Jump to content

Qu'en est-il de LUI ?


Recommended Posts

Ah je patienterais donc jusqu'au matin,ça m'intrigue:D

 

C'est vrai, je suis pas doué pour donner des titres aux rubriques :)

 

En gros, je tente une expérience en live...

Un concept provenant du "dadaïsme" ;

auquel je m'affaire à tremper le crayon.

 

Il y a de quoi tirer 10-15 vers là...

20-25 si te tombe sur un bon "Cohiba" :)

Link to post
Share on other sites
C'est vrai, je suis pas doué pour donner des titres aux rubriques :)

 

En gros, je tente une expérience en live...

Un concept provenant du "dadaïsme" ;

auquel je m'affaire à tremper le crayon.

 

Il y a de quoi tirer 10-15 vers là...

20-25 si te tombe sur un bon "Cohiba" :)

 

Amuse toi bien.:D

Link to post
Share on other sites

Installé dans l'heure d'attente du moment nourri

J’enfouis un sentiment que nulle horloge ne guérit.

Appuyés mes oreilles contre le cœur d’un usufruit

la quête d’un amour Platon n’est autre qu’une folie.

 

Pendu l’esprit sur une chaise, mon intérieur s’offre à la nuit.

La douleur de l’instant me nargue, ennui et peur s’appuient.

Triste, seul, et malade, une ultime moitié couche sur mon lit,

Pensées obscures et marées basses, je dois rouler sur les débris.

 

Fixant l'espace d’un écran insaisissable, surgit douleurs et cris.

De la nudité de l'homme et de l'âme, il ne reste qu’à faire la pie.

Porter main sur ce qui brille, se consomme sans méfait ou de bruit.

L’hôtel trésor que je fouine me cajole, tel que jadis je rêvais les nuits.

 

Courez ! Courez, que je ne tienne en vous une âme qui arpente les nuits.

Je viens et je vais, mais je n'ai pas de fruits. Courez, avant que je ne me relis !

Link to post
Share on other sites
Guest mamicha
l'Amour de Platonie (Produit final)

 

Installé dans l'heure d'attente du moment nourri

J’enfouis un sentiment que nulle horloge ne guérit.

Appuyés mes oreilles contre le cœur d’un usufruit

la quête d’un amour Platon n’est autre qu’une folie.

 

Pendu l’esprit sur une chaise, mon intérieur s’offre à la nuit.

La douleur de l’instant me nargue, ennui et peur s’appuient.

Triste, seul, et malade, une ultime moitié couche sur mon lit,

Pensées obscures et marées basses, je dois rouler sur les débris.

 

Fixant l'espace d’un écran insaisissable, surgit douleurs et cris.

De la nudité de l'homme et de l'âme, il ne reste qu’à faire la pie.

Porter main sur ce qui brille, se consomme sans méfait ou de bruit.

L’hôtel trésor que je fouine me cajole, tel que jadis je rêvais les nuits.

 

Courez ! Courez, que je ne tienne en vous une âme qui arpente les nuits.

Je viens et je vais, mais je n'ai pas de fruits. Courez, avant que je ne me relis !

 

 

 

 

 

 

 

Premier brouillon :

De près, de loin, je m’enfouis, m’étale, installe, guéris et me suffit.

Le cœur ! Quel cœur ? Celui qui bat "" pour elle "" ou pour ma folie ?

Corps fidèle ! Mais à qui ? La nuit , le jour , le visage, ou cet esprit ?

Mort s’ensuit à tout infidèle, et mort à la fois à ceux qui s’ennuient.

 

J’ajoute, ne quitte point, ne monte guère, ne réduit ; l’âme qui s’en aille revient aussi.

Au cours, du tour, des tours que je fais, je ne commet point le méfait ou arbore la pie.

J’attise, je cajole, chasse le trésor de mes fouines. Tout comme jadis, je rêvais la nuit.

Douleur surgit point, ni cri, ni peur, il est des cœurs qui n’orientent jamais vers le mépris.

 

Cours que je ne tienne, en toi une âme qui conjugue la nuit. Cours. Avant bien que je "me lis".

 

Ton écrit est profond, vague et renferme le mystère....Chacun peut l'interpréter à sa guise...Je le trouve tout simplement sublime!

Link to post
Share on other sites
l'Amour de Platonie (Produit final)

 

Installé dans l'heure d'attente du moment nourri

J’enfouis un sentiment que nulle horloge ne guérit.

Appuyés mes oreilles contre le cœur d’un usufruit

la quête d’un amour Platon n’est autre qu’une folie.

 

Pendu l’esprit sur une chaise, mon intérieur s’offre à la nuit.

La douleur de l’instant me nargue, ennui et peur s’appuient.

Triste, seul, et malade, une ultime moitié couche sur mon lit,

Pensées obscures et marées basses, je dois rouler sur les débris.

 

Fixant l'espace d’un écran insaisissable, surgit douleurs et cris.

De la nudité de l'homme et de l'âme, il ne reste qu’à faire la pie.

Porter main sur ce qui brille, se consomme sans méfait ou de bruit.

L’hôtel trésor que je fouine me cajole, tel que jadis je rêvais les nuits.

 

Courez ! Courez, que je ne tienne en vous une âme qui arpente les nuits.

Je viens et je vais, mais je n'ai pas de fruits. Courez, avant que je ne me relis !

 

 

 

 

 

 

 

Premier brouillon :

De près, de loin, je m’enfouis, m’étale, installe, guéris et me suffit.

Le cœur ! Quel cœur ? Celui qui bat "" pour elle "" ou pour ma folie ?

Corps fidèle ! Mais à qui ? La nuit , le jour , le visage, ou cet esprit ?

Mort s’ensuit à tout infidèle, et mort à la fois à ceux qui s’ennuient.

 

J’ajoute, ne quitte point, ne monte guère, ne réduit ; l’âme qui s’en aille revient aussi.

Au cours, du tour, des tours que je fais, je ne commet point le méfait ou arbore la pie.

J’attise, je cajole, chasse le trésor de mes fouines. Tout comme jadis, je rêvais la nuit.

Douleur surgit point, ni cri, ni peur, il est des cœurs qui n’orientent jamais vers le mépris.

 

Cours que je ne tienne, en toi une âme qui conjugue la nuit. Cours. Avant bien que je "me lis".

 

Ça me fait penser au poète un peu bohême, écorché vif par la vie, mais qui reprend toujours le dessus.

Link to post
Share on other sites
Ton écrit est profond, vague et renferme le mystère....Chacun peut l'interpréter à sa guise...Je le trouve tout simplement sublime!

 

Merci du fond du cœur ;

Appelons ça, la chance du débutant...

Quant au mystère, il n'est pas prêt de toucher sa fin ; c'est bien compris...

Encore Merci :)

Link to post
Share on other sites
Guest mamicha
Merci du fond du cœur ;

Appelons ça, la chance du débutant...

Quant au mystère, il n'est pas prêt de toucher sa fin ; c'est bien compris...

Encore Merci :)

 

C'est moi qui te remercie pour le partage. Et j'attend la suite avec impatience car j'adore le mystère.:o

Link to post
Share on other sites
Guest mamicha
Dans ce cas, pour te faire plaisir ;

Donnes-moi "15 mots" de ton choix ;

Et laisses-moi faire :)

 

Ok, j'adore ce genre de défis.:D

 

Enfance, misérable, jardin, brouillard, étoiles, cruel, sordide, extase, souvenir, folie, arbre, suave, mère, écuelle, apaisement.

Link to post
Share on other sites
Ok, j'adore ce genre de défis.:D

 

Enfance, misérable, jardin, brouillard, étoiles, cruel, sordide, extase, souvenir, folie, arbre, suave, mère, écuelle, apaisement.

 

Si vie se prête, Demain ;

J’espère écrire vrai, pour ta part...

Seul bémol, tu n’auras plus de secrets :)

Link to post
Share on other sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.
Note: Your post will require moderator approval before it will be visible.

Guest
Répondre

×   Pasted as rich text.   Paste as plain text instead

  Only 75 emoji are allowed.

×   Your link has been automatically embedded.   Display as a link instead

×   Your previous content has been restored.   Clear editor

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

×
×
  • Create New...