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Alger veut profiter de l’expérience agricole marocaine


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On peut spéculer sur ce qui reste à prouver des deux cotés , mais il faut avouer que l'argument de la superficie est pour le moins ....... hilarant ! :D

 

Ceci dit , je ne vois pas ce que le métro vient faire dans un débat sur les barrages . Tu aurais pu aussi te laisser aller franchement et dire que l'Algérie c'est Bled Essiba et tu aurais ainsi résumé toute ta pensée et celle des tiens concernant mon pays , sans entrer dans les détails .

 

TU FAIS ERREUR A MON FRERE: tu veux être ou faire un deuxiéme apulee?.

 

Un barrage ne se construit pas en un clin d'oeil.

 

La réalisation de n'importe quel projet et je suis bien placé pour te le dire dépend de plusieurs et différents facteurs sans tenir comptes des et des imprévus indépendants de la volonté de n'importe quelle étude.

 

PEUX NOUS DIRE ET EXPLIQUER POURQUOI TOUT CE RETARD?

 

Je l'ai pris à titre d'exemple comme n'importe quel projet

Le missile balistique POLARIS a pris 12 ans aprés des modifications sérieuses pour avoir produit un seul échantillon au poin, fiable et sur au lieu de 5 ans comme prévus.

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TU FAIS ERREUR A MON FRERE: tu veux être ou faire un deuxiéme apulee?.

 

Un barrage ne se construit pas en un clin d'oeil.

 

La réalisation de n'importe quel projet et je suis bien placé pour te le dire dépend de plusieurs et différents facteurs sans tenir comptes des et des imprévus indépendants de la volonté de n'importe quelle étude.

 

PEUX NOUS DIRE ET EXPLIQUER POURQUOI TOUT CE RETARD?

 

Je l'ai pris à titre d'exemple comme n'importe quel projet

Le missile balistique POLARIS a pris 12 ans aprés des modifications sérieuses pour avoir produit un seul échantillon au poin, fiable et sur au lieu de 5 ans comme prévus.

 

Le metro n'a jamais été réalisé en 30 ans , la durée réelle des travaux est de pas plus de 7 ans .

Ce projet a été lancé par des gens qui l'avaient sous estimé à tous les niveaux , ensuite la situation financière catastrophique du pays depuis le milieu des années 80 , l'a carrément paralysé .

 

Ceci dit , je trouve que la présence de beaucoup de marocains sur ce forum n'a pour but que de provoquer les algériens , dont beaucoup n'attendent que ça d'ailleurs , ce qui fausse totalement les échanges entre les deux communautés .

 

Vous n'avez jamais relevé dans vos interventions que sur ce forum , ceux qui présentent pompeusement des réalisations imputée au pouvoir , se font incendier par leur propres compatriotes , et vous n'avez jamais au grand jamais dit un mot de travers sur votre pouvoir .

 

Vous n'êtes là que pour nous en mettre plein la vue avec votre réussite !

 

Allah ybarek ou yzid incha allah , et pourvu que ça dure ! ;)

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MJB, pourquoi ne veux-tu donc pas discuter calmement avec nous ?

 

Pourquoi tu m'entends crier?????!!!!!!!......

Moi, je parle d'une chose pour justifier ce que je dis sachant que la meilleure façon de parler et de faire passer un message consiste à donner des exemples.

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OUVRES UN PEU TES YEUX ET TES OREILLES A LHAJ

 

ALGERIE = 59 barrages en service et opèrationnels

capacité = 2,5 milliards de m3

 

MAROC = 129 grands barrages en service ( les collinaires sont exclus)

capacité = + de 17,5 milliards de m3

SUPERFICIE = algérie = + de 3 fois plus grande que le maroc

 

SI TU NE SAIS ET COMPRENDS RIEN = TU TE LA FERMES ET BIEN.

 

Ce n'est pas en débitant des calomnies que tu risques de paraître moins débile .... tu aurais très bien pu nous parler du potentiel hydrique (encore faut-il que tu saches ce que c'est) des deux pays qui est estimé (en milliards de m3) a 17.2 pour l’Algérie et 22 pour le maroc (13 d'entre eux perdus en mer chaque année).

 

Inutile de te rappeler que d’après la banque mondiale (qui n'a jamais fait de cadeau a l’Algérie), l'Algérie est «un pays exemple» dans la région Moyen-Orient, Nord Afrique (Mena) en matière de mobilisation et d'utilisation rationnelle des ressources en eau.

Ceci dit, cela n'explique toujours pas pourquoi Le maroc produit moins de richesses a travers l’Agriculture que l’Algérie (un fait vérifiable sur tout les sites nationaux et internationaux), bien que la moitie de sa population active est employée dans ce secteur (3 fois plus qu'en Algérie).

 

P.S. En terme de superficie, l’Algérie est 5 fois plus grande que ta presqu’île, et non 3 fois comme tu sembles le croire. :D

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Ce n'est pas en débitant des calomnies que tu risques de paraître moins débile .... tu aurais très bien pu nous parler du potentiel hydrique (encore faut-il que tu saches ce que c'est) des deux pays qui est estimé (en milliards de m3) a 17.2 pour l’Algérie et 22 pour le maroc (13 d'entre eux perdus en mer chaque année).

 

Inutile de te rappeler que d’après la banque mondiale (qui n'a jamais fait de cadeau a l’Algérie), l'Algérie est «un pays exemple» dans la région Moyen-Orient, Nord Afrique (Mena) en matière de mobilisation et d'utilisation rationnelle des ressources en eau.

Ceci dit, cela n'explique toujours pas pourquoi Le maroc produit moins de richesses a travers l’Agriculture que l’Algérie (un fait vérifiable sur tout les sites nationaux et internationaux), bien que la moitie de sa population active est employée dans ce secteur (3 fois plus qu'en Algérie).

 

P.S. En terme de superficie, l’Algérie est 5 fois plus grande que ta presqu’île, et non 3 fois comme tu sembles le croire. :D

 

ALGERIE MAROC

 

2381741 : 712550 = 3, 34 disons 3 fois plus

 

 

 

Si tu ne le sais pas ya ibn adam lorsque tu dis je cite:

Inutile de te rappeler que d’après la banque mondiale (qui n'a jamais fait de cadeau a l’Algérie), l'Algérie est «un pays exemple» dans la région Moyen-Orient, Nord Afrique (Mena) en matière de mobilisation et d'utilisation rationnelle des ressources en eau.

 

IL EST QUESTION D'IMPORTER DE L'EAU A PARTIR DU FLEUVE CONGO ET TU TE PERMETS DE PARLER DE L'AGRICULTURE, DU RENDEMENT ET DU POTENTIEL HYDRIQUE

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ALGERIE MAROC

 

2381741 : 712550 = 3, 34 disons 3 fois plus

 

 

 

Si tu ne le sais pas ya ibn adam lorsque tu dis je cite:

Inutile de te rappeler que d’après la banque mondiale (qui n'a jamais fait de cadeau a l’Algérie), l'Algérie est «un pays exemple» dans la région Moyen-Orient, Nord Afrique (Mena) en matière de mobilisation et d'utilisation rationnelle des ressources en eau.

 

IL EST QUESTION D'IMPORTER DE L'EAU A PARTIR DU FLEUVE CONGO ET TU TE PERMETS DE PARLER DE L'AGRICULTURE, DU RENDEMENT ET DU POTENTIEL HYDRIQUE

 

Tu nous prends pour des makhzanis ou quoi ? :mdr:

 

La superficie du maroc est de 446,550 Km2 .... Le chiffre officiel avancé par vos amis les Américains. :D

 

Je sais que ça te fait mal ........ pendant que les Algériens ont consentit des efforts remarquables pour éradiquer le problème endémique de la rareté de l'eau (stations de dessalements, etc ..), les makhzanis continuent a scruter le ciel et dépendre des averses et autres intempéries climatiques. :D

 

D’après la banque mondiale, l'Algérie est «un pays exemple» dans la région Moyen-Orient, Nord Afrique (Mena) en matière de mobilisation et d'utilisation rationnelle des ressources en eau. :D

 

Vas lécher les babouches de rabak sur terre .... Moutak khir mahyatek. :mdr:

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Tu nous prends pour des makhzanis ou quoi ? :mdr:

 

La superficie du maroc est de 446,550 Km2 .... Le chiffre officiel avancé par vos amis les Américains. :D

 

Je sais que ça te fait mal ........ pendant que les Algériens ont consentit des efforts remarquables pour éradiquer le probleme endémique de la raréfication de l'eau (stations de dessalements, etc ..), les makhzanis continuent a scruter le ciel et dépendre des averses et autres intempéries climatiques. :D

 

D’après la banque mondiale, l'Algérie est «un pays exemple» dans la région Moyen-Orient, Nord Afrique (Mena) en matière de mobilisation et d'utilisation rationnelle des ressources en eau. :D

 

Vas lécher les babouches de rabak sur terre .... Moutak khir mahyatek. :mdr:

 

C'EST VRAI TU ES PERIME COMME UN DISQUE CASSE ET NON RAYE

 

Je vois que tu as passé sous silence ce qui suit:

 

IL EST QUESTION QUE TES GOUVERNANTS VONT IMPORTER DE L'EAU A PARTIR DU FLEUVE CONGO ET TU TE PERMETS DE PARLER DE L'AGRICULTURE, DU RENDEMENT ET DU POTENTIEL HYDRIQUE

Une petite question: combien tu as fleuves et non oueds ou riviéres?.

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C'EST VRAI TU ES PERIME COMME UN DISQUE CASSE ET NON RAYE

 

Je vois que tu as passé sous silence ce qui suit:

 

IL EST QUESTION QUE TES GOUVERNANTS VONT IMPORTER DE L'EAU A PARTIR DU FLEUVE CONGO ET TU TE PERMETS DE PARLER DE L'AGRICULTURE, DU RENDEMENT ET DU POTENTIEL HYDRIQUE

Une petite question: combien tu as fleuves et non oueds ou riviéres?.

 

La seule réponse que les menteurs et lèches *** méritent est la même qu'ils essayent d’éviter .... Je vais te la faire avaler en long et en large. :mdr:

 

Je sais que ça te fait mal ........ pendant que les Algériens ont consentit des efforts remarquables pour éradiquer le problème endémique de la rareté de l'eau (stations de dessalements, etc ..), les makhzanis continuent a scruter le ciel et dépendre des averses et autres intempéries climatiques. :D

 

D’après la banque mondiale, l'Algérie est «un pays exemple» dans la région Moyen-Orient, Nord Afrique (Mena) en matière de mobilisation et d'utilisation rationnelle des ressources en eau. :D

 

Vas lécher les babouches de rabak sur terre .... Moutak khir mahyatek. :mdr:

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La seule réponse que les menteurs et lèches *** méritent est la même qu'ils essayent d’éviter .... Je vais te la faire avaler en long et en large. :mdr:

 

Je sais que ça te fait mal ........ pendant que les Algériens ont consentit des efforts remarquables pour éradiquer le problème endémique de la rareté de l'eau (stations de dessalements, etc ..), les makhzanis continuent a scruter le ciel et dépendre des averses et autres intempéries climatiques. :D

 

D’après la banque mondiale, l'Algérie est «un pays exemple» dans la région Moyen-Orient, Nord Afrique (Mena) en matière de mobilisation et d'utilisation rationnelle des ressources en eau. :D

 

Vas lécher les babouches de rabak sur terre .... Moutak khir mahyatek. :mdr:

 

Tu n'as pas répondu combien tu as de fleuves et t'es étonné de l'import de l'eau à partir du fleuve du congo: je peux venir te donner des leçons et des cours même si tu sais faire le cowboy avec tes vulgarités et tes insultes

suis ce lien pour t'abreuver toi et ce que tu gardes:

 

nationale pour … Hébergé par . L'Algérie face à la pénurie de l'eau - Algérie Pyrénées - de Toulouse ...

L'Algérie face à la pénurie de l'eau - Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset

- Bloquer tous les résultats de Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset

L'Algérie va s'alimenter du fleuve CongoL'eau sera plus rare…..l'Algérie va s' alimenter du fleuve CongoLe directeur de l'Agence..

je croyais qu'avec ton chapeau et ta cigarette , tu comprends quelque chose: tu n'as pas voulu comprendre que les FMI, Banques ou autres choses ne font et ne jouent que les bons perroquets des gouvernements des pays sous développés pour induire en erreurs leurs peuples

 

NB: sois un peu poli, je crois que tu es adulte et vacciné

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ALGERIE MAROC

 

2381741 : 712550 = 3, 34 disons 3 fois plus

 

Tu nous prends pour des makhzanis analphabetes comme toi ? :mdr:

 

La superficie du maroc est de 446,550 Km2 .... Le chiffre officiel avancé par vos amis les Américains. :D

 

Ne t'attends surtout pas a une réponse de ma part puisque tu ne connais même pas la superficie de ton pays ...... Tu es méprisable!

 

P.S. D’après la banque mondiale, l'Algérie est «un pays exemple» dans la région Moyen-Orient, Nord Afrique (Mena) en matière de mobilisation et d'utilisation rationnelle des ressources en eau. :D

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Guest faridurar2
Tu n'as pas répondu combien tu as de fleuves et t'es étonné de l'import de l'eau à partir du fleuve du congo..

 

l'Algerie se débrouille très bien même si géographiquement elle a moins d'atouts que le Maroc pour l'agriculture,ça démontre d'autant plus ses efforts et il faut se poser des questions pour le Maroc qui a pourtant plus d'atouts géographiquement,faut pas déconner quand même.

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Juste une précision. L'estimation de la production agricole de l'Algérie se fait par sondages auprès de personnes proches des campagnes et non sur des quantités réelles faisant l'objet d'échanges facturés ou passant par le circuit bancaire.

 

Au Maroc, le fait que l'on ait affaire avec une agriculture exportatrice, les données sont plus sincères.

 

En fait les statistiques algériennes se rapprochent de la comptabilisation des vaches corses dans le maquis et dont chacun s'attribue la propriété pour toucher les aides de l'Europe. Par exemple, une étudiante de Montpellier bénéficiait d'une prime pour une vingtaine de vaches.

 

Quant à la comptabilité nationale, le Maroc opte pour le système de mesure normalisé de l'ONU, l'Algérie est en train de faire de même.

 

En dehors des hydrocarbures, et encore, il est difficile de voir ce qui se produit exactement.

 

Quant à l'or bleu (eau), le Maroc est mieux placé que l'Algérie. Le dessalement de l'eau de mer coûte une fortune. A la fin du pétrole, ce sera un retour à l'état de nature, et des usines en état d'abandon.

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Guest jagellon
Juste une précision. L'estimation de la production agricole de l'Algérie se fait par sondages auprès de personnes proches des campagnes et non sur des quantités réelles faisant l'objet d'échanges facturés ou passant par le circuit bancaire.

 

Au Maroc, le fait que l'on ait affaire avec une agriculture exportatrice, les données sont plus sincères.

 

En fait les statistiques algériennes se rapprochent de la comptabilisation des vaches corses dans le maquis et dont chacun s'attribue la propriété pour toucher les aides de l'Europe. Par exemple, une étudiante de Montpellier bénéficiait d'une prime pour une vingtaine de vaches.

 

Quant à la comptabilité nationale, le Maroc opte pour le système de mesure normalisé de l'ONU, l'Algérie est en train de faire de même.

 

En dehors des hydrocarbures, et encore, il est difficile de voir ce qui se produit exactement.

 

Quant à l'or bleu (eau), le Maroc est mieux placé que l'Algérie. Le dessalement de l'eau de mer coûte une fortune. A la fin du pétrole, ce sera un retour à l'état de nature, et des usines en état d'abandon.

 

Duduche a tellement la rage qu'il raconte n'importe quoi..comme d'hab

 

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Tu n'as pas répondu combien tu as de fleuves et t'es étonné de l'import de l'eau à partir du fleuve du congo: je peux venir te donner des leçons et des cours même si tu sais faire le cowboy avec tes vulgarités et tes insultes

suis ce lien pour t'abreuver toi et ce que tu gardes:

 

nationale pour … Hébergé par . L'Algérie face à la pénurie de l'eau - Algérie Pyrénées - de Toulouse ...

L'Algérie face à la pénurie de l'eau - Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset

- Bloquer tous les résultats de Algérie Pyrénées - de Toulouse à Tamanrasset

L'Algérie va s'alimenter du fleuve CongoL'eau sera plus rare…..l'Algérie va s' alimenter du fleuve CongoLe directeur de l'Agence..

je croyais qu'avec ton chapeau et ta cigarette , tu comprends quelque chose: tu n'as pas voulu comprendre que les FMI, Banques ou autres choses ne font et ne jouent que les bons perroquets des gouvernements des pays sous développés pour induire en erreurs leurs peuples

 

NB: sois un peu poli, je crois que tu es adulte et vacciné

 

Si tu as le temps pour lire

 

Les étendues désertiques d'Afrique du Nord dissimulent de colossales réserves d'eau héritées d'un passé lointain. Leur exploitation massive risque toutefois de les faire disparaître d'ici cinquante à cent ans.

 

Le Sahara. Dans l'imaginaire collectif, ce mot évoque les étendues désertiques et arides. De fait, la région est peu arrosée et très chaude. Résultat, les faibles précipitations - 50 à 100 millimètres en moyenne annuelle - s'évaporent immédiatement. Si l'eau est rare en surface, elle est en revanche présente en profondeur. Et en quantité ! L'aquifère * du Sahara septentrional, qui s'étend sur plus de un million de kilomètres carrés sous l'Algérie, la Tunisie et la Libye, recèle environ 31 000 milliards de mètres cubes d'eau. À titre de comparaison, la nappe souterraine de l'Albien, qui occupe environ 100 000 kilomètres carrés sous le Bassin de Paris, n'en renferme « que » 425 milliards de mètres cubes.

 

Mais contrairement aux 16 millions d'habitants du Bassin parisien qui bénéficient aussi de l'eau des fleuves et des rivières, la population saharienne dépend presque entièrement de cette eau souterraine. Exploitée depuis plus d'un siècle, elle est à l'origine du développement urbain et agricole de la région, en particulier des villes de l'Atlas saharien. Mais aujourd'hui, c'est lui qui menace la survie de l'aquifère. Car les puits et forages profonds (certains descendent à plus de 1 000 mètres) se sont multipliés au cours des trente dernières années. On en compte près de 10 000 ! Chaque année, plus de 2,5 milliards de mètres cubes d'eau sont ainsi ponctionnés - contre seulement 600 millions de mètres cubes en 1970 - pour alimenter les villes et villages en eau potable et, surtout, les périmètres d'irrigation. La question de la pérennité de l'aquifère se pose donc avec une acuité croissante à mesure que la demande augmente. Et, avec elle, celle de sa recharge par les eaux de pluie et de ruissellement.

 

Deux réservoirs

 

« L'aquifère du Sahara septentrional est un réservoir fossile. Il s'est constitué il y a plus de 10 000 ans, lorsque la région était soumise à un climat plus humide »,explique Jean Margat, conseiller du bureau de recherches géologiques et minières. Pendant des dizaines de milliers d'années, les pluies se sont infiltrées dans le sous-sol et accumulées dans différentes couches géologiques. C'est ainsi que se sont formées les deux réserves principales de l'aquifère : le « continental intercalaire », la plus profonde et la plus vaste, et le « complexe terminal » [fig. 1] . La première s'étend à plusieurs centaines de mètres de profondeur (son toit se trouve entre 50 et 2 300 mètres sous la surface selon les endroits) sur 600 000 kilomètres carrés dans des grès et des argiles vieux de 100 à 150 millions d'années. Environ 20 000 milliards de mètres cubes d'eau y sont piégés. Au-dessus, les sables et calcaires du complexe terminal, formés il y a 30 à 80 millions d'années, en renferment 11 000 milliards de mètres cubes supplémentaires.

 

On a longtemps cru que l'aquifère du Sahara septentrional ne se rechargeait pas. Mais les analyses géochimiques faites depuis une quinzaine d'années et récemment compilées par Mohamedou Ould Baba Sy, de l'École nationale d'ingénieurs de Tunis, montrent qu'il n'en est rien [1] . La mesure des teneurs en différents éléments chimiques - le tritium, le carbone-14 et le chlore-36 - dans les forages et les puits montre que des eaux de pluies et de ruissellement s'infiltrent directement dans le continental intercalaire, essentiellement au niveau de l'Atlas saharien, là où l'aquifère affleure presque. Lorsqu'il y a des épisodes pluvieux, elles s'immiscent aussi entre les grains de sable des dunes des grands ergs.

 

Toute la question est de quantifier cette recharge. Et là, les choses se corsent. La recharge est tributaire des précipitations, lesquelles sont très inégales d'une année sur l'autre et d'une région à l'autre. En outre, l'évaporation reste mal connue. Résultat, les estimations sont empreintes de grosses incertitudes. « Bon an mal an, et au maximum, environ un milliard de mètres cubes d'eau s'infiltrent dans l'aquifère. Ce qui est bien insuffisant pour compenser les prélèvements »,précise Marc Bied-Charreton, qui préside le Comité français de la désertification. « Toute ponction altère irrémédiablement la réserve. Nous sommes face à une ressource non renouvelable du type du charbon ou du pétrole. Au rythme d'exploitation actuel, l'aquifère pourrait disparaître d'ici cinquante à cent ans »,renchérit J. Margat.

 

D'ores et déjà, le niveau moyen du continental intercalaire et du complexe terminal, mesuré dans les puits et les forages, s'est abaissé de 25 à 50 mètres selon les endroits, entre 1950 et 2000. Conséquence directe : de nombreuses sources naturelles, autour desquelles se sont développées les oasis traditionnelles, se tarissent. Ce n'est pas tout. « La qualité des eaux et des sols se dégrade »,prévient J. Margat. Les eaux de l'aquifère sont minéralisées. Celles du complexe terminal contiennent 2 à 5 grammes par litre de sels, celles du continental intercalaire, 1 à 4,5 grammes par litre. Mal drainée, l'eau d'irrigation laisse donc derrière elle un résidu salin qui, au fil du temps, endommage les surfaces cultivables. De plus, l'accroissement des prélèvements modifie les conditions d'écoulement souterrain et, par conséquent, la composition des eaux. « Le pompage crée une baisse locale du niveau des eaux , poursuit l'hydrogéologue. Des eaux lointaines sont attirées pour combler le vide, certaines plus salées que d'autres. Comme la teneur en sels des eaux est hétérogène, l'exploitation de l'aquifère est à l'origine d'augmentations locales de la salinité. J'ai observé cette évolution en de nombreux endroits d'Algérie et de Tunisie. »Autant d'impacts qui aggravent la désertification, et la pauvreté des populations locales.

 

Gestion transfrontalière

 

Conscientes de la fragilité du système, l'Algérie, la Tunisie et la Libye mettent actuellement en place un mécanisme de gestion transfrontalier. Ils en ont confié la responsabilité à l'Observatoire du Sahara et du Sahel, basé à Tunis. L'objectif ? Collecter les mesures faites au niveau des forages et des puits (hauteur du niveau, quantité d'eau pompée, teneur en sels, etc.), les intégrer dans un modèle numérique simulant l'évolution de l'aquifère afin de contrôler en temps réel les prélèvements et de lancer d'éventuelles alertes en cas de pompage excessif [2] . « C'est la première fois qu'un tel mécanisme de concertation est élaboré entre pays frontaliers, se félicite Marc Bied-Charreton. Tout l'enjeu des prochaines années sera d'ajuster l'offre à la demande, compte tenu de l'évolution démographique, des besoins en eau potable, de ceux de l'industrie et de l'agriculture. »

 

Toutefois, cette gestion concertée ne sauvera pas l'aquifère, elle augmentera seulement un peu sa longévité. D'autres solutions doivent dès maintenant être envisagées afin de pourvoir aux besoins d'une population qui atteindra 8 millions d'habitants à l'horizon 2030. « Le dessalement de l'eau de mer, qui a déjà commencé en Libye et en Tunisie, sera le relais obligatoire »,estime J. Margat. Mais c'est une autre histoire.

 

Fabienne Lemarchand

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Tu nous prends pour des makhzanis analphabetes comme toi ? :mdr:

 

La superficie du maroc est de 446,550 Km2 .... Le chiffre officiel avancé par vos amis les Américains. :D

 

Ne t'attends surtout pas a une réponse de ma part puisque tu ne connais même pas la superficie de ton pays ...... Tu es méprisable!

 

P.S. D’après la banque mondiale, l'Algérie est «un pays exemple» dans la région Moyen-Orient, Nord Afrique (Mena) en matière de mobilisation et d'utilisation rationnelle des ressources en eau. :D

 

SI TU PRETENDS AVOIR UN NIF PAS POUR LA MORVE: REPONDS

 

MAIS SI TU AS UN "nif" : DEGAGE.

 

Personne ne profite de tes interventions

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Si tu as le temps pour lire

 

Les étendues désertiques d'Afrique du Nord dissimulent de colossales réserves d'eau héritées d'un passé lointain. Leur exploitation massive risque toutefois de les faire disparaître d'ici cinquante à cent ans.

 

Le Sahara. Dans l'imaginaire collectif, ce mot évoque les étendues désertiques et arides. De fait, la région est peu arrosée et très chaude. Résultat, les faibles précipitations - 50 à 100 millimètres en moyenne annuelle - s'évaporent immédiatement. Si l'eau est rare en surface, elle est en revanche présente en profondeur. Et en quantité ! L'aquifère * du Sahara septentrional, qui s'étend sur plus de un million de kilomètres carrés sous l'Algérie, la Tunisie et la Libye, recèle environ 31 000 milliards de mètres cubes d'eau. À titre de comparaison, la nappe souterraine de l'Albien, qui occupe environ 100 000 kilomètres carrés sous le Bassin de Paris, n'en renferme « que » 425 milliards de mètres cubes.

 

Mais contrairement aux 16 millions d'habitants du Bassin parisien qui bénéficient aussi de l'eau des fleuves et des rivières, la population saharienne dépend presque entièrement de cette eau souterraine. Exploitée depuis plus d'un siècle, elle est à l'origine du développement urbain et agricole de la région, en particulier des villes de l'Atlas saharien. Mais aujourd'hui, c'est lui qui menace la survie de l'aquifère. Car les puits et forages profonds (certains descendent à plus de 1 000 mètres) se sont multipliés au cours des trente dernières années. On en compte près de 10 000 ! Chaque année, plus de 2,5 milliards de mètres cubes d'eau sont ainsi ponctionnés - contre seulement 600 millions de mètres cubes en 1970 - pour alimenter les villes et villages en eau potable et, surtout, les périmètres d'irrigation. La question de la pérennité de l'aquifère se pose donc avec une acuité croissante à mesure que la demande augmente. Et, avec elle, celle de sa recharge par les eaux de pluie et de ruissellement.

 

Deux réservoirs

 

« L'aquifère du Sahara septentrional est un réservoir fossile. Il s'est constitué il y a plus de 10 000 ans, lorsque la région était soumise à un climat plus humide »,explique Jean Margat, conseiller du bureau de recherches géologiques et minières. Pendant des dizaines de milliers d'années, les pluies se sont infiltrées dans le sous-sol et accumulées dans différentes couches géologiques. C'est ainsi que se sont formées les deux réserves principales de l'aquifère : le « continental intercalaire », la plus profonde et la plus vaste, et le « complexe terminal » [fig. 1] . La première s'étend à plusieurs centaines de mètres de profondeur (son toit se trouve entre 50 et 2 300 mètres sous la surface selon les endroits) sur 600 000 kilomètres carrés dans des grès et des argiles vieux de 100 à 150 millions d'années. Environ 20 000 milliards de mètres cubes d'eau y sont piégés. Au-dessus, les sables et calcaires du complexe terminal, formés il y a 30 à 80 millions d'années, en renferment 11 000 milliards de mètres cubes supplémentaires.

 

On a longtemps cru que l'aquifère du Sahara septentrional ne se rechargeait pas. Mais les analyses géochimiques faites depuis une quinzaine d'années et récemment compilées par Mohamedou Ould Baba Sy, de l'École nationale d'ingénieurs de Tunis, montrent qu'il n'en est rien [1] . La mesure des teneurs en différents éléments chimiques - le tritium, le carbone-14 et le chlore-36 - dans les forages et les puits montre que des eaux de pluies et de ruissellement s'infiltrent directement dans le continental intercalaire, essentiellement au niveau de l'Atlas saharien, là où l'aquifère affleure presque. Lorsqu'il y a des épisodes pluvieux, elles s'immiscent aussi entre les grains de sable des dunes des grands ergs.

 

Toute la question est de quantifier cette recharge. Et là, les choses se corsent. La recharge est tributaire des précipitations, lesquelles sont très inégales d'une année sur l'autre et d'une région à l'autre. En outre, l'évaporation reste mal connue. Résultat, les estimations sont empreintes de grosses incertitudes. « Bon an mal an, et au maximum, environ un milliard de mètres cubes d'eau s'infiltrent dans l'aquifère. Ce qui est bien insuffisant pour compenser les prélèvements »,précise Marc Bied-Charreton, qui préside le Comité français de la désertification. « Toute ponction altère irrémédiablement la réserve. Nous sommes face à une ressource non renouvelable du type du charbon ou du pétrole. Au rythme d'exploitation actuel, l'aquifère pourrait disparaître d'ici cinquante à cent ans »,renchérit J. Margat.

 

D'ores et déjà, le niveau moyen du continental intercalaire et du complexe terminal, mesuré dans les puits et les forages, s'est abaissé de 25 à 50 mètres selon les endroits, entre 1950 et 2000. Conséquence directe : de nombreuses sources naturelles, autour desquelles se sont développées les oasis traditionnelles, se tarissent. Ce n'est pas tout. « La qualité des eaux et des sols se dégrade »,prévient J. Margat. Les eaux de l'aquifère sont minéralisées. Celles du complexe terminal contiennent 2 à 5 grammes par litre de sels, celles du continental intercalaire, 1 à 4,5 grammes par litre. Mal drainée, l'eau d'irrigation laisse donc derrière elle un résidu salin qui, au fil du temps, endommage les surfaces cultivables. De plus, l'accroissement des prélèvements modifie les conditions d'écoulement souterrain et, par conséquent, la composition des eaux. « Le pompage crée une baisse locale du niveau des eaux , poursuit l'hydrogéologue. Des eaux lointaines sont attirées pour combler le vide, certaines plus salées que d'autres. Comme la teneur en sels des eaux est hétérogène, l'exploitation de l'aquifère est à l'origine d'augmentations locales de la salinité. J'ai observé cette évolution en de nombreux endroits d'Algérie et de Tunisie. »Autant d'impacts qui aggravent la désertification, et la pauvreté des populations locales.

 

Gestion transfrontalière

 

Conscientes de la fragilité du système, l'Algérie, la Tunisie et la Libye mettent actuellement en place un mécanisme de gestion transfrontalier. Ils en ont confié la responsabilité à l'Observatoire du Sahara et du Sahel, basé à Tunis. L'objectif ? Collecter les mesures faites au niveau des forages et des puits (hauteur du niveau, quantité d'eau pompée, teneur en sels, etc.), les intégrer dans un modèle numérique simulant l'évolution de l'aquifère afin de contrôler en temps réel les prélèvements et de lancer d'éventuelles alertes en cas de pompage excessif [2] . « C'est la première fois qu'un tel mécanisme de concertation est élaboré entre pays frontaliers, se félicite Marc Bied-Charreton. Tout l'enjeu des prochaines années sera d'ajuster l'offre à la demande, compte tenu de l'évolution démographique, des besoins en eau potable, de ceux de l'industrie et de l'agriculture. »

 

Toutefois, cette gestion concertée ne sauvera pas l'aquifère, elle augmentera seulement un peu sa longévité. D'autres solutions doivent dès maintenant être envisagées afin de pourvoir aux besoins d'une population qui atteindra 8 millions d'habitants à l'horizon 2030. « Le dessalement de l'eau de mer, qui a déjà commencé en Libye et en Tunisie, sera le relais obligatoire »,estime J. Margat. Mais c'est une autre histoire.

 

Fabienne Lemarchand

 

La nappe fossile est bien connue. Cependant à vouloir trop tirer dessus c'est favoriser la rupture des couches géologiques supérieurs servant de piège, et la pénétration d'eaux saumâtres qui feraient que cette eau serait définitivement perdue.

 

L'eau des oasis est favorisée par des écoulements venant de l'Atlas, et même du bassin du Congo. Mais là on est sur la couche géologique supérieure qui enferme la nappe fossile à laquelle tu fais référence.

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SI TU PRETENDS AVOIR UN NIF PAS POUR LA MORVE: REPONDS

 

MAIS SI TU AS UN "nif" : DEGAGE.

 

Personne ne profite de tes interventions

 

Il est hors de question que je lise plus de deux lignes de tes interventions, ça me donne la nausée ..... Je ne peux pas répondre a une daba qui ne connaît pas la superficie de son pays et qui me parle de gestion d'eau alors que la majeure partie de la population de son pays n'est pas raccordée au réseau d'assainissement. :D

 

Tu es loin de savoir ce que c'est que le nif ya tahane. :mdr:

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