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L'autre trésor que rate l'Algérie (investissements , tourisme)


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Par Brahim TAKHEROUBT - Mardi 06 Decembre 2011

 

Qu'attendent les ministres des Finances, du Tourisme et des Affaires étrangères pour passer à l'offensive?

 

Des dizaines de milliards de dollars provenant du tourisme, des centaines d'investisseurs capables de faire des miracles dans la création d'emplois, fuient les pays arabes en proie aux révoltes populaires comme l'Egypte, la Tunisie, la Syrie, la Libye et à un degré moindre le Yémen. Où vont tous ces millions de touristes, ces centaines d'entreprises? Dans des contrées plus stables politiquement et plus sûres économiquement.

Ces deux atouts sont dans les cordes de l'Algérie qui, justement jouit d'une double stabilité: économique et politique. En plus de ces deux arguments, l'Algérie croule sous les milliards de dollars, une denrée rare en ces moments de crise financière qui sévit en Europe. Il est arrivé à notre pays, comme ce chasseur qui ne sait plus quoi faire de la peau de l'ours qu'il venait d'abattre. Frileuse et sclérosée, l'Algérie passe à côté d'un trésor inestimable.

Que font les ministres des Finances, du Tourisme, de la Culture et des Affaires étrangères pour attirer les touristes et les entreprises qui quittent les pays arabes? Qu'attendent nos ambassades à l'étranger pour prendre attache avec ces entreprises et les convaincre à venir s'installer en Algérie? Les autres pays arabes l'avaient fait avec force et détails.

«Venez investir chez nous, venez faire du tourisme, nous avons la sécurité et la stabilité.» Tels étaient les slogans exhibés alors que l'Algérie était à feu et à sang durant la tragédie nationale et c'est de bonne guerre. Rien que pour le tourisme, le manque à gagner est immense pour l'Algérie. On a ressassé pendant longtemps des problèmes sécuritaires, puis un manque d'investissements mais ce n'est plus le cas à présent.

Le manque de compétences et de savoir-faire dans le domaine peut-être? Faux! répondront les experts du domaine. Ces derniers estiment que près de 20% du secteur touristique français sont en panne. Quand on sait que la France est le pays le plus coté sur le plan touristique dans le monde. Et détenir 20% du savoir-faire touristique dans le monde, n'est pas donné. L'on comprend alors que cet immobilisme tient d'abord à un manque de volonté politique, ensuite manque de compétence. «Il serait malheureux de ne pas profiter de cette situation qui sévit dans le Monde arabe pour ne pas faire revenir, faire redécouvrir la destination Algérie», regrette un ancien diplomate pour qui «le tourisme peut constituer le meilleur rempart contre l'islamisme».

Seulement voilà, attirer des investisseurs et assurer le retour des touristes, c'est du cousu main. C'est un travail de fourmi que nos responsables ne sont pas prêts à faire. On n'a jamais entendu parler de campagne d'incitation pour la destination et le marché algériens. Comme on n'a pas lu ou entendu dans les médias des actions qui font la promotion du produit et des atouts fort nombreux du pays. L'Algérie n'a jamais été aussi riche. Les réserves de change ont dépassé les 170 milliards de dollars, au moment où des pays quémandent quelques dollars pour maintenir la paix spciale.

L'Algérie est le deuxième pays arabe après l'Arabie Saoudite (485,48 milliards de dollars) et le 13e au monde en termes de réserves de change. Qu'est-ce qui empêcherait le gouvernement d'organiser ou à la limite d'encourager l'organisation de séminaires et de missions d'assistance. Des campagnes du genre: «Il est temps d'investir en Algérie. Investir en Algérie, c'est le moment ou jamais...», «Visitez la nouvelle Algérie..., vivez le soleil d'Algérie, etc.» Est-il difficile de préparer un argumentaire en plusieurs langues donnant de bonnes raisons pour attirer ces touristes et ces investisseurs. En d'autres termes, la destination Algérie doit se décliner en plusieurs étapes: trouver un slogan original pour motiver, définir un package attractif et enfin imaginer un plan d'action avec les moyens humains et financiers qu'il faut pour cela. Mais pour ce faire, il faut d'abord avoir une stratégie marketing.

Hélas, pour le moment, la seule stratégie économique du pays consiste à multiplier les programmes d'investissements publics qui ne profitent qu'aux entreprises étrangères et à maintenir en perfusion les entreprises nationales en y injectant des milliards de dollars. Tout compte fait, le pays n'a tout simplement pas de stratégie. Un terrible manque avec de terribles dégâts.

 

In : lexpressiondz.com

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Par Brahim TAKHEROUBT - Mardi 06 Decembre 2011

 

Qu'attendent les ministres des Finances, du Tourisme et des Affaires étrangères pour passer à l'offensive?

 

Des dizaines de milliards de dollars provenant du tourisme, des centaines d'investisseurs capables de faire des miracles dans la création d'emplois, fuient les pays arabes en proie aux révoltes populaires comme l'Egypte, la Tunisie, la Syrie, la Libye et à un degré moindre le Yémen. Où vont tous ces millions de touristes, ces centaines d'entreprises? Dans des contrées plus stables politiquement et plus sûres économiquement.

Ces deux atouts sont dans les cordes de l'Algérie qui, justement jouit d'une double stabilité: économique et politique. En plus de ces deux arguments, l'Algérie croule sous les milliards de dollars, une denrée rare en ces moments de crise financière qui sévit en Europe. Il est arrivé à notre pays, comme ce chasseur qui ne sait plus quoi faire de la peau de l'ours qu'il venait d'abattre. Frileuse et sclérosée, l'Algérie passe à côté d'un trésor inestimable.

Que font les ministres des Finances, du Tourisme, de la Culture et des Affaires étrangères pour attirer les touristes et les entreprises qui quittent les pays arabes? Qu'attendent nos ambassades à l'étranger pour prendre attache avec ces entreprises et les convaincre à venir s'installer en Algérie? Les autres pays arabes l'avaient fait avec force et détails.

«Venez investir chez nous, venez faire du tourisme, nous avons la sécurité et la stabilité.» Tels étaient les slogans exhibés alors que l'Algérie était à feu et à sang durant la tragédie nationale et c'est de bonne guerre. Rien que pour le tourisme, le manque à gagner est immense pour l'Algérie. On a ressassé pendant longtemps des problèmes sécuritaires, puis un manque d'investissements mais ce n'est plus le cas à présent.

Le manque de compétences et de savoir-faire dans le domaine peut-être? Faux! répondront les experts du domaine. Ces derniers estiment que près de 20% du secteur touristique français sont en panne. Quand on sait que la France est le pays le plus coté sur le plan touristique dans le monde. Et détenir 20% du savoir-faire touristique dans le monde, n'est pas donné. L'on comprend alors que cet immobilisme tient d'abord à un manque de volonté politique, ensuite manque de compétence. «Il serait malheureux de ne pas profiter de cette situation qui sévit dans le Monde arabe pour ne pas faire revenir, faire redécouvrir la destination Algérie», regrette un ancien diplomate pour qui «le tourisme peut constituer le meilleur rempart contre l'islamisme».

Seulement voilà, attirer des investisseurs et assurer le retour des touristes, c'est du cousu main. C'est un travail de fourmi que nos responsables ne sont pas prêts à faire. On n'a jamais entendu parler de campagne d'incitation pour la destination et le marché algériens. Comme on n'a pas lu ou entendu dans les médias des actions qui font la promotion du produit et des atouts fort nombreux du pays. L'Algérie n'a jamais été aussi riche. Les réserves de change ont dépassé les 170 milliards de dollars, au moment où des pays quémandent quelques dollars pour maintenir la paix spciale.

L'Algérie est le deuxième pays arabe après l'Arabie Saoudite (485,48 milliards de dollars) et le 13e au monde en termes de réserves de change. Qu'est-ce qui empêcherait le gouvernement d'organiser ou à la limite d'encourager l'organisation de séminaires et de missions d'assistance. Des campagnes du genre: «Il est temps d'investir en Algérie. Investir en Algérie, c'est le moment ou jamais...», «Visitez la nouvelle Algérie..., vivez le soleil d'Algérie, etc.» Est-il difficile de préparer un argumentaire en plusieurs langues donnant de bonnes raisons pour attirer ces touristes et ces investisseurs. En d'autres termes, la destination Algérie doit se décliner en plusieurs étapes: trouver un slogan original pour motiver, définir un package attractif et enfin imaginer un plan d'action avec les moyens humains et financiers qu'il faut pour cela. Mais pour ce faire, il faut d'abord avoir une stratégie marketing.

Hélas, pour le moment, la seule stratégie économique du pays consiste à multiplier les programmes d'investissements publics qui ne profitent qu'aux entreprises étrangères et à maintenir en perfusion les entreprises nationales en y injectant des milliards de dollars. Tout compte fait, le pays n'a tout simplement pas de stratégie. Un terrible manque avec de terribles dégâts.

 

In : lexpressiondz.com

pour ne pas dire passer à table pour manger...

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Par Brahim TAKHEROUBT - Mardi 06 Decembre 2011

 

Qu'attendent les ministres des Finances, du Tourisme et des Affaires étrangères pour passer à l'offensive?

 

Des dizaines de milliards de dollars provenant du tourisme, des centaines d'investisseurs capables de faire des miracles dans la création d'emplois, fuient les pays arabes en proie aux révoltes populaires comme l'Egypte, la Tunisie, la Syrie, la Libye et à un degré moindre le Yémen. Où vont tous ces millions de touristes, ces centaines d'entreprises? Dans des contrées plus stables politiquement et plus sûres économiquement.

Ces deux atouts sont dans les cordes de l'Algérie qui, justement jouit d'une double stabilité: économique et politique. En plus de ces deux arguments, l'Algérie croule sous les milliards de dollars, une denrée rare en ces moments de crise financière qui sévit en Europe. Il est arrivé à notre pays, comme ce chasseur qui ne sait plus quoi faire de la peau de l'ours qu'il venait d'abattre. Frileuse et sclérosée, l'Algérie passe à côté d'un trésor inestimable.

Que font les ministres des Finances, du Tourisme, de la Culture et des Affaires étrangères pour attirer les touristes et les entreprises qui quittent les pays arabes? Qu'attendent nos ambassades à l'étranger pour prendre attache avec ces entreprises et les convaincre à venir s'installer en Algérie? Les autres pays arabes l'avaient fait avec force et détails.

«Venez investir chez nous, venez faire du tourisme, nous avons la sécurité et la stabilité.» Tels étaient les slogans exhibés alors que l'Algérie était à feu et à sang durant la tragédie nationale et c'est de bonne guerre. Rien que pour le tourisme, le manque à gagner est immense pour l'Algérie. On a ressassé pendant longtemps des problèmes sécuritaires, puis un manque d'investissements mais ce n'est plus le cas à présent.

Le manque de compétences et de savoir-faire dans le domaine peut-être? Faux! répondront les experts du domaine. Ces derniers estiment que près de 20% du secteur touristique français sont en panne. Quand on sait que la France est le pays le plus coté sur le plan touristique dans le monde. Et détenir 20% du savoir-faire touristique dans le monde, n'est pas donné. L'on comprend alors que cet immobilisme tient d'abord à un manque de volonté politique, ensuite manque de compétence. «Il serait malheureux de ne pas profiter de cette situation qui sévit dans le Monde arabe pour ne pas faire revenir, faire redécouvrir la destination Algérie», regrette un ancien diplomate pour qui «le tourisme peut constituer le meilleur rempart contre l'islamisme».

Seulement voilà, attirer des investisseurs et assurer le retour des touristes, c'est du cousu main. C'est un travail de fourmi que nos responsables ne sont pas prêts à faire. On n'a jamais entendu parler de campagne d'incitation pour la destination et le marché algériens. Comme on n'a pas lu ou entendu dans les médias des actions qui font la promotion du produit et des atouts fort nombreux du pays. L'Algérie n'a jamais été aussi riche. Les réserves de change ont dépassé les 170 milliards de dollars, au moment où des pays quémandent quelques dollars pour maintenir la paix spciale.

L'Algérie est le deuxième pays arabe après l'Arabie Saoudite (485,48 milliards de dollars) et le 13e au monde en termes de réserves de change. Qu'est-ce qui empêcherait le gouvernement d'organiser ou à la limite d'encourager l'organisation de séminaires et de missions d'assistance. Des campagnes du genre: «Il est temps d'investir en Algérie. Investir en Algérie, c'est le moment ou jamais...», «Visitez la nouvelle Algérie..., vivez le soleil d'Algérie, etc.» Est-il difficile de préparer un argumentaire en plusieurs langues donnant de bonnes raisons pour attirer ces touristes et ces investisseurs. En d'autres termes, la destination Algérie doit se décliner en plusieurs étapes: trouver un slogan original pour motiver, définir un package attractif et enfin imaginer un plan d'action avec les moyens humains et financiers qu'il faut pour cela. Mais pour ce faire, il faut d'abord avoir une stratégie marketing.

Hélas, pour le moment, la seule stratégie économique du pays consiste à multiplier les programmes d'investissements publics qui ne profitent qu'aux entreprises étrangères et à maintenir en perfusion les entreprises nationales en y injectant des milliards de dollars. Tout compte fait, le pays n'a tout simplement pas de stratégie. Un terrible manque avec de terribles dégâts.

 

In : lexpressiondz.com

El Qaida maghreb ca te dit quelque chose ?

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mentalité de larbin innocent

 

BOUMEDIENE, par choix politique avait décidé que les fiers algériens n'avaient pas à jouer aux "garssoun"

 

nous avons investi dans l'Industrie et l'ouverture de l'Université pour tous

 

le journaleux qui croit que nous ratons le Pérou, larbiniste doit jouer comme disent les Constantinois plus de sa terma - les bains- que de son moukh atrophié. Il est décidé à mettre son petit frère dans le lit des Ministres de SARKOSY

 

tout comme, il cherche à s'attirer la sympathie des génocidaires qui ont investis dans des complexes touristiques en vue d'accueillir des étrangers. Profitez dit-il du" réchauffement " des liens algéro-fransaoui promis par la Françalgérie et demain vous récupérerez les touristes qui fréquenraient les plages tunisiennes...

 

MESKINE

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Dépense du tourisme en France année 2006 (en milliards)

étrangers en France français à l’étranger

2006 36,9 24,9

 

solde + 11.4

 

 

Les US ont aussi un solde positif il me semble

 

 

Pourquoi cracher dessus...bob c'est vrai que le tourisme de masse est une catastrophe à beaucoup de niveaux....mais financièrement ça rapporte et ça crée des emplois

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Dépense du tourisme en France année 2006 (en milliards)

étrangers en France français à l’étranger

2006 36,9 24,9

 

solde + 11.4

 

 

Les US ont aussi un solde positif il me semble

 

 

Pourquoi cracher dessus...bob c'est vrai que le tourisme de masse est une catastrophe à beaucoup de niveaux....mais financièrement ça rapporte et ça crée des emplois

 

C'est bien ça le problème, on est ni la France et encore moins les USA.

L'Algérie est un pays fragile.

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Par Brahim TAKHEROUBT - Mardi 06 Decembre 2011

 

Qu'attendent les ministres des Finances, du Tourisme et des Affaires étrangères pour passer à l'offensive?

 

Des dizaines de milliards de dollars provenant du tourisme, des centaines d'investisseurs capables de faire des miracles dans la création d'emplois, fuient les pays arabes en proie aux révoltes populaires comme l'Egypte, la Tunisie, la Syrie, la Libye et à un degré moindre le Yémen. Où vont tous ces millions de touristes, ces centaines d'entreprises? Dans des contrées plus stables politiquement et plus sûres économiquement.

Ces deux atouts sont dans les cordes de l'Algérie qui, justement jouit d'une double stabilité: économique et politique. En plus de ces deux arguments, l'Algérie croule sous les milliards de dollars, une denrée rare en ces moments de crise financière qui sévit en Europe. Il est arrivé à notre pays, comme ce chasseur qui ne sait plus quoi faire de la peau de l'ours qu'il venait d'abattre. Frileuse et sclérosée, l'Algérie passe à côté d'un trésor inestimable.

Que font les ministres des Finances, du Tourisme, de la Culture et des Affaires étrangères pour attirer les touristes et les entreprises qui quittent les pays arabes? Qu'attendent nos ambassades à l'étranger pour prendre attache avec ces entreprises et les convaincre à venir s'installer en Algérie? Les autres pays arabes l'avaient fait avec force et détails.

«Venez investir chez nous, venez faire du tourisme, nous avons la sécurité et la stabilité.» Tels étaient les slogans exhibés alors que l'Algérie était à feu et à sang durant la tragédie nationale et c'est de bonne guerre. Rien que pour le tourisme, le manque à gagner est immense pour l'Algérie. On a ressassé pendant longtemps des problèmes sécuritaires, puis un manque d'investissements mais ce n'est plus le cas à présent.

Le manque de compétences et de savoir-faire dans le domaine peut-être? Faux! répondront les experts du domaine. Ces derniers estiment que près de 20% du secteur touristique français sont en panne. Quand on sait que la France est le pays le plus coté sur le plan touristique dans le monde. Et détenir 20% du savoir-faire touristique dans le monde, n'est pas donné. L'on comprend alors que cet immobilisme tient d'abord à un manque de volonté politique, ensuite manque de compétence. «Il serait malheureux de ne pas profiter de cette situation qui sévit dans le Monde arabe pour ne pas faire revenir, faire redécouvrir la destination Algérie», regrette un ancien diplomate pour qui «le tourisme peut constituer le meilleur rempart contre l'islamisme».

Seulement voilà, attirer des investisseurs et assurer le retour des touristes, c'est du cousu main. C'est un travail de fourmi que nos responsables ne sont pas prêts à faire. On n'a jamais entendu parler de campagne d'incitation pour la destination et le marché algériens. Comme on n'a pas lu ou entendu dans les médias des actions qui font la promotion du produit et des atouts fort nombreux du pays. L'Algérie n'a jamais été aussi riche. Les réserves de change ont dépassé les 170 milliards de dollars, au moment où des pays quémandent quelques dollars pour maintenir la paix spciale.

L'Algérie est le deuxième pays arabe après l'Arabie Saoudite (485,48 milliards de dollars) et le 13e au monde en termes de réserves de change. Qu'est-ce qui empêcherait le gouvernement d'organiser ou à la limite d'encourager l'organisation de séminaires et de missions d'assistance. Des campagnes du genre: «Il est temps d'investir en Algérie. Investir en Algérie, c'est le moment ou jamais...», «Visitez la nouvelle Algérie..., vivez le soleil d'Algérie, etc.» Est-il difficile de préparer un argumentaire en plusieurs langues donnant de bonnes raisons pour attirer ces touristes et ces investisseurs. En d'autres termes, la destination Algérie doit se décliner en plusieurs étapes: trouver un slogan original pour motiver, définir un package attractif et enfin imaginer un plan d'action avec les moyens humains et financiers qu'il faut pour cela. Mais pour ce faire, il faut d'abord avoir une stratégie marketing.

Hélas, pour le moment, la seule stratégie économique du pays consiste à multiplier les programmes d'investissements publics qui ne profitent qu'aux entreprises étrangères et à maintenir en perfusion les entreprises nationales en y injectant des milliards de dollars. Tout compte fait, le pays n'a tout simplement pas de stratégie. Un terrible manque avec de terribles dégâts.

 

In : lexpressiondz.com

le tourisme de masse, c'est de la m****!!!!

Rien de tel pour détruire une société par des comportements venus d'ailleurs!

on voit ce que cela donne en Tunisie et au Maroc...

Des repères de pervers de toutes sortes, qui viennent profiter de la misère, pour s'adonner à leurs vils instincts méprisables!

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Guest mimineVnoir
Pourquoi toujours le tourisme ?

 

L'Algérie a presque deux millions de touristes qui se ruent vers la Tunise, l'Egypte et autre ( un ami à moi est même allé en Serbie oO , ne me demandez pas où il a trouvé l'argent ) ; tout ca pour dire que premierement c'est bon pour notre cadre avec les infrastructures, la propreté ; cela creera bien entendu de emplois et cela va permettre aux jeunes Algériens de pouvoir visiter les pays en entier. On n'est plus qu'un pays , vu la diversté du paysage , des cultures et des mentalités aussi ; il faudrait peut etre commencer à en profiter.

Pour des raisons politiques aussi , comme ouvrir l'Algérie sur le monde.

 

Mais avec la corruption , on peut toujours rêver.

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si on arrive dans un premier temps , en offrant les préstations qu'il faut , à :

-garder les deux millions qui vont en tunisie et les autres qui choisissent d'autres déstinations proposées comme par exemple la turquie...

 

-satisfaire les algeriens habitant à l'etranger en visite à leurs familles

 

-encourager le tourisme liè aux activités scientifiques (congres,séminaire ) ,à la santè (thalassothérapie ,cures ),aux activitès sportives ... ,à la découverte sur le plan culturel du pays (festival ,associations....)

 

...ça serait un début qui ferait gagner de l'experience aux géstionnaires touristiques et permettre un changement de mentalité en faisant prendre conscience de la dynamique economique qui accompagne cette ouverture.

bien sur ouverture qui s'accompagnera d'un travail de prèvention sur la protèction et la mise en valeur des richesses du patrimoine dans sa globalité.

 

....la seconde phase ,c'est à dire les autres catégories de touristes (les etrangers amis de l'algerie,nostalgiques de l'algerie ,curieux de voir l'algerie-qui faisait peur avant ,ce qui peut se transformer en point positif-....ect),et bien cette seconde phase ne peut être menèe 'agressivement'-selon le langage des professionnels du tourisme-que lorsque les infrastructures ,les differents 'produits' sont prêts...mais sur le plan théorique ,cette phase se prépare et commence bien avant....

la tunisie a longtemps surfè pour sa promotion sur le théme 'balad el amén contrairement aux voisins'.....comme quoi,tout est exploitable....

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L'Algérie a presque deux millions de touristes qui se ruent vers la Tunise, l'Egypte et autre ( un ami à moi est même allé en Serbie oO , ne me demandez pas où il a trouvé l'argent ) ; tout ca pour dire que premierement c'est bon pour notre cadre avec les infrastructures, la propreté ; cela creera bien entendu de emplois et cela va permettre aux jeunes Algériens de pouvoir visiter les pays en entier. On n'est plus qu'un pays , vu la diversté du paysage , des cultures et des mentalités aussi ; il faudrait peut etre commencer à en profiter.

Pour des raisons politiques aussi , comme ouvrir l'Algérie sur le monde.

 

Mais avec la corruption , on peut toujours rêver.

 

Il y a plusieurs sortes de tourisme mais le tourisme "salut je viens bronzer" c'est bon c'est pas pour nous.

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Par Brahim TAKHEROUBT - Mardi 06 Decembre 2011

 

Qu'attendent les ministres des Finances, du Tourisme et des Affaires étrangères pour passer à l'offensive?

 

Des dizaines de milliards de dollars provenant du tourisme, des centaines d'investisseurs capables de faire des miracles dans la création d'emplois, fuient les pays arabes en proie aux révoltes populaires comme l'Egypte, la Tunisie, la Syrie, la Libye et à un degré moindre le Yémen. Où vont tous ces millions de touristes, ces centaines d'entreprises? Dans des contrées plus stables politiquement et plus sûres économiquement.

Ces deux atouts sont dans les cordes de l'Algérie qui, justement jouit d'une double stabilité: économique et politique. En plus de ces deux arguments, l'Algérie croule sous les milliards de dollars, une denrée rare en ces moments de crise financière qui sévit en Europe. Il est arrivé à notre pays, comme ce chasseur qui ne sait plus quoi faire de la peau de l'ours qu'il venait d'abattre. Frileuse et sclérosée, l'Algérie passe à côté d'un trésor inestimable.

Que font les ministres des Finances, du Tourisme, de la Culture et des Affaires étrangères pour attirer les touristes et les entreprises qui quittent les pays arabes? Qu'attendent nos ambassades à l'étranger pour prendre attache avec ces entreprises et les convaincre à venir s'installer en Algérie? Les autres pays arabes l'avaient fait avec force et détails.

«Venez investir chez nous, venez faire du tourisme, nous avons la sécurité et la stabilité.» Tels étaient les slogans exhibés alors que l'Algérie était à feu et à sang durant la tragédie nationale et c'est de bonne guerre. Rien que pour le tourisme, le manque à gagner est immense pour l'Algérie. On a ressassé pendant longtemps des problèmes sécuritaires, puis un manque d'investissements mais ce n'est plus le cas à présent.

Le manque de compétences et de savoir-faire dans le domaine peut-être? Faux! répondront les experts du domaine. Ces derniers estiment que près de 20% du secteur touristique français sont en panne. Quand on sait que la France est le pays le plus coté sur le plan touristique dans le monde. Et détenir 20% du savoir-faire touristique dans le monde, n'est pas donné. L'on comprend alors que cet immobilisme tient d'abord à un manque de volonté politique, ensuite manque de compétence. «Il serait malheureux de ne pas profiter de cette situation qui sévit dans le Monde arabe pour ne pas faire revenir, faire redécouvrir la destination Algérie», regrette un ancien diplomate pour qui «le tourisme peut constituer le meilleur rempart contre l'islamisme».

Seulement voilà, attirer des investisseurs et assurer le retour des touristes, c'est du cousu main. C'est un travail de fourmi que nos responsables ne sont pas prêts à faire. On n'a jamais entendu parler de campagne d'incitation pour la destination et le marché algériens. Comme on n'a pas lu ou entendu dans les médias des actions qui font la promotion du produit et des atouts fort nombreux du pays. L'Algérie n'a jamais été aussi riche. Les réserves de change ont dépassé les 170 milliards de dollars, au moment où des pays quémandent quelques dollars pour maintenir la paix spciale.

L'Algérie est le deuxième pays arabe après l'Arabie Saoudite (485,48 milliards de dollars) et le 13e au monde en termes de réserves de change. Qu'est-ce qui empêcherait le gouvernement d'organiser ou à la limite d'encourager l'organisation de séminaires et de missions d'assistance. Des campagnes du genre: «Il est temps d'investir en Algérie. Investir en Algérie, c'est le moment ou jamais...», «Visitez la nouvelle Algérie..., vivez le soleil d'Algérie, etc.» Est-il difficile de préparer un argumentaire en plusieurs langues donnant de bonnes raisons pour attirer ces touristes et ces investisseurs. En d'autres termes, la destination Algérie doit se décliner en plusieurs étapes: trouver un slogan original pour motiver, définir un package attractif et enfin imaginer un plan d'action avec les moyens humains et financiers qu'il faut pour cela. Mais pour ce faire, il faut d'abord avoir une stratégie marketing.

Hélas, pour le moment, la seule stratégie économique du pays consiste à multiplier les programmes d'investissements publics qui ne profitent qu'aux entreprises étrangères et à maintenir en perfusion les entreprises nationales en y injectant des milliards de dollars. Tout compte fait, le pays n'a tout simplement pas de stratégie. Un terrible manque avec de terribles dégâts.

 

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Les algériens ne veulent pas travailler ,ils veulent tous être patrons:smoke::smoke:

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