Des vaches laitières importées détournées au profit des bouchers

[Ladoz 11]

C'est une grosse affaire dont des éléments d'enquête et de preuves viennent d'être recueillis par les services de sécurité relatifs à un détournement organisé d’un nombre important de vaches laitières dont l'importation a été décidée pour lutter contre la pénurie de lait, selon une source proche du dossier. Il y a quelques mois, une pénurie de lait a été enregistrée à travers le pays, poussant le ministère de l'Agriculture à chercher la solution dans l'importation de vaches laitières.

 

C'est ainsi qu'il a été décidé d'importer 300 000 vaches laitières, avec une productivité de 4000 l /vache/an. L'importation devait être faite par des importateurs qui bénéficieront, dans le cadre du soutien agricole, de la réduction de l'ordre de 17% sur la taxe de valeur ajoutée (TVA), à condition que les vaches importées soient remises à des agriculteurs.

 

C'est là que certains importateurs, avec la complicité de certains fonctionnaires de la banque d'agriculture et de développement rural (BADR) interviennent pour détourner le projet dans un trafic préjudiciable aussi bien pour l'Etat. Les premiers éléments de l'enquête ont révélé un trafic consistant à établir de faux documents selon lesquels les vaches importées ont été remises à des agriculteurs, tandis que les vaches sont détournées et vendues à des bouchers.

 

«Ce qui ne pouvait se faire sans la complicité de certains fonctionnaires de certains agences bancaires de la BADR», nous dira notre source. Les fonctionnaires mis en cause ont délivré des procès-verbaux de réception et constats de démarrage aux importateurs, attestant que les vaches ont été remises à des agriculteurs, alors qu'elles ont été vendues aux bouchers.

 

Le trafic est enregistré dans quelques wilayas du pays, dont Bouira et Bordj Bou Arréridj, selon notre source. Le nombre de vaches détournées de cette manière est important, selon la même source qui précise que l'enquête n'est qu'à ses débuts et des révélations pourraient être faites sur ce trafic.

 

Parlant d'Etat, la source s'interroge sur le rôle des impôts et de la chambre de l'agriculture qui n'ont rien vu du trafic qui a bénéficié aux importateurs mis en cause (franchise de 17% sur la TVA) et cause un préjudice certain au Trésor public et aux agriculteurs.

 

M. A.

 

In : letempsdz.com

[Zoubir8 174]

kleb b'ni kleb!

[Guest framboise]

C'est une grosse affaire dont des éléments d'enquête et de preuves viennent d'être recueillis par les services de sécurité relatifs à un détournement organisé d’un nombre important de vaches laitières dont l'importation a été décidée pour lutter contre la pénurie de lait, selon une source proche du dossier. Il y a quelques mois, une pénurie de lait a été enregistrée à travers le pays, poussant le ministère de l'Agriculture à chercher la solution dans l'importation de vaches laitières.

 

C'est ainsi qu'il a été décidé d'importer 300 000 vaches laitières, avec une productivité de 4000 l /vache/an. L'importation devait être faite par des importateurs qui bénéficieront, dans le cadre du soutien agricole, de la réduction de l'ordre de 17% sur la taxe de valeur ajoutée (TVA), à condition que les vaches importées soient remises à des agriculteurs.

 

C'est là que certains importateurs, avec la complicité de certains fonctionnaires de la banque d'agriculture et de développement rural (BADR) interviennent pour détourner le projet dans un trafic préjudiciable aussi bien pour l'Etat. Les premiers éléments de l'enquête ont révélé un trafic consistant à établir de faux documents selon lesquels les vaches importées ont été remises à des agriculteurs, tandis que les vaches sont détournées et vendues à des bouchers.

 

«Ce qui ne pouvait se faire sans la complicité de certains fonctionnaires de certains agences bancaires de la BADR», nous dira notre source. Les fonctionnaires mis en cause ont délivré des procès-verbaux de réception et constats de démarrage aux importateurs, attestant que les vaches ont été remises à des agriculteurs, alors qu'elles ont été vendues aux bouchers.

 

Le trafic est enregistré dans quelques wilayas du pays, dont Bouira et Bordj Bou Arréridj, selon notre source. Le nombre de vaches détournées de cette manière est important, selon la même source qui précise que l'enquête n'est qu'à ses débuts et des révélations pourraient être faites sur ce trafic.

 

Parlant d'Etat, la source s'interroge sur le rôle des impôts et de la chambre de l'agriculture qui n'ont rien vu du trafic qui a bénéficié aux importateurs mis en cause (franchise de 17% sur la TVA) et cause un préjudice certain au Trésor public et aux agriculteurs.

 

M. A.

 

In : letempsdz.com

bigmdr

il fallait mettre ton article dans la section humour :mdr:

[dzavie 10]

C'est une grosse affaire dont des éléments d'enquête et de preuves viennent d'être recueillis par les services de sécurité relatifs à un détournement organisé d’un nombre important de vaches laitières dont l'importation a été décidée pour lutter contre la pénurie de lait, selon une source proche du dossier. Il y a quelques mois, une pénurie de lait a été enregistrée à travers le pays, poussant le ministère de l'Agriculture à chercher la solution dans l'importation de vaches laitières.

 

C'est ainsi qu'il a été décidé d'importer 300 000 vaches laitières, avec une productivité de 4000 l /vache/an. L'importation devait être faite par des importateurs qui bénéficieront, dans le cadre du soutien agricole, de la réduction de l'ordre de 17% sur la taxe de valeur ajoutée (TVA), à condition que les vaches importées soient remises à des agriculteurs.

 

C'est là que certains importateurs, avec la complicité de certains fonctionnaires de la banque d'agriculture et de développement rural (BADR) interviennent pour détourner le projet dans un trafic préjudiciable aussi bien pour l'Etat. Les premiers éléments de l'enquête ont révélé un trafic consistant à établir de faux documents selon lesquels les vaches importées ont été remises à des agriculteurs, tandis que les vaches sont détournées et vendues à des bouchers.

 

«Ce qui ne pouvait se faire sans la complicité de certains fonctionnaires de certains agences bancaires de la BADR», nous dira notre source. Les fonctionnaires mis en cause ont délivré des procès-verbaux de réception et constats de démarrage aux importateurs, attestant que les vaches ont été remises à des agriculteurs, alors qu'elles ont été vendues aux bouchers.

 

Le trafic est enregistré dans quelques wilayas du pays, dont Bouira et Bordj Bou Arréridj, selon notre source. Le nombre de vaches détournées de cette manière est important, selon la même source qui précise que l'enquête n'est qu'à ses débuts et des révélations pourraient être faites sur ce trafic.

 

Parlant d'Etat, la source s'interroge sur le rôle des impôts et de la chambre de l'agriculture qui n'ont rien vu du trafic qui a bénéficié aux importateurs mis en cause (franchise de 17% sur la TVA) et cause un préjudice certain au Trésor public et aux agriculteurs.

 

M. A.

 

In : letempsdz.com

 

c'est de la grosse arnaque . verra t-on ces mis en cause derriére les barreaux ? ça c'est une question à part.

[djam09 42]

dans un pays ou on as deja vendu de l'ane local ,pas du tout etonnant pour les vaches aussi

[Cosner 10]

salam

 

envoyé par framboise

il fallait mettre ton article dans la section humour

 

lis bien et comprend bien ce qu'elle t'a ecris framboise, car c'est des propos plein de bon sens et de sagesse

 

dans un pays de comique, gouverné par des polichinelles, a quoi devrons nous , nous attendre

je te dis qu'il y a le feu dans notre maison(algerie) au lieu de me repondre essai de sauver ce qui peut nous servir a notre survie, l'algerien te dira va mettre les vaches, à l'abri dans notre maison

 

avant de vouloir embellir ton chez toi , et mettre des meubles de valeurs , pense d'abord a enlevé la saleté, racler l'humidité des murs, repeindre ton interieur, nettoyer ton appartement , ensuite tu pourra entreposé tes beaux meubles

 

l'unité fondamentale de la société soit l'homme algerien, est pourrie comment voulez vous que le groupe soit le multiple des hommes algeriens soit sain, au contraire, lorsque l'individu est infecté, le groupe ne peut que piluler de microbes et de vice

 

commençons par le debut, education civique, l'enseignement du patriotisme , le sens du devoir, la responsabilisation individuelle, un systeme de controle avec obligation de resultat, des sanctions disciplinaire et punitive exemplaire

 

lorsque les analystes jugeront que le convoi des hommes prend la bonne direction, nous pourrons discuter de projet et d'investissment

 

la premiere mesure qui devra etre prise , c'est la construction d'une prison federale, au coeur meme de notre desert, afin de mater et de casser , toute envie de vouloir un jour prendre , ne serait-ce qu'un centime dans les caisses de l'etat, lorsque l'homme algerien verra ce qu'il adviendra de ses amis , il comprendra vite sa douleur, et il reflichira a deux fois avant de gouter à l'interdit, il nous faut des structures disciplinaires a la hauteur du delit commis, n'ont des structures ou on rentre pour faire de la muscu, regardé la télé gratis et manger à sa faim, pendant que le butin derobé et bien placé et il nous rapporte des dividendes

c'est tout un systeme qu'il faudrait repensé et reconfiguré, auquel cas , la pieuvre gagne du terrain , et elle va pourrire tout le monde qui se trouvera sous son aile, policier , magistrat, banquier , representant de l'ordre, institution etatique, et elle (la nebuleuse pieuvre des gens partisans du gain facile, et du vol ) ecrasera tout( les gens honnetes) ce qui se trouvera au travers de son chemin

[Louny 10]

Eh oui c'est bien ça, le problème de l'Algérie sont les Algériens eux-mêmes.

Le gouvernement a beau faire ce qu'il veut, les Algériens (et les Africains en général) sont des mafieux qui détournent tout à leur profit. Le gouvernement facilite l'importation de ces vaches ("L'importation devait être faite par des importateurs qui bénéficieront, dans le cadre du soutien agricole, de la réduction de l'ordre de 17% sur la taxe de valeur ajoutée (TVA)"), mais les Algériens détournent tout à leur profit.