OU YAHYA ordonne de payer les dettes des labo étrangers

[Otto KHOR 10]

La guerre que mène DOA , et son dynamique Secrétaire Général ,contre la mafia du médicament déplait à la Françalgérie qui en l’occasion donne du Chef du Gouvernement.

 

Le Ministre de la Santé est dessaisi du dossier médicament et prié d’installer une commission indépendante à l’instar de l’agence du médicament française. En attendant , le Ministre des Finances lui, est prié de payer les dettes du principal vendeur de médicaments en algérie, le Fransaoui SANOFI- 3 milliards d’Euro .

 

Le représentant du Roy au bled, le Docteur BERKAT BERKHANI Président de « l’ordre des médecins " janviéristes et de l’association des Médecins de l’Union Pour la Méditerranée , au nom de « l’éthique » du kassamen, dans une interview à la radio, se félicite de la décision de OU YAHYA et précise que son ordre serait partie prenante.

 

Encore jeunes, nous devons, comme les Chinois, copier ce qui contribue à notre développement. Dans ce cas , réussir à synthétiser des molécules pour produire des génériques algériens serait à encourager. OU YAHYA veut autre chose. Nous enfoncer dans la glue de la colonisation et perpétrer les accords d’Evian. Créer une agence de distribution , sœur de la française . A croire que nous avons le même tissu industriel que nos voisins , qui sont parmi les 10 premiers exportateurs de médicaments et les mêmes besoins . L’agence parangon, par ailleurs ne brille ni pas par ses actions et son efficacité. Gangrénée par les industriels du médicament elle est entre autre, face au scandale du Médiator et dans le collimateur d’associations de médecins praticiens.

 

Copier pour copier, pourquoi ne pas suivre l’exemple chinois ou indien ? 80 pour cent des médicaments vendus dans le monde y sont fabriqués y compris ce que revend SANOFI à l’Algérie sous forme princeps ou en vrac pour y mis en boite.