Le sage des sages 10 Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 personne n'a voulu répondre a mes questions Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 Arrête Wahrani !!:p waqila f 1991 Oran a voté FIS en majorité. Tu peux nous donner les chiffres wella machi sah ?:rolleyes: Kanou khabtine :D , bessah le lendemain , une délégation est allé voir le maire (en 90) pour lui signifier que c'etait une erreur et que par conséquent il devait en tenir compte s'i voulait rester à sa place . Oran etait la seule ville ou l'on vendait de l'alcool prêt à emporter 3aynani avec une mairie FIS , et ou aucun bar n'a été fermé ! Citer Link to post Share on other sites
DouKY 10 Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 mes amis j'ai l'honneur de vous demandez de bien vouloir me dire c'est quoi ce fis ---- m'expliquer comment il a était créer ---- qui l'a créer --- et qui sont ces responssables des coulisses 1- FIS: ex (pseido) Parti politique qui a dégénéré en organisation terroriste (AIS) et qui a mis le pied à feu et à sang, si tu as raté des épisodes (t'es peut être pas algérienne non?) 2- Il a été créé juste après l'ouverture du champ politique et la multipartisme en algérie (après la révolte populaire, démocratique et saine en 1988). 3- Il a été créé par des barbus (madani 'ex FLN' et belhadj 'prof d'arabe je crois) des thèses avancent qu'il a été créé par le gouvernement, je ne veux pas rentrer dans ce débat stérile. 4- Ses responsables de coulisses: quelles coulisses? tout ses partisans sont soit dans des kazmates, soit avec AQMI, soit en prison. Il a quelque sympathisant dans le MSP à autre parti religieux mais à moindre écho. Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 personne n'a voulu répondre a mes questions Voilà un petit aperçu assez fidèle de chez Wikipedia . Le Front islamique du salut (الجبهة الإسلامية للإنقاذ, al-Jabhah al-Islāmiyah lil-Inqādh) était une formation politique algérienne militant pour la création d'un État islamique. Elle a été dissoute en mars 1992 par le tribunal administratif d'Alger. D'abord cantonné à certains milieux universitaires, le mouvement islamique élabore une stratégie avec comme corollaire, la conquête du pouvoir et l'instauration d'un État islamique. Pour ce faire, il eut recours à des actions de bienfaisance et de lutte contre la pauvreté et les autres malaises de la société. Fondé le 18 février 1989 dans la mosquée al-Sunna de Bab El-Oued à Alger par Abassi Madani, et agréé le 6 septembre de la même année par le ministère de l'Intérieur. Lors des élections locales de 1990, premières élections libres en Algérie, le FIS avait remporté 953 communes sur 1539 et 32 wilayas (provinces) sur 48. Le 26 décembre 1991 a eu lieu le premier tour des élections législatives. Le FIS obtient 188 sièges sur 231, soit près de 82%, le FFS 25 sièges et le FLN 15 sièges, les candidats indépendants remportent 3 sièges. Prenant acte de la situation qui prévalait, et qui risquait de tourner à son désavantage, l'armée décide le 11 janvier 1992 de pousser le chef de l'État, le président Chadli Bendjedid à la démission et d'interrompre le processus électoral. Les assemblées communales et départementales dirigées par les élus du FIS sont par ailleurs dissoutes et les militants et sympathisants de la formation qui vient de remporter le premier tour du scrutin législatif sont emprisonnés ou expédiés dans des camps établis dans le sud saharien. Plusieurs études ont souligné le rôle du financement extérieur du FIS, mais aussi d'autres groupes religieux[1]. Le fort soutien financier est par l'Arabie Saoudite en 1980 afin de contrer la révolution iranienne et en limiter ses conséquences : les informations exactes au sujet du soutien financier saoudien aux islamistes en Algérie ne sont peut-être connues que par la police secrète du régime[1]. Alors que se multiplient les exécutions extra judiciaires, les sympathisants du FIS s'engagent peu à peu dans une lutte armée contre l'État. Dans ce contexte, de nombreuses personnalités civiles (intellectuels, artistes, journalistes) vont être assassinées dans des conditions mystérieuses. Depuis lors, des témoignages convergents émanant notamment de membres des services secrets de l'armée algérienne ont établi qu'un grand nombre de ces assassinats avaient été commis par les officines de l'armée qui avaient progressivement pris le contrôle des groupes islamistes ou même s'y étaient substitués[2]. Cette stratégie avait pour objectif de discréditer l'opposition islamiste à l'intérieur comme sur la scène internationale et de déplacer sur le terrain strictement sécuritaire une lutte que le pouvoir savait perdue sur le terrain électoral et politique. Dans son livre « Chronique des années de sang » (Paris Denoël 2003 page 94) Mohamed Samraoui, ex haut responsable des services secrets de l’armée algérienne, rétablit une série de données factuelles essentielles. Il révèle d’abord que dès 1991, avant même l’apparition des premiers « Groupes Islamiques Armés », les leaders du « Mouvement islamique armé » (le MIA, la première expression armée du courant islamiste), après avoir été amnistiés, se virent équipés par les services secrets de l’armée de « véhicules de services ». Plus tard, « les premiers tracts islamistes appelant à la conquête du pouvoir par les armes », précise-t-il ensuite, « sortaient en fait de la caserne Antar de Ben-Aknoun, siège du Centre principal des opérations (CPO)… Quant aux fameuses « listes noires » [des intellectuels à abattre] attribuées aux islamistes, elles avaient été élaborées au Centre Ghermoul, siège de la Direction du contre-espionnage (DCE). Ce sont les capitaines Omar Merabet, Saïd Lerari (dit Saoud) et Azzedine Aouis, qui ont rédigé ces tracts, que les éléments de la « section de protection » et les chauffeurs de la DCE glissaient dans les boites aux lettres des intéressés. » Pour Samraoui, depuis le début la guerre civile, la plupart des « émirs du GIA » ne furent en fait que des épouvantails aux mains des services. Durant l'année 1997, le principal fondateur et dirigeant du FIS Abassi Madani, fut relâché, et mis en résidence surveillée, officiellement il devait appeler les anciens partisans du FIS à déposer les armes. Quelques mois après sa sortie de prison, une lettre compromettante fut découverte et dans laquelle Ali Belhadj appelait le GIA et l'AIS à poursuivre leur lutte. Une lettre dont l'origine et le contenu restent à prouver. C'est sur la base de cette preuve qu'il fut de nouveau emprisonné. L'AIS a été chargé, durant ces années de défendre les villages isolés contre les GIA, des villages abandonnés par l'armée régulière. Les médias, tant occidentaux qu'algériens, omettront de parler de ces nombreux combats dans les montagnes entre l'AIS et les GIA. En 1999, on ne dénombrait plus que 600 terroristes des GIA. Ces groupes terroristes, étrangers au peuple algérien, ont disparu petit à petit durant ces dernières années. Les partisans du FIS, l'AIS, ont bénéficié d'une amnistie présidentielle suite à la loi sur la concorde civile proposée par le président Abdelaziz Bouteflika. Cette volonté du pouvoir de se réconcilier avec le FIS, pose la question de la culpabilité de ce parti quant à cette décennie de massacres de civils. L'ancien ministre de l'éducation nationale du temps de Houari Boumediene, Ahmed Taleb Ibrahimi, fervent partisan du FIS, tentera en 2000 de recréer le parti islamique, mais en vain. En juillet 2003, Abassi Madani et Ali Belhadj sont libérés sous la présidence d'Abdelaziz Bouteflika. Leur influence, sans toutefois retoucher à la politique, est pesante et certaines lois se durcissent depuis leur sortie officielle. En effet, une loi a été votée quelques mois après la sortie d'Ali Belhadj, concernant l'interdiction formelle d'importer de l'alcool sur le territoire algérien. Actuellement Ali Belhadj est frappé d'une interdiction de sortie du territoire, voire de la capitale. Abassi Madani a procédé à plusieurs voyages, notamment en Indonésie, en Malaisie et au Qatar où il a été soigné. Il vit actuellement au Qatar. Citer Link to post Share on other sites
Guest samirovsky Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 Voilà un petit aperçu assez fidèle de chez Wikipedia . Le Front islamique du salut (الجبهة الإسلامية للإنقاذ, al-Jabhah al-Islāmiyah lil-Inqādh) était une formation politique algérienne militant pour la création d'un État islamique. Elle a été dissoute en mars 1992 par le tribunal administratif d'Alger. D'abord cantonné à certains milieux universitaires, le mouvement islamique élabore une stratégie avec comme corollaire, la conquête du pouvoir et l'instauration d'un État islamique. Pour ce faire, il eut recours à des actions de bienfaisance et de lutte contre la pauvreté et les autres malaises de la société. Fondé le 18 février 1989 dans la mosquée al-Sunna de Bab El-Oued à Alger par Abassi Madani, et agréé le 6 septembre de la même année par le ministère de l'Intérieur. Lors des élections locales de 1990, premières élections libres en Algérie, le FIS avait remporté 953 communes sur 1539 et 32 wilayas (provinces) sur 48. Le 26 décembre 1991 a eu lieu le premier tour des élections législatives. Le FIS obtient 188 sièges sur 231, soit près de 82%, le FFS 25 sièges et le FLN 15 sièges, les candidats indépendants remportent 3 sièges. Prenant acte de la situation qui prévalait, et qui risquait de tourner à son désavantage, l'armée décide le 11 janvier 1992 de pousser le chef de l'État, le président Chadli Bendjedid à la démission et d'interrompre le processus électoral. Les assemblées communales et départementales dirigées par les élus du FIS sont par ailleurs dissoutes et les militants et sympathisants de la formation qui vient de remporter le premier tour du scrutin législatif sont emprisonnés ou expédiés dans des camps établis dans le sud saharien. Plusieurs études ont souligné le rôle du financement extérieur du FIS, mais aussi d'autres groupes religieux[1]. Le fort soutien financier est par l'Arabie Saoudite en 1980 afin de contrer la révolution iranienne et en limiter ses conséquences : les informations exactes au sujet du soutien financier saoudien aux islamistes en Algérie ne sont peut-être connues que par la police secrète du régime[1]. Alors que se multiplient les exécutions extra judiciaires, les sympathisants du FIS s'engagent peu à peu dans une lutte armée contre l'État. Dans ce contexte, de nombreuses personnalités civiles (intellectuels, artistes, journalistes) vont être assassinées dans des conditions mystérieuses. Depuis lors, des témoignages convergents émanant notamment de membres des services secrets de l'armée algérienne ont établi qu'un grand nombre de ces assassinats avaient été commis par les officines de l'armée qui avaient progressivement pris le contrôle des groupes islamistes ou même s'y étaient substitués[2]. Cette stratégie avait pour objectif de discréditer l'opposition islamiste à l'intérieur comme sur la scène internationale et de déplacer sur le terrain strictement sécuritaire une lutte que le pouvoir savait perdue sur le terrain électoral et politique. Dans son livre « Chronique des années de sang » (Paris Denoël 2003 page 94) Mohamed Samraoui, ex haut responsable des services secrets de l’armée algérienne, rétablit une série de données factuelles essentielles. Il révèle d’abord que dès 1991, avant même l’apparition des premiers « Groupes Islamiques Armés », les leaders du « Mouvement islamique armé » (le MIA, la première expression armée du courant islamiste), après avoir été amnistiés, se virent équipés par les services secrets de l’armée de « véhicules de services ». Plus tard, « les premiers tracts islamistes appelant à la conquête du pouvoir par les armes », précise-t-il ensuite, « sortaient en fait de la caserne Antar de Ben-Aknoun, siège du Centre principal des opérations (CPO)… Quant aux fameuses « listes noires » [des intellectuels à abattre] attribuées aux islamistes, elles avaient été élaborées au Centre Ghermoul, siège de la Direction du contre-espionnage (DCE). Ce sont les capitaines Omar Merabet, Saïd Lerari (dit Saoud) et Azzedine Aouis, qui ont rédigé ces tracts, que les éléments de la « section de protection » et les chauffeurs de la DCE glissaient dans les boites aux lettres des intéressés. » Pour Samraoui, depuis le début la guerre civile, la plupart des « émirs du GIA » ne furent en fait que des épouvantails aux mains des services. Durant l'année 1997, le principal fondateur et dirigeant du FIS Abassi Madani, fut relâché, et mis en résidence surveillée, officiellement il devait appeler les anciens partisans du FIS à déposer les armes. Quelques mois après sa sortie de prison, une lettre compromettante fut découverte et dans laquelle Ali Belhadj appelait le GIA et l'AIS à poursuivre leur lutte. Une lettre dont l'origine et le contenu restent à prouver. C'est sur la base de cette preuve qu'il fut de nouveau emprisonné. L'AIS a été chargé, durant ces années de défendre les villages isolés contre les GIA, des villages abandonnés par l'armée régulière. Les médias, tant occidentaux qu'algériens, omettront de parler de ces nombreux combats dans les montagnes entre l'AIS et les GIA. En 1999, on ne dénombrait plus que 600 terroristes des GIA. Ces groupes terroristes, étrangers au peuple algérien, ont disparu petit à petit durant ces dernières années. Les partisans du FIS, l'AIS, ont bénéficié d'une amnistie présidentielle suite à la loi sur la concorde civile proposée par le président Abdelaziz Bouteflika. Cette volonté du pouvoir de se réconcilier avec le FIS, pose la question de la culpabilité de ce parti quant à cette décennie de massacres de civils. L'ancien ministre de l'éducation nationale du temps de Houari Boumediene, Ahmed Taleb Ibrahimi, fervent partisan du FIS, tentera en 2000 de recréer le parti islamique, mais en vain. En juillet 2003, Abassi Madani et Ali Belhadj sont libérés sous la présidence d'Abdelaziz Bouteflika. Leur influence, sans toutefois retoucher à la politique, est pesante et certaines lois se durcissent depuis leur sortie officielle. En effet, une loi a été votée quelques mois après la sortie d'Ali Belhadj, concernant l'interdiction formelle d'importer de l'alcool sur le territoire algérien. Actuellement Ali Belhadj est frappé d'une interdiction de sortie du territoire, voire de la capitale. Abassi Madani a procédé à plusieurs voyages, notamment en Indonésie, en Malaisie et au Qatar où il a été soigné. Il vit actuellement au Qatar. goult lek, wach men le score nta3ou, le FIS, fi Oran en 1991 je sais que t'étais pas Oranais à ce temps-là :p Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 Ya wedi y a qu'à voir ton avatar pour se mettre en garde!! YAW le FIS n'a rien à faire en Algérie. YAW on a vécu les pires horreurs avec ta mentalité à deux balles. YAW si la société algérienne ne te plait pas la libye, le maroc, la tunisie, l'afghanistan, le pakistan t'accueilleront avec plaisir. Faut arrêter avec vos conneries, laisser nous vivre en paix, libre et comme on le souhaite. La société algérienne n'est pas compatible avec les boula7iya. Sois en sur, le jour ou le FIS prendra le pouvoir, je monterai à mon tour dans les montagnes pour m'investir dans le terrorisme démocrate. :gun_rifle: voila la veritable image de la democratie,tu l'a dit toi meme!!les plus gros responsable de notre drame de la decenie noir,200000 victimes et tout ca au nom de la democratie!!! Citer Link to post Share on other sites
Wahrani 1 465 Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 goult lek, wach men le score nta3ou, le FIS, fi Oran en 1991 je sais que t'étais pas Oranais à ce temps-là :p C'est normal que les modernistes aient perdu en 90 et en 91 , leur meneur de jeu ( el met'hadeth :cool:) etait à Alger ! :D Pour le score il etait moins large qu'à Alger pour le communales et les législatives . A Oran , c'est les milieux affairistes et opportunistes qui ont gonflé la victoire du FIS , les mêmes qui aujourd'hui tiennent les rênes de la ville . Citer Link to post Share on other sites
Le sage des sages 10 Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 1- FIS: ex (pseido) Parti politique qui a dégénéré en organisation terroriste (AIS) et qui a mis le pied à feu et à sang, si tu as raté des épisodes (t'es peut être pas algérienne non?) 2- Il a été créé juste après l'ouverture du champ politique et la multipartisme en algérie (après la révolte populaire, démocratique et saine en 1988). 3- Il a été créé par des barbus (madani 'ex FLN' et belhadj 'prof d'arabe je crois) des thèses avancent qu'il a été créé par le gouvernement, je ne veux pas rentrer dans ce débat stérile. 4- Ses responsables de coulisses: quelles coulisses? tout ses partisans sont soit dans des kazmates, soit avec AQMI, soit en prison. Il a quelque sympathisant dans le MSP à autre parti religieux mais à moindre écho. merçi mon frere pour ta réponse cette histoire je l'ai vécu avant pendant et aprés --- le réel ce n'est pas ça du tout car c'est les médiats qui le disent et protègent des gens qui sont au pouvoir actuel ---- et je voudrais connaitre les vrais créateur de ce partif ce n'est ni belhadj ni abbas madani cela sont des marionettes et pas plus il n'ont rien créer et ne pourront jamais créer quoi que ce soit Citer Link to post Share on other sites
Guest Nimos Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 la propagande anti islam sur ce forum a debuter!!! As tu vecu durant la periode des années 90s en Algérie? connais tu réellement cette période? ou juste des titres de journaux? Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 au moin les barbues,pas les assassins on une veritable personalite!!!!pas comme la plupart des algeriens qui sont occidentaliser sur ce forum!!! Citer Link to post Share on other sites
Le sage des sages 10 Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 Voilà un petit aperçu assez fidèle de chez Wikipedia . Le Front islamique du salut (الجبهة الإسلامية للإنقاذ, al-Jabhah al-Islāmiyah lil-Inqādh) était une formation politique algérienne militant pour la création d'un État islamique. Elle a été dissoute en mars 1992 par le tribunal administratif d'Alger. D'abord cantonné à certains milieux universitaires, le mouvement islamique élabore une stratégie avec comme corollaire, la conquête du pouvoir et l'instauration d'un État islamique. Pour ce faire, il eut recours à des actions de bienfaisance et de lutte contre la pauvreté et les autres malaises de la société. Fondé le 18 février 1989 dans la mosquée al-Sunna de Bab El-Oued à Alger par Abassi Madani, et agréé le 6 septembre de la même année par le ministère de l'Intérieur. Lors des élections locales de 1990, premières élections libres en Algérie, le FIS avait remporté 953 communes sur 1539 et 32 wilayas (provinces) sur 48. Le 26 décembre 1991 a eu lieu le premier tour des élections législatives. Le FIS obtient 188 sièges sur 231, soit près de 82%, le FFS 25 sièges et le FLN 15 sièges, les candidats indépendants remportent 3 sièges. Prenant acte de la situation qui prévalait, et qui risquait de tourner à son désavantage, l'armée décide le 11 janvier 1992 de pousser le chef de l'État, le président Chadli Bendjedid à la démission et d'interrompre le processus électoral. Les assemblées communales et départementales dirigées par les élus du FIS sont par ailleurs dissoutes et les militants et sympathisants de la formation qui vient de remporter le premier tour du scrutin législatif sont emprisonnés ou expédiés dans des camps établis dans le sud saharien. Plusieurs études ont souligné le rôle du financement extérieur du FIS, mais aussi d'autres groupes religieux[1]. Le fort soutien financier est par l'Arabie Saoudite en 1980 afin de contrer la révolution iranienne et en limiter ses conséquences : les informations exactes au sujet du soutien financier saoudien aux islamistes en Algérie ne sont peut-être connues que par la police secrète du régime[1]. Alors que se multiplient les exécutions extra judiciaires, les sympathisants du FIS s'engagent peu à peu dans une lutte armée contre l'État. Dans ce contexte, de nombreuses personnalités civiles (intellectuels, artistes, journalistes) vont être assassinées dans des conditions mystérieuses. Depuis lors, des témoignages convergents émanant notamment de membres des services secrets de l'armée algérienne ont établi qu'un grand nombre de ces assassinats avaient été commis par les officines de l'armée qui avaient progressivement pris le contrôle des groupes islamistes ou même s'y étaient substitués[2]. Cette stratégie avait pour objectif de discréditer l'opposition islamiste à l'intérieur comme sur la scène internationale et de déplacer sur le terrain strictement sécuritaire une lutte que le pouvoir savait perdue sur le terrain électoral et politique. Dans son livre « Chronique des années de sang » (Paris Denoël 2003 page 94) Mohamed Samraoui, ex haut responsable des services secrets de l’armée algérienne, rétablit une série de données factuelles essentielles. Il révèle d’abord que dès 1991, avant même l’apparition des premiers « Groupes Islamiques Armés », les leaders du « Mouvement islamique armé » (le MIA, la première expression armée du courant islamiste), après avoir été amnistiés, se virent équipés par les services secrets de l’armée de « véhicules de services ». Plus tard, « les premiers tracts islamistes appelant à la conquête du pouvoir par les armes », précise-t-il ensuite, « sortaient en fait de la caserne Antar de Ben-Aknoun, siège du Centre principal des opérations (CPO)… Quant aux fameuses « listes noires » [des intellectuels à abattre] attribuées aux islamistes, elles avaient été élaborées au Centre Ghermoul, siège de la Direction du contre-espionnage (DCE). Ce sont les capitaines Omar Merabet, Saïd Lerari (dit Saoud) et Azzedine Aouis, qui ont rédigé ces tracts, que les éléments de la « section de protection » et les chauffeurs de la DCE glissaient dans les boites aux lettres des intéressés. » Pour Samraoui, depuis le début la guerre civile, la plupart des « émirs du GIA » ne furent en fait que des épouvantails aux mains des services. Durant l'année 1997, le principal fondateur et dirigeant du FIS Abassi Madani, fut relâché, et mis en résidence surveillée, officiellement il devait appeler les anciens partisans du FIS à déposer les armes. Quelques mois après sa sortie de prison, une lettre compromettante fut découverte et dans laquelle Ali Belhadj appelait le GIA et l'AIS à poursuivre leur lutte. Une lettre dont l'origine et le contenu restent à prouver. C'est sur la base de cette preuve qu'il fut de nouveau emprisonné. L'AIS a été chargé, durant ces années de défendre les villages isolés contre les GIA, des villages abandonnés par l'armée régulière. Les médias, tant occidentaux qu'algériens, omettront de parler de ces nombreux combats dans les montagnes entre l'AIS et les GIA. En 1999, on ne dénombrait plus que 600 terroristes des GIA. Ces groupes terroristes, étrangers au peuple algérien, ont disparu petit à petit durant ces dernières années. Les partisans du FIS, l'AIS, ont bénéficié d'une amnistie présidentielle suite à la loi sur la concorde civile proposée par le président Abdelaziz Bouteflika. Cette volonté du pouvoir de se réconcilier avec le FIS, pose la question de la culpabilité de ce parti quant à cette décennie de massacres de civils. L'ancien ministre de l'éducation nationale du temps de Houari Boumediene, Ahmed Taleb Ibrahimi, fervent partisan du FIS, tentera en 2000 de recréer le parti islamique, mais en vain. En juillet 2003, Abassi Madani et Ali Belhadj sont libérés sous la présidence d'Abdelaziz Bouteflika. Leur influence, sans toutefois retoucher à la politique, est pesante et certaines lois se durcissent depuis leur sortie officielle. En effet, une loi a été votée quelques mois après la sortie d'Ali Belhadj, concernant l'interdiction formelle d'importer de l'alcool sur le territoire algérien. Actuellement Ali Belhadj est frappé d'une interdiction de sortie du territoire, voire de la capitale. Abassi Madani a procédé à plusieurs voyages, notamment en Indonésie, en Malaisie et au Qatar où il a été soigné. Il vit actuellement au Qatar. merçi mon frere pour la réponse tout ce que tu dit c'est connu la vérité c'est autre et je voudrais bien la connaitre Citer Link to post Share on other sites
Durakwir 10 Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 Kanou khabtine :D ... Ils l'etaient tellement qu'ils avaient cru assister a un concert de ZZ Top :mdr: . Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 merçi mon frere pour la réponse tout ce que tu dit c'est connu la vérité c'est autre et je voudrais bien la connaitre je me fierais pas a wikipedia,c est une source non fiable,tous le monde peut balancer de fausses info sur ce site!! Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 Ca fait un ptit moment que je te lis sur les Belhadj, Madani et autres vermines Fis/Gia et je te vois pas beaucoup les condamner ... je les comdamne aussi mais pas plus que les militaires!!! Citer Link to post Share on other sites
Nytch 10 Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 Je suis entrain de m'éloigner de la religion à cause de ces abrutis . Ils sont la cause (même indirectement ) du malheur qui s'est abattu sur les algériens . La lâcheté de ce mouvement est d'avoir eut droit à accéder à la politique en touchant à la sensibilité des croyants . Ils sont deux fois plus hypocrites que le plus vulgaire des politiciens , car ils ne proposent que des fausses promesses , mais sous la bannière de l'Islam . . Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 je demande la fermeture de ce topic,ca va partir en vrille Citer Link to post Share on other sites
Malcolm X 10 Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 Ya wedi y a qu'à voir ton avatar pour se mettre en garde!! YAW le FIS n'a rien à faire en Algérie. YAW on a vécu les pires horreurs avec ta mentalité à deux balles. YAW si la société algérienne ne te plait pas la libye, le maroc, la tunisie, l'afghanistan, le pakistan t'accueilleront avec plaisir. Faut arrêter avec vos conneries, laisser nous vivre en paix, libre et comme on le souhaite. La société algérienne n'est pas compatible avec les boula7iya. Sois en sur, le jour ou le FIS prendra le pouvoir, je monterai à mon tour dans les montagnes pour m'investir dans le terrorisme démocrate. :gun_rifle: Vous ne serez pas seul. Citer Link to post Share on other sites
Guest Anda Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 je demande la fermeture de ce topic,ca va partir en vrille Non, il est très bien ce topic. On tapera jamais assez fort sur ces salauds d'islamistes. Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 Non, il est très bien ce topic. On tapera jamais assez fort sur ces salauds d'islamistes. ok pas de souci,deverser vos insultes sur les islamistes,j espererais avoir une discussion avec des gens qui on une bonne comprehension,d echanger nos points de vue de sortes que nous puissions s'entendre mais je me trompe!!ok amusez vous bien!! Citer Link to post Share on other sites
Nytch 10 Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 ok pas de souci,deverser vos insultes sur les islamistes,j espererais avoir une discussion avec des gens qui on une bonne comprehension,d echanger nos points de vue de sortes que nous puissions s'entendre mais je me trompe!!ok amusez vous bien!! Non !.... reste là , ne te défile pas comme ça !. Explique nous voir comment des islamistes pourrait faire progresser un pays de bras cassé , qui devront fermé régulièrement leur commerce , cesser toute activités , et remplir obligatoirement les mosquées et la caisse qui va avec . Avoir fait sortir la religion de son contexte est déjà un sacrilège en soit . . . Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 Non !.... reste là , ne te défile pas comme ça !. Explique nous voir comment des islamistes pourrait faire progresser un pays de bras cassé , qui devront fermé régulièrement leur commerce , cesser toute activités , et remplir obligatoirement les mosquées et la caisse qui va avec . Avoir fait sortir la religion de son contexte est déjà un sacrilège en soit . . . j avais declarer a maintes reprises dans l'ensemble des topics sur ce forum ayant trait a l islam qu il faudrait une nouvelle elite au fis ou alors un nouveau parti,avec des gens qui on un exellent niveau d'etude et qui comprenent tres bien l islam,bien sur que oui je suis contre les incompetents,je suis contre les extremistes,il faudrait un systeme comme a la turquie ou la malaisie!!les membres s imaginent qu en portant un avatar ou une barbe tous de suite tu est catapulter comme extremiste!!! si vraiment j aurais encourager des gens qui avaient massacrer a une epoque,je l aurait dit directement sur ce topic,je cache rien du tout!! Citer Link to post Share on other sites
seuilgaz 10 Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 Non !.... reste là , ne te défile pas comme ça !. Explique nous voir comment des islamistes pourrait faire progresser un pays de bras cassé , qui devront fermé régulièrement leur commerce , cesser toute activités , et remplir obligatoirement les mosquées et la caisse qui va avec . Avoir fait sortir la religion de son contexte est déjà un sacrilège en soit . . . je suis desolee mais moi je ne debat pas avec des gens qui genralisent tous,qui manque de respect,qui insulte car lorsqu on a un mimimum de niveau dans son cerveau on se rabaisse pas a employer des propos vulgaires,je me refaire a celui qui a ouvert ce topic,heuresement le titre a ete changer!! Citer Link to post Share on other sites
Le sage des sages 10 Posted December 7, 2011 Partager Posted December 7, 2011 je me fierais pas a wikipedia,c est une source non fiable,tous le monde peut balancer de fausses info sur ce site!! la vérité et le vrais fis c'est le pouvoir actuel ----- analyser vous trouvez je quitte ce topic Citer Link to post Share on other sites
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