Jump to content

La diaspora algérienne de Silicon Valley bientôt à Alger


Recommended Posts

La diaspora algérienne de Silicon Valley bientôt à Alger pour promouvoir les start-up

WASHINGTON - Une quarantaine de chercheurs et d’ingénieurs algériens de la célèbre technopole de San Francisco, Silicon Valley, se rendront en février prochain à Alger pour la mise en place d’un projet d’accompagnement des start-up (entreprises innovantes) algériennes.

 

Dans ce cadre, un forum devrait regrouper notamment les ministères respectivement de l’Industrie et de la Poste et des TIC, l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (Ansej), des banques et la délégation des technologues algériens de Silicon Valley, a indiqué à l’APS l’ambassadeur d’Algérie à Washington, Abdallah Baali.

 

La diaspora algérienne qui prendra part à cette rencontre sera composée de spécialistes exerçant, pour la plupart, dans les grandes entreprises technologiques américaines telles que Apple, Google, Cisco, Oracle, Intel, Hewlett-Packard, ainsi que d’Algériens qui sont patrons de leur propre société technologique tel Belgacem Haba, surnommé "l’homme aux 200 brevets d’invention" dans la microélectronique.

 

Selon le président du Conseil d’affaires algéro-américain, Smail Chikhoune, durant les deux jours de ce forum, il s’agira d’élaborer une "feuille de route" à moyen et long termes avec un programme bien défini pour promouvoir en Algérie les jeunes entreprises, en activité ou à créer, spécialisées essentiellement dans les nouvelles technologies.

 

En effet, explique-t-il, pour aider les jeunes Algériens détenteurs d’idées dans le domaine des technologies à créer leur start-up et doter celle-ci d’un potentiel de croissance, "il ne suffit pas de leur accorder une aide financière uniquement et de les lâcher dans la nature sans aucun accompagnement ni suivi".

 

Les conditions de réussite et d’expansion de ces entreprises de nouvelles technologies, poursuit-il, dépendent aussi, fondamentalement, d’une aide en matière d’expertise en management et d’un accompagnement professionnel multidimensionnel à travers, notamment, le "coaching", qui permet à la personne "coachée" d’approfondir ses connaissances et d’améliorer ses performances pour la croissance de son entreprise.

 

Et c’est à ce niveau que l’expertise des spécialistes algériens de la principale technopole américaine devra intervenir.

 

Pour la mise sur pied de ce projet, il sera proposé, entre autres, au cours du forum d’Alger, la création d’un fonds d’investissements dont le rôle consiste à financer à la fois les start-up et le coaching des experts.

 

Les ressources financières de ce fonds pourraient provenir de financements de l’Etat, des banques ainsi que des entreprises de tout secteur, lesquelles pourraient prendre des participations dans le capital de la start-up laquelle, finalement, est une potentielle future PME en cours de gestation.

 

Qui plus est, a observé M. Chikhoune, l’Algérie dispose de solides jeunes compétences en matière des nouvelles technologies, qui doivent être encouragées par une politique qui favorise les idées innovantes.

 

A ce propos, il ne manque pas de relever que lors d’une visite effectuée en octobre dernier à Alger par une délégation du département d’Etat et de jeunes entrepreneurs américains sur le partenariat en matière d’incubation d’entreprises, il a été question de choisir, à l’issue de cette rencontre, une start-up algérienne sur les 15 participantes, pour suivre un stage au niveau d’un incubateur d’entreprises et d’une université à Detroit (Michigan).

 

Selon M. Chikhoune, sur les projets exposés par les 15 jeunes candidats algériens spécialisés dans les TIC, cinq (5) start-up ont présenté des projets innovants qui étaient d’une telle excellence, notamment dans le domaine du software, qu’il avait été extrêmement difficile de les départager et dont le candidat de Djelfa a été finalement retenu par la partie américaine.

 

Outre l’élite algérienne de la Californie, qui concentre le plus gros des entreprises de technologies de pointe américaines, il est également prévu, dans les prochaines étapes, d’associer les technologues algériens des autres parties des Etats-Unis pour développer les entreprises des nouvelles technologies en Algérie.

 

Pour le président de l’USABC (US-Algeria business council), il faudrait s’inspirer de la méthode adoptée depuis bien longtemps par l’Inde et la Chine dont les gouvernements demandent à leur élite scientifique vivant à l’étranger de parrainer les "jeunes pousses" technologiques locales et, aussi, de créer des entreprises dans leur pays d’origine.

APS : Algérie Presse Service

Link to post
Share on other sites
Pour le président de l’USABC (US-Algeria business council), il faudrait s’inspirer de la méthode adoptée depuis bien longtemps par l’Inde et la Chine dont les gouvernements demandent à leur élite scientifique vivant à l’étranger de parrainer les "jeunes pousses" technologiques locales et, aussi, de créer des entreprises dans leur pays d’origine.

 

Il oublie qu'en Inde, ils sont Anglophones et que les meilleurs universités Chinoises le sont aussi ..... Le modèle Anglo-saxon ne s'applique a ceux qui dépendent d'un langue qui ne sert qu'a parloter.

 

Le choc culturel va être dur, tawa3na vont insister pour avoir la pause déjeuner. :mdr:

Link to post
Share on other sites

Faut voir. En general, les coaching, c est un peu de la foutaise dans le domaine de la creation d entreprise. Les parrains regardent ca de loin, et pensent plus a leur reseau qu a leur filleul.

Par contre, des types qui ont une exp etrangere et qui montent leurs entreprises en Algerie, ca peut etre bon, s ils sont flexibles et ne tentent pas un simple copier coller.

Link to post
Share on other sites
c'est bien qu'ils pensent au pays qui les a formé

c'est bon ce retour d'asenceur.

 

Je me demande s'il y a deja eu en Algérie des stages d'une semaine ou d'un mois, où des algériens de l'étranger, bénévoles, viendraient dispenser leur savoir faire à des étudiants, jeunes travailleurs, chômeurs etc..

 

Ce pourrait être intéressant d'avoir un point de vue "international".

Link to post
Share on other sites
Je me demande s'il y a deja eu en Algérie des stages d'une semaine ou d'un mois, où des algériens de l'étranger, bénévoles, viendraient dispenser leur savoir faire à des étudiants, jeunes travailleurs, chômeurs etc..

 

Ce pourrait être intéressant d'avoir un point de vue "international".

 

Moi une fois j'ai participé à une telle opération. Mais c'était organisé par une firme française.

Link to post
Share on other sites
Guest mimineVnoir

UN GACHIS !!!! Ne venez surtout pas içi ! c'est pas pour un pays où la corruption règne par le fénéantisme qui doit vous attirer , même s'il a beau être le pays de votre enfance. Ne revenez qu'en Vacance , car c'est beaucoup trop tôt !!!

 

Pareil pour les footballeurs , ne jouez surtout pas pour l'Algérie alors que vous avez peut être une chance de jouer avec une équipe qui est sérieuse , et qui a les ambitions que vous aimer.

Ca nous apprendra à compter uniquement sur nous même et à nous remettre au travail.

Link to post
Share on other sites
La diaspora algérienne de Silicon Valley bientôt à Alger pour promouvoir les start-up

WASHINGTON - Une quarantaine de chercheurs et d’ingénieurs algériens de la célèbre technopole de San Francisco, Silicon Valley, se rendront en février prochain à Alger pour la mise en place d’un projet d’accompagnement des start-up (entreprises innovantes) algériennes.

 

Deriassa :crazy:

 

"Une quarantaine de chercheurs" "15 jueunes"

 

On se demande s'il faut en pleurer ou en rire?

 

Qu'en est il des competences qui se trouvent dans le pays? tous ces milliers de jeunes (et moins jeunes avec le temps) ingenieurs, techniciens, medecins, architectes, et autres qui ont ete forme(e)s depuis l'indepence?

 

Au lieu de s'appuyer sur des competences de l'exterieure, il faudrait commencer par valoriser ceux de l'interieur...

Link to post
Share on other sites
Guest l'observateur
Deriassa :crazy:

 

"Une quarantaine de chercheurs" "15 jueunes"

 

On se demande s'il faut en pleurer ou en rire?

 

Qu'en est il des competences qui se trouvent dans le pays? tous ces milliers de jeunes (et moins jeunes avec le temps) ingenieurs, techniciens, medecins, architectes, et autres qui ont ete forme(e)s depuis l'indepence?

 

Au lieu de s'appuyer sur des competences de l'exterieure, il faudrait commencer par valoriser ceux de l'interieur...

Nul n'est prophète dans sont pays :D

Link to post
Share on other sites
Nul n'est prophète dans sont pays :D

 

Je trouve abberant que l'on puisse parler de competences venant de l'etranger (qui de toute facon ne trouveront pas de cadre adequat pour leur travaille) alors qu'on continue a ignorer les competences et les genies qui se trouvent au pays et qui ne demandent qu'a etres solicites...

 

C'est surtout par eux que l'on doit commencer, leur offrir un cadre de travail adequat, les moyens financiers et legaux qui leur permettraient de s'epanouir et d'oeuvrer pour le progres socio-economique du pays.

 

On doit d'urgence operer une refonte de l'education a tous les niveaux, virer tous les bureaucrates et mediocres qui entravent l'activite intellectuelle et phagocitent comme des sangsues le tresor publique, en vue de transformer l'universite en une locomtive du developpement

 

Quand un climat propice a la recherche et au developpement existera, ceux de l'etranger s'inviteront d'eux memes pour venir y contribuer...

 

 

.

 

.

Link to post
Share on other sites
Je trouve abberant que l'on puisse parler de competences venant de l'etranger (qui de toute facon ne trouveront pas de cadre adequat pour leur travaille) alors qu'on continue a ignorer les competences et les genies qui se trouvent au pays et qui ne demandent qu'a etres solicites...

 

C'est surtout par eux que l'on doit commencer, leur offrir un cadre de travail adequat, les moyens financiers et legaux qui leur permettraient de s'epanouir et d'oeuvrer pour le progres socio-economique du pays.

 

On doit d'urgence operer une refonte de l'education a tous les niveaux, virer tous les bureaucrates et mediocres qui entravent l'activite intellectuelle et phagocitent comme des sangsues le tresor publique, en vue de transformer l'universite en une locomtive du developpement

 

Quand un climat propice a la recherche et au developpement existera, ceux de l'etranger s'inviteront d'eux memes pour venir y contribuer...

 

 

.

 

.

c est un pretexte pour des relations usa-algerie

Link to post
Share on other sites
La diaspora algérienne de Silicon Valley bientôt à Alger pour promouvoir les start-up

WASHINGTON - Une quarantaine de chercheurs et d’ingénieurs algériens de la célèbre technopole de San Francisco, Silicon Valley, se rendront en février prochain à Alger pour la mise en place d’un projet d’accompagnement des start-up (entreprises innovantes) algériennes.

 

Dans ce cadre, un forum devrait regrouper notamment les ministères respectivement de l’Industrie et de la Poste et des TIC, l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (Ansej), des banques et la délégation des technologues algériens de Silicon Valley, a indiqué à l’APS l’ambassadeur d’Algérie à Washington, Abdallah Baali.

 

La diaspora algérienne qui prendra part à cette rencontre sera composée de spécialistes exerçant, pour la plupart, dans les grandes entreprises technologiques américaines telles que Apple, Google, Cisco, Oracle, Intel, Hewlett-Packard, ainsi que d’Algériens qui sont patrons de leur propre société technologique tel Belgacem Haba, surnommé "l’homme aux 200 brevets d’invention" dans la microélectronique.

 

Selon le président du Conseil d’affaires algéro-américain, Smail Chikhoune, durant les deux jours de ce forum, il s’agira d’élaborer une "feuille de route" à moyen et long termes avec un programme bien défini pour promouvoir en Algérie les jeunes entreprises, en activité ou à créer, spécialisées essentiellement dans les nouvelles technologies.

 

En effet, explique-t-il, pour aider les jeunes Algériens détenteurs d’idées dans le domaine des technologies à créer leur start-up et doter celle-ci d’un potentiel de croissance, "il ne suffit pas de leur accorder une aide financière uniquement et de les lâcher dans la nature sans aucun accompagnement ni suivi".

 

Les conditions de réussite et d’expansion de ces entreprises de nouvelles technologies, poursuit-il, dépendent aussi, fondamentalement, d’une aide en matière d’expertise en management et d’un accompagnement professionnel multidimensionnel à travers, notamment, le "coaching", qui permet à la personne "coachée" d’approfondir ses connaissances et d’améliorer ses performances pour la croissance de son entreprise.

 

Et c’est à ce niveau que l’expertise des spécialistes algériens de la principale technopole américaine devra intervenir.

 

Pour la mise sur pied de ce projet, il sera proposé, entre autres, au cours du forum d’Alger, la création d’un fonds d’investissements dont le rôle consiste à financer à la fois les start-up et le coaching des experts.

 

Les ressources financières de ce fonds pourraient provenir de financements de l’Etat, des banques ainsi que des entreprises de tout secteur, lesquelles pourraient prendre des participations dans le capital de la start-up laquelle, finalement, est une potentielle future PME en cours de gestation.

 

Qui plus est, a observé M. Chikhoune, l’Algérie dispose de solides jeunes compétences en matière des nouvelles technologies, qui doivent être encouragées par une politique qui favorise les idées innovantes.

 

A ce propos, il ne manque pas de relever que lors d’une visite effectuée en octobre dernier à Alger par une délégation du département d’Etat et de jeunes entrepreneurs américains sur le partenariat en matière d’incubation d’entreprises, il a été question de choisir, à l’issue de cette rencontre, une start-up algérienne sur les 15 participantes, pour suivre un stage au niveau d’un incubateur d’entreprises et d’une université à Detroit (Michigan).

 

Selon M. Chikhoune, sur les projets exposés par les 15 jeunes candidats algériens spécialisés dans les TIC, cinq (5) start-up ont présenté des projets innovants qui étaient d’une telle excellence, notamment dans le domaine du software, qu’il avait été extrêmement difficile de les départager et dont le candidat de Djelfa a été finalement retenu par la partie américaine.

 

Outre l’élite algérienne de la Californie, qui concentre le plus gros des entreprises de technologies de pointe américaines, il est également prévu, dans les prochaines étapes, d’associer les technologues algériens des autres parties des Etats-Unis pour développer les entreprises des nouvelles technologies en Algérie.

 

Pour le président de l’USABC (US-Algeria business council), il faudrait s’inspirer de la méthode adoptée depuis bien longtemps par l’Inde et la Chine dont les gouvernements demandent à leur élite scientifique vivant à l’étranger de parrainer les "jeunes pousses" technologiques locales et, aussi, de créer des entreprises dans leur pays d’origine.

APS : Algérie Presse Service

 

bidon.

je ne veux pas etre mauvaise langue, mais si une startup c'est faire un max de blé dans un temps record, nos algériens n'ont rien à apprendre.

ce qu'il faut apprendre, c'est travailler dans la constance, la persévérence.

Link to post
Share on other sites
Deriassa :crazy:

 

"Une quarantaine de chercheurs" "15 jueunes"

 

On se demande s'il faut en pleurer ou en rire?

 

Qu'en est il des competences qui se trouvent dans le pays? tous ces milliers de jeunes (et moins jeunes avec le temps) ingenieurs, techniciens, medecins, architectes, et autres qui ont ete forme(e)s depuis l'indepence?

 

Au lieu de s'appuyer sur des competences de l'exterieure, il faudrait commencer par valoriser ceux de l'interieur...

 

Il s'agit d'"accompagnement" et pas de prendre le travail des algériens. Ils ont une expérience dans le meilleur pôle industriel de pointe du monde.Pourquoi dénigrer une telle aide?

Je ne vis pas en Algerie mais néanmoins j'aurais été très heureuse que des personnes issues de la silicon valley viennent me conseiller sur la création d'une société. C'est une chance énorme!

Il ne faut pas placer de la fierté là dedans mais plutôt y voir une opportunité.

Link to post
Share on other sites
Il s'agit d'"accompagnement" et pas de prendre le travail des algériens. Ils ont une expérience dans le meilleur pôle industriel de pointe du monde.Pourquoi dénigrer une telle aide?

Je ne vis pas en Algerie mais néanmoins j'aurais été très heureuse que des personnes issues de la silicon valley viennent me conseiller sur la création d'une société. C'est une chance énorme!

Il ne faut pas placer de la fierté là dedans mais plutôt y voir une opportunité.

 

Pas du tout! Je denigre pas, mais j'ai simplement l'impression que l'on continue a nous prendre pour des imbeciles! Il ne s'agit pas de la premiere fois que l'on parle de competences algeriennes de l'etranger, on en parlait deja durant les annees 80s. On avait meme prevu de les acceuillir eux et leurs familles dans des habitations specialement amenagees au Moreti / Club des Pins :crazy:

 

Si vraiment l'intention est de mettre le pays dans la trajectoire du developpement technologique et scientifique, les decideurs devrait commencer d'abord par assainir les lieux et surtout s'appuyer en priorite sur les ressources humaines deja existantes dans le pays. Les pouvoirs doivent avoir une vision claire de l'avenir et des moyens d'y parvenir. Ils se doivent d'afficher une attitude determinee et soutenue dans le temps, et surtout mettre le paquet. Sinon, comme l'a dit le Dr Elias Zerhouni, si c'est pour faire du cinema, ce n'est pas la peine de deranger les gens et leur faire perdre le temps.

 

.

Link to post
Share on other sites

Comparer le ton agressif et l'attitude insultante de sieur (video de gauche)avec le ton et l'attitude de Bob Dayton (video de droite), un visage avenant et une attitude plein d'humilite :confused:

 

 

Le sieur a l'outrecuidance de parler d'un "tiki de bis" de 5 DA a des gens qui A des qui ont laisse de cote leur activite, achete un billet d'avion, fait le deplacement en Algerie pour apporter leur contribution. :crazy: Alors que la NASA n'a pas hesite a accorder 5 millions de Dollars comme budget de recherche au Dr Melikechi.

 

 

[YOUTUBE]FBsmitZBG6c&feature[/YOUTUBE].....[YOUTUBE]J-Pgfbgq-pI[/YOUTUBE]

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...