helena 10 Posted November 27, 2011 Partager Posted November 27, 2011 Le gouvernement entretient toujours le flou sur la participation de certains éléments du parti dissous, l’ex‑FIS, à l’exercice politique. Jeudi, à l’Assemblée populaire nationale (APN), le ministre de l’Intérieur et des collectivités locales, M. Dahou Ould Kablia, a laissé entendre que certains repentis pourraient adhérer à des partis politiques. « Ceux qui ont commandité des actes ayant mené à la tragédie nationale, au même titre que ceux ayant commis des crimes, ne seront pas autorisés à créer des partis », a affirmé M. Ould Kablia en référence à l’article 4 du projet de loi relatif aux partis politiques. Mais, a‑t‑il ajouté, « il y a également des repentis qui ont des choses à se reprocher. Ils ne peuvent pas créer de partis, mais s'ils veulent adhérer à un parti, la question sera examinée au cas par cas ». Le ministre n’a pas détaillé les critères de "sélection" des repentis et ne précise pas si c’est à l’administration ou aux partis politiques qu’il incombera d’étudier les dossiers d’adhésion des repentis. Pourtant, dans l’article 4, l’interdiction de création ou d’adhésion à un parti politique reste de rigueur pour toute personne « responsable de l’instrumentalisation de la religion ayant conduit à la tragédie nationale », ou « ayant participé à des actions terroristes et qui refuse de reconnaître sa responsabilité pour sa participation dans la conception, la conduite et l’exécution d’une politique prônant la violence et la subversion contre la nation et les institutions de l’État », selon le projet de loi. Le MSP a fait le forcing autour de cet article 4 en demandant « d’en finir avec la politique de l’exclusion » et en appelant le président de la République à « protéger les réformes politiques ». TSA Citer Link to post Share on other sites
Louny 10 Posted November 27, 2011 Partager Posted November 27, 2011 C'est quoi cette loi à zoudj doro. Citer Link to post Share on other sites
Guest from nulle part Posted November 27, 2011 Partager Posted November 27, 2011 Le gouvernement entretient toujours le flou sur la participation de certains éléments du parti dissous, l’ex‑FIS, à l’exercice politique. Jeudi, à l’Assemblée populaire nationale (APN), le ministre de l’Intérieur et des collectivités locales, M. Dahou Ould Kablia, a laissé entendre que certains repentis pourraient adhérer à des partis politiques. « Ceux qui ont commandité des actes ayant mené à la tragédie nationale, au même titre que ceux ayant commis des crimes, ne seront pas autorisés à créer des partis », a affirmé M. Ould Kablia en référence à l’article 4 du projet de loi relatif aux partis politiques. Mais, a‑t‑il ajouté, « il y a également des repentis qui ont des choses à se reprocher. Ils ne peuvent pas créer de partis, mais s'ils veulent adhérer à un parti, la question sera examinée au cas par cas ». Le ministre n’a pas détaillé les critères de "sélection" des repentis et ne précise pas si c’est à l’administration ou aux partis politiques qu’il incombera d’étudier les dossiers d’adhésion des repentis. Pourtant, dans l’article 4, l’interdiction de création ou d’adhésion à un parti politique reste de rigueur pour toute personne « responsable de l’instrumentalisation de la religion ayant conduit à la tragédie nationale », ou « ayant participé à des actions terroristes et qui refuse de reconnaître sa responsabilité pour sa participation dans la conception, la conduite et l’exécution d’une politique prônant la violence et la subversion contre la nation et les institutions de l’État », selon le projet de loi. Le MSP a fait le forcing autour de cet article 4 en demandant « d’en finir avec la politique de l’exclusion » et en appelant le président de la République à « protéger les réformes politiques ». TSA c'est la meilleure cella Citer Link to post Share on other sites
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