotes (parfaits) ont un taux de corrélation entre leurs intelligences beaucoup plus élevé (0,87) que les jumeaux dizygotes (0,53) (faux jumeaux). L’intervention de l’hérédité semble donc claire. Le taux de corrélation entre jumeaux monozygotes élevés dans des milieux différents (familles différentes) reste très élevé (0,75), alors que les enfants ont reçu une éducation différente.

 

Le taux de corrélation entre enfants d’hérédité différente élevés ensemble reste par contre beaucoup plus faible (0,23), ce qui souligne une influence relativement faible du facteur éducation.

 

On peut donc en conclure que si l’éducation et l’hérédité jouent tous deux un rôle dans la transmission de l’intelligence, l’hérédité joue clairement un rôle plus important que l’éducation.

 

N’en concluons pas que l’éducation est secondaire : elle permet au contraire de développer le potentiel d’intelligence préexistant et de transmettre le savoir sans lequel l’intelligence resterait stérile. Enfin, la personnalité joue, souvent, un rôle beaucoup plus fondamental que l’intelligence.

L’importance primordiale du facteur hérédité infirme par contre les idéologies à la mode et démontrent l’inanité des méthodes éducatives actuelles qui privilégient le nivellement par le bas et prohibent l’idée même d’élitisme. On ne s’étonnera dès lors guère que certaines recherches sur la transmission héréditaire des qualités humaines fassent l’objet d’un tabou.

R. KORTENHORST

 

Les recherches conduites sur des jumeaux ont démontré que 55 % de l´intelligence sont déterminés par des facteurs génétiques. Ce composant génétique détermine le plafond de votre intelligence, c´est-à-dire le niveau maximal d´intelligence que vous pouvez atteindre. C´est votre environnement qui définit si vous atteindrez ou non ce niveau maximal. On pourrait comparer l´intelligence à l´athlétisme. Certains individus sont meilleurs en sports que d´autres.

 

Le 15 décembre 1994, The Wall Street Journal publiait un manifeste intitulé « Mainstream science on intelligence » (Le point de vue majoritaire des scientifiques sur l'intelligence). Ce texte était signé par quarante-neuf Américains et trois Britanniques, parmi lesquels de nombreux professeurs d'université, présentés comme « experts en intelligence et matières connexes ». L'essentiel de leur message s'articule autour de deux propositions : 1) les gènes jouent un plus grand rôle que l'environnement dans le niveau intellectuel, mesuré par les tests de QI ; 2) ces gènes pourraient être responsables des différences de QI entre Noirs et Blancs.

Selon ses auteurs, ce manifeste est destiné à corriger certaines des erreurs commises par ceux qui, dans les médias ou la presse scientifique, avaient critiqué l'ouvrage des Américains Richard J. Herrnstein, professeur de psychologie à Harvard (décédé depuis) et Charles Murray, docteur en sciences politiques : The Bell Curve : Intelligence and Class Structure in American Life (La courbe en cloche : intelligence et structure de classe dans la vie américaine)(1).

Devenu un best-seller, ce livre s'attaque au problème particulièrement sensible aux Etats-Unis des différences entre Noirs et Blancs du double point de vue des performances intellectuelles et de la propension à la criminalité. Le moindre QI des Noirs serait à l'origine de leur plus faible réussite sociale et de leur taux de criminalité plus élevé. Or le QI aurait une base génétique (voir fig. 1).

Le manifeste entend donc, par des affirmations faisant l'objet d'un consensus dont cinquante-deux notables seraient les garants, régler l'un des points les plus chauds à l'intersection des sciences biologiques et sociales et clore le débat par un argument d'autorité.

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la conclusion.......

 

l’hérédité joue clairement un rôle plus important que l’éducation.

 

Plusieurs études ont porté sur l’intelligence des jumeaux. Les jumeaux monozygotes (parfaits) ont un taux de corrélation entre leurs intelligences beaucoup plus élevé (0,87) que les jumeaux dizygotes (0,53) (faux jumeaux). L’intervention de l’hérédité semble donc claire. Le taux de corrélation entre jumeaux monozygotes élevés dans des milieux différents (familles différentes) reste très élevé (0,75), alors que les enfants ont reçu une éducation différente.

 

Charles Murray et Richard Hernstein démontrent, statistiques à l'appui, que les Noirs ont généralement un QI moins élevé que la moyenne des autres communautés, ce qui expliquerait que leur statut économique et social soit moins élevé. Ils poursuivent la démonstration en jugeant que, puisque l'intelligence est innée et que la destinée intellectuelle est déterminée, il est inutile de continuer à soutenir financièrement ces populations… Ce nouveau darwinisme social propose par conséquent de démanteler la politique de discrimination positive en vigueur aux Etats-Unis. "Les conclusions de cet ouvrage allaient bien au-delà d'une constatation scientifique" fait remarquer Michel Duyme, chercheur à l'INSERM.

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est ce que la connaissance rend intelligent?

 

non, l'intelligence est à mon sens innée... on peut la développer par la connaissance qui deviendra un outil de l'intelligence qui deviendra peut être plus productive... mais l'intelligence peut aller sans la connaissance et vice versa...

 

bonne nuit tout le monde

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l’hérédité joue clairement un rôle plus important que l’éducation.

 

Plusieurs études ont porté sur l’intelligence des jumeaux. Les jumeaux monozygotes (parfaits) ont un taux de corrélation entre leurs intelligences beaucoup plus élevé (0,87) que les jumeaux dizygotes (0,53) (faux jumeaux). L’intervention de l’hérédité semble donc claire. Le taux de corrélation entre jumeaux monozygotes élevés dans des milieux différents (familles différentes) reste très élevé (0,75), alors que les enfants ont reçu une éducation différente.

 

Charles Murray et Richard Hernstein démontrent, statistiques à l'appui, que les Noirs ont généralement un QI moins élevé que la moyenne des autres communautés, ce qui expliquerait que leur statut économique et social soit moins élevé. Ils poursuivent la démonstration en jugeant que, puisque l'intelligence est innée et que la destinée intellectuelle est déterminée, il est inutile de continuer à soutenir financièrement ces populations… Ce nouveau darwinisme social propose par conséquent de démanteler la politique de discrimination positive en vigueur aux Etats-Unis. "Les conclusions de cet ouvrage allaient bien au-delà d'une constatation scientifique" fait remarquer Michel Duyme, chercheur à l'INSERM.

Je te promets que je vais chercher cet ouvrage, et que je vais le lire pour essayer de comprendre ce darwinisme à la con.

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l’hérédité joue clairement un rôle plus important que l’éducation.

 

Plusieurs études ont porté sur l’intelligence des jumeaux. Les jumeaux monozygotes (parfaits) ont un taux de corrélation entre leurs intelligences beaucoup plus élevé (0,87) que les jumeaux dizygotes (0,53) (faux jumeaux). L’intervention de l’hérédité semble donc claire. Le taux de corrélation entre jumeaux monozygotes élevés dans des milieux différents (familles différentes) reste très élevé (0,75), alors que les enfants ont reçu une éducation différente.

 

Charles Murray et Richard Hernstein démontrent, statistiques à l'appui, que les Noirs ont généralement un QI moins élevé que la moyenne des autres communautés, ce qui expliquerait que leur statut économique et social soit moins élevé. Ils poursuivent la démonstration en jugeant que, puisque l'intelligence est innée et que la destinée intellectuelle est déterminée, il est inutile de continuer à soutenir financièrement ces populations… Ce nouveau darwinisme social propose par conséquent de démanteler la politique de discrimination positive en vigueur aux Etats-Unis. "Les conclusions de cet ouvrage allaient bien au-delà d'une constatation scientifique" fait remarquer Michel Duyme, chercheur à l'INSERM.

 

 

normal, le QI est souvent mesuré par le biais de questions qui l'air de rien font appel à la culture générale et dans une population où l'objectif premier est de survivre (discrimination, misère sociale etc) ben la culture générale c'est le dernier des soucis... il n'en reste pas moins que les populations citées ne sont ni plus ni moins intelligentes...

hypothèse de merde sortie d'un esprit de merde... affaire classée... et chasse tirée...

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mais tu es très avare :confused:

C'est beaucoup plus complexe que ça !

 

En bref, il s'agit de la connexion de neurones, qui a une relation très étroite avec l'apprentissage et donc la connaissance.

 

Par l'apprentissage, on construit des réseaux, qui seront sollicités par la suite face à une situations ou l'on doit analyser, combiner les éléments de réponse d'un problème pour fournir une solution, dans un laps de temps court.

 

Ceci, s'avère d'une efficacité dans le cas ou les connexions établies sont multiples (j'ai pas trouvé le bon qualifiant :confused:), la zone sollicitée produit les signaux électriques de l'influx nerveux, et les conduit, la conduction est optimale et efficace lorsque les neurones sont connectés par différents chemins, chose qui s'établit par l'apprentissage et qui se poursuit jusqu'à l'age adulte.

 

Trés bien developpé DeD!:confused:

 

Mais tu n'réponds toujours pas à ce que c'est l'intelligence:D

 

Ne me demandes pas mon avis...

j'ai la flemme... p't-être une autre fois.

suis-je pas intelligent!!!?:o

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