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Selon Bouabdellah Ghlamallah, les islamistes n’accèderont pas au pouvoir en Algérie


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Tout comme il estime que le mouvement du printemps arabe ne passera pas par l’Algérie, le gouvernement algérien écarte l’hypothèse d’une poussée de la mouvance islamiste dans le pays. Alors qu’Ennahda domine l’Assemblée constituante de Tunisie et que les élections marocaines semblent définitivement en passe d’être gagnées par les islamistes du Parti de la justice et du développement (PJD), Bouabdellah Ghlamallah, le ministre algérien des affaires religieuses et des Wakfs, juge qu’aucun des partis islamistes algériens n’est en mesure d’arriver au pouvoir.

Rencontré en marge d’une conférence de presse organisée par le quotidien El Moudjahid, le ministre, visiblement épuisé par l’organisation du pèlerinage à la Mecque, a répondu aux questions de TSA. Et il est catégorique : les islamistes algériens devront patienter encore longtemps avant de diriger le pays. Pour lui, le fonctionnement et la gestion même de ce mouvement l’empêcheraient de remporter les élections : « La mouvance islamiste (algérienne) est représentée par plusieurs partis et aucune de ces formations n’est capable de décrocher une majorité, même relative ».

 

Le pouvoir algérien pourrait donc compter sur les divisions et l’éparpillement des islamistes, contrairement à ce qu’on observe à nos frontières est et ouest. Reste qu’on ne peut pas nier le rôle de l’administration centrale dans cet éparpillement. L’expérience d’Abdellah Djaballah au sein d’Ennahda et d’El Islah en est le meilleur exemple. Soutenue par des militants et des proches collaborateurs de Djaballah, l’administration a réussi à vider de leur substance ces deux formations qui constituaient dans un passé récent une véritable force politique dans le pays. Quant au Mouvement de la Société pour la paix (MSP), il est aujourd’hui dilué dans l’alliance présidentielle avec le RND et le FLN.

 

Le ministre est aussi revenu sur l’expérience de la dissolution du FIS, tout en mettant en garde contre « l’amalgame entre islamiste et extrémiste ». Il a ainsi tenu à saluer l’arrivée au pouvoir d’Ennahda en Tunisie et du PJD au Maroc, deux partis « islamistes modérés, ouverts au débat et acceptant la critique », selon ses termes. Considérant ces victoires comme « prévisibles », Bouabdellah Ghlamallah va jusqu’à qualifier ce phénomène de « retour aux sources et aux valeurs de la société musulmane ». « Nous ne devrions pas avoir peur des islamistes », conclut‑il.

 

 

 

TSA

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Bravo!:rasta:faut-il s'attendre à autre discours d'un ministre?à te lire, on aurait cru que tu pensais que c'est un opposant!

 

 

mais pas du tout je n ai jamais pense que c etait un opposant ! et ce n est pas un islamiste donc sa position est logique

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le fln de 62 est une coquille de noix ... les véritables tenants du pouvoir sont les Déserteurs de l'Armée Française mais leur heure a sonné ... dans la cadre du "printemps zarabe" ...
tu te trompes l'ami...en échange de leur vote à la ligue arabe contre la Syrie, les USA leur ont assuré une couverture et une légitimité lors des prochaines élections présidentielles...(carte blanche):)
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tu te trompes l'ami...en échange de leur vote à la ligue arabe contre la Syrie, les USA leur ont assuré une couverture et une légitimité lors des prochaines élections présidentielles...(carte blanche):)

 

..comme quoi, le Pouvoir khoroto Algérien est rentré dans le rang comme tous les autres khoroto, la din la harma, hypocrisie, traitrise et trahison à la pelle et à l'appel......

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En tous cas on constate que l'état s’appuie sur le discours religieux dans toute situation concernant la gestion des affaires publiques.

 

..Salut, l'amie.....:)!!!

..bien sûr, comme ALLAH a dit des Hypocrites : " yaqouloun ma la yaf3aloun "...seulement, ils oublient que " ALLAH youmhil wa la youhmil "

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Tout comme il estime que le mouvement du printemps arabe ne passera pas par l’Algérie, le gouvernement algérien écarte l’hypothèse d’une poussée de la mouvance islamiste dans le pays. Alors qu’Ennahda domine l’Assemblée constituante de Tunisie et que les élections marocaines semblent définitivement en passe d’être gagnées par les islamistes du Parti de la justice et du développement (PJD), Bouabdellah Ghlamallah, le ministre algérien des affaires religieuses et des Wakfs, juge qu’aucun des partis islamistes algériens n’est en mesure d’arriver au pouvoir.

Rencontré en marge d’une conférence de presse organisée par le quotidien El Moudjahid, le ministre, visiblement épuisé par l’organisation du pèlerinage à la Mecque, a répondu aux questions de TSA. Et il est catégorique : les islamistes algériens devront patienter encore longtemps avant de diriger le pays. Pour lui, le fonctionnement et la gestion même de ce mouvement l’empêcheraient de remporter les élections : « La mouvance islamiste (algérienne) est représentée par plusieurs partis et aucune de ces formations n’est capable de décrocher une majorité, même relative ».

 

Le pouvoir algérien pourrait donc compter sur les divisions et l’éparpillement des islamistes, contrairement à ce qu’on observe à nos frontières est et ouest. Reste qu’on ne peut pas nier le rôle de l’administration centrale dans cet éparpillement. L’expérience d’Abdellah Djaballah au sein d’Ennahda et d’El Islah en est le meilleur exemple. Soutenue par des militants et des proches collaborateurs de Djaballah, l’administration a réussi à vider de leur substance ces deux formations qui constituaient dans un passé récent une véritable force politique dans le pays. Quant au Mouvement de la Société pour la paix (MSP), il est aujourd’hui dilué dans l’alliance présidentielle avec le RND et le FLN.

 

Le ministre est aussi revenu sur l’expérience de la dissolution du FIS, tout en mettant en garde contre « l’amalgame entre islamiste et extrémiste ». Il a ainsi tenu à saluer l’arrivée au pouvoir d’Ennahda en Tunisie et du PJD au Maroc, deux partis « islamistes modérés, ouverts au débat et acceptant la critique », selon ses termes. Considérant ces victoires comme « prévisibles », Bouabdellah Ghlamallah va jusqu’à qualifier ce phénomène de « retour aux sources et aux valeurs de la société musulmane ». « Nous ne devrions pas avoir peur des islamistes », conclut‑il.

 

 

 

TSA

 

malheuresement ce ministre ferait mieux de fermer sa bouche!!!le processus est enclencher et plus personne desormais ne pourra l arreter!!

 

d apres les dires de ce ridicule ministre les prochaines elections legislative seront trafiquer puisque tout pris les partis islamiques qui participeront a ce scrutin auront une chance de l emporter!!

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je pense que les algériens resistent aux changements et la gouverance militaire plait a tout le monde et c un gage de stabilité

 

detrompe toi,tous le monde vomit se regime pourrit sauf qu a l instar des autres pays arabe gagner par la revolution,les algeriens n ont pas bouger le petit doigt,mais quand on porte attiente a leurs estomac la c est autres choses

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..comme quoi, le Pouvoir khoroto Algérien est rentré dans le rang comme tous les autres khoroto, la din la harma, hypocrisie, traitrise et trahison à la pelle et à l'appel......
pas du tout, il assure son koursi en étant légitimé au niveau international....
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