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Putes et soumises ...


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Dimanche 20 Novembre 2011

 

 

 

LE PV DE LA POLICE DANS L’AFFAIRE TARNAC ÉTAIT FAUX ! Etant donné que nous ignorons tout des pratiques sexuelles, tarifées ou non, des personnes citées, les registres de prostitution et soumission sont appliqués ici et dans la deuxième partie d’article, aux fonctions et non aux individus.

 

L’appellation d’origine contrôlée Ni putes, ni soumises sous-entend le pendant immédiat ni maquereaux, ni maîtres. La revendication serait donc celle de l’affranchissement de femmes, musulmanes pour la plupart, défaites de l’emprise des sarrasins d’extra périph’ qui, comme chacun sait, sont tous adeptes de la tournante et du fouet polygame. En même temps, cette aspiration de NPNS se double d’une préoccupation constante en faveur du principe de laïcité dont elle a organisé les états généraux le 30 octobre dernier à l’Espace Citoyen de la mairie du 8éme arrondissement de Lyon. L’insoumise aux lascars et mollahs de banlieue s’affirme donc aussi en défenseur de l’essence républicaine démontrant ainsi la possibilité du parfait équilibre entre émancipation conquise et assimilation réussie. Bien, ça, selon l’expression consacrée, « c’est d’la merde », du pipeau pour la galerie.

 

Désormais, personne n’ignore que l’association fut montée de toutes pièces par la filière trotskarde du PS via le réseau à Juju à des fins de stratégie politique et grâce à une surmédiatisation sponsorisée et artificielle. Ni putes, ni soumises est un pur appareil idéologique, sans base militante sérieuse, complètement déconnecté du terrain qu’il prétend occuper et qui n’existe que par l’utilisation que le système politicard en fait. La population sensée être représentée ne lui reconnaît aucune légitimité et sa crédibilité a depuis longtemps été vérolée par des fraudes et mensonges à répétition [1]. Rien de mieux pour apprécier la tartuferie que de mettre en lien l’intitulé et la réalité des faits.

Tapin

 

Grues de trottoir

 

La rue, là où tout commence et s’apprend. Le risque du contact, l’angoisse du mac insatisfait et la sueur des corps imprègnent le destin d’une odeur de **** qui ne partira plus. Attirer, provoquer et empocher, la recette est vieille comme le monde et NPNS la maîtrise parfaitement. Alors, lorsque le client musulman est là et interroge sur la nature de la passe pratiquée, la récemment contestée Sihem Labchi porte à ébullition et affiche le sourire silencieux et méprisant de celle qui, sans devoir ni savoir aligner deux mots, a déjà gagné. Couvrez, maintenez à température ambiante pendant quelques minutes puis ajouter votre grain de sel. Un « nique ta race » à la femme voilée et le bordel escompté est une totale réussite qui ravira les convives (voir en image). Histoire de tenir l’affaire bien verrouillée et stigmatiser davantage, ce seront les offusqués qui feront l’objet d’une plainte pour injure. A Romans, dans une version plus blédarde, Fadela Amara s’illustre en tactique d’irrévérence programmée et insulte, dos tourné, le religieux venu pour discuter (voir la vidéo). Ces petits mots ont l’effet d’une boule de bowling au milieu des quilles de la foule, le succès est total, un vrai strike.

 

 

 

Fadela Amara insulte une personne .. pour rien !! par ServiteurDeDieu4714

 

 

Mais, de passes en passes, le jeu devient vite collectif et se dévoile en équipe quand il s’agit de diaboliser en manifestant. Ainsi, le 2 mars 2005, à l’occasion d’une conférence de presse, Amara invite-t-elle à une réunion en bonnet phrygien autour d’une statue de Marianne emburquannée. Le jour de cet appel, elle compte sur le soutien de Laguiller, alors dirigeante d’un mouvement dont les dérives sectaires et sexistes ont été largement évoquées, d’Hamida Labidi, avocate proche du clan Ben Ali et apôtre du modèle tunisien ainsi que de Fatima Lalem, du Planning familial, pour qui les banlieues sont « des quartiers où des petites filles sont violées tous les soirs ». Bref, cohérence, fiabilité et finesse sont les mots d’ordre de l’appel et on entendra sous les banderoles de la manifestation en question : « ni burqa, ni charia, l’islam ne passera pas ! ». L’ad hitlerum est plus que grossière mais a au moins le mérite de préciser l’intention. Maison close à ciel ouvert, la rue devient scène d’un tapin grotesque où la bande racoleuse fait trottoir commun pour dénoncer le « fascisme vert » [2] qui domine l’autre camp du conflit qui nous attend. Fin de la réduction, le mot est lâché, le facho c’est l’islamo. Comme disait Clara à Rocco, plus c’est gros, plus ça passe, le client est ravi, la demande assurée, le mac peut être satisfait, ce n’est pas demain que le marché du communautarisme et de la division populaire va s’effondrer.

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Esclave

 

Il fallait bien trouver une solution. Démasquée par la population de banlieue, sans aucun soutien populaire et régulièrement surprise dans des traficotages de bas-étage, NPNS n’est très vite plus crédible et doit rapidement s’inventer un prétexte d’activité pour continuer à faire semblant d’exister. Ce ne sont pas deux immolations et demie annuelles et un vieux navet libanais qui vont compenser les démissions en cascades [10] et redonner un peu de vraisemblance à un projet qui fait désormais plus rire que pleurer. Malgré le gonflement chronique des effectifs dont personne n’est dupe, il faut donc rebondir.

 

Après avoir tenté de redorer le blason en se lançant vainement dans l’organisation catastrophique d’évènements médiatiques [11], NPNS va s’immiscer dans une entreprise intellectuelle bien trop ambitieuse au regard de ses propres capacités : la défense du concept de laïcité. D’une, l’aptitude à intellectualiser et argumenter est bien trop faiblarde, voire inexistante, chez ses représentants, de deux, la place est déjà prise. Il va donc falloir combiner avec ça. En échange d’une protection synonyme d’existence, l’association s’agenouille et se fait adoubée par les seigneurs de céans, elle sera désormais l’esclave des grands maîtres maçons.

 

La loge ayant monopole sur le créneau afin de garantir ses propres privilèges tout en doigtant Marianne, elle a néanmoins besoin d’exécutants pour faire le sale boulot. Bien éloignée d’une conception authentique qui garantie la liberté d’obédience en accord avec les exigences républicaines, la laïcité est devenue une sorte de laïcisme d’intérêt particulier qui, entre autres desseins, collabore dans l’ombre à la division sociale et la prospérité libérale en réduisant le sacré et la morale religieuse, musulmane surtout, à un conglomérat de comportements nuisibles au bon fonctionnement de notre système politique. Cette perversion de concept au bénéfice d’une élite qui entend conserver sa domination par la coalition cooptés-collabos-dirigeants ne pouvait que séduire NPNS qui présente toutes les qualités requises au service demandé. Déjà habituée à l’enrichissement personnel aux dépens du bien commun, à la coalition d’intérêts et aux manigances obscures sur fond de stigmatisation, elle présente tous les prérequis nécessaires à la participation de la nouvelle croisade. Le compas et l’équerre se tendent comme bras ouverts en invitation, la beurette rampante finira les restes du seigneur aux pieds de la table triangle des traîtres à la Nation.

 

Mais le tablier doit rester propre. Le Grand-Maître ne saurait se plier aux tâches indignes de son rang et, pour ne pas apparaître en public occupé à de viles besognes, l’homme libre jette l’esclave en fange sociale avec ordre de s’y vautrer jusqu’à nouveau commandement. Rejoignant Tasin et Cassen sous le fouet, NPNS s’unit à la riposte organisée en haut-lieu pour mater les barbus sur tapis qui « prient en montrant leur derrière » [12]. Le peu d’honneur restant s’en va comme on tire la chasse d’eau et chaque claquement du cuir est un pas de plus dans la dissolution de soi. Très nettement inspirée par la Grande Loge féminine, la loi sur la burqa n’aura de meilleur relai en janvier 2010 que le défilé tapageur d’ilotes obéissantes en habits incriminés. La voix du maître commande à l’exhibition sous les injures et moqueries du public désormais averti. Humiliation.

 

Ainsi Habchi est-elle régulièrement convoquée à des interventions pour le compte et les intérêts de la loge. Le 09 décembre elle apparaît à Toulouse aux côtés de Pierre Lambicchi, président du conseil du GODF, au cours d’une conférence sur la laïcité, le 20 janvier de la même année elle fait une allocution au Grand Orient à l’occasion du 60éme anniversaire de la déclaration des droits de l’Homme puis remet ça le 13 décembre 2010 à propos de l’éventualité d’un islam français. Discours poussifs, syntaxe maladroite, ton pleurnichard, effets de charmes à deux balles et conviction de tortue, l’image affichée ne supporte aucun crédit. « Puisque c’est ce qu’on demande », elle parle des femmes opprimées en enfilant des perles de stéréotypes qui vont de la pédophile yéménite à la petite maman cloîtrée et interdite de commissions [13]. Snif. Petite récompense à l’esclave exhibée, le grand officier Roger Cordier, représentant Guy Arcizet, big master du GODF lui aussi, aurait fait acte de présence à Lyon aux fameux états généraux dont l’absence de compte-rendu, vidéo et liens valides pousse quand même à se demander s’ils se sont réellement déroulés.

 

De façon beaucoup plus certaine, l’existence de l’association, décrédibilisée en tout point, dépend en grande partie de la condition de son assujettissement à la maçonnerie. Femme objet dressée à l’exhib grossière, la NPNS lèche sagement le privilège de son maître et obtempère à l’ordre architecte de la trahison au peuple républicain. Le problème dans ce genre de déviance est de ne jamais être satisfait du davantage périlleux …

 

Paillassioniste

 

Drôle de gradation qui emmène la chienne en quête d’odeurs dominantes à devenir esclave encore moins libre qu’animal. De tant monter la barre du troc de l’acceptation, on s’oublie, on se perd, on se chosifie. A force d’errer la vulve gonflée dans les ruelles du pouvoir en espérant se faire attraper par le plus fort, il était plus qu’évident que la tête de meute allait se pointer. A la croisée du sponsoring médiatique et du tapinage politique anti-babouches, maître sionard par l’odeur alléchée lui tient à peu près le langage. Et bonjour Madame de banlieue, que vous êtes docile, que vous me semblez fausse, sans mentir si votre servage se rapporte à votre copinage, vous êtes le Phénix des bottes de nos lois. Ni une ni deux, on connaît la suite, l’autre ne se sent plus pisser, ouvre de larges fesses et laisse tomber Gaza.

 

Pas question pour le suppôt de Sharon d’aller de congrès en dîners avec la pompe dégeu’, tâchée d’un sang qui éclabousse le monde, faut un paillasson qui laisse semelle propre et un cirage qui redonne luisant. Astique, astique, l’arabique c’est fantastique. Pendant que Momo la débrouille se rachète une conduite au kibboutz de l’Oratoire, Fadelita fait allégeance au CRIF à l’occasion du dîner annuel du conseil. Soucieuse de la montée antisémite qui se révèle à travers monde, elle y rappelle sa « solidarité » et son « amitié envers la communauté juive » tout en se félicitant de la présence de nombreux soutiens à l’initiative des ni-nis (voir la vidéo). Afin d’assurer qu’il ne s’agit pas là d’une courbette de circonstances, elle visite Tel Aviv et Jérusalem au bras d’Anne Hidalgo, membre du comité France-Israël cher à Goasguen et à l’humoriste Eric Raoult. Elle livre les impressions de ce voyage au journal Haaretz et confie en ses lignes qu’il est bien facile pour elle de se sentir « très à l’aise » en terre sainte, loin d’une France raciste qui n’a de cesse de la « scruter ». Elle ajoute pêle-mêle à son rapport touristique que l’Holocauste est la référence suprême en matière de souffrance humaine, « qu’on ne peut le comparer à rien d’autre » et que « que le point de vue des habitants de banlieues » françaises sur le conflit en question est « trop étroit » (entendez *******) pour comprendre les rouages du souci [14]. L’interview déborde de saillies judaïques, nul besoin d’en dire plus.

 

 

 

 

 

Abdi lui aussi tombe sous la grâce du tour operator et offre son froc en serpillère dans les colonnes du monde des meilleurs : « J’ai découvert Israël, ce pays que j’avais haï. A Tel-Aviv, j’ai su ce qu’était la diversité. J’en avais les larmes aux yeux. Pas la moindre pression raciste. » Ça brille pas assez, vas-y Momo frotte : « Israël, au lieu d’être haï dans le monde arabe, devrait être une sorte de modèle, en tout cas la démonstration que l’on peut dans cette région du monde, même sans pétrole, créer une société prospère, démocratique et multiconfessionnelle. ». Ben voilà, là c’est propre [15].

 

En septembre 2006, Abdi sort boîte à cirage et peau de chamois à l’occasion de l’affaire Redeker. Dans un scud médiatique paru dans Le Figaro, le professeur de philosophie, discipline que l’on définit étymologiquement par amour de la sagesse, entreprend une condamnation enragée de l’islam et du prophète : « Exaltation de la violence : chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et polygame, tel se révèle Mahomet à travers le Coran. ». Trop classe, tout en finesse. Evidemment en face ça s’agite, Redeker est menacé de morts par des pseudo-terroristes, la pagaille escomptée a vite fait de secouer les médias et une gigantesque organisation de soutien est mise en œuvre pour condamner ses bicots qui non seulement n’acceptent pas la critique mais appellent de surcroît au crime de l’auteur. L’opération a réussi, musulman équivaut à haine, désordre et danger. Du côté du bien, tout le monde s’y colle. Finkielkraut, BHL, Bruckner, Glucksmann, Val, Fourest, le MRAP, SOS Racisme, Momo et bien d’autres encore s’activent pour changer islamophobie primaire en lutte pour le droit de parler. Pour l’occasion, Arié Bensemhoun, représentant du CRIF à Toulouse sort une vanne d’anthologie à la hauteur de la tolérance de sa communauté quant à la controverse religieuse et l’histoire sacralisée, attention la voici la voilà, elle est courte mais elle bonne : « Tout individu doit avoir le droit de blasphémer. La liberté d’expression ne se négocie pas ». Celle-là, même avec de la vaseline Gayssot, on est pas sûr qu’elle passe. Peu importe, Abdi est déjà à quatre pattes en train de briquer la carpette de son collassionisme et s’affiche sans restriction aux côtés de toute la clique participant à cette farce politico-médiatique dont le musulman reste le dindon.

 

De la chienne offerte à tous au paillasson sioniste en passant par l’esclave du compas, NPNS n’a eu de cesse de s’abaisser et d’obtempérer au commandement des forces dominantes en échange de protection et récompense. Sans jamais se soucier des conséquences sociales de sa prostitution ni obéir à d’autres volontés propres que celle de continuer à exister pour ramasser les miettes tombées, elle n’est, à l’inverse du sens de l’intitulé, que servitude, appareil et obéissance éhontée.

 

Bref, en résumé, soumise.

 

Pour Egalité et Réconciliation

 

Ruben Azahar

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Tu sais ce soir,bhl,sur la chaîne TV5 monde il était risible,incommodé,pressé par les journalistes présents qui l'ont acculés ,a avoué être un sioniste et qu'il veut rapprocher les juifs des musulmans.Il s'est aussi confessé en déclarant qu'il serait toujours sur le terrain des pays musulmans pour les aider à se démocratiser.Concernant la Libye - en tant que missionnaire-,les 70 personnes tuées par une balle dans la nuque,il le justifie par ce dicton:"on ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs"

(je ne voulais pas polluer)

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