Zoubir8 174 Posted December 1, 2011 Partager Posted December 1, 2011 Salam, Je propose ce topic pour parler de la contribution de la SNVI à: - l'économie nationale, - la défense nationale. snvi - Recherche Google Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted December 1, 2011 Author Partager Posted December 1, 2011 La Snvi, le pionnier de l’assemblage de véhicules industriels en Algérie Elwatan.com Partager Lundi 7 décembre à 2:22 La Snvi, le pionnier de l’assemblage de véhicules industriels en Algérie 250 autobus commandés pour améliorer le transport urbain dans les villes Le carnet de commandes est bien garni : 1 300 minibus pour le transport scolaire, 3 067 véhicules pour les collectivités locales, soit au total un plan de charges de 40 milliards de dinars assuré par l’état. Le plan de charges de SNVI, très conséquent, s’élève à 40 milliards de dinars, tous produits confondus pour les deux prochains exercices. Ce qui équivaut à presque la totalité de la dette de SNVI, d’il y a 6 ans (54 md de dinars) ! Le portefeuille de commande, tout type de clientèle est de 4 000 véhicules (K66 et K120) pour le ministère de l’intérieur et des collectivités locales en diverses versions, bennes à ordures ménagères, bennes tasseuses, citernes… Depuis 2005, 3 000 camions et 1 300 minibus ont été réalisés dans des conditions normales de délais et de qualité. La SNVI a pu rénover, pour le compte du ministère de l’intérieur et des collectivités locales 1 300 minibus de transport scolaire et 3 067 véhicules. “Tous les contrats engagés avec le ministère de l’intérieur sont signés sur la base d’une avance de 50% à la commande (en conformité avec le code des marchés publics), le reste étant payé à la livraison”, selon le P-DG de SNVI. Ainsi, il s’avère que dans le portefeuille de commande, le ministère de l’intérieur demeure indétrônable, avec 1 300 minibus (transport scolaire) et plus de 3 000 camions tous types confondus, destinés aux collectivités locales. Autre programme important, celui du ministère des Transports qui “nous a confirmé un programme de 250 autobus destinés à créer des sociétés de transport urbain dans les différentes wilayas du pays. Ce sont des autobus de type 100 V8 ou 100L6”, affirme le P-DG de SNVI. Dès 2003, alors que SNVI avait participé efficacement à faire front aux séquelles du séisme, en se recyclant dans la fabrication de chalets en des délais record, le gouvernement avait décidé de geler le découvert bancaire de l’entreprise ainsi que ses agios. En 2009, le dossier SNVI a été pris en charge par les pouvoirs publics et le CPE a décidé d’une résolution portant assainissement financier de SNVI avec maintien de ses principales activités : fonderie, forge, montage camion et bus, etc. Mieux, SNVI bénéficiera d’un plan d’investissement avec mise à sa disposition de gros moyens par l’État. Ces moyens sont destinés à l’amélioration et à la modernisation de la SNVI qui devrait ainsi être reconfigurée en fonction des exigences du marché. Le ministère des finances a décidé de prendre en charge la question des droits de douane, jusqu’en 2009 injuste vis-à-vis des producteurs. Les producteurs, dont SNVI, payaient environ 15% de taxes douanières, alors que les importateurs de produits finis à revendre en l’état, n’en payaient que 5% ! Selon son P-DG, “SNVI, à partir de 2010, entrera dans une phase de développement et de redressement en tant qu’entreprise de première grandeur, car les pouvoirs publics ont décidé de l’incorporer parmi les fameux champions. L’entreprise est capable de s’intégrer dans le marché mondial du véhicule industriel”. Reste le problème de la sous-traitance qui fait qu’une industrie automobile soit viable ou non. Si, il y a 15 ans, à peine 20 sous-traitants existaient, la plupart appartenant au secteur public, on compte aujourd’hui plus de 200 sous-traitants locaux, de droit algérien, dans les deux secteurs public et privé confondus. Ainsi, selon M. Chahboub, la part d’inputs, entrant dans la fabrication d’un véhicule, et fabriqués localement, est passée de 20% à 50%, ce qui représente un progrès conséquent. Dans les faits, son P-DG admet que “la SNVI ne pourrait, à elle seule, représenter un marché viable et attractif pour les candidats à la sous-traitance. Il est, en effet, essentiel que se développent encore plus l’industrie mécanique en général et celle du véhicule industriel en particulier”. Équipementiers et sous-traitants, pour mémoire, sont organisés au sein d’une organisation appelée Upiam (Union des producteurs de l’industrie automobile et mécanique), dont le siège se trouve chez SNVI Rouiba. Ces équipementiers et sous-traitants se préparent à prendre en charge l’ensemble des besoins générés par la demande d’une industrie automobile en plein boom, car si les constructeurs commencent à songer à s’installer en Algérie, les concessionnaires (regroupés dans l’Ac2a) s’intéressent de plus en plus à l’assemblage sur place de véhicules. La SNVI est actuellement en négociations avancées en vue de décrocher des contrats d’exportations vers l’Afrique et les pays arabes qui pourraient absorber environ 10% de sa production en véhicules industriels et autres équipements d’accompagnement. Mais il reste encore des contraintes de financement à lever pour affronter la concurrence de constructeurs étrangers difficiles à déloger de leurs fiefs, et qui ne sont pas toujours regardant sur les moyens à mettre en branle pour sauvegarder leurs parts de marché, dans un environnement de crise. Des contraintes de financement de type bureaucratique qui empêchent l’essor d’une véritable politique du véhicule industriel. Par ailleurs, la SNVI n’a pas souhaité participer au 3e Salon du véhicule industriel, parce que l’entreprise doit participer à la foire de la production nationale, au courant de ce mois de décembre. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted December 1, 2011 Author Partager Posted December 1, 2011 Nouvelle génération demoteurs sur les véhicules SNVI Deutz est en voie de fournir à SNVI les nouveaux moteurs à refroidissement à eau en remplacement de ceux actuellement à air. La nouveauté de ces moteurs améliore en tout point de vue qui incorpore la pompe à injection dans le moteur au lieu qu’elle soit à l’extérieur et améliore le niveau sonore et puis au niveau puissance celleci de 230 à 320 ch sur les 6x6 pour le M230. Et pour les 4x4, il passe à 140 ch ceux concernant les modèles 120 et le K 150. En abordant le projet industriel de Ferostal avec le représentant du bureau de liaison de Deutz, les besoins en moteur sont estimés à 18 000 unités. Une demande en attente qui a sûrement incité le géant Deutz à créer NGM pour assurer tout ce qui est entretien et fourniture de pièces, ce qui n’était pas possible avec l’ancien moteur à refroidissement à air où les copies ou contrefacteurs ont pris le dessus sur la pièce d’origine. Le nouveau moteur Deutz a tout scellé, soutient son représentant, finie la contrefaçon. Seule la pièce d’origine pourrait s’installer sur ces nouveaux moteurs. L'automarché Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted December 1, 2011 Author Partager Posted December 1, 2011 Marché des bus en Algérie La SNVI livre 275 Bus à L'ETUSA Publié le 04.01.2010 La SNVI livre 275 Bus à L'ETUSA L'Entreprise de transport urbain et suburbain d'Alger (ETUSA) a repris ses activités de transport universitaire en se dotant depuis dimanche de 275 nouveaux autobus de fabrication nationale destinés exclusivement au transport des étudiants dans la wilaya d'Alger. (Par M.Mohamed) Une cérémonie consacrée à la réception par cette entreprise publique de transport d'autobus des nouveaux véhicules fabriqués par la société nationale de véhicules industriels (SNVI) a été organisée en présence de M. Amar Tou et Rachid Haraoubia, respectivement ministres du transport et de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique. L'acquisition des 275 autobus, de type "100 L 6", s'inscrit dans le cadre d'une convention signée en juillet 2009 entre le ministère du transport et celui de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, en vertu de laquelle ce dernier avait engagé une commande de 300 bus auprès de la SNVI pour les affecter à l'ETUSA, à raison de 12 millions de dinars l'unité. Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted December 1, 2011 Author Partager Posted December 1, 2011 ENMTP 23-11-2010 Entreprise nationale de matériel de travaux publics, le complexe relancé grâce à des contrats publics Le fleuron de l’industrie mécanique du pays, a comptabilisé un chiffre d’affaires de 87 millions de dollars en 2009. L’Entreprise nationale des matériels de travaux publics (ENMTP) «se porte bien et jouit d’une bonne santé financière». C’est en ces termes que le secrétaire général de l’entreprise, H. Benmadjat, désignera la situation qui prévaut actuellement dans l’entreprise. Cette aisance se confirme d’année en année avec un taux de croissance annuel qui est passé de 7% en 2009 à 10% en 2010. Le géant national des matériels de travaux publics, qui engrange une part de 30% du marché national, s’inscrit dans une trajectoire positive, et ce, jusqu’en 2014. D’ici cette échéance, l’entreprise tournera à pleine capacité, surtout depuis la signature, en 2009, avec le ministère de l’Intérieur d’une convention programme pour l’équipement des communes en matériels et engins de travaux publics. Ce contrat, qui a rapporté 16 MDA, a bien renfloué la trésorerie de l’entreprise, tout en lui offrant un plan de charge conséquent, allant jusqu’en 2011. Le fleuron de la base de l’industrie mécanique du pays, dont le capital social est passé à 120 millions de dollars, a comptabilisé un chiffre d’affaires tournant autour de 87 millions de dollars en 2009. En matière de prévisions, M. Benmadjat relève que «la détermination de l’Etat à vouloir renforcer la mise à niveau de l’entreprise a toujours été constante» Reconnaissant que «des mesures ont été mises en œuvre pour la sauvegarde et la pérennité de l’entreprise ainsi que la promotion de son développement technologique», le secrétaire général de l’ENMTP ajoutera : «Des pourparlers avec des entreprises étrangères – Europactor (Espagne) et Liebherr (Allemagne) – sont à un stade très avancé et une fois conclus, ils aboutiront à la création de sociétés mixtes.» En parallèle, la coopération technologique avec des partenaires étrangers, notamment les Allemands, est effective depuis des années et concerne les «process» de fabrication d’équipements et de pièces mécaniques, ainsi que le management qualité. Tant que le secteur du BTPH garde son rythme de croissance, le géant de la mécanique ne pourra que mieux se porter. A ce propos, M. Benmadjat dira : «La préférence pour la production nationale avec un différentiel concurrentiel du prix allant de 15 à 25% nous favorise et conforte notre portefeuille client, cela se traduit par le fait que nous sommes devenus un monopole confirmé sur le marché national.» Notons que l’entreprise emploie 2300 travailleurs et envisage un chiffre d’affaires de 91 millions de dollars en 2010. Dans le secteur de l’agriculture, le secrétaire général du ministère de l’Agriculture, Sid Ahmed Ferroukhi, a indiqué, hier en marge de l’inauguration du salon Agro-Expo 2010, que la fabrication de machines agricoles connaît aussi «une véritable relance en Algérie grâce à la politique de l’Etat pour le développement d’une production nationale». Le responsable du ministère a évoqué surtout les efforts consentis afin de remettre sur les rails le complexe de fabrication des moissonneuses-batteuses à Sidi Bel Abbès et celui des moteurs à Aïn Smara de Constantine. * Des efforts ont été également consentis, selon lui, pour endiguer les difficultés financières que rencontrent les agriculteurs pour l’acquisition de ces machines indispensables pour le développement de l’activité agricole. Source : http://www.elwatan.co Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted March 4, 2012 Author Partager Posted March 4, 2012 La SNVI fournira des semi-remorques à la SNTF pour 48 millions de dinars Riyad Hamadi tsa 20120123025519_SCHNEIDER_ELECTRIC_300x250.gif La Société nationale des véhicules industriels (SNVI) fournira 20 semi‑remorques plateau à la Société de ransport intermodal de marchandises (Stim), filiale de la SNTF, pour 48 millions de dinars. L’annonce a été faite ce samedi 3 mars par la Stim. La SNVI s’est engagée à livrer les camions dans un délai de trois mois. Citer Link to post Share on other sites
k-15 10 Posted March 4, 2012 Partager Posted March 4, 2012 La Snvi, le pionnier de l’assemblage de véhicules industriels en Algérie Elwatan.com Partager Lundi 7 décembre à 2:22 La Snvi, le pionnier de l’assemblage de véhicules industriels en Algérie 250 autobus commandés pour améliorer le transport urbain dans les villes Le carnet de commandes est bien garni : 1 300 minibus pour le transport scolaire, 3 067 véhicules pour les collectivités locales, soit au total un plan de charges de 40 milliards de dinars assuré par l’état. Le plan de charges de SNVI, très conséquent, s’élève à 40 milliards de dinars, tous produits confondus pour les deux prochains exercices. Ce qui équivaut à presque la totalité de la dette de SNVI, d’il y a 6 ans (54 md de dinars) ! Le portefeuille de commande, tout type de clientèle est de 4 000 véhicules (K66 et K120) pour le ministère de l’intérieur et des collectivités locales en diverses versions, bennes à ordures ménagères, bennes tasseuses, citernes… Depuis 2005, 3 000 camions et 1 300 minibus ont été réalisés dans des conditions normales de délais et de qualité. La SNVI a pu rénover, pour le compte du ministère de l’intérieur et des collectivités locales 1 300 minibus de transport scolaire et 3 067 véhicules. “Tous les contrats engagés avec le ministère de l’intérieur sont signés sur la base d’une avance de 50% à la commande (en conformité avec le code des marchés publics), le reste étant payé à la livraison”, selon le P-DG de SNVI. Ainsi, il s’avère que dans le portefeuille de commande, le ministère de l’intérieur demeure indétrônable, avec 1 300 minibus (transport scolaire) et plus de 3 000 camions tous types confondus, destinés aux collectivités locales. Autre programme important, celui du ministère des Transports qui “nous a confirmé un programme de 250 autobus destinés à créer des sociétés de transport urbain dans les différentes wilayas du pays. Ce sont des autobus de type 100 V8 ou 100L6”, affirme le P-DG de SNVI. Dès 2003, alors que SNVI avait participé efficacement à faire front aux séquelles du séisme, en se recyclant dans la fabrication de chalets en des délais record, le gouvernement avait décidé de geler le découvert bancaire de l’entreprise ainsi que ses agios. En 2009, le dossier SNVI a été pris en charge par les pouvoirs publics et le CPE a décidé d’une résolution portant assainissement financier de SNVI avec maintien de ses principales activités : fonderie, forge, montage camion et bus, etc. Mieux, SNVI bénéficiera d’un plan d’investissement avec mise à sa disposition de gros moyens par l’État. Ces moyens sont destinés à l’amélioration et à la modernisation de la SNVI qui devrait ainsi être reconfigurée en fonction des exigences du marché. Le ministère des finances a décidé de prendre en charge la question des droits de douane, jusqu’en 2009 injuste vis-à-vis des producteurs. Les producteurs, dont SNVI, payaient environ 15% de taxes douanières, alors que les importateurs de produits finis à revendre en l’état, n’en payaient que 5% ! Selon son P-DG, “SNVI, à partir de 2010, entrera dans une phase de développement et de redressement en tant qu’entreprise de première grandeur, car les pouvoirs publics ont décidé de l’incorporer parmi les fameux champions. L’entreprise est capable de s’intégrer dans le marché mondial du véhicule industriel”. Reste le problème de la sous-traitance qui fait qu’une industrie automobile soit viable ou non. Si, il y a 15 ans, à peine 20 sous-traitants existaient, la plupart appartenant au secteur public, on compte aujourd’hui plus de 200 sous-traitants locaux, de droit algérien, dans les deux secteurs public et privé confondus. Ainsi, selon M. Chahboub, la part d’inputs, entrant dans la fabrication d’un véhicule, et fabriqués localement, est passée de 20% à 50%, ce qui représente un progrès conséquent. Dans les faits, son P-DG admet que “la SNVI ne pourrait, à elle seule, représenter un marché viable et attractif pour les candidats à la sous-traitance. Il est, en effet, essentiel que se développent encore plus l’industrie mécanique en général et celle du véhicule industriel en particulier”. Équipementiers et sous-traitants, pour mémoire, sont organisés au sein d’une organisation appelée Upiam (Union des producteurs de l’industrie automobile et mécanique), dont le siège se trouve chez SNVI Rouiba. Ces équipementiers et sous-traitants se préparent à prendre en charge l’ensemble des besoins générés par la demande d’une industrie automobile en plein boom, car si les constructeurs commencent à songer à s’installer en Algérie, les concessionnaires (regroupés dans l’Ac2a) s’intéressent de plus en plus à l’assemblage sur place de véhicules. La SNVI est actuellement en négociations avancées en vue de décrocher des contrats d’exportations vers l’Afrique et les pays arabes qui pourraient absorber environ 10% de sa production en véhicules industriels et autres équipements d’accompagnement. Mais il reste encore des contraintes de financement à lever pour affronter la concurrence de constructeurs étrangers difficiles à déloger de leurs fiefs, et qui ne sont pas toujours regardant sur les moyens à mettre en branle pour sauvegarder leurs parts de marché, dans un environnement de crise. Des contraintes de financement de type bureaucratique qui empêchent l’essor d’une véritable politique du véhicule industriel. Par ailleurs, la SNVI n’a pas souhaité participer au 3e Salon du véhicule industriel, parce que l’entreprise doit participer à la foire de la production nationale, au courant de ce mois de décembre. tu me fais marré, ce que la snvi a fourni via la 'fameuse réforme agraire" c'est indécent. tu crois pas qu'on a raté le coche? Citer Link to post Share on other sites
Zoubir8 174 Posted March 4, 2012 Author Partager Posted March 4, 2012 tu me fais marré, ce que la snvi a fourni via la 'fameuse réforme agraire" c'est indécent. tu crois pas qu'on a raté le coche? - khouya, on fait ce qu'on peut, - espérons que cette société va se développer. Citer Link to post Share on other sites
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