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El Hallaj a dit " Je suis la Vérité" et ses juges ont compris " Je suis Allah",

la Vérité faisant partie des 99 noms d'Allah comme le Clément, le Sage,...etc.

Il a dit auusi qu'il faisait le hadj dans sa chambre et qu'il n'avait pas besoin de

la Mecque. :mdr:

 

Pour les occidentaux, sous l'influence de Louis Massignon qui lui a consacré un gros livre,, El Hallaj est considéré comme le Christ de l'islam et certains se convertissent à l'islam uniquement pour celà.

 

Mais l'islam soufi est méprisé par la majorité des musulmans puisqu'il ne respecte pas les interdits de l'islam musique, danse...etc.

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  • 1 month later...
Guest khouz

Les principes fondamentaux du Soufisme

Afin d'explorer en détail le Soufisme, ses principes fondamentaux doivent d'abord être explicités, afin d'avertir la communauté musulmane du piège de cette innovation, sachant que le nombre de prêcheurs du soufisme augmente. La Franc-maçonnerie est un sponsor probable du Soufisme aujourd'hui, afin d’éloigner la jeunesse musulmane de l'Islam pur, basé sur le livre d'Allah et la Sounna de Son Messager Mouhammad saws.gif. Les ennemis de l'Islam craignent les conséquences d'une telle renaissance, parce qu'elle affecte tout le monde musulman et diminue leur influence.

Ce qui suit sont les principes fondamentaux du Soufisme jugés par le Coran et la Sounna, que nous allons étudier point par point :

La structure des Ordres Soufis – Le Cheikh certifié – Al-’Ahd (le serment d'allégeance) – Le rituel du Wird soufi – Al-Khalwah (Séclusion) – Al-Kashf (dévoilement) – Al-Fanaa (l’annihilation) – La science manifeste et secrète – Al-Aqtaab (les pôles) – Al-Awliyaa (les saints).

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Guest khouz

Structure des Ordres Soufis

 

Le Soufisme établit un lien fondamental entre le Cheikh, chef de la tariqah Soufie (Ordre), et le mourid (débutant), un lien qui s’étend toute leur vie et qui continue après leur mort. Le mourid prend un serment d’allégeance (’ahd) et jure obéissance au Cheikh, qui promet en contrepartie de résoudre tous ses problèmes et de le délivrer de chaque dilemme toutes les fois qu'il le consulte.

 

Le Cheikh promet également d’intercéder en sa faveur auprès d’Allah pour qu'il puisse être admis au Jennah (Paradis). Le mourid promet d’être consciencieux dans la pratique du dhikr assigné par son Cheikh, d’adhérer aux règles de l’ordre, et d’accepter sa loyauté à vie envers un ensemble de comportements édictés par l’ordre. La domination du Cheikh sur son mourid est donc presque totale. On s'attend à ce que le comportement du mourid même en dehors de l’ordre se conforme aux règles établies par l’ordre. Et lorsque un conflit avec des obligations extérieures surgit, le mourid doit agir en tant que Soufi et d’après les règles de son Ordre.

 

L’Ordre Tijaniyyah fait promettre à chaque mourid de ne pas visiter les tombes d’autres personnalités pieuses ou de ne pas consulter tout Cheikh vivant. C'est un des facteurs principaux élargissant le fossé entre les différents ordres, entraînant un conflit entre eux, le but étant de convertir les membres des autres ordres, conquérir ou annihiler les autres ordres.

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Guest khouz

Le mécanisme de structure d’Ordre dans le Soufisme mène à beaucoup de mauvais résultats :

  • La division de la Oumma musulmane en des fractions et Ordres dirigés par des Cheikhs déviants et ignorants, faisant ainsi de la Oumma une proie facile à conquérir pour tout ennemi de l’Islam.

  • L’hostilité parmi les adhérents de différents Ordres, au point où ils ne se marient pas dans des familles appartenant à d’autres ordres ou ne coopèrent pas avec les autres.

  • La tromperie du Cheikh, qui affirme fallacieusement avoir la capacité de délivrer le mourid des difficultés et des problèmes qu’il rencontre. L’affirmation que le Cheikh sera présent à la mort du mourid, indépendamment du temps ou de l'endroit, qu’il l'instruira dans sa tombe sur ce qu’il doit dire aux deux anges de la tombe, et discutera avec eux en son nom, est totalement ridicule. Finalement, le Cheikh promet d'intervenir pour son mourid auprès d’Allah le jour du jugement, de l’aider lors de l’épreuve d'as-Siraat (la passerelle au-dessus de l'enfer), et de l'accompagner jusqu’au Jennah. Ce genre de tromperie, offrant la sécurité dans la tombe et plus tard, est un mensonge flagrant, non permis dans n'importe quelle circonstance. Les Cheikhs Soufis amènent des musulmans naïfs à croire de telles affirmations, et le résultat est le Chirk (polythéisme). De plus, tromper les musulmans est un des grands péchés.

  • Isoler le mourid aussi loin que possible du monde extérieur. L’ordre l’enferme pour l'exploiter et le manipuler facilement

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Guest khouz

Le Cheikh Certifié

 

Un autre fondement du soufisme est le Cheikh certifié, nécessaire pour donner au mourid son wird (récitation qu’il pratique régulièrement). Ceci peut également être donné par le député du Cheikh. Mais le Cheikh lui-même est l'autorité suprême, celui qui désigne les khoulafas (les fonctionnaires de l’ordre). Quand un mourid prend un serment, il le fait en fait au Cheikh, bien que les la plupart le font par l'intermédiaire de leur député local.

 

Les deux lois principales des relations Cheikh-mourid sont :

  • Le mourid ne doit pas discuter avec son Cheikh, ni demander de lui une preuve de ce qu'il lui ordonne de faire.

  • Celui qui s'oppose à son Cheikh a cassé l’ahd, et est coupé du Cheikh. Même s’il reste physiquement près du Cheikh, la porte du meddad (aide) lui est fermée à tout jamais (idem).

Les musulmans Sunnites croient que n'importe quel acte simple de culte doit être justifié par le Coran et la Sounna. Allah, l’Exalté, indique :

« Et ils ont dit : « Nul ne rentrera au paradis que juifs ou chrétiens ». Voilà leurs chimères. Dis : « Donnez votre preuve si vous êtes véridiques ».

(Sourate 2 verset 111)

On a signalé que le compagnon ’Ali Ibn Abî Tâlib -qu’Allah l’agrée- a dit :

« Si la religion devait être sujette à l'opinion, alors essuyer le bas du pied d'une botte (dans l'ablution) serait plus logique qu'essuyer le haut. »

(Abou Daoud)

 

 

Les Soufis croient que le Cheikh est nécessaire pour les relier à Allah. Ils estiment que le Cheikh de la tariqah est « un homme inspiré dont les yeux percent les mystères du caché, parce que, selon les Soufis, il voit avec la lumière d’Allah et connaît ainsi les pensées et confusions dans les poitrines des hommes. Rien ne peut lui être caché »

(Saif an-Nasr, « Sira de Hamidiyyeh », 1956 )

 

La science de l'invisible, de l’inconnu et de ce que les poitrines cachent, est restreinte à Allah seul. Toute autre personne qui affirme posséder une telle science s’oppose à Allah et affirme avoir un de Ses attributs.

 

Les Cheikhs sont considérés par les membres des ordres comme des surhommes, et ils leur accorde plus de crainte et de révérence que les compagnons ont accordé au Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- (embrassade, inclinaisons...).

 

M. Gilsenan décrit leurs sentiments de révérence à leur Cheikh lors d’une hadhreh (session de dhikr des Soufis) :

« Durant la hadhreh, il (le Cheikh) quitte la session de dhikr en premier, alors qu’ils sont encore assis sur le sol, avec la robe de son père, symbole d’autorité. Il sort à travers un espace fait pour lui par les nuqabas, avec une main élevé jusqu’à sa poitrine en signe d’acceptation humble des cris qui l’encerclent : « ya sidi Salamah, ya sidi Ibrahim meddad ! meddad ! »(aide! aide!), tandis que les frères assis au centre nettoie le tapis où il a marché avec leurs mains pour ensuite laver leurs visages et corps avec la barakah (bénédictions). Non seulement il ne laisse personne embrasser sa main, mais personne n'a le droit de l'approcher pour le toucher pendant qu'il part. Afin de maintenir la crainte et le révérence selon lui, le Cheikh doit renforcer le concept de la barakah en augmentant l’espace institutionnel entre lui et ses mouridin (disciples). Plus il se retire d'eux, plus il rend la prétendue bénédiction plus difficile à obtenir, donc plus recherchée ensuite. La pénurie augmente la valeur. Si les mouridin essayent de l'atteindre, son officiel le protège jusqu’à ce qu’il soit parti. Tout le blâme leur incombe, alors que le Cheikh demeure au-dessus de tout reproche, le mystère est préservé, et toute la fidélité est concentrée sur lui comme symbole vivant de l’ordre et de la voie. »

(M. Gilsenan, « saints et Soufis en Egypte moderne », Oxford presse 1973

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Guest khouz
C'est tout, et l'internationale Juive, il n'est pas dans l'affaire pour sponsoriser les soufis ?

 

Camarade, ceci est une diffamation, et c'est hram de salir tes frères !!!

 

Et en plus, c'est un gros mensonge, du n'importe quoi de dire qu'il y'a les francs maçons qui sponsorisent les souffis !!

 

je viens de poster, t'a fait vite pour tout lire!!!!

 

c'est écrit "probable" mais ne t'arrete pas a la, la suite est beaucoup plus interresente comme le fait qu'il est interdit de contrdire son sheykh même s'il a tord, le fait de faire le tawaf autour des tombe.

 

il y'a beaucoup de chose a dire dessus, des chose véridique et vérifiable

A+

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Guest khouz

Sans doute que le fait de prendre un Cheikh instruit en tant qu’exemple et professeur est précieux et encouragé. Il n’est pas possible de connaître Allah, ni les choses qui lui plaisent et celles qui le contrarient, et de savoir l’adorer, sans recevoir des instructions appropriées d'un Cheikh bien informé.

 

Mais la partie dangereuse de cet établissement est qu'ils placent souvent un ignorant qui manque de connaissances islamiques appropriées pour instruire d'autres dans la religion. C’est un fait que les cheikhs de la plupart des Ordres, qui sont habituellement auto-désignés, ont peu ou pas de connaissances religieuses. La qualification la plus importante pour un Cheikh Soufi, sans compter ses influence sociales ou son statut, est la durée du service qu'il a rendu, à son supérieur, le Cheikh de l’Ordre, qui lui-même a hérité le titre d’après une chaîne de succession que les Soufis prétendent faussement tracer jusqu’au Prophète.

 

Quelques Cheikhs sont assez fantasques pour affirmer qu'ils n'ont aucunement besoin de cette chaîne imaginaire, parce que leur Ordre dérive directement (!) du Prophète saws.gif, pas simplement en vision mais en réalité. Cheikh Muhammad At-Tijani affirme dans son livre, Al-Jawahir Al-Ma'ani (p.97) :

« En ce qui concerne la chaîne de l'autorité à laquelle L’Ordre de Muhammadiyya Tijaniyyah se rattache, il m'a informé que « nous avons acquis notre science d'une variété de Cheikhs, mais Allah nous ordonne de ne pas se limiter à eux. Vraiment, notre autorité et mission d'enseignement dans cette Ordre a été donnée par le maître de l'univers Muhammad ».

 

En effet, Allah a ordonné que nous apprenions la science et que nous l'atteignons par son moyen. Par conséquent, aucun Cheikh en dehors de At-Tijani n'est autorisé à agir dans la disposition de nos affaires selon son jugement. Quant aux mérites de At-Tijani, le maître de l'Univers (c’est-à-dire Muhammad saws.gif)lui (At-Tijani) a indiqué que toute personne qui l'aime est aimée par le Prophète saws.gif, et ne mourra pas avant qu'il soit un Wali absolu et favori d’Allah ».

 

Les musulmans peuvent voir comment ils forgent des mensonges contre Allah l’Exalté et son Messager -Prières et bénédiction d'Allah sur lui-, et contre les croyants, sans honte ou crainte. Assez curieusement, Abdoul-Qadir Eisa, chef de l’Ordre Shadhiliyyah en Syrie, a relaté de Cheikh Mouhammad Al-Djazaïri dont, il a hérité l’Ordre, la chaîne de Cheikhs de L’Ordre remontant jusqu’au Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui-, parmi eux on compte un nombre d'imposteurs Soufis et fanatiques Batinis (secte clandestine déviante). La chaîne est réclamée conjointement par quatre Ordres du Soufisme : Qadariyya, Shadhiliyyah, Darqawiyyah et Oulaiwiyyah.

 

La Oumma musulmane entière a convenu que le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- n'a caché aucune science à sa communauté, ni n’a distingué un de ses compagnons avec une quelconque science particulière. Il a transmis de la meilleure façon le dernier et parfait message divin selon le commandement d’Allah, pour cela il mérite d'être le meilleur de tous les Prophètes et Messagers d'Allah. Allah, gloire à Lui, indique dans le saint Coran :

« Et quel pire injuste que celui qui fabrique un mensonge contre Allah ou qui dit : « Révélation m’a été faite », alors que rien ne lui a été révélé ? »

(Sourate 6 verset 93)

Le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a sévèrement averti contre ceux qui forgent des mensonges contre lui, en disant :

« Ne forgez pas de mensonges contre moi, car celui qui agit ainsi entrera en enfer. »

(Mouslim)

Et il -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a également dit :

« Celui qui forge volontairement ou intentionnellement un mensonge contre moi, qu’il se prépare à occuper sa place dans le feu. »

(Mouslim)

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Guest khouz

Al-’Ahd (le serment d’allégeance)

Le serment est un des principes cardinaux du Soufisme, confirmés par tous les Ordres Soufis. Il se déroule lors d’une cérémonie dans laquelle le Cheikh et le mourid se tiennent les mains, les doigts entrelacés et les yeux fermés. Puis le Cheikh ou son député fait prendre le serment en demandant au mourid de prendre le Cheikh en tant que chef et guide devant Allah le plus haut, selon la voie et la tariqah (Ordre) du Cheikh, d’adhérer à cette Ordre durant toute sa vie, ne se convertissant jamais à un autre, et qu’il garantit sa fidélité et son obéissance au Cheikh. Puis, le Cheikh récite le verset :

« Vraiment, ceux qui te (Mouhammad) prêtent serment d’allégeance

ne font que prêter serment à Allah. »

(Sourate 48 verset 10)

Alors, il instruit le mourid de son wird. Il demande alors : « M’acceptes-tu comme Cheikh et guide spirituel devant Allah, Le Plus Haut ? ». La réponse du mourid est : « J’accepte ». E le Cheikh indique : « Et nous avons acceptés ». Puis, le Cheikh et le mourid récitent alternativement la profession de foi, et la cérémonie se termine avec le mourid embrassant la main de son Cheikh.

Le verset du Coran cité ci-dessus, de Sourate Al-Fath a une connotation sérieuse. Allah a révélé ce verset quand 1500 compagnons du Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- lui prêtèrent allégeance à Al-Hudaybiah, et jurèrent de le soutenir et de combattre dans la voie d'Allah. Mais, utiliser un tel verset pour convaincre les naïfs des musulmans à prendre un serment qui n’a pas lieu d’être est une fine tromperie.

Les Soufis basent également le principe du ’ahd sur des hadiths fabriqués et ils attribuent faussement un ’ahd semblable à ’Ali Ibn Abî Tâlib -qu’Allah l’agrée- fait au Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui-. Le serment de l’allégeance fait au Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- par ses compagnons pour lui obéir et pour combattre dans la voie d'Allah a été fait plus tard par les musulmans au Khalifah, le chef de la Oumma musulmane.

La pratique de prendre l’ahd à un Cheikh, et la cérémonie l'entourant étaient inconnues au temps du Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- et également durant la période des trois meilleures générations, des compagnons du Prophète et de leur suivants. Le système d’Ordre Soufi et les rituels associés ne sont rien d’autre que des bid’a (innovations) inventées par les générations ultérieures. Le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a à plusieurs reprises averti sa Oumma contre toute forme d'innovation. Il était très vigilant à ce sujet, au point de préfacer tous ses discours avec l'avertissement :

« Vraiment, la meilleur des paroles est le livre d'Allah, et la meilleur guidée est la guidée de Mouhammad -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- ,et le mal dans tout sujet religieux est l’innovation. Chaque innovation est une bid’a, et chaque bid’a est un égarement, et tout égarement conduit au feu. »

(Mouslim)

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Guest khouz
Attends, mais tu es drôle toi.

 

Tu annonce une propagande, après tu ajoute "probable", et le tour est joué ? :D

 

Par contre, les salafistes sont financés par les petro-$, ce salafisme qui a detruit beaucoup de gens, beaucoup de pays, ... Sans oublier le nombre de morts generés par cet extremisme.

 

Et tout ce que tu as trouvé à dire, c'est taper sur le soufisme, ils sont zaama financé par les francs maçons :mdr::mdr:

 

tu est habile pour détourné les discussion, mais montre les erreur de ce que j'ai poster, au lieu de tenter de me discéditer personnellement, je pense que c'est trop argumenter pour toi alors tu veux me faire passer pour un extremiste ou je ne sais quoi.

mais les fait sont là, les soufi sont a l'extremité de ce qu'est la religion, leur ascèste et grand et c'est ce qui trompe beaucoup de gens.

et pour la dernière fois je ne suis pas salafi,

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Guest khouz

Le rituel du Wird soufi

 

Le wird est un autre principe central des Ordres Soufis, qui signifie littéralement une partie du Coran, ou n’importe quel autre acte spécifique d’adoration, que la personne récite ou exécute, soit à un moment particulier ou de façon régulière.

 

Mais selon les Soufis, le wird, ou le dhikr, est le fait de répéter le nom d'Allah, et un ensemble d'invocations assignées au mourid par son Cheikh ou député en tant que liturgie de communion. Cela implique la sollicitation des morts, et la recherche d’aide par des sources autres qu'Allah.

 

Le dhikr Soufi est de deux formes, le dhikr Al-Khafiy ou caché avec une répétition dans l’esprit ou murmuré à voix basse ; et le dhikr Al-Jaliy, une récitation ouverte dans laquelle le mourid récite à voix haute.

Les Soufis distinguent trois types de dhikr : le dhikr des gens du commun (Al-’Awaam), qui consiste à réciter à plusieurs reprises le Kalimah, dont la signification est « Il n’y a de véritable divinité digne d’adorarion en dehors d’Allah, Mouhammad est le Messager d'Allah ». Le dhikr de la classe supérieur, qui consiste à répéter le nom « Allah » ou le mot « Haiy » (le vivant), et le dhikr de l’élite, qui est la répétition du pronom divin « Hou » (Lui).

 

Les deux dernières formes de dhikr n’appartiennent pas à l’Islam. Le dhikr Soufi n'est pas limité aux trois types ci-dessus : dans beaucoup d’autre cas il inclut des litanies et des hymnes, ou comme les Soufis préfèrent les appeler « Tawassoulaat » ( supplications ou pétitions) au Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- et à sa famille.

Supplier des êtres en dehors d’Allah signifie lui associer des partenaires, une pratique non seulement condamnée par Allah et Son Messager -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- mais qui annule toutes les actions de l’adorateur. Allah dit :

 

« En effet, il t’a été révélé, ainsi à ceux qui t’ont précédé :

« Si tu donnes des associés à Allah, ton œuvre sera certes vaine

et tu seras très certainement du nombre des perdants. »

(Sourate 39 verset 65)

 

Les types de dhikr pratiqués communément par les Soufis ne sont pas seulement récités. Ils sont plutôt exécutés dans leur hadhrah. Le dhikr Soufi s'étend de la tranquillité au comportement d’extase hystérique. Dans beaucoup d’Ordres, le rituel a une section appelée le samaa’ dans laquelle le chant, la danse et l’utilisation d’instruments musicaux, tels la flûte et le tambourin, sont d’une grande importance.

 

Le dhikr prescrit par le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- doit être récité individuellement, et seulement de la façon prescrite par lui. La fabrication du dhikr d’une façon différente, ou en commun, est une innovation menant à l’égarement. Cela est d’autant plus vrai lorsqu’un tel rituel est accompagné de pratiques interdites telles que la musique, contre laquelle il y a une référence directe dans le Coran :

 

« Et, parmi les hommes, il est (quelqu’un) qui, dénué de science, achète de plaisants discours pour égarer hors du chemin d’Allah... »

(Sourate 31 verset 6)

 

Les Compagnons prééminents du Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- ont confirmé que le terme « plaisants discours » fait référence au chant et à la musique (Boukhari, Abou Daoud et At-Tirmidhi).

Le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a confirmé ce fait dans le hadith suivant :

« Il y aura des gens de ma communauté qui considéreront licite la fornication, le port de la soie, la consommation des boissons alcooliques et l'utilisation des instruments musicaux. " (Al-Boukhari, Abou Daoud et Al-Bayhaqi)

Il est obligatoire pour les musulmans d’adhérer aux deux sources divines de l’Islam, le Coran et la Sounna. Les Compagnons du Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- ont bien compris ces deux sources fondamentales, comme le requiert la profession de la foi : « Il n'y a aucune divinité digne d'être adorée en dehors d'Allah ; Mouhammad est le Messager d'Allah. »

 

Ils critiquaient le moindre signe de déviation parmi les musulmans. A chaque fois qu’ils remarquaient une nouveauté, ils s’y opposaient énergiquement, essayant de rectifier la situation ou d’éliminer l’innovation. ’Abdellah Ibn Mas’oud -qu’Allah l’agrée- qui était gouverneur d'al-Koofah, Irak, à une époque, est entré dans une mosquée un jour, et a vu des gens assis en cercles. Au milieu de chaque cercle, il y avait un tas de cailloux, et dans chaque cercle un homme instruisant les autres :

« Récitez Soubhân-Allah (Pureté à Allah) cent fois. Dites, Al-hamdou lillah (Louange à Allah) cent fois. Dites, Allahou-Akbar (Allah est le plus grand) cent fois. » Sur quoi, ’Abdellah Ibn Mas’oud -qu’Allah l’agrée- leur dit : « Ô gens ! Soit vous suivez une religion qui est meilleure que celle du Messager d'Allah -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- ,soit vous entrez dans une porte de déviation sans vous en rendre compte. » Ils ont répondu : « Ô Abou ’Abdour-Rahmân (son surnom) ! Par Allah, nous n’avions l'intention que de faire une bonne action. » Il s’exclama : « Combien de fois on désire faire du bien mais on n'atteint jamais son but. ».

 

La citation ci-dessus prouve clairement que la sincérité seule et les bonnes intentions ne sont pas suffisantes pour rendre les actes d’adoration acceptables par Allah. Les actes doivent d’abord se conformer au livre d'Allah et à la Sounnah de Son Messager -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- Inventer de nouvelles méthodes ou de nouveaux concepts ne font qu’accroître la colère d’Allah. La religion de l’Islam a déjà été complétée par Allah. Elle n’a besoin de personne pour la changer en vue du gain mondain. Cela nécessite donc que toute opinion ou pratique religieuse doit être jugée par le livre d’Allah et la Sounna de son Messager -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- pour décider de sa validité.

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Guest khouz

Khalwah (Séclusion)

Le sens littéral de khalwah est séclusion ou retraite, mais elle a une connotation différente dans la terminologie Soufie : c'est un acte d’abandon total de soi à la recherche de la présence divine. Dans la séclusion complète, le Soufi répète le nom d’Allah, selon la forme la plus élevée du dhikr. Dans son livre « Voyage chez le seigneur du pouvoir », Ibn ’Arabi (1165-1240 A.D.) explique les différentes étapes par lesquelles passe le Soufi durant sa khalwah. Il suggère :

« Le Soufi doit fermer sa porte au monde durant quarante jours et s’occuper avec le rappel d’Allah, répéter, « Allah, Allah... », alors Allah, le Tout-Puissant va étaler devant lui les degrés de Son royaume comme épreuve. En premier lieu, il découvrira les secrets du monde minéral. S’il s’occupe avec le dhikr, Il (Allah) lui dévoilera les secrets du monde végétal, ensuite les secrets du monde animal, ensuite l’infusion du monde des forces vivantes dans les vies, puis le « signe de surface » (la lumière des noms divins, selon Abdoul-Karim al-Djili, disciple de Ibn Arabi), ensuite les degrés de la science spéculative, puis le monde de la formation de l’ornement et de la beauté, ensuite le degré de qoutb (l'âme ou le pivot de l’univers) alors il recevra la sagesse divine et le pouvoir des symboles et l’autorité sur le voilement et le dévoilement. Le degré de la présence divine lui est rendu claire, le gardien du jardin (d’Eden) et de l’enfer lui sont indiqués, puis, les formes originales du fils d’Adam, le Trône de la Miséricorde. Si cela est approprié, il connaîtra sa destination. Alors, il lui indiquera le Calame, la première intelligence (comme l’appelle les philosophes Soufis), puis celui qui fait bouger le Calame, la main droite de la vérité (la « vérité » comme définie par al-Djili est la source par laquelle tout est créé, aucun autre si ce n’est Allah.)

Il est suffisant de dire que le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui-, qu'Allah a béni par son ascension au 7ème ciel, n’a jamais parlé de ces étapes détaillées que promet Ibn ’Arabi à ceux qui entreprennent la khalwah. Malgré cela, la pratique de la khalwah est régulièrement suivie par les Soufis, avec la permission et la surveillance de l’autorité Soufie. La période de quarante jours de khalwah est basé par le Soufis sur les quarante jours durant lesquels Allah a appelé Moussa -Bénédiction d'Allah sur lui-, comme mentionné dans différents chapitres du Coran. Un d’eux est la Sourate Al-Baqarah :

« Et [rappelez-vous], lorsque Nous donnâmes rendez-vous à

Moussa pendant quarante nuits Moussa ! »

(Sourate 2 verset 51)

La Khalwah est une pratique obligatoire pour celui qui est en quête d’Allah, elle lui donnera une infusion de la science divine, selon les promesses d’Ibn ’Arabi et de ses disciples.

Il y a beaucoup de conditions à la Khalwah. Elles incluent, selon l’Ordre Tijaniyyah :

  • Entrer dans l’endroit de la khalwah de la même façon que l’on entre dans une mosquée, exécuter les ablutions avant d’entrer, rechercher l’aide de l’âme des Cheikhs de l’Ordre, par le moyen du Cheikh actuel de l’Ordre.


  • La place de la khalwah doit être sombre, et l’adorateur doit abandonner toute affaire mondaine et toute affaire religieuse extérieure, comme la première étape vers l’abandon de son existence.


  • L’assiduité dans le dhikr, ou le rappel d’Allah, doit être continue pour que celui dont on se rappel, à l’état final, se manifeste à l’adorateur.


  • Le cœur du mourid doit être perpétuellement attaché à son Cheikh, qui a été « nommé » par Allah pour le guider, comme l’affirment les Soufis. Selon leur croyance, le Cheikh est censé accompagner le mourid constamment, spirituellement aussi bien que physiquement, indépendamment du nombre de mourids ou de leurs emplacements géographiques.


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Guest khouz

Ainsi, les chefs Soufis entraînent graduellement les musulmans naïfs dans la croyance impie que leurs Cheikhs sont omniprésents. Allah dit :

« Pas de conversation secrète entre trois, sans qu’Il ne sois leur quatrième.

Ni entre cinq, sans qu’Il n’y sois le sixième. Ni moins ni plus que cela

sans qu’Il ne soit avec eux, là où ils se trouvent. »

(Sourate 58 verset 7)

Bien que le sens littéral doit être accepté, le verset ci-dessus ne doit pourtant pas être mal interprété pour justifier la croyance hérétique et panthéique que l’essence d’Allah, l’Exalté, est partout. Plutôt, le verset indique qu’Allah, Gloire à Lui, atteint toute chose de par sa science. Le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- n'a pas négligé de mentionner et clarifier à ses adeptes tous les moyens qui mènent au succès dans l’au-delà, ni n’a négligé de les avertir de tous les moyens qui conduisent au malheur dans l’au-delà. Et, puisque la pratique de la Khalwah n’est pas incluse dans les moyens d’atteindre le succès, elle doit être incluse dans les moyens d’atteindre le malheur.

D’ailleurs, rechercher l’aide de quelqu’un en dehors d’Allah est une pratique polythéiste condamnée par Allah dans le Coran :

« Dis (Mouhammad) : « Invoquez ceux que vous prétendez (être des divinités ) en dehors de Lui. Ils ne possèdent ni le moyen de dissiper votre malheur ni de le détourner ». Ceux qu’ils invoquent cherchent (eux-mêmes), à qui mieux, le moyen (bonnes actions) de se rapprocher le plus de leur Seigneur. Ils espèrent Sa miséricorde et craignent Son châtiment. Le châtiment de ton Seigneur est vraiment redouté. »

(Sourate 17 versets 56-57)

Il y a également une autre condition à la khalwah : le mourid doit rester silencieux tout au long des quarante journées de son khalwah même s’il sort de son lieu pour quelque raison. Il est suffisant de dire que garder le silence pendant toute une journée est interdit d’après les paroles du Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- :

« Personne ne doit garder le silence toute une journée, jusqu’à la nuit. »

(Sahîh al-Jâmi’)

Al-Mounawi, dans son commentaire de ce hadith, dit que rester silencieux pendant toute une journée est interdit parce que c’est une imitation d’une coutume chrétienne. En outre, la khalwah n’a jamais été pratiquée par le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- après réception de la Prophétie, ni ses compagnons -qu’Allah les agrée-, ni leurs suivants. Au contraire, le Messager d’Allah -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a recommandé une vie sociale parmi les musulmans et l’a considérée comme précieuse, comme dit dans le hadith suivant relaté par Ibn ’Omar -qu’Allah l’agrée- :

« Le croyant qui se mélange avec les gens et supporte patiemment leur méfait aura une plus grande récompense que celui qui ne se mélange pas avec les gens et ne supporte pas patiemment leurs méfaits. »

(Hadith authentique)

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Guest b10dz
Le soufisme est porteur de spiritualité et d’humanisme. Le salafisme répand l’intolérance et la terreur

 

Toi qui affirme de telles choses, je suis tenté de te demander : qu'est ce que le salafisme ? :)

 

Moi perso je ne saurais le définir avec exactitude, mais comme tu semble sur de toi, tu dois surement savoir ! :D

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Guest khouz
Le soufisme est porteur de spiritualité et d’humanisme.

 

le soufisme est égalemement porteur de polythéisme, mais celà ne se voit qu'a l'interieur. leurs théoru=ie et leur croyance n'ont aucune preuves religieuse. voici une parole de tidjani, le fondateur de la tariqa tidjaniya:

 

« Si le wali se révélait au gens, ils l’adoreraient, car il serait alors retiré de ses qualités humaines et équipés des qualités divines aussi bien intérieurement qu’extérieurement. »

(Ahmad at-Tijani, Jawahir al-Ma’aani, comme cité dans « Ilattasawwuf » p.50 de Al-Djazaïri)

 

la plus axé sur le shirk est bien celle de déobandi, (naqshbandiya)

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Guest khouz
Salam khouzeymah,

 

Selon toi, est ce que les souffis sont des musulmans ?

 

selem 'aleykoum

 

akhi je prend garde a ne jamais lancer le takfir sur une personne déterminer, donc je te répondré Allahou a'lèm, cependant regarde bien ce que disent leur grand sheykh dans leur livre et tu verra beaucoup de polythéisme, et tu c'est ce que celà implique. voici un autre extrait:

 

« Celui qui me regarde le vendredi ou lundi entrera au Jannah sans jugement ou punition; même si il était un infidèle, il mourrait alors dans l'état d’Iman. »( at-Tijani, « Jawahir al-Ma'ani ». p.129)

 

c'est tout de même grave de dire celà, mais que dire d'y croire?

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Guest b10dz
selem 'aleykoum

 

akhi je prend garde a ne jamais lancer le takfir sur une personne déterminer, donc je te répondré Allahou a'lèm, cependant regarde bien ce que disent leur grand sheykh dans leur livre et tu verra beaucoup de polythéisme, et tu c'est ce que celà implique. voici un autre extrait:

« Celui qui me regarde le vendredi ou lundi entrera au Jannah sans jugement ou punition; même si il était un infidèle, il mourrait alors dans l'état d’Iman. »( at-Tijani, « Jawahir al-Ma'ani ». p.129)

 

c'est tout de même grave de dire celà, mais que dire d'y croire?

 

Il a un égo de la taille des montagnes celui là :mdr:

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Guest b10dz
Donc, ce ne sont pas des musulmans, si je comprends bien.

 

Arrête d'essayer de lui faire dire ce qu'il n'a pas dit ! tu sais très bien que le takfir est prohibé, et il vient de te le rappeler en plus !

 

Seul dieu peut juger de l'âme d'un homme. A notre échelle de connaissance, on peut désigner un égaré ou un 3assi peut être, mais c'est pas autorisé de faire du takfir à tout va !

 

Itta9i allah mon ami !

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Guest khouz
Donc, ce ne sont pas des musulmans, si je comprends bien.

 

ai-je dis celà?

 

akhi j'ai l'impression que tu a l'esprit de contradiction, dans la mesure où tu ne répond que pour tanté de dire le contraire. quant bien même la chose est indéfendable.

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