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En guise de sardine, je t’offre mon leurre en acier de chine .

Tire, force, freine, accroche toi bien au bout ma ligne.

Entre mes doigts je sens battre ton cœur, joli pagre gros mérou ou belle ombrine.

Tu joue ta vie dans ces eaux calmes et cristallines .

Et moi ton poids que je convertirai en billets de mille .

Entre mes doigts je sens mourir ton cœur, pauvre poisson tu roules déjà dans la farine.

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  • 1 month later...
En guise de sardine, je t’offre mon leurre en acier de chine .

Tire, force, freine, accroche toi bien au bout ma ligne.

Entre mes doigts je sens battre ton cœur, joli pagre gros mérou ou belle ombrine.

Tu joue ta vie dans ces eaux calmes et cristallines .

Et moi ton poids que je convertirai en billets de mille .

Entre mes doigts je sens mourir ton cœur, pauvre poisson tu roules déjà dans de la farine.

Oh ma sardine, ton met est savoureux,

frite dans l'huile, avec de l'ail je te veux!:D

Merci pour ce rafraichissement!;)

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Bravo L'Albatros !! :p Voilà de la poésie rafraîchissante comme j'aime ! Bon perso. je ne suis pas trop "poisson" = victime du Grand Capital depuis ma naissance je ne le mange qu'avec "les yeux dans les coins", si tu vois ce que je veux dire !! Vivement un nouveau poème pour animer le coin des "pouets" ! :04:

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