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BHL. Bernard Henry Levy


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BHL. Bernard Henry levy

 

 

Cet homme s'appelle Bernard-Henri Lévy, souvent surnommé BHL,Né à Béni-Saf, Algérie, le 05 novembre 1948. Il est le fils d'André Lévy et de Ginette Siboni. Après avoir passé plusieurs années au Maroc, sa famille d'origine juive s'installe à Neuilly- sur- Seine en France en 1954. Son père, André, avait fondé la Becob, une société d’importation de bois africains qui sera rachetée par le groupe Pinault-Printemps-Redoute en 1997. Après la vente de l'entreprise, Bernard-Henri Lévy est resté actionnaire ou administrateur de plusieurs sociétés. Il est à la tête d'une société immobilière Finatrois et de production de cinéma. Il est également au conseil d'administration des Éditions Fasquelle. BHL est philosophe, éditorialiste et homme d'affaires français présent sur la scène publique française et internationaleLe sioniste Bernard Henry Levy co-théoricien avec Bernard Lewis du complot de la dislocation du monde arabo-musulman et le partage de ses richesses entre les États-Unis, la Grande Bretagne et Israel. La déclaration de Bernard Henry Levy selon laquelle il souhaiterait voir l’Algérie disloquée en plusieurs petits états. La guerre des images contre notre pays a commencé .Des simulations de manifestations ont été tournées par Aljazeera dans des studios du Makhzen marocain montrant des jeunes algériens brandissant des drapeaux algériens et scandant : pouvoir assassin, Bouteflika dégage, le peuple demande le changement du régime , avant même la date du 17 Septembre 2011 que Merouane Tayeb Bachiri, originaire de Djelfa, auto-proclamé coordinateur de la soi-disante Révolution algérienne n’intervienne.Selon le quotidien algérien ECHOROUK , edition du 10/09/2011, Merouane Tayeb Bachiri a confirmé au journal que des étrangers l'ont sollicité à travers le FACEBOOK afin de coordonner avec le sioniste Bernard Levy une Révolution en Algérie.

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Guest samirovsky
BHL. Bernard Henry levy

 

 

Cet homme s'appelle Bernard-Henri Lévy, souvent surnommé BHL,Né à Béni-Saf, Algérie, le 05 novembre 1948. Il est le fils d'André Lévy et de Ginette Siboni. Après avoir passé plusieurs années au Maroc, sa famille d'origine juive s'installe à Neuilly- sur- Seine en France en 1954. Son père, André, avait fondé la Becob, une société d’importation de bois africains qui sera rachetée par le groupe Pinault-Printemps-Redoute en 1997. Après la vente de l'entreprise, Bernard-Henri Lévy est resté actionnaire ou administrateur de plusieurs sociétés. Il est à la tête d'une société immobilière Finatrois et de production de cinéma. Il est également au conseil d'administration des Éditions Fasquelle. BHL est philosophe, éditorialiste et homme d'affaires français présent sur la scène publique française et internationaleLe sioniste Bernard Henry Levy co-théoricien avec Bernard Lewis du complot de la dislocation du monde arabo-musulman et le partage de ses richesses entre les États-Unis, la Grande Bretagne et Israel. La déclaration de Bernard Henry Levy selon laquelle il souhaiterait voir l’Algérie disloquée en plusieurs petits états. La guerre des images contre notre pays a commencé .Des simulations de manifestations ont été tournées par Aljazeera dans des studios du Makhzen marocain montrant des jeunes algériens brandissant des drapeaux algériens et scandant : pouvoir assassin, Bouteflika dégage, le peuple demande le changement du régime , avant même la date du 17 Septembre 2011 que Merouane Tayeb Bachiri, originaire de Djelfa, auto-proclamé coordinateur de la soi-disante Révolution algérienne n’intervienne.Selon le quotidien algérien ECHOROUK , edition du 10/09/2011, Merouane Tayeb Bachiri a confirmé au journal que des étrangers l'ont sollicité à travers le FACEBOOK afin de coordonner avec le sioniste Bernard Levy une Révolution en Algérie.

 

Moi qui ne piffait pas auparavant ce personnage, BHL, tu me le rends sympathique.:)

Si t'en fais autant, c'est qu'il doit être bon quelque part.

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Guest samirovsky
Bsahetek ........

C'est pour ça que je le met en ligne c'est pour demasquer ces sympatisants :tooth:

 

Il doit avoir un autre lien avec les Kabyles ce gars, autre que la photo que tu nous a montré avec Sadi, non ?:D

Il m'est impossible d'imaginer que tu défendes ou que tu vilipendes quelqu'un qui n'est pas de près ou de loin kabylophobe ou kabylophile, c'est selon.:cool:

 

Mais bsahtek aussi

tu peux aimer et détester qui tu veux.:chut:

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Il doit avoir un autre lien avec les Kabyles ce gars, autre que la photo que tu nous a montré avec Sadi, non ?:D

Il m'est impossible d'imaginer que tu défendes ou que tu vilipendes quelqu'un qui n'est pas de près ou de loin kabylophobe ou kabylophile, c'est selon.:cool:

 

Mais bsahtek aussi

tu peux aimer et détester qui tu veux.:chut:

 

Bof ! la prochaine fois je mettrais Zemmour lui aussi a des origines un peu métèque.

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BHL va bientot sortir son journal sur les evenement de lybie et sur son role ...de larges extaits sont deja disponibles

 

Du samedi 5 mars, par un coup de fil donné de Benghazi, jusqu'à la visite de Nicolas Sarkozy en Libye, le 15 septembre, "BHL" a informé, sollicité, accompagné, questionné le président de la République. A moitié Père Joseph, à moitié Saint-Simon, il a occupé six mois durant une position exceptionnelle. Au fil de La Guerre sans l'aimer, il brosse le portrait du chef de l'Etat en chef de guerre. Extraits.

BHL-Libye: La guerre sans l'aimer, extraits exclusifs Lundi 7 mars (Un matin, à l'Elysée)

"Merci d'être venu, commence-t-il.

- C'est moi qui suis heureux que ce rendez-vous ait été possible. Et si vite.

- J'ai lu ce que tu as écrit. Mais raconte-moi tout de même un peu."

Je lui raconte Benghazi. [...] Il m'écoute. Sans m'interrompre, pendant une bonne dizaine de minutes, il m'écoute. Est-il déjà convaincu ? Quel est son degré exact d'information? Dans le doute, j'en rajoute un peu.

"D'ailleurs, c'est bien simple... S'il y a un massacre à Benghazi, le sang des massacrés éclaboussera le drapeau français."

[...] A une série de menus signes (une lueur trouble dans le regard, une fixité soudaine et fugitive des traits) j'ai la même impression d'avoir touché, sans le savoir, un point secret de l'âme, un ancien tourment, je ne sais.

"C'est bien, fait-il, en me coupant, la voix plus sourde tout à coup. C'est bien. Gagnons du temps. Je sais tout cela. C'est la confirmation des rapports que je reçois. Il est trop tard, à l'évidence, pour une interdiction de survol. Mais des frappes ciblées sur les trois aéroports d'où décollent les avions militaires, plus un brouillage de leurs systèmes de transmissions, c'est, en effet, une solution..."

Il fait une moue, comme pour dire : "Espérons que, même pour cela, il ne soit pas déjà trop tard", puis jette un oeil à son portable qui, sur le canapé, vient de vibrer et poursuit : "Des frappes sur Syrte, Sebha, Bab al-Azizia peuvent peut-être suffire, oui. Mais il faut aller vite. Très vite."

Il n'a pas de notes devant lui. Mais je me rends compte qu'il est au fait du dossier.

Je ne serai pas Mitterrand. Je ne serai pas le président sous lequel on aura laissé mourir le peuple libyen. (Sarkozy)

 

"Le vrai problème sera politique, dit-il, comme s'il se faisait une objection à lui-même. D'abord, ce Conseil national de transition...

- Oui?

- J'ai donné mon accord pour les recevoir, donc je les recevrai.

- Bon.

- La vraie question, c'est: qu'est-ce qu'il faut en faire? Et à quel niveau, la reconnaissance?"

Il semble sincèrement se poser la question et n'avoir, sur ce point, pas arrêté sa doctrine. [...]

"Quand peuvent-ils être à Paris?

- Je ne sais pas... Très vite... [...]

- Et puis il y a l'autre problème politique. La France ne peut pas, non plus, y aller seule.

- Oh!, fais-je. Trois aéroports..."

Il sourit.

"Même trois aéroports, cela ne se fait pas sans l'accord de nos alliés. Et, plus important encore, sans un mandat international. Le pire serait de faire la même erreur que Bush en Irak. On ne le pardonnerait ni à la France ni à moi. [...] On va régler ça dès vendredi. On va faire un consensus européen. Et, forts de ce consensus, on ira aux Nations unies.

- Et si ça ne marche pas?

- Ça marchera."

Il voit mon air dubitatif et demande, sincèrement surpris:

"Qu'est-ce qui pourrait s'y opposer?

- Je ne sais pas... Qui dit que Berlusconi, Merkel se laisseront convaincre si facilement?

- Nous nous entendons bien, Angela Merkel et moi. Et elle ne peut pas être insensible à la justesse de la cause.

- Alors, dans ce cas, Juppé..."

Il fait comme s'il n'entendait pas, et répète : "Merkel! Comment imaginer Merkel dire non à une opération de sauvetage du peuple libyen? [...] Ça sert à quoi, la politique, si ce n'est à se souvenir des leçons de l'Histoire et à en tirer les conséquences? Je ne serai pas Mitterrand. Je ne serai pas le président sous lequel on aura laissé mourir le peuple libyen. [...] Quand je pense à tous ces gens qui diront que je fais ça pour des raisons politiciennes... Je ne me fais pas d'illusions. Cette guerre ne sera pas populaire. Ou, si elle l'est, ça ne durera pas longtemps. Mais ce n'est pas la question. Il faut la faire."

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suite......

Jeudi 10 mars

Elysée. 10 heures. Nous sommes dans la grande salle de réunion, jouxtant le bureau du président, qui fut le bureau d'Attali. Côté gauche de la table, en entrant, Sarkozy entouré d'Henri Guaino, de Jean-David Levitte et de son adjoint Nicolas Galey. En face, Ali Essaoui, entouré sur sa gauche de Mahmoud Jibril et sur sa droite d'un homme que je ne connais pas et dont je déduis que c'est Ali Zeidan - plus moi, qui, d'instinct, m'assieds à côté de Zeidan.

Les Libyens sont intimidés.

L'atmosphère est solennelle.

Les conseillers français, bizarrement, ont l'air déboussolé, comme s'ils ne savaient pas, eux-mêmes, à quoi ils doivent s'attendre. Guaino, en particulier, est tassé sur sa chaise, les épaules en dedans, le regard brûlant dans un visage maussade et une drôle de manière de lancer, à droite, à gauche, des coups d'oeil inquiets.

Sarkozy a un visage tendu, concentré, que je ne lui connais pas. C'est lui qui commence et qui, du reste, parlera pendant l'essentiel de l'entrevue.

"Je suis avec une extrême attention, dit-il, l'évolution des événements dans votre pays. [...] Je suis arrivé à la conclusion - arrêtez-moi, là aussi, si je me trompe - que la seule solution, face à la violence qui se déchaîne et à l'étendue des crimes qui sont commis, est une opération militaire. Oh! On ne va pas déclarer la guerre à la Libye. Ni, encore moins, faire la révolution à la place des Libyens. Les Français n'ont eu besoin de personne, en 1789, pour faire leur révolution. Et je ne vois donc pas pourquoi les Libyens auraient besoin des Français, ni de n'importe qui d'autre, pour faire la leur. [...] J'ai compris, à travers M. Lévy, que vous étiez demandeurs d'une intervention aérienne modeste, limitée dans le temps, sans troupes au sol et ciblée sur les moyens militaires qui font, dans la population civile, les dégâts dont le monde est témoin. Eh bien, je suis d'accord. Je vous le dis au nom de la France, je suis d'accord sur cette intervention limitée, ciblée, que vous nous demandez. [...] Un chef d'Etat a des droits (peu) et des devoirs (beaucoup). Or, au premier rang de ces devoirs, il y a l'obligation de protéger sa population. Kadhafi a failli à ce devoir. Il a même fait pire que cela, puisque les victimes de la répression qu'il a déclenchée se comptent, apparemment, par milliers. [...] A partir de là, il a perdu le droit à diriger son pays. Il n'a plus aucune légitimité. Et c'est pourquoi je suis partisan d'un transfert de légitimité total, rapide et même immédiat en faveur du Conseil national de transition que vous représentez. Concrètement, ce sera très simple. Nous allons vous reconnaître, dès aujourd'hui, comme seuls représentants légitimes de la Libye."

Merkel, gronde Sarkozy, est "lamentable" de prudence.

[...] L'audience a duré une heure. Les Libyens sont stupéfiés. Ils n'ont, en lui serrant la main, pas de mots assez forts pour dire leur gratitude à ce président providentiel. [...] Mais, à peine dehors, mon téléphone sonne. C'est le président qui veut savoir ce que j'ai pensé de l'entretien, si je suis heureux, si tout est bien conforme à ce que nous nous étions dit. Puis, étrangement, sans que, même maintenant, alors que la journée est terminée et que j'en dresse le bilan, je comprenne pourquoi, il me lance : "Bon... tu étais là, hein, toi aussi... alors, n'hésite pas... dis ce que tu as vu et entendu... n'hésite pas à t'exprimer..."

Jeudi 17 mars

[...] La chancelière Merkel, gronde-t-il, est "lamentable" de prudence. Mais Medvedev tiendra parole. Il a, lui, Nicolas Sarkozy, personnellement convaincu le Sud-Africain et le Grec. En sorte que, si Hu Jintao, qu'il a appelé, lui aussi, personnellement, accepte de ne pas user de son veto et se contente de s'abstenir, si tel autre membre cède à la supplique (il n'y a pas d'autre mot) qu'il lui a adressée, il y a une vraie chance que la résolution française passe.

[...]

Le téléphone sonne. C'est, à nouveau, le président de la République. "Je suis encore réveillé, ce qui n'est pas trop mon genre. Mais je voulais te l'annoncer moi-même. La résolution a été votée. Oui, votée. C'est une grande victoire pour la France. Mais c'est une grande victoire, surtout, pour la Libye dont les populations sont désormais sous protection de la communauté internationale." Dans cette ultime conversation, la troisième de la journée, alternent des mots de joie ("J'ai bataillé, je suis heureux"), de gratitude ("Zuma a été formidable"), des considérations plus futiles (si Obama va, ou non, l'appeler pour le féliciter), des curiosités (ce que l'on pense autour de moi et si je suis bien certain que Cohn-Bendit, par exemple, était favorable à l'intervention militaire) et puis le ton grave du chef de guerre qu'il est, à partir de cet instant, forcé de devenir (il a, déjà, une idée du terrain et des fronts; il a, déjà, mis au travail son état-major particulier et ses généraux; il aura, dès demain matin, un plan de frappes qu'il faudra, si l'on veut sauver Benghazi, mettre en oeuvre sans tarder).

Samedi 19 mars

C'est un président plus tendu, anxieux, qui m'annonce, cette fois, le début imminent des frappes. "Il était temps, fait-il. Tous les renseignements qui nous parviennent indiquent que Kadhafi s'est moqué de nous avec son prétendu cessez-le-feu. Et la chute de Benghazi, à l'heure où nous parlons, ne serait plus qu'une question d'heures, peut-être de minutes, si nous n'intervenions pas. Mais, là, cela ira. Nous serons sur zone à temps. Les avions français frapperont les premiers. Puis les Canadiens. Les Américains arriveront demain. Et, dans les heures qui suivent, les Arabes. Pourquoi pas tout de suite? Parce qu'ils ont des problèmes de pilotes. Mais cela n'a aucune importance. Ils sont complètement derrière nous."

Etrange sentiment, tout à coup, qu'entre Kadhafi et lui c'est devenu, comme on dit dans les polars, "personnel".

Et puis enfin, un peu avant 20 heures, un troisième appel. Apaisé. "Une première colonne vient d'être neutralisée. Nous avions déjà, il y a deux heures, détruit un véhicule blindé. Mais, là, c'est plus sérieux. Ce sont quatre chars. Les quatre premiers chars, qui étaient aux portes de Benghazi. Ce sont nos avions qui ont frappé dans les deux cas. Les avions français. Nous taperons toute la nuit, s'il le faut. Nos renseignements étaient bons. La ville n'aurait pas tenu une nuit de plus. Les cellules kadhafistes s'y croyaient déjà et avaient, dans les faubourgs, commencé de se découvrir. Maintenant, ils se terrent. La peur a changé de camp. C'est bien."

suite............. retrouvez la sur http://www.lexpress.fr/actualite/monde/bhl-libye-la-guerre-sans-l-aimer-extraits-exclusifs-du-livre_1048843.html

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BHL m'indiffère complètement mais je viens de tomber sur une vidéo.

C'est marrant ...Je me demande qui a bien pu donner l'ordre de le virer.:mdr:

 

[YOUTUBE]i_FOQtbtC38[/YOUTUBE]

 

Ce minable devrait faire en sorte de ne pas se mêler des révolutions arabes car il leur porte préjudice .

Avant même que les blessés de Libye aient pansé leur plaie , il sort un livre dont il fait la promo avec un cynisme dégoutant!!!:puke3:

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Ce minable devrait faire en sorte de ne pas se mêler des révolutions arabes car il leur porte préjudice .

Avant même que les blessés de Libye aient pansé leur plaie , il sort un livre dont il fait la promo avec un cynisme dégoutant!!!:puke3:

 

Il est viré par les agents du quai d'Orsay .

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Guest
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