Marine Le Pen présente son projet : pour rende la france aux francais

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BONJOUR

 

Pourquoi Marine Le Pen a raison de refuser de débattre avec J-F Copé à la télé

 

 

MARINE SE FOUT DE LA GUEULE DU MONDE

 

ELLE SE PRESENTE SANS UN REELLE PROGRAMME POLITIQUE

 

ELLE EST VIDE

ELLE SCANDE COMME SCANDAIT DEJA SON PERE J.M LEPEN DANS LES ANNES 80

ELLE DIT J'OFFRE LE PAYS FRANCAIS

 

«vous rendre votre pays, votre fierté peuple de France»,

ELLE FAIT UN DISCOURS SUR LE POUVOIR D'ACHAT

ET RIEN D'AUTRE

 

MAIS AUCUNE PROPOSITIN

SAUF QUE LES MAUX DE LA FRANCE EST L'IMMIGRÉ

 

HIER SOIR SUR FRANCE 2 ELLE A ETE DESARCONNER PAR UNE QUESTION

Présidentielle : Marine Le Pen reste évasive sur le Smic

 

Marine Le Pen présente son projet : pour rende la France aux français

c'est tout ce quelle dit

 

Le Monde Marine Le Pen présente son projet pour un "Etat fort"

Le Monde - ‎Il y a 17 minutes ‎

 

C'est dans une ambiance de fumigène et de kermesse que la candidate du Front national à l'Elysée, Marine Le Pen, a présenté, samedi 19 novembre à Paris, devant mille personnes, son "projet présidentiel". Avec une certaine science de la mise en scène, ...

PARIS - Marine Le Pen promet au "peuple de France" de lui "rendre ...20minutes.frMarine Le Pen promet au "peuple de France" de lui "rendre son pays"nouvelobs.comArticles de fond :France-Marine Le Pen précise sa vision d'un "Etat fort"Les ÉchosAfficher toutes les sources (111) »

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Avant de présenter son programme présidentiel ce samedi à Paris, Marine Le Pen était l'invitée du 20 Heures de France 2, vendredi soir. Face à Laurent Delahousse, la présidente du Front national a insisté sur le pouvoir d'achat qu'elle entendait redonner aux Français. «J’ai un grand projet (...) rendre aux Français leur pays, leurs richesses et leur fierté. »

 

En revanche, interrogée sur une éventuelle hausse du Smic, elle est restée très évasive. Et ce alors qu'elle jouit d'une importante cote de popularité dans la classe ouvrière, avec 42% de jugements favorables selon un baromètre Ipsos. «Si vous attendez un catalogue de mesurettes, ce n’est pas moi qu'il faut inviter», a rétorqué la patronne du FN au présentateur du JT de France 2, préférant se livrer à une charge contre ceux qui «pillent» le pays. Dans sa ligne de mire : «les marchés financiers», «nos élites politiques» et «la délinquance». Interrogée une seconde fois sur ses intentions en matière de Smic, elle a fini par répondre qu'elle allait «mettre en place toute une série de mesures» pour «permettre d’augmenter le pouvoir d’achat des Français et de favoriser l’emploi».

 

Une hausse des impôts ? «Pas du tout, je vais même les alléger pour les classes moyennes et les classes populaires, les PME, les PMI, les TPE, les commerçants et les artisans».

 

Ce qu'elle compte faire en matière de nucléaire ? «Le jour où l’on pourra s’en passer, il faudra le faire (...) Aujourd’hui, il n'y a pas pas d’autres solutions que d’investir dans le nucléaire et la sécurisation du nucléaire». Interrogée sur la position des Verts, elle la juge dangereuse.

 

Comme son père avant elle, Marine Le Pen se dit inquiète de pouvoir obtenir les 500 parrainages nécessaires pour être candidat à la présidentielle. Au risque d'être accusée d'instrumentaliser le sujet, elle affirme : «Je pense que nous aurons des difficultés pour les avoir.» En cause, selon elle, la publication des noms des élus signataires. «C'est une mesure profondément antidémocratique.»

LeParisien.fr

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Présidentielle : Marine Le Pen reste évasive sur le Smic

Avant de présenter son programme présidentiel ce samedi à Paris, Marine Le Pen était l'invitée du 20 Heures de France 2, vendredi soir. Face à Laurent Delahousse, la présidente du Front national a insisté sur le pouvoir d'achat qu'elle entendait redonner aux Français. «J’ai un grand projet (...) rendre aux Français leur pays, leurs richesses et leur fierté. »

 

En revanche, interrogée sur une éventuelle hausse du Smic, elle est restée très évasive. Et ce alors qu'elle jouit d'une importante cote de popularité dans la classe ouvrière, avec 42% de jugements favorables selon un baromètre Ipsos. «Si vous attendez un catalogue de mesurettes, ce n’est pas moi qu'il faut inviter», a rétorqué la patronne du FN au présentateur du JT de France 2, préférant se livrer à une charge contre ceux qui «pillent» le pays. Dans sa ligne de mire : «les marchés financiers», «nos élites politiques» et «la délinquance». Interrogée une seconde fois sur ses intentions en matière de Smic, elle a fini par répondre qu'elle allait «mettre en place toute une série de mesures» pour «permettre d’augmenter le pouvoir d’achat des Français et de favoriser l’emploi».

 

Une hausse des impôts ? «Pas du tout, je vais même les alléger pour les classes moyennes et les classes populaires, les PME, les PMI, les TPE, les commerçants et les artisans».

 

Ce qu'elle compte faire en matière de nucléaire ? «Le jour où l’on pourra s’en passer, il faudra le faire (...) Aujourd’hui, il n'y a pas pas d’autres solutions que d’investir dans le nucléaire et la sécurisation du nucléaire». Interrogée sur la position des Verts, elle la juge dangereuse.

 

Comme son père avant elle, Marine Le Pen se dit inquiète de pouvoir obtenir les 500 parrainages nécessaires pour être candidat à la présidentielle. Au risque d'être accusée d'instrumentaliser le sujet, elle affirme : «Je pense que nous aurons des difficultés pour les avoir.» En cause, selon elle, la publication des noms des élus signataires. «C'est une mesure profondément antidémocratique.»

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Pourquoi Marine Le Pen a raison de refuser de débattre avec J-F Copé à la télé

de l'incompetance , incompetance totale de la part de Marine lepen

le FN n'a pas de politique

 

il y a 4 jours : L'équipe de France et la Belgique ont fait match nul 0 à 0 lors de leur rencontre amicale au Stade de France. #Foot #EDF #Belgique

Publié par

épik épok

 

 

post non vérifié par la rédaction

Pourquoi Marine Le Pen a raison de refuser de débattre avec J-F Copé à la télé

16/11/2011 à 17h58 - mis à jour le 18/11/2011 à 17h35 | 3216 vues | 15 réactions

Merci d'avoir ce post ! Retrouvez toute l'actualité du Post sur Facebook On apprend aujourd'hui que Marine Le Pen a décliné l'invitation faite par France Télévisions de venir débattre avec Jean-François Copé dans l'émission "Des paroles et des actes" diffusée jeudi soir sur France 2.

"Je prends bonne note que je suis devenu trop petit pour elle!" a déclaré ce matin le secrétaire général de l'UMP sans doute un peu vexé par l'attitude de la présidente du Front National.

 

"Elle se dérobe" a-t-il conclu en tentant d'insinuer que Marine Le Pen aurait peur de débattre avec lui.

 

Je n'ai aucune sympathie, ni politique, ni personnelle avec Mme Le Pen mais je dois admettre que je suis assez d'accord avec son refus de participer à cette émission face à Mr Copé.

 

Marine Le Pen est candidate à l'élection présidentielle. Tout comme Jean-Luc Mélenchon, François Hollande, Jean-Pierre Chevènement ou Corinne Lepage pour ne citer que ces quelques personnes. Et jusqu'à preuve du contraire, Jean-François Copé n'est pas candidat à cette élection. Il n'est que le simple lieutenant d'un homme qui n'a pas encore avoué sa candidature mais qui se comporte depuis déjà plusieurs moi comme tel - je veux bien évidemment parler de Nicolas Sarkozy. Mme Le Pen réclame le droit de dialoguer avec des adversaire de son rang et je lui donne raison.

 

L'élection présidentielle est le rendez-vous politique majeur de notre vie démocratique, son point d'orgue. Et je pense que les candidats à ce scrutin doivent débattre entre eux et ne pas envoyer leurs adjoints faire le travail à leur place. Cela me paraît la moindre des choses. Envoyer quelqu'un d'autre ferrailler à sa place n'est pas correct et démontre selon moi un grand manque de respect vis-à-vis de ses concurrents. Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen ont déjà accepté de confronter leurs idées dans différents débats à la télé et à la radio et je trouve ça bien. J'en ai assez de voir des seconds couteaux s'invectiver à la télévision et croiser le fer avec souvent bien peu de talent.

 

Depuis plusieurs années déjà, les candidats des "grands" partis snobent les débats. Leurs conseillers en communication leur ayant expliqué qu'ils avaient sans doute plus à perdre qu'à y gagner en acceptant d'y participer, ils ont décidé de ne plus en faire. On peut d'ors et déjà prédire que ni Nicolas Sarkozy, ni François Hollande ne participeront pas à des débats contradictoires pendant la campagne présidentielle (hormis celui du second tour s'ils sont qualifiés). Trop dangereux. Leur raisonnement est somme toute logique: pourquoi prendraient-ils le risque de descendre eux-même dans l'arène et d'y laisser des plumes avant le premier tour?

 

Je n'accepte pas cette évolution que je considère comme un mépris de notre démocratie.

 

Regardez l'attitude de notre Président. Est-il à ce point au-dessus des autres qu'il puisse refuser toute confrontation avec des personnes de l'opposition durant son mandat? Où est-il marqué dans notre Constitution que le Président de la République, durant son quinquennat ou s'il souhaite se représenter pour un deuxième mandat, est dispensé de participer à des débats contradictoires?

 

Dans notre chère démocratie, force est de constater que ces face-à-face n'ont presque jamais lieu. De mémoire, seul François Mitterrand avait accepté, lors du référendum de Maastricht en 1992, d'avoir en face de lui un contradicteur, Philippe Seguin, lors d'une interview. Je n'ai pas d'autre souvenir d'un vrai débat entre un président en exercice et un adversaire politique en désaccord avec sa politique.

 

Alors oui, Marine Le Pen, quelles que soient les idées qu'elle véhicule, a raison de refuser ce débat avec Mr Copé. La seule personne de l'UMP avec laquelle elle doit confronter ses idées, c'est Nicolas Sarkozy. Et personne d'autre.