helena 10 Posted November 24, 2011 Partager Posted November 24, 2011 En marge de la 7e édition du Salon international de l’agriculture «Afro Expo», dont le Maroc est l’invité d’honneur, un forum algéro-marocain sur l’agriculture, l’agroalimentaire et le développement rural a regroupé hier les opérateurs des deux pays en présence de ministre de l’Agriculture et du Développement rural, M. Rachid Benaïssa, et du ministre marocain de l’Agriculture et de la Pêche maritime, M. Aziz Akhannouch. La rencontre consacrée essentiellement à la présentation des stratégies agricoles des deux pays — la politique du renouveau agricole et rural pour l’Algérie et le plan vert pour le Maroc — a été marquée également par la signature de trois conventions entre les professionnels du secteur agricole. La première convention paraphée par le Conseil interprofessionnel algérien des filières agricoles et la Confédération marocaine de l’agriculture et du développement rural (COMADR) porte sur des actions conjointes en vue de développer le commerce et le transfert technologique. Le deuxième accord prévoit le renforcement des échanges et la participation des opérateurs entre la Fondation Filaha Innove, organisatrice du Salon international de l’agriculture d’Alger, et le Salon international de l’agriculture du Maroc. A leur niveau, les fédérations apicoles de deux pays ont convenu de fédérer leurs efforts pour protéger l’abeille jaune et noir maghrébine. Les ministres des deux pays se sont félicités de la concrétisation de ces nouvelles actions de partenariat dans le cadre de la poursuite de la mise en œuvre du mémorandum d’entente et de coopération signé le 25 avril dernier à Rabat. Pour M. Benaïssa, il s’agit d’une nouvelle étape dans la consolidation des relations bilatérales dans le domaine agricole étant donné que l’Algérie et le Maroc partagent les mêmes avantages et contraintes de la région Maghreb, l’une des plus vulnérables en matière de sécurité alimentaire dans les scénarios prospectifs. M. Akhannouch qui a relevé, pour sa part, l’évolution enregistrée par l’agriculture algérienne «qui partage les mêmes challenges» de la filière agricole de son pays, à commencer par l’autosuffisance et la sécurité alimentaire, a mis l’accent lui aussi sur la nécessité d’intensifier les échanges bilatéraux et de profiter des expériences des uns et des autres. «Les produits de nos deux pays se complètent. Il faut qu’il y ait plus de business et d’échanges entre les opérateurs privés», a-t-il déclaré sans cacher son souhait de voir rouvrir les frontières. Une revendication exprimée également par les exploitants agricoles marocains qui ont fait le déplacement à Alger, lesquels ont émis le souhait de travailler ensemble et de mener des projets communs, à l’instar de cette initiative lancée hier par les professionnels de l’élevage des deux pays pour la sauvegarde du bélier maghrébin «Lhamra» et la création de l’Association maghrébine des ovins et des caprins. En langage de chiffres, les échanges entre l’Algérie et le Maroc dans le domaine agricole n’ont pas dépassé 1 milliard de dinars sur un total de 300 millions de dollars des échanges commerciaux. Hamida B. el moudjahed Citer Link to post Share on other sites
Otto KHOR 10 Posted November 24, 2011 Partager Posted November 24, 2011 En marge de la 7e édition du Salon international de l’agriculture «Afro Expo», dont le Maroc est l’invité d’honneur, un forum algéro-marocain sur l’agriculture, l’agroalimentaire et le développement rural a regroupé hier les opérateurs des deux pays en présence de ministre de l’Agriculture et du Développement rural, M. Rachid Benaïssa, et du ministre marocain de l’Agriculture et de la Pêche maritime, M. Aziz Akhannouch. La rencontre consacrée essentiellement à la présentation des stratégies agricoles des deux pays — la politique du renouveau agricole et rural pour l’Algérie et le plan vert pour le Maroc — a été marquée également par la signature de trois conventions entre les professionnels du secteur agricole. La première convention paraphée par le Conseil interprofessionnel algérien des filières agricoles et la Confédération marocaine de l’agriculture et du développement rural (COMADR) porte sur des actions conjointes en vue de développer le commerce et le transfert technologique. Le deuxième accord prévoit le renforcement des échanges et la participation des opérateurs entre la Fondation Filaha Innove, organisatrice du Salon international de l’agriculture d’Alger, et le Salon international de l’agriculture du Maroc. A leur niveau, les fédérations apicoles de deux pays ont convenu de fédérer leurs efforts pour protéger l’abeille jaune et noir maghrébine. Les ministres des deux pays se sont félicités de la concrétisation de ces nouvelles actions de partenariat dans le cadre de la poursuite de la mise en œuvre du mémorandum d’entente et de coopération signé le 25 avril dernier à Rabat. Pour M. Benaïssa, il s’agit d’une nouvelle étape dans la consolidation des relations bilatérales dans le domaine agricole étant donné que l’Algérie et le Maroc partagent les mêmes avantages et contraintes de la région Maghreb, l’une des plus vulnérables en matière de sécurité alimentaire dans les scénarios prospectifs. M. Akhannouch qui a relevé, pour sa part, l’évolution enregistrée par l’agriculture algérienne «qui partage les mêmes challenges» de la filière agricole de son pays, à commencer par l’autosuffisance et la sécurité alimentaire, a mis l’accent lui aussi sur la nécessité d’intensifier les échanges bilatéraux et de profiter des expériences des uns et des autres. «Les produits de nos deux pays se complètent. Il faut qu’il y ait plus de business et d’échanges entre les opérateurs privés», a-t-il déclaré sans cacher son souhait de voir rouvrir les frontières. Une revendication exprimée également par les exploitants agricoles marocains qui ont fait le déplacement à Alger, lesquels ont émis le souhait de travailler ensemble et de mener des projets communs, à l’instar de cette initiative lancée hier par les professionnels de l’élevage des deux pays pour la sauvegarde du bélier maghrébin «Lhamra» et la création de l’Association maghrébine des ovins et des caprins. En langage de chiffres, les échanges entre l’Algérie et le Maroc dans le domaine agricole n’ont pas dépassé 1 milliard de dinars sur un total de 300 millions de dollars des échanges commerciaux. Hamida B. el moudjahed les hypocrites ! ils la jouent à éviter les équidés le bon behgal si utile à passer les frontières et qui dans un avenir proche risque de reprendre plus de service . Comme en 14 , la mitrailleuse sur le bourricot et avance mon frère Citer Link to post Share on other sites
Guest jagellon Posted November 24, 2011 Partager Posted November 24, 2011 les hypocrites ! ils la jouent à éviter les équidés le bon behgal si utile à passer les frontières et qui dans un avenir proche risque de reprendre plus de service . Comme en 14 , la mitrailleuse sur le bourricot et avance mon frère S'ils le pouvaient ils interdiraient aux abeilles d'aller butiner de l'autre coté de la frontière :04: Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted November 24, 2011 Partager Posted November 24, 2011 les hypocrites ! ils la jouent à éviter les équidés le bon behgal si utile à passer les frontières et qui dans un avenir proche risque de reprendre plus de service . Comme en 14 , la mitrailleuse sur le bourricot et avance mon frère Le bourricot avec un talkie collé à l'oreille :D ! Errrr ... ! Zayla sans fil ya mhaynek , qui dit mieux ! :mdr: Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted November 24, 2011 Partager Posted November 24, 2011 Quel bas niveau que les messages précédents. On dirait des ados avec leur acné. Citer Link to post Share on other sites
Guest jagellon Posted November 24, 2011 Partager Posted November 24, 2011 Quel bas niveau que les messages précédents. On dirait des ados avec leur acné. Que veux-tu? Ould Abbes a oublié d'importer la crème pour traiter l'acné :04: Citer Link to post Share on other sites
Alexander 10 Posted November 24, 2011 Partager Posted November 24, 2011 «Les produits de nos deux pays se complètent. Il faut qu’il y ait plus de business et d’échanges entre les opérateurs privés» voila la cle pour une vraie cooperation, faut que les deux pays trouvent qqch a echanger pour le bien de tout le monde. Citer Link to post Share on other sites
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